venerdì 28 febbraio 2014

santi italici ed italo greci dal 21 febbraio al 28 febbraio

http://it.arautos.org/resource/view?&image=38124&size=2

saints pour le 21 février du calendrier ecclésiastique

Saint ANTHIME, évêque de Terni et de Spolète, invoqué contre la grêle (vers 176).
SEPTANTE-NEUF martyrs crucifiés en Sicile sous Dioclétien (303).

Saints CLAUDE, SABIA et MAXIME, martyrs en Sicile (303).  

Sainte IRENE, vierge à Rome, soeur du pape Damase (379). 

Saint MAXIMIEN, évêque de Ravenne (556).  

http://www.santiebeati.it/dettaglio/42430 

saints pour le 22 février du calendrier ecclésiastique

Saint TELESPHORE, pape et patriarche de Rome, martyr sous Adrien (136). 

Il più antico scrittore che fornisce delle notizie riguardanti s. Papia, è Eusebio di Cesarea, con la sua “Historia Ecclesiastica”.
S. Papia vissuto nel II secolo, contemporaneo di s. Policarpo di Smirne e di s. Ignazio d’Antiochia, era vescovo di Gerapoli nella Frigia, regione storica dell’Asia Minore e che dal 130 a. C. fece parte della provincia romana d’Asia.
Non conobbe personalmente gli Apostoli, ma secondo la sua propria testimonianza, egli apprese i principi e le fede cristiana da persone che l’avevano conosciuti, come Aristione e Giovanni il Presbitero; fu compagno di s. Policarpo di Smirne.
Eusebio di Cesarea, gli attribuisce idee ‘millenaristiche’, forse, secondo moderni critici, confondendolo con un omonimo autore ebreo; il ‘Millenarismo’ era una dottrina escatologica, presente nel cristianesimo primitivo e poi variamente ripresa, riguardante un supposto regno messianico di Cristo sulla Terra, della durata di mille anni, destinato ad attuarsi tra una prima resurrezione dei morti, riservata ai beati e una seconda resurrezione, seguente al Giudizio Universale; ebbe come fondamento un’interpretazione letterale di un passo dell’Apocalisse (20, 1-3).
Scrisse cinque libri intitolati ‘Esegesi dei discorsi del Signore’, testo di primaria importanza per la storia dell’esegesi neotestamentaria, soprattutto per quanto egli riferisce sugli evangelisti Matteo e Marco e per la conoscenza della prima lettera di Giovanni e della prima di Pietro; è da considerare uno dei primi anelli della catena della tradizione orale.
La data della morte è del tutto sconosciuta, come non si può dire che sia morto martire, cosa possibile dato i tempi. Il suo nome non compare negli antichi calendari, il primo a menzionarlo in Occidente, nel suo ‘Martirologio’ fu Adone, che lo pone al 22 febbraio, influenzato da s. Girolamo che dedicò un capitolo a Papia di Geropoli nel suo “De Viris illustribus”, classificandolo però come discepolo di s. Giovanni apostolo.

saints pour le 23 février du calendrier ecclésiastique

Saint POLYCARPE, prêtre à Rome (vers 300).

Sainte ROMAINE, vierge et ascète à Todi en Ombrie (324).  

Romana era figlia di Calfurnio, prefetto di Roma. Abbracciata la fede cristiana rinunciò ad ogni agio e comodità che il suo rango le avrebbe consentito. 

 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/42500

 

Saint FELIX, évêque de Brescia en Lombardie (vers 652). 

 

saints pour le 24 février du calendrier ecclésiastique

Saints PAUL et PRIMITIVE, martyrs à Rome.  

