martedì 1 settembre 2015

2 settembre feste santi e memorie






Mémoire des justes prêtres de l'Ancienne Alliance: ELIAZAR et son fils PHINES, de la tribu d'Aaron (vers le XIIIème siècle avant NSJC).



Saints THEODOTE et RUFINE, père et mère de saint Mamas, martyrs sous Valérien (avant 260). 




Saint MAMAS, originaire de Gangres en Paphlagonie, martyr à Césarée de Cappadoce sous Aurélien (275). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX des Ménées.)



https://doxologia.ro/sfantul-mucenic-mamant


Saint Mamas était originaire de Gangres en Paphlagonie (Asie-Mineure) . Ses parents, Théodote et Rufine étaient de fidèles Chrétiens et des confesseurs de la foi. Ils furent capturés par les païens et emprisonnés, car ils refusaient de renier le Christ. C'est dans le cachot même que Mamas vit le jour en 260. Or ses deux parents trouvèrent la mort en prison, et le petit orphelin fut adopté par une pieuse femme du nom d'Ammiane1. Comme en balbutiant il appelait souvent sa mère adoptive, on le surnomma Mamas.

Parvenu à l'âge de quinze ans, Mamas fut à son tour capturé par les troupes impériales pour avoir refusé de sacrifier aux idoles, conformément aux saintes prescriptions que lui avait laissées Ammiane avant de mourir, et pour avoir entraîné ses compagnons à suivre son vaillant exemple. Il fut d'abord livré à Démocrite, le gouverneur de Césarée de Cappadoce, puis il comparut devant l'empereur Aurélien lui-même. Le tyran essaya d'abord de convaincre le jeune et fragile garçon par des paroles doucereuses et flatteuses ; mais il trouva l'âme de Mamas plus solide que le diamant et plus brûlante de zèle divin que la fournaise la plus ardente. Aurélien se prit alors de colère de voir ainsi un enfant lui tenir tête, à lui le souverain de la plus grande partie du monde. Il le livra à de cruelles tortures : fouets, coups, bastonnades. Pensant que la souffrance avait vaincu Marnas, il lui dit: "Dis seulement que tu as sacrifié aux idoles et cela suffit pour que je te libère".

Mamas répondit: "Ni du coeur, ni même des lèvres, je ne renierai le Christ mon Sauveur, ô Empereur: je te remercie au contraire de me permettre par ces supplices d'aimer davantage et de m'unir au Christ mon Roi, qui a souffert pour mon salut". On lui brûla ensuite tout le corps avec des torches allumées, on lui frappa les membres à coups de pierres, puis on le jeta à la mer après lui avoir attaché une lourde boule de plomb au cou. Mais il fut miraculeusement délivré par un Ange de Dieu, qui le transporta sur une haute montagne surplombant la ville de Césarée. Il vécut là, en glorifiant Dieu par la prière ininterrompue, en compagnie de bêtes sauvages qui lui offraient leur lait en nourriture. Quelque temps plus tard, fortifié par un signe divin, il descendit de lui-même se livrer à Alexandre, le nouveau gouverneur de Cappadoce. Il fut soumis à de nouvelles tortures, qui n'eurent pour seul effet que de montrer avec plus d'éclat la présence de la grâce de Dieu dans son âme et dans son corps. On le jeta dans une fournaise ardente, où il resta, tel les trois enfants hébreux dans la fournaise de Babylone, à chanter la gloire de Dieu, protégé de la morsure des flammes par une rosée divine. Finalement, les soldats lui percèrent les entrailles avec une fourche, et Marnas trouva la force de sortir de la ville avant de rendre son âme à Dieu. On entendit une vois venue d'en haut qui appelait le Saint à venir se reposer de ses labeurs dans les demeures éternelles.






