Sainte EUDOCIE, Samaritaine de nation,
prostituée repentie, martyre à Héliopolis dans l'actuel Liban sous Adrien.
(Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des
Ménées. Office complet plus récent traduit en français par le père Denis
Guillaume au tome III du Supplément aux Ménées.)
Le 1er mars, nous célébrons la mémoire de la Sainte Martyre EUDOCIE la SAMARITAINE
D'origine
samaritaine, la Sainte Martyre du Christ Eudocie vivait à Héliopolis,
en Phénicie du Liban, sous le règne de Trajan (96-116). Comme elle était
dépourvue de toute connaissance de Dieu, elle s'était laissée entraîner
à la débauche et avait livré à la prostitution son corps que le
Créateur avait orné d'une rare beauté. Nombreux étaient
ceux qui venaient de loin et offraient de fortes sommes d'argent pour
jouir de ses charmes, si bien qu'elle avait acquis par ce honteux
commerce une immense fortune et elle vécut dans l'insouciance jusqu'au
jour où un moine, nommé Germain, qui était arrivé en ville pour affaire,
vint loger dans la maison voisine. Le soir, après avoir chanté l'Office
dans sa chambre à l'heure prescrite, comme s'il se trouvait dans son
monastère, Germain se mit à lire à haute voix un livre qui décrivait le
Jugement dernier, les châtiments des pécheurs et les récompenses des
justes. En entendant ces terribles paroles, Eudocie fut tout ébranlée,
sa conscience s'éveilla de la torpeur dans laquelle l'avaient plongée de
si longues années passées dans le péché et elle versa pendant toute la
nuit des torrents de larmes.
Au matin, elle se précipita vers
Germain et, tombant à ses pieds. elle l'implora avec larmes de lui
indiquer la voie du salut.
Après l'avoir dûment catéchisée, en père spirituel prudent, celui-ci la
renvoya chez elle, pour qu'elle éprouve sa résolution pendant une
semaine de retraite et de prière. Comme elle priait de nuit en versant
quantité de larmes sur sa vie passée, Eudocie vit soudain une grande
lumière et l'Archange Michel descendit pour la conduire au ciel où
l'assemblée des élus l'accueillit avec joie, alors qu'à l'extérieur le
diable, sous la forme d'un être gigantesque, noir et répugnant, accusait
Dieu d'injustice pour avoir accepté si rapidement le repentir de cette
femme débauchée. Une voix très douce se fit alors entendre du haut du
ciel, qui disait : « Tel est le bon plaisir (eudokia) de Dieu : recevoir
avec compassion les hommes qui se repentent. » Et, sur l'ordre de Dieu,
l'Archange ramena Eudocie dans sa demeure, en lui promettant
l'assistance de la Grâce pour les combats qu'elle aurait dès lors à
mener contre le
péché.
Pleine de joie et de confiance en la miséricorde du
Seigneur, Eudocie fut baptisée par l'Evêque de la cité, Théodote, et,
suivant scrupuleusement les instructions de son père spirituel, elle
remit avec empressement sa fortune acquise dans l'iniquité à un Prêtre,
afin qu'il la distribue aux nécessiteux, puis, ainsi délivrée de
l'attachement au monde et de tout souci, elle alla rejoindre Germain qui
la fit admettre dans un monastère féminin situé non loin du sien.
Dès
son entrée dans le stade de la vertu, la Bienheureuse montra un zèle
ardent pour effacer par l'ascèse et par les larmes du repentir toutes
traces de ses anciennes passions. Elle portait constamment, sans jamais
la changer, la tunique dont elle avait été revêtue à son baptême; elle
apprit le Psautier par coeur et faisait de la prière et de la méditation
de la Parole de Dieu sa nourriture, de préférence à tout autre aliment
terrestre. Par
cette conduite admirable et cette belle transformation, elle reçut du
Seigneur le pouvoir d'accomplir des miracles et, à la mort de la
supérieure, elle fut élue par la fraternité pour lui succéder.