http://www.tradizione.oodegr.com/tradizione_index/vitesanti/theristis_monaco.jpg

Saint JEAN THERISTIS (= le Moissonneur), ascète sur le mont Consolino en Calabre (XIème siècle).
La date du bienheureux trépas de ce saint, un des plus illustres parmi les Italo-Grecs, ne nous est pas connue avec certitude: le hiéromoine Macaire de Simonos-Pétras, dans le tome III de son Synaxaire en langue française, p. 215, la situe vers 1050. David Paul Hester, in Monasticism and Spirituality of the Italo-Greeks, Thessalonique 1992, pp. 240-241, indique la possibilité d'une date plus tardive (les historiens contemporains semblent pencher pour 1099). En tout cas, il est certain qu'il était mort en 1100 et c'est à tort que Mgr Guérin et le père André Philips donnent la date de 1129 pour sa dormition.
A noter que, ne craignant pas la contradiction, Mgr Guérin prétend que les reliques de saint Jean le Moissonneur auraient guéri d'une maladie Robert Guiscard... mort en 1085. Si cette anecdote, que je n'ai trouvé attestée par aucune autre source, était vraie, cela situerait la mort de saint Jean quelque part entre 1050 et 1080.
Le père Macaire de Simonos-Pétras et l'Haghiologion de Tsolakidhis le mentionnent au calendrier à la date du 23 février; mais le monastère orthodoxe qui lui est consacré en Calabre le commémore bel et bien le 24 février et c'est donc cette date que je retiens pour l'inscrire au calendrier. 

http://sanmarcoefeso.blogspot.it/2014/02/elogio-iconografico-al-nostro-padre-tra.html

tono ottavo
In te,Venerabile Padre giovanni theristìs ,si è
realizzata in pienezza l'immagine della Santa
Triade. Le energie dello Spirito ti hanno spinto alla continua ed incessante preghiera. Hai quindi resistito agli inganni dell'avversario e hai sconfitto il Separatore. La tua vita si è sempre orientata a Cristo Dio a cui tu presenti ancora oggi questo tuo popolo in preghiera

http://sanmarcoefeso.blogspot.it/2014/02/24-febbraio-santi-feste-e-memorie.html

http://sanmarcoefeso.blogspot.it/2014/02/vita-e-fatti-del-nostro-santo-padre.html

http://sanmarcoefeso.blogspot.it/2014/02/vita-e-fatti-del-nostro-santo-padre.html

saints pour le 25 février du calendrier ecclésiastique

 

saints pour le 26 février du calendrier ecclésiastique

Saint FAUSTINIEN, deuxième évêque de Bologne en Emilie-Romagne (IVème siècle).  

S. Faustiniano, secondo la più antica lista dei vescovi dell archidiocesi di Bologna, cioè il cosiddetto “Elenco renano precedente al secolo XIV, è posto al secondo posto; questa notizia è confortata anche da un ' iscrizione a caratteri gotici, anteriore al 1494, dove si legge che s. Zama fu il primo vescovo e s. Faustiniano il secondo.
Secondo alcuni studiosi egli sarebbe da identificare con il ˜Faustinus ™ vescovo, citato da s. Atanasio vescovo di Alessandria, nella sua Apologia contra Ariano  in un elenco di vescovi italiani partecipanti al Concilio di Sardica (antico nome di Sofia in Bulgaria), nel 343.
ipotesi è accettabile in quanto questi vescovi in buona parte erano del litorale adriatico, e nell elenco non è indicato per nessuno la città di cui erano vescovi, poi nell antichità era abbastanza comune creare diminutivi dei nomi (Faustus = Faustinus = Faustinianus).
Se tutto ciò fa stabilire che s. Faustiniano era in carica nel 343, fa risultare come non plausibile, l antica tradizione bolognese che dice, che durante la persecuzione di Diocleziano, morto nel 313, s. Faustiniano avrebbe divulgato la fede in Bologna; le date non corrispondono, anche perché la sede episcopale di Bologna non sembra essere sorta prima del secolo IV.

Saint ANDRE, évêque de Florence en Toscane (vers 407). 

Saint SERVULE, évêque de Vérone (VIème siècle).  

saints pour le 27 février du calendrier ecclésiastique

Sainte PONTIENNE, martyre à Gênes en Ligurie.
Saint CHRYSOGONE, confesseur à Gênes en Ligurie.  

 

saints pour le 28 février du calendrier ecclésiastique

Saints MACAIRE, RUFIN, JUSTE et THEOPHILE, potiers de profession, martyrs sous Dèce, peut-être à Rome (vers 250).  

http://www.santiebeati.it/dettaglio/95635 

Saint VINDEMIAL, évêque de Vérone (Vème siècle). 

 

http://www.arte26.it/images/chiese/roccell.jpg

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

1 Marzo feste santi e memorie


1 marzo feste santi e memorie

Sainte EUDOCIE, Samaritaine de nation, prostituée repentie, martyre à Héliopolis dans l'actuel Liban sous Adrien. (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées. Office complet plus récent traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III du Supplément aux Ménées.)