Troparion — Tone 3

 

 

 

Your holy martyr Mamas, O Lord, / through his suffering has received an incorruptible crown from You, our God. / For having Your strength, he laid low his adversaries, / and shattered the powerless boldness of demons. / Through his intercessions, save our souls!
Vita : Al tempo dell’imperatore Aureliano (270-275), Mama ragazzo di 12 anni venne affidato alla custodia del vescovo di Cesarea di Cappadocia, Taumasio; in quel tempo l'imperatore aveva scatenato una persecuzione contro i cristiani, per cui invia il conte Claudio con 400 soldati, per catturarli insieme al vescovo.
Però là giunto, il conte e 200 soldati si convertono al Cristianesimo, allora l’imperatore impegnato in guerra contro la Persia, sospende la persecuzione. In seguito il vescovo Taumasio muore ed i pagani si rivoltano, bruciano la chiesa e fanno strage di cristiani, risparmiando Mama, visto la giovane età.
Questo invece si mette a predicare contro l’idolatria pubblicamente, finché una voce che sente solo lui, gli ordina di lasciare la città e di portarsi sui monti, nel folto della foresta, per predicare il Vangelo alle bestie che là vivono; la stessa voce gli indica dove trovare un codice del Vangelo, che era sotterrato fra i ruderi di una chiesetta incendiata; una volta trovatolo se lo porta sul monte, dove vive in una grotta.
Trascorre il giorno in solitudine, cibandosi di quello che trova e bevendo il latte che munge agli animali, anche feroci, che insieme agli uccelli e altre specie, si radunano il pomeriggio intorno a lui per ascoltare la lettura del Vangelo.
Erano trascorsi cinque anni, quando l’imperatore Aureliano mandò un altro preside di nome Alessandro, feroce nemico dei cristiani, per riprendere la persecuzione sospesa. Questi saputo di Mama e del prodigio delle bestie che l’ascoltavano, attribuendo il fatto a magia, manda un manipolo di soldati ad arrestarlo.
Questi soldati, vengono accolti con cortesia da Mama, rifocillati col formaggio da lui prodotto e arrivata l’ora consueta, assistono alla venuta di una moltitudine di animali grandi e piccoli, innocui e feroci, che si radunano intorno al giovane.
Spaventati, specie per la presenza dei leoni, chiamano Mama in aiuto, il quale li calma e rassicura, parlando loro dell’unico Dio creatore e di Gesù suo figlio, artefice anche di quel prodigio e li invita alla conversione per non essere al di sotto delle bestie, che ascoltavano la lettura del Vangelo.
I soldati i cui nomi sono Abdan, Dan, Niceforo, Milezio, Romano, Didimo, Secondino e Prisco, si convertono e chiedono il battesimo; allora Mama scende con loro dal monte per accompagnarli dal preside, lungo la strada incontrano il prete Cratone che li battezza; giunti ad Alessandria per fare un’apologia del cristianesimo, vengono imprigionati.
Mama nel frattempo viene sottoposto a svariate torture, tutte con pericolo di vita, da cui esce incolume e dopo che insieme ai soldati convertiti supera il supplizio delle belve, vengono infine tutti decapitati (275).
Dopo un po’ di tempo, morì Aureliano e la persecuzione cessò, quindi i cristiani elevarono, una basilica, sul luogo del supplizio del grande martire.
Primo centro del culto di Mama, fu Cesarea di Cappadocia, oggi Kayseri in Turchia, dove sulla tomba del martire era sorto un santuario meta di ininterrotti pellegrinaggi, che giungevano attirati dalla fama taumaturgica del santo.
Altre chiese e monasteri gli vennero dedicati nei secoli successivi, in tutto l’Oriente cristiano, a partire da Costantinopoli. In seguito alla traslazione di reliquie, il culto si estese a Cipro, Grecia e in Occidente, dove il centro del culto fu ed è la cattedrale di Langres in Francia.
È venerato in Toscana e Veneto; in Occidente fu eletto a patrono delle nutrici a causa del suo nome e perché nutrito del latte delle bestie ammansite; in Oriente è soprattutto invocato come protettore del bestiame.

 

Kontakion — Tone 3

Podoben: “Today the Virgin...” / Holy Mamas, lead your people your as a flock to life-giving pastures / with the staff God has given you; / crush the invisible and fierce enemies beneath the feet of those who honor / you. / For all of those who are in danger / have received you as their fervent intercessor.

SIX MILLE SIX CENT VINGT-HUIT MARTYRS qui trouvèrent la mort de différentes manières sous l'empereur Maximien.