En
ce temps-là, ayant appris que la belle Eudocie avait rejeté les
plaisirs de cette vie et le culte des idoles pour tourmenter son corps
par amour du Christ, certains de ses anciens amants la dénoncèrent
auprès de l'empereur, l'accusant d'utiliser sa fortune pour construire,
dans le désert, des refuges pour les Chrétiens rebelles à son autorité
et à la religion de l'Empire. Lorsque le dignitaire envoyé par
l'empereur et les trois cents soldats de son escorte voulurent pénétrer
dans le monastère de la Sainte, ils en furent empêchés par une force
divine et, après avoir tourné autour de l'enceinte pendant trois jours,
en cherchant vainement l'entrée, ils furent frappés de mort, à
l'exception du magistrat et de trois
soldats.
Quand l'empereur apprit ce lamentable échec, il envoya
son propre fils pour arrêter la Sainte. Mais celui-ci fut frappé par
Dieu et mourut après avoir été jeté à bas de son cheval. Sur le conseil
d'un ancien amant d'Eudocie, le souverain éploré écrivit alors à la
Sainte pour lui demander d'intercéder afin que son fils revienne à la
vie. Eudocie lui répondit avec humilité, protestant de son impuissance à
accomplir de tels miracles, et elle fit trois signes de croix sur la
lettre en la refermant. Dès que le messager apporta la missive au palais
devant le cadavre du prince, celui-ci reprit vie, et l'empereur et
toute la cour s'écrièrent : « Grand est le Dieu des Chrétiens, qui
accomplit de telles merveilles! » On raconte même que le souverain se
fit baptiser avec un grand nombre des siens, et que le prince ressuscité
devint par la suite Archevêque de la cité, alors que sa soeur, Gélasia,
prenait le voile dans le
monastère de Sainte Eudocie.
L'empereur Adrien (l17-138), qui
prit la succession, était un farouche adepte de l'idolâtrie. Il envoya à
Héliopolis un gouverneur, célèbre pour sa cruauté, nommé Diogène,
lequel avait été fiancé à Gélasia et que la fuite de sa promise avait
mis dans la plus grande haine à l'égard d'Eudocie. Sitôt installé, il
envoya cinquante hommes d'armes pour se saisir de la Sainte. Alors que
ceux-ci étaient encore en route, le Christ apparut à Eudocie et lui
annonça que l'heure était venue pour elle de remporter la couronne du
Martyre. Elle se rendit alors dans l'église, prit sur elle une parcelle
de la Sainte Eucharistie et, accueillant les soldats avec calme et
dignité, elle les suivit sans offrir de résistance. Sur le chemin, un
Ange la précédait, tenant un flambeau allumé, sans que les païens s'en
rendent compte.
Après l'avoir laissée pendant quatre jours en
prison, sans recevoir ni
nourriture ni boisson, on l'amena au tribunal, le visage couvert, et dès
qu'on lui retira ce voile une lueur éclatante en resplendit, provoquant
un cri de stupeur dans l'assistance. La Sainte répondit avec audace aux
questions du gouverneur et l'invita à mettre son dessein à exécution,
sans perdre de temps en de vains interrogatoires. On la somma de choisir
entre trois solutions pour avoir la vie sauve : adorer les idoles,
revenir à son ancien mode de vie ou remettre sa fortune au trésor
public. Eudocie déclara qu'il était absolument exclu pour elle de
retourner à sa vie passée, maintenant qu'elle avait connu la vérité, et
qu'elle n'était plus maîtresse de l'argent qu'elle avait distribué. Sur
lordre de Diogène, quatre hommes se saisirent d'elle et l'accablèrent de
coups pendant deux heures entières; puis, comme ils tentaient de la
dénuder afin de l'attacher au poteau de torture, ils trouvèrent sur elle
le coffret contenant la
Sainte Communion. Lorsque le gouverneur tenta de l'ouvrir, une flamme
s'en dégagea, qui consuma tous ceux qui se trouvaient aux alentours et
qui laissa Diogène à demi paralysé. Comme il tombait à genoux en priant
le dieu Soleil de le délivrer de ce sortilège, un éclair fendit le ciel
et le laissa raide mort sur le sol: Pendant ce temps, un Ange rayonnant
descendait du ciel et s'entretenait avec la Sainte, après l'avoir
chastement recouverte d'un voile. Un soldat qui avait été témoin de
cette scène, saisi de repentir, alla la détacher et la pria d'intercéder
pour ceux qui venaient d'être frappés par la colère de Dieu, afin
qu'ils recouvrent la vie et puissent se repentir. Prise de compassion,
Eudocie se mît en prière et aussitôt les morts ressuscitèrent,
provoquant la conversion d'une grande partie de la population.