Le 1er mars, nous célébrons la mémoire de la Sainte Martyre EUDOCIE la SAMARITAINE

Ste EudocieD'origine samaritaine, la Sainte Martyre du Christ Eudocie vivait à Héliopolis, en Phénicie du Liban, sous le règne de Trajan (96-116). Comme elle était dépourvue de toute connaissance de Dieu, elle s'était laissée entraîner à la débauche et avait livré à la prostitution son corps que le Créateur avait orné d'une rare beauté. Nombreux étaient ceux qui venaient de loin et offraient de fortes sommes d'argent pour jouir de ses charmes, si bien qu'elle avait acquis par ce honteux commerce une immense fortune et elle vécut dans l'insouciance jusqu'au jour où un moine, nommé Germain, qui était arrivé en ville pour affaire, vint loger dans la maison voisine. Le soir, après avoir chanté l'Office dans sa chambre à l'heure prescrite, comme s'il se trouvait dans son monastère, Germain se mit à lire à haute voix un livre qui décrivait le Jugement dernier, les châtiments des pécheurs et les récompenses des justes. En entendant ces terribles paroles, Eudocie fut tout ébranlée, sa conscience s'éveilla de la torpeur dans laquelle l'avaient plongée de si longues années passées dans le péché et elle versa pendant toute la nuit des torrents de larmes.

Au matin, elle se précipita vers Germain et, tombant à ses pieds. elle l'implora avec larmes de lui indiquer la voie du salut. Après l'avoir dûment catéchisée, en père spirituel prudent, celui-ci la renvoya chez elle, pour qu'elle éprouve sa résolution pendant une semaine de retraite et de prière. Comme elle priait de nuit en versant quantité de larmes sur sa vie passée, Eudocie vit soudain une grande lumière et l'Archange Michel descendit pour la conduire au ciel où l'assemblée des élus l'accueillit avec joie, alors qu'à l'extérieur le diable, sous la forme d'un être gigantesque, noir et répugnant, accusait Dieu d'injustice pour avoir accepté si rapidement le repentir de cette femme débauchée. Une voix très douce se fit alors entendre du haut du ciel, qui disait : « Tel est le bon plaisir (eudokia) de Dieu : recevoir avec compassion les hommes qui se repentent. » Et, sur l'ordre de Dieu, l'Archange ramena Eudocie dans sa demeure, en lui promettant l'assistance de la Grâce pour les combats qu'elle aurait dès lors à mener contre le péché.

Pleine de joie et de confiance en la miséricorde du Seigneur, Eudocie fut baptisée par l'Evêque de la cité, Théodote, et, suivant scrupuleusement les instructions de son père spirituel, elle remit avec empressement sa fortune acquise dans l'iniquité à un Prêtre, afin qu'il la distribue aux nécessiteux, puis, ainsi délivrée de l'attachement au monde et de tout souci, elle alla rejoindre Germain qui la fit admettre dans un monastère féminin situé non loin du sien.

Dès son entrée dans le stade de la vertu, la Bienheureuse montra un zèle ardent pour effacer par l'ascèse et par les larmes du repentir toutes traces de ses anciennes passions. Elle portait constamment, sans jamais la changer, la tunique dont elle avait été revêtue à son baptême; elle apprit le Psautier par coeur et faisait de la prière et de la méditation de la Parole de Dieu sa nourriture, de préférence à tout autre aliment terrestre. Par cette conduite admirable et cette belle transformation, elle reçut du Seigneur le pouvoir d'accomplir des miracles et, à la mort de la supérieure, elle fut élue par la fraternité pour lui succéder.

En ce temps-là, ayant appris que la belle Eudocie avait rejeté les plaisirs de cette vie et le culte des idoles pour tourmenter son corps par amour du Christ, certains de ses anciens amants la dénoncèrent auprès de l'empereur, l'accusant d'utiliser sa fortune pour construire, dans le désert, des refuges pour les Chrétiens rebelles à son autorité et à la religion de l'Empire. Lorsque le dignitaire envoyé par l'empereur et les trois cents soldats de son escorte voulurent pénétrer dans le monastère de la Sainte, ils en furent empêchés par une force divine et, après avoir tourné autour de l'enceinte pendant trois jours, en cherchant vainement l'entrée, ils furent frappés de mort, à l'exception du magistrat et de trois soldats.