Saint martyr DIOMEDE, mort frappé du plat d'une épée.

Saint martyr JULIEN, mort la tête écrasée dans un étau de bois.

Saint martyr EUTYCHIOS, mort crucifié.

Saint martyr HESYCHIOS, mort par pendaison.

Saint martyr LEONIDE, mort par le feu.

Saint martyr EUTYCHE, mort crucifié.

Saint martyr PHILADELPHE, mort le cou attaché à une lourde pierre.

Saint martyr MELANIPPE, mort par le feu.

Sainte martyre PARTHAGAPE, mort noyé dans la mer.

Saints martyrs AMMOUN et AIETHALIA de Thrace.





Saints EUPLE, JOSEPH, FELIX, SECONDULUS et JULES, martyrs en Sicile. 

Saints FACONDIN, JUVENTIN, PEREGRIN et FELICITE, martyrs à Rimini en Emilie-Romagne.

Saint ANTONIN, martyr à Pamiers dans le comté de Foix (IVème siècle).

Saint JUST (JUSTINIEN), deuxième évêque de Strasbourg en Alsace (IVème siècle).

Sainte MAXIMA, esclave, martyre à Rome sous Dioclétien (304).

Saint JUST l'Angélique, métropolitain de Lyon, puis moine au désert de Scété en Egypte (vers 390).

Saint MAXIMIN Ier, troisième évêque de Strasbourg en Alsace (IVème-Vème siècles). 
Saint ELPIDE, confesseur dans les Marches (Vème siècle).



Saint VALENTIN, quatrième évêque de Strasbourg en Alsace (Vème siècle). 

Saint OCTAVIEN, ermite près de Volterra en Toscane (Vème siècle). 


Saint SOLAIRE, cinquième évêque de Strasbourg en Alsace (Vème siècle). 

Saint ELPIDE (ELPIDIUS, HELPIDIUS), archevêque de Lyon (avant 430). 

Saint MAWS, moine irlandais, peut-être évêque en Bretagne, vénéré dans les Cornouailles. 

Saint ANTOINE de Liaroles, ermite et martyr, patron de la ville de Condom (540). 

Saint NONNOSUS, moine au mont Soracte en Italie (vers 575). 



Saint JEAN IV le Jeûneur, patriarche oecuménique de Constantinople (582-595), thaumaturge et remarquable par ses aumônes (595). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX des Ménées.) 




Troparion — Tone 4

In truth you were revealed to your flock as a rule of faith, / an image of humility and a teacher of abstinence; / your humility exalted you; / your poverty enriched you. / Hierarch Father John, / entreat Christ our God / that our souls may be saved.

 

Kontakion — Tone 4

You became like your namesake, the Forerunner, O John, / For you were radiant with fasting and purity; / And Christ has revealed you / As a worthy shepherd of his flock: / Now pray for those who honor your holy memory!
http://www.johnsanidopoulos.com/2010/09/on-canons-of-saint-john-faster.html
https://doxologia.ro/sites/default/files/styles/lista-rugaciuni/public/imagine/2012/09/sfantul-ierarh-ioan-postitorul.jpg?itok=pP47mcsX

 https://doxologia.ro/sfantul-ierarh-ioan-postitorul-patriarhul-constantinopolului




Saint EO, ermite à Bodéo en Bretagne (VIème-VIIème siècles). 

Saint JUST, évêque de Clermont en Auvergne (VIIème siècle). 

Saint HIEU (HEIU), abbesse de Tadcaster dans le Yorkshire (vers 657).


Tropaire de Saint Hieu ton 8

 Dans le monastère de Tadcaster, O Abbesse Hieu,/
tu brillas des lumières des vertus de l'ascèse et de l'humilité./
Prie que nous puissions suivre l'exemple de ton grand enseignant, le hiérarque Aidan,/
et vivre le combat spirituel afin que nos âmes soient sauvées.


Saint AGRICOL (AGRICOLA, ARIGLE), fils de saint Magne, moine de Lérins, puis évêque d'Avignon dans le Comtat-Venaissin (vers 700).


Saint LEZE (LEZER, LEZINS), martyr mort pour le Christ en combattant les Vikings païens au Mas d'Avignon près de Lectoure en Gascogne (845).