La
Sainte resta en ville quelque temps pour enseigner le peuple, et elle
accomplit encore d'autres miracles,
jusqu'au jour où, Diogène étant décédé, un nouveau gouverneur, nommé
Vincent, s'installa à Héliopolis, avec la ferme décision d'en finir avec
la célébrité importune d'Eudocie. Il envoya des soldats dans sa
résidence et ceux-ci lui tranchèrent la tête, sans autre forme de
procès, lui offrant ainsi la satisfaction de son désir le plus cher :
l'union définitive avec son Epoux céleste. Par la suite, les Reliques de
Sainte Eudocie accomplirent de nombreux miracles qui témoignèrent pour
des générations de Chrétiens de la puissance du repentir.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/43450
Saints ADRIEN, VICTOR, SECUNDILLE, matyrs
en Afrique.
Saint DONAT, martyr à Carthage.
DEUX CENT SOIXANTE martyrs de la porte Salaria à Rome sous Claude II le Gothique (vers 269).
Saints HERMES, ADRIEN, FELIX, EUNUCULE, JANVIER et VINGT-ET-UN autres, martyrs à Marseille sous Dioclétien (vers 290).
Saint LUPERQUE (LUPERCUS, LUPERCULUS), martyr à Tarbes (?) sous Dioclétien (vers 300).
Sainte ANTONINE, martyre à Nicée
sous Dioclétien et Maximien (vers 305). The Holy Martyr
Antonina suffered at Nicea during a persecution under the emperor
Maximian (284-305). After fierce tortures, St Antonina was thrown into
prison, but Maximian could not force the saint to renounce Christ and
offer sacrifice to idols.
Angels of God appeared to the holy
martyr and the executioners took fright. Even when they placed her on a
red-hot metal bed, St Antonina remained unharmed, by the power of God.
Finally, after long torture they sewed the saint into a sack and sank it
in a lake.
Antonina,
cristiana di Nicea in Bitinia, durante la persecuzione di Diocleziano
arrestata per ordine del prefetto Priscilliano, fu battuta con le
verghe, sospesa al cavalletto, dilaniata ai fianchi e infine arsa viva.
Qualche codice del
Geronimiano aggiunge che Antonina fu uccisa di spada
Saints MARCEL et ANTOINE, morts par le feu.
Saints SYLVESTRE et SOPHRONE, morts par le feu.
Saint NESTORIEN, mort par le glaive.
Saints martyrs CHARISE, NICEPHORE et AGAPIOS.
Saint SYLVESTRE, patriarche dont la mémoire était célébrée à Jérusalem en ce jour (lieu et époque inconnus).
Saint ALBIN ou GWEN, évêque de Quimper en Bretagne (Vème siècle).
Sainte DOMNINE, pénitente à Cyr en Syrie (vers 450). Secondo
lo storico teologo Teodoreto, vescovo di Ciro (393-458), Domnina era di
ricca famiglia nella Siria cristiana, da giovane si costruì una capanna
nel giardino della casa materna e vi trascorse tutta la vita, pregando e
digiunando, al punto da divenire estremamente magra; praticamente una
eremita dentro le mura di casa.