Quand l'empereur apprit ce lamentable échec, il envoya son propre fils pour arrêter la Sainte. Mais celui-ci fut frappé par Dieu et mourut après avoir été jeté à bas de son cheval. Sur le conseil d'un ancien amant d'Eudocie, le souverain éploré écrivit alors à la Sainte pour lui demander d'intercéder afin que son fils revienne à la vie. Eudocie lui répondit avec humilité, protestant de son impuissance à accomplir de tels miracles, et elle fit trois signes de croix sur la lettre en la refermant. Dès que le messager apporta la missive au palais devant le cadavre du prince, celui-ci reprit vie, et l'empereur et toute la cour s'écrièrent : « Grand est le Dieu des Chrétiens, qui accomplit de telles merveilles! » On raconte même que le souverain se fit baptiser avec un grand nombre des siens, et que le prince ressuscité devint par la suite Archevêque de la cité, alors que sa soeur, Gélasia, prenait le voile dans le monastère de Sainte Eudocie.

L'empereur Adrien (l17-138), qui prit la succession, était un farouche adepte de l'idolâtrie. Il envoya à Héliopolis un gouverneur, célèbre pour sa cruauté, nommé Diogène, lequel avait été fiancé à Gélasia et que la fuite de sa promise avait mis dans la plus grande haine à l'égard d'Eudocie. Sitôt installé, il envoya cinquante hommes d'armes pour se saisir de la Sainte. Alors que ceux-ci étaient encore en route, le Christ apparut à Eudocie et lui annonça que l'heure était venue pour elle de remporter la couronne du Martyre. Elle se rendit alors dans l'église, prit sur elle une parcelle de la Sainte Eucharistie et, accueillant les soldats avec calme et dignité, elle les suivit sans offrir de résistance. Sur le chemin, un Ange la précédait, tenant un flambeau allumé, sans que les païens s'en rendent compte.

Après l'avoir laissée pendant quatre jours en prison, sans recevoir ni nourriture ni boisson, on l'amena au tribunal, le visage couvert, et dès qu'on lui retira ce voile une lueur éclatante en resplendit, provoquant un cri de stupeur dans l'assistance. La Sainte répondit avec audace aux questions du gouverneur et l'invita à mettre son dessein à exécution, sans perdre de temps en de vains interrogatoires. On la somma de choisir entre trois solutions pour avoir la vie sauve : adorer les idoles, revenir à son ancien mode de vie ou remettre sa fortune au trésor public. Eudocie déclara qu'il était absolument exclu pour elle de retourner à sa vie passée, maintenant qu'elle avait connu la vérité, et qu'elle n'était plus maîtresse de l'argent qu'elle avait distribué. Sur lordre de Diogène, quatre hommes se saisirent d'elle et l'accablèrent de coups pendant deux heures entières; puis, comme ils tentaient de la dénuder afin de l'attacher au poteau de torture, ils trouvèrent sur elle le coffret contenant la Sainte Communion. Lorsque le gouverneur tenta de l'ouvrir, une flamme s'en dégagea, qui consuma tous ceux qui se trouvaient aux alentours et qui laissa Diogène à demi paralysé. Comme il tombait à genoux en priant le dieu Soleil de le délivrer de ce sortilège, un éclair fendit le ciel et le laissa raide mort sur le sol: Pendant ce temps, un Ange rayonnant descendait du ciel et s'entretenait avec la Sainte, après l'avoir chastement recouverte d'un voile. Un soldat qui avait été témoin de cette scène, saisi de repentir, alla la détacher et la pria d'intercéder pour ceux qui venaient d'être frappés par la colère de Dieu, afin qu'ils recouvrent la vie et puissent se repentir. Prise de compassion, Eudocie se mît en prière et aussitôt les morts ressuscitèrent, provoquant la conversion d'une grande partie de la population.

La Sainte resta en ville quelque temps pour enseigner le peuple, et elle accomplit encore d'autres miracles, jusqu'au jour où, Diogène étant décédé, un nouveau gouverneur, nommé Vincent, s'installa à Héliopolis, avec la ferme décision d'en finir avec la célébrité importune d'Eudocie. Il envoya des soldats dans sa résidence et ceux-ci lui tranchèrent la tête, sans autre forme de procès, lui offrant ainsi la satisfaction de son désir le plus cher : l'union définitive avec son Epoux céleste. Par la suite, les Reliques de Sainte Eudocie accomplirent de nombreux miracles qui témoignèrent pour des générations de Chrétiens de la puissance du repentir
.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/43450

Saints ADRIEN, VICTOR, SECUNDILLE, matyrs en Afrique.