Saint ELECTRAMNUS (ELECTRAN), évêque de Rennes en Bretagne (Xème siècle). 



Saint ANTOINE, ascète de la Laure des Grottes de Kiev (1073).  e Saint THEODOSE, ascète de la Laure des Grottes de Kiev (1074).

http://www.johnsanidopoulos.com/2012/06/sts-anthony-and-theodosius-founders-of.html

 (Office à saints Antoine et Thédose traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX du Supplément aux Ménées.) 



L'icône de la Très Sainte Mère de Dieu de Kalouga (Russie 1771).

http://oca.org/saints/lives/2015/09/02/102466-icon-of-the-mother-of-god-of-kaluga

http://www.johnsanidopoulos.com/2010/09/kaluga-icon-of-most-holy-theotokos.html

https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-din-kaluga


L'icône de Kaluga de la Mère de Dieu apparut en 1748 dans le village deTinkova, près de Kaluga, au domicile du propriétaire terrien Basil Kondratevich Khitrov. Deux servitantes de Khitrov étaient occupées à nettoyer le fourbi du grenier de sa maison. Une d'elles, Eudokia, remarquée pour son sale caractère, parlait vulgairement et crûment. Sa compagne était modeste et sérieuse.

Ils découvrirent un gros paquet couvert d'un linge en lin. Le défaisant, la jeune femme vit le portrait d'une femme en habits noirs avec un livre en mains. Pensant qu'il s'agissait d'un portrait d'une moniale, et voulant remettre Eudokia à sa place, elle l'admonesta pour son manque de respect envers l'abbesse.

Eudokia se moqua des réprimandes de sa compagne, et se fâchant, elle cracha sur le tableau. Aussitôt, elle entra en convulsion et s'évanouit. Elle devint aussi aveugle et muette. Sa compagne, effrayée, rapporta tout ce qui s'était passé au personnel de la maison.
La nuit suivante, la Reine des Cieux apparut aux parents d'Eudokia et leur dit que leur fille s'était comportée de manière irrévérente à son encontre, et Elle leur ordonna de faire célébrer un Moleben [ office d'action de grâce et d'intercession ] devant l'icône insultée, puis d'asperger leur fille handicapée avec la sainte eau du Moleben.
Après le Moleben, Eudokia fut rétablie, et Khitrov prit l'icône miraculeuse chez lui, où elle accorda la guérison à ceux qui l'approchèrent avec foi. Plus tard, l'icône fut placée dans l'église paroissiale de la Nativité de la Très Sainte Mère de Dieu du village de Kaluga. De nos jours, elle se trouve dans l'église cathédrale de Kaluga.
A travers cette icône, la Mère de Dieu a maintes fois manifesté Sa protection envers la terre Russe durant les périodes troublées. La célébration de l'Icône de Kaluga au 2 septembre fut instaurée en commémoration de la délivrance de la peste de 1771.
Une seconde célébration fut instaurée au 12 octobre, en mémoire de la préservation de Kaluga durant l'invasion Française de 1812. En 1898, une célébration fut instaurée au 18 juillet en gratitude à la Mère de Dieu pour sa protection face à une épidémie de choléra. L'icône est aussi commémorée le premier Dimanche du Jeûne des Apôtres.


http://www.johnsanidopoulos.com/2010/09/kaluga-icon-of-most-holy-theotokos.html

Saints BARSANUPHE, évêque de Kyrillov, JEAN, prêtre, SERAPHIMA, abbesse, ANATOLE, NICOLAS, MICHEL et PHILIPPE, martyrs par la main des Communistes (Russie 1918).


Saints DAMASCENE, évêque de Starodoub, EUTHYME, JEAN, JEAN, VLADIMIR, VICTOR, BASILE, THEODOTE, PIERRE et ETIENNE, prêtres, et XENIE, moniale, martyrs par la main des Communistes (Russie 1937).

Saints GERMAIN, évêque de Viazinsk, et ETIENNE, prêtre, martyrs par la main des Communistes (Russie 1937).


 
 http://www.johnsanidopoulos.com/2015/09/saint-kosmas-hermit-and-confessor.html

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