Lo stesso storico Teodoreto, scrive
nella sua “Historia Religiosaâ€, cap. 30 in ‘Patrologia
Graeca’, che la santa aveva raggiunto un tale grado di
misticismo, che non poteva pronunziare nemmeno una parola, senza versare
lacrime, che gli sgorgavano ispirate dall’ardente amore di Dio.
Saint SIMPLICE (PLICE), évêque de Bourges en Berry (vers 477).
Saint FELIX II, pape et patriarche de Rome (483-492), qui confessa la foi orthodoxe face au monophysitisme (492).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/89048
Saint DENEK, ermite en Bretagne (VIème siècle).
Sainte MELARIE, solitaire en Bretagne (VIème siècle).
Translation des reliques de saint Herculan, évêque de Pérouse et martyr sous Totila (547).
Saint AUBIN, originaire du Vannetais, moine de Cincillac en Anjou, puis évêque d'Angers (549 ou 550).
Nato
verso il 469 a Vannes da nobile famiglia, fu monaco e quindi (504)
abate a Tincillac (o Cincillac), da identificarsi con N. S. di Nantilly a
Samour o a Théhillac, presso Guérande. Per circa venticinque anni
Albino resse santamente l'abbazia, e la fama delle sue virtù ebbe rapida
diffusione tanto che nel 529 fu eletto, per desiderio popolare e
nonostante le sue resistenze, vescovo di Angers. Lottò particolarmente
contro i matrimoni incestuosi, frequenti tra i nobili, partecipando
attivamente ai Concili d'Orléans del 538 e del 541 mentre si fece
rappresentare dall'abate Sapaudo in quello del 549. Il suo energico
atteggiamento gli procurò minacce di morte e contrasti con gli altri
vescovi, ma dall'approvazione di s. Cesario trasse nuova lena per
proseguire nella sua difficile e pericolosa opera moralizzatrice. Morì
il 1° marzo 550 ad Angers e fu sepolto nella chiesa di St. Pierre
d'Angers; ma già nel 556 gli fu dedicata una chiesa
nella cui cripta le sue spoglie vennero traslate.
Presso la chiesa
sorse immediatamente un'abbazia (il cui primo abate fu, forse, Sapaudo) e
in essa il corpo di Albino trovò definitiva sistemazione nel 1126. Da
Gregorio di Tours sappiamo che già ai suoi tempi il culto di s. Albino
era oltremodo diffuso; in seguito si estese in Germania, in Inghilterra e
in Polonia, facendo di Albino uno dei santi più popolari del Medio Evo.
La sua festa cade il 1° marzo.
Saint JEAN Ier,
évêque de Nîmes en Languedoc (550).
Saint DAVID (DYFED), évêque et protecteur du pays de Galles (vers 600).
Grande figura di vescovo e monaco, evangelizzatore della Britannia, esimio rappresentante delle Chiese celtiche del Galles.
Visse
nel secolo VI e sarebbe morto nel 601; sebbene sia citato in documenti
dei secoli VIII una sua biografia fu scritta solo nel secolo
XI da un certo Rhygyfarch, essa risulta molto fantasiosa e ricalca
quella di s. Benedetto.
David era figlio di
Sant e Nonna e nacque nella valle di Rhos; fu educato ed istruito da s.
Iltut e poi da Paolino; venne ordinato sacerdote e si ritirò in isola solitaria dove stette per dieci anni, dedito allo studio
della Sacra Scrittura.
In seguito abbracciò la vita monastica e
prese ad evangelizzare la Britannia, nome latino della Gran Bretagna,
abitata ancora da popolazioni celtiche; fondò dodici monasteri, nei
quali instaurò una vita comunitaria, austera, densa di studio, lavoro e
preghiera.