Saint DONAT, martyr à Carthage.

DEUX CENT SOIXANTE martyrs de la porte Salaria à Rome sous Claude II le Gothique (vers 269). 
Saints HERMES, ADRIEN, FELIX, EUNUCULE, JANVIER et VINGT-ET-UN autres, martyrs à Marseille sous Dioclétien (vers 290).

Saint LUPERQUE (LUPERCUS, LUPERCULUS), martyr à Tarbes (?) sous Dioclétien (vers 300).

 

Sainte ANTONINE, martyre à Nicée sous Dioclétien et Maximien (vers 305). The Holy Martyr Antonina suffered at Nicea during a persecution under the emperor Maximian (284-305). After fierce tortures, St Antonina was thrown into prison, but Maximian could not force the saint to renounce Christ and offer sacrifice to idols.

Angels of God appeared to the holy martyr and the executioners took fright. Even when they placed her on a red-hot metal bed, St Antonina remained unharmed, by the power of God. Finally, after long torture they sewed the saint into a sack and sank it in a lake.
Antonina, cristiana di Nicea in Bitinia, durante la persecuzione di Diocleziano arrestata per ordine del prefetto Priscilliano, fu battuta con le verghe, sospesa al cavalletto, dilaniata ai fianchi e infine arsa viva.
Qualche codice del Geronimiano aggiunge che Antonina fu uccisa di spada



Saints MARCEL et ANTOINE, morts par le feu.

Saints SYLVESTRE et SOPHRONE, morts par le feu.

Saint NESTORIEN, mort par le glaive.

Saints martyrs CHARISE, NICEPHORE et AGAPIOS.

Saint SYLVESTRE, patriarche dont la mémoire était célébrée à Jérusalem en ce jour (lieu et époque inconnus).

Saint ALBIN ou GWEN, évêque de Quimper en Bretagne (Vème siècle).

Sainte DOMNINE, pénitente à Cyr en Syrie (vers 450). Secondo lo storico teologo Teodoreto, vescovo di Ciro (393-458), Domnina era di ricca famiglia nella Siria cristiana, da giovane si costruì una capanna nel giardino della casa materna e vi trascorse tutta la vita, pregando e digiunando, al punto da divenire estremamente magra; praticamente una eremita dentro le mura di casa.
Lo stesso storico Teodoreto, scrive nella sua “Historia Religiosaâ€, cap. 30 in ‘Patrologia Graeca’, che la santa aveva raggiunto un tale grado di misticismo, che non poteva pronunziare nemmeno una parola, senza versare lacrime, che gli sgorgavano ispirate dall’ardente amore di Dio.


Saint SIMPLICE (PLICE), évêque de Bourges en Berry (vers 477).

Saint FELIX II, pape et patriarche de Rome (483-492), qui confessa la foi orthodoxe face au monophysitisme (492). 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/89048

Saint DENEK, ermite en Bretagne (VIème siècle).

Sainte MELARIE, solitaire en Bretagne (VIème siècle).

Translation des reliques de saint Herculan, évêque de Pérouse et martyr sous Totila (547).

Saint AUBIN, originaire du Vannetais, moine de Cincillac en Anjou, puis évêque d'Angers (549 ou 550).
Nato verso il 469 a Vannes da nobile famiglia, fu monaco e quindi (504) abate a Tincillac (o Cincillac), da identificarsi con N. S. di Nantilly a Samour o a Théhillac, presso Guérande. Per circa venticinque anni Albino resse santamente l'abbazia, e la fama delle sue virtù ebbe rapida diffusione tanto che nel 529 fu eletto, per desiderio popolare e nonostante le sue resistenze, vescovo di Angers. Lottò particolarmente contro i matrimoni incestuosi, frequenti tra i nobili, partecipando attivamente ai Concili d'Orléans del 538 e del 541 mentre si fece rappresentare dall'abate Sapaudo in quello del 549. Il suo energico atteggiamento gli procurò minacce di morte e contrasti con gli altri vescovi, ma dall'approvazione di s. Cesario trasse nuova lena per proseguire nella sua difficile e pericolosa opera moralizzatrice. Morì il 1° marzo 550 ad Angers e fu sepolto nella chiesa di St. Pierre d'Angers; ma già nel 556 gli fu dedicata una chiesa nella cui cripta le sue spoglie vennero traslate.
Presso la chiesa sorse immediatamente un'abbazia (il cui primo abate fu, forse, Sapaudo) e in essa il corpo di Albino trovò definitiva sistemazione nel 1126. Da Gregorio di Tours sappiamo che già ai suoi tempi il culto di s. Albino era oltremodo diffuso; in seguito si estese in Germania, in Inghilterra e in Polonia, facendo di Albino uno dei santi più popolari del Medio Evo. La sua festa cade il 1° marzo.