Scampò ad un tentativo di avvelenamento da parte dei
monaci, forse per la troppa austerità (stranamente a quei tempi, si
cercava di risolvere così qualche problema di insofferenza, risulta
anche qualche altro caso); andò a Gerusalemme, dove fu consacrato
vescovo.
Ritornato in patria succedette a s. Dubricio come vescovo di
Caerlon, da dove poi si trasferì alla sede di Menevia; fu molto
influente sulla vita monastica del Galles, presiedendo a parecchi
sinodi, nei quali furono prese delle decisioni disciplinari e
teologiche, importanti per le Chiese celtiche.
Anche se è difficile
crederci, risulta che David visse 147 anni, il suo sepolcro divenne
presto una meta di pellegrinaggi ed a lui furono intestate molte chiese
nel Galles, nell Irlanda e Inghilterra.
Quasi quattro secoli
dopo la sua morte, nel 966 il suo corpo fu traslato a Glastonbury; nei
calendari celtici ed irlandesi e nel Martirologio
Geronimiano è celebrato il 1° marzo.
Del monastero e della
chiesa, da lui fondati a Menevia, oggi Saint-David, non rimane più
nulla; unica opera iconografica dove è raffigurato, sono gli
affreschi della chiesa di Saint-Divy di Landerneau, nel miracolo operato
quando la terra, dove era poggiato per predicare, si sollevò a formare
una collina e la colomba dello Spirito Santo venne a posarsi sulla
spalla.
Troparion (Tone 1)
Having
worked miracles in thy youth, founded monasteries and converted the
pagans who had sought to destroy thee, O Father David, Christ our God
blessed thee to receive the episcopate at the place of His Resurrection.
Intercede for us, that our lives may be blessed and our souls may be
saved.
Kontakion (Tone 6)
The
living waters of godly discipline encompassed thee and the saving
waters of faith flowed through thy teaching, O Hierarch and Waterman
David.
Symbolising the baptism of Wales in thy life, thou art worthy of all
praise, wherefore we keep festival in thy honour, glorifying thy eternal
memory.
Saint SIMPLES, confesseur à Tours (VIIème
siècle).
Saint MARNOCK, Irlandais de nation, évêque en Ecosse (vers 625).
Saint ALBIN ou AUBIN, évêque d'Embrun (vers 630).
Saint REMESSAIRE (REMEZAIRE, RAMISSARIUS, REMISSARIUS), évêque de Nîmes en Languedoc (633).
Saint SIVIARD, abbé dans le Maine (687).
Saint ABDALONG, évêque de Marseille (VIIIème siècle).
Saint SUITBERT ou SWITBERT, évêque missionnaire en Frise (713).
S.
Willibrord vescovo missionario, aveva con sé, compagni
nell’apostolato, dodici monaci fra cui Suitberto, monaco della
Northumbria, essi nel 690 andarono in Frisia (fra Germania e Olanda) e
lì si divisero fra le varie zone.
Suitberto predicò con successo nel
Brabante, Gelderland e Kleve; nel 693 fu inviato in Inghilterra per
ricevere la consacrazione vescovile dalle mani di s. Vilfrido nella
Mercia.
Lasciò ben presto la Frisia per
diventare apostolo dei Brukterer nella Vestfalia
del Sud; ma poi questa regione venne invasa dai pagani sassoni e
Suitberto si ritirò nel territorio dei Franchi.
Il re Pipino e sua
moglie Plectudre gli donarono isola di Kaiserswerth vicino
Dusseldorf ove fondò un monastero, morendovi il 1° marzo 713.
Le sue reliquie nel 1626 furono trovate in un reliquiario argento a Kaiserswerth dove sono tuttora venerate.
Il suo nome è ricordato nel Calendario di Willibrord.
Saint PAUL, moine, martyr (probablement par la main des Iconoclastes).
Saint MONAN, archidiacre, martyr en Ecosse par la main des Vikings païens (874).
Saint
LEON de Carentan en Normandie, évêque itinérant, apôtre du Pays basque
avec ses frères GERVAIS et PHILIPPE, tous martyrs près de Bayonne
(889).
Saint LEON LUC (LEOLUCA), higoumène de Corleone en Sicile (vers
900).
Saint
MARTYRIUS, fondateur du monastère de l'Île-Verte (Zelenetsk) au nord de
l'actuelle Saint-Pétersbourg (1603). (Tropaire et kondakion traduits en
français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux
Ménées.)
Saint
Martyrius of Zelenets, in the world Menas, was born in the city of
Veliki Luki (Great Meadow) in the sixteenth century. His parents, Cosmas
and Stephanida, died when he was just ten years old. He was raised by
his spiritual Father, a priest of the city's Annunciation church, and
the child's soul cleaved to God.
The widowed priest Boris became
a monk with the name Bogolep at the Trinity-Sergius monastery in Veliki
Luki. Menas often visited him at the monastery, and later on he himself
received monastic tonsure there taking the name Martyrius. For seven
years both teacher and disciple toiled for the Lord unrelentingly in a
single cell, encouraging each other in deeds of work and prayer. St
Martyrius had the obediences of "kellarios" [cellarer], treasurer, and
"ponomar" [or altar server].
It was at this time that the Mother
of God first showed Her special solicitude for St Martyrius. At
mid-day he dozed off in the bell tower and beheld the Tikhvin
(Hodigitria) icon of the Most Holy Theotokos in a fiery column. The monk
venerated it, and it was still hot from the fiery column. When he
awoke, he still felt this heat on his forehead.
On the spiritual
advice of St Martyrius, the grievously ill monk Abramius went to
venerate the wonderworking Tikhvin Icon of the Mother of God, and he
received healing. St Martyrius was filled with intense faith in the
intercession of the Mother of God. He began to pray that the Heavenly
Queen would show him where he might go for the ascetic feat of complete
silence, for which his soul yearned.
The monk secretly withdrew
into a desolate place situated 60 versts from Veliki Luki. As he himself
writes, "in this wilderness I received fearful visitations from demons,
but I prayed to God, and the demons were put to shame."
In a
letter to Elder Bogolep, St Martyrius asked his
blessing to dwell in the wilderness, but the spiritual father advised
him to return to the cenobitic life where he would be of use to the
brethren. Not daring to disobey his experienced Elder, and not knowing
how to proceed, St Martyrius went to Smolensk to venerate the
wonderworking Hodigitria [She who leads the way] Icon of the Mother of
God and the relics of Sts Abramius and Ephraim (August 21). These saints
appeared to St Martyrius in a dream, and they reassured him that he
would be permitted to live in the wilderness, "wherever God will bless
and the Most Holy Theotokos will guide you."
St Martyrius then
went to the Tikhvin monastery, hoping that the Mother of God would
resolve his dilemma. The monk Abramius, who remained at this monastery
in gratitude to the Mother of God for his healing, told St Martyrius
about a secret place, over which he had seen a radiant Cross of stars.
This time he received the blessing of the Elder. St
Martyrius took with him two small icons: one of the Life-Creating
Trinity, and the other of the Tikhvin Mother of God. He then settled in
Zelents (the green island), which was a beautiful island in a forested
swamp.
Harsh and painful was the life of the monk in the
wilderness, but neither cold, nor deprivation, nor wild beasts, nor the
wiles of the Enemy were able to shake his resolve. He built a small
chapel for the glorification of, and in gratitude to, the Lord and the
Most Holy Theotokos. He was again deemed worthy to see an icon of the
Mother of God in a dream. This time it was floating on the sea. To the
right of the icon he saw the Archangel Gabriel who told him to venerate
the icon. St Martyrius went into the water, and the icon began to sink
in the sea. The saint then cried out, and a wave carried him to shore.
With that, the icon vanished.
The wilderness was sanctified by
the life of the hermit, and many began to
arrive, not only to be instructed by the word and example of the monk,
but also to settle there with him. The increased number of disciples
prompted the monk to build a church dedicated to the Life-Creating
Trinity, where he placed his own icons of the Trinity and of the Tikhvin
Mother of God. As a sign of the grace of God resting upon the monastery
of St Martyrius, his disciple St Gurias was permitted to see a Cross in
the heavens, shining over the cross on top of the church.
This
was the beginning of the Trinity Zelenets monastery, "the green
wilderness monastery of Martyrius." The Lord blessed his labors, and the
grace of God shone visibly upon him. The fame of his discernment and
gift of healing became known to many. Many eminent people of Novgorod
began to send gifts to the monastery. With funds provided by the pious
boyar Theodore Syrkov, a heated church was built and consecrated in
honor of the Annunciation of the Most Holy Theotokos
in memory of the first church at Veliki Luki, from which the saint had
begun his path to God.
St Martyrius continued to receive help
from the Mother of God. She appeared to him on a bench in the corner
where the icons stood. The saint recalled: "I looked upon Her without
lowering my eyes... I gazed upon Her holy face, at her eyes filled with
tears, ready to trickle down Her all-pure face. I awoke from the dream
and was afraid. I lit a candle from the lampada, in order to see whether
or not the Most Pure Virgin sat at the place where I saw Her in the
dream. I went up to the icon of the Hodigitria and was convinced that in
truth the Mother of God had appeared to me as She is depicted on my
icon."
Soon after this (about the year 1570) St Martyrius was
ordained priest at Novgorod by the archbishop (Alexander or Leonid). He
was already an igumen in 1582.
Later, the Lord granted the
Zelenets wilderness monastery an even
wealthier benefactor. In 1595 at Tver St Martyrius resurrected the son
of the former Kasimov ruler Simeon Bekbulatovich, praying in front of
his own icons of the Life-Creating Trinity and the Tikhvin Mother of
God. He placed both icons upon the chest of the dead child, and he awoke
as if from sleep. In gratitude Simeon built a church in honor of the
Tikhvin Icon of the Mother of God and of St John Chrysostom, the
Heavenly patron saint of the ruler's son John.
In 1595 Tsar Theodore endowed the monastery with a sufficient quantity of land for its support.
Having
reached a great old age and preparing for death, St Martyrius dug a
grave for himself, and near it he placed a coffin fashioned by his own
hands. He often came there to weep. Sensing his imminent departure, the
monk assembled the brethren and told his children in the Lord to have
steadfast hope in the Most Holy Trinity and to trust the Mother of God,
as he himself had
always trusted in Her. After receiving the Holy Mysteries of Christ, he
gave the brethren his blessing with the words: "Peace to all the
Orthodox." With spiritual joy he fell asleep in the Lord on March 1,
1603.
The saint was buried in the grave he dug near the church
of the Mother of God. Later, his holy relics rested beneath a crypt in
the church of the Most Holy Trinity, beneath the lower temple in honor
of St John the Theologian. Cornelius, a former monk of the Zelenets
monastery, and later Metropolitan of Kazan and Novgorod (+ 1698),
compiled a service and wrote the Life of St Martyrius, making use of
personal notes and the saint's testament.
The memory of St Martyrius of Zelenets and Veliki Luki is celebrated also on November 11.
Saint PARASKEVAS, originaire de Trébizonde où il fut martyrisé par la main des Musulmans
(1659).
Saint METHODE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1920).
Sainte ANASTASIE ANDREÏEVNA, folle-en-Christ dans le Caucase du nord, martyre par la main des Communistes.
Sainte ANTONINE, abbesse de Kizliar, martyre par la main des Communistes (Russie 1924).
Saint JEAN, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1937).
Saints
BASILE et PIERRE, prêtres, ANTOINE, moine, ANNE, moniale, et ESPERANCE
(NADEJDA), laïque, martyrs par la main des Communistes (Russie 1938).
Saint ALEXANDRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (1942