Saint JEAN Ier, évêque de Nîmes en Languedoc (550).


 

Saint DAVID (DYFED), évêque et protecteur du pays de Galles (vers 600).
Grande figura di vescovo e monaco, evangelizzatore della Britannia, esimio rappresentante delle Chiese celtiche del Galles.
Visse nel secolo VI e sarebbe morto nel 601; sebbene sia citato in documenti dei secoli VIII una sua biografia fu scritta solo nel secolo XI da un certo Rhygyfarch, essa risulta molto fantasiosa e ricalca quella di s. Benedetto.
David era figlio di Sant e Nonna e nacque nella valle di Rhos; fu educato ed istruito da s. Iltut e poi da Paolino; venne ordinato sacerdote e si ritirò in  isola solitaria dove stette per dieci anni, dedito allo studio della Sacra Scrittura.
In seguito abbracciò la vita monastica e prese ad evangelizzare la Britannia, nome latino della Gran Bretagna, abitata ancora da popolazioni celtiche; fondò dodici monasteri, nei quali instaurò una vita comunitaria, austera, densa di studio, lavoro e preghiera.
Scampò ad un tentativo di avvelenamento da parte dei monaci, forse per la troppa austerità (stranamente a quei tempi, si cercava di risolvere così qualche problema di insofferenza, risulta anche qualche altro caso); andò a Gerusalemme, dove fu consacrato vescovo.
Ritornato in patria succedette a s. Dubricio come vescovo di Caerlon, da dove poi si trasferì alla sede di Menevia; fu molto influente sulla vita monastica del Galles, presiedendo a parecchi sinodi, nei quali furono prese delle decisioni disciplinari e teologiche, importanti per le Chiese celtiche.
Anche se è difficile crederci, risulta che David visse 147 anni, il suo sepolcro divenne presto una meta di pellegrinaggi ed a lui furono intestate molte chiese nel Galles, nell  Irlanda e Inghilterra.
Quasi quattro secoli dopo la sua morte, nel 966 il suo corpo fu traslato a Glastonbury; nei calendari celtici ed irlandesi e nel  Martirologio Geronimiano  è celebrato il 1° marzo.
Del monastero e della chiesa, da lui fondati a Menevia, oggi Saint-David, non rimane più nulla;  unica opera iconografica dove è raffigurato, sono gli affreschi della chiesa di Saint-Divy di Landerneau, nel miracolo operato quando la terra, dove era poggiato per predicare, si sollevò a formare una collina e la colomba dello Spirito Santo venne a posarsi sulla spalla.
Troparion (Tone 1)
Having worked miracles in thy youth, founded monasteries and converted the pagans who had sought to destroy thee, O Father David, Christ our God blessed thee to receive the episcopate at the place of His Resurrection. Intercede for us, that our lives may be blessed and our souls may be saved.
Kontakion (Tone 6)
The living waters of godly discipline encompassed thee and the saving waters of faith flowed through thy teaching, O Hierarch and Waterman David. Symbolising the baptism of Wales in thy life, thou art worthy of all praise, wherefore we keep festival in thy honour, glorifying thy eternal memory.


Saint SIMPLES, confesseur à Tours (VIIème siècle).

Saint MARNOCK, Irlandais de nation, évêque en Ecosse (vers 625).

Saint ALBIN ou AUBIN, évêque d'Embrun (vers 630).

Saint REMESSAIRE (REMEZAIRE, RAMISSARIUS, REMISSARIUS), évêque de Nîmes en Languedoc (633).

Saint SIVIARD, abbé dans le Maine (687).

Saint ABDALONG, évêque de Marseille (VIIIème siècle).

Saint SUITBERT ou SWITBERT, évêque missionnaire en Frise (713).

S. Willibrord vescovo missionario, aveva con sé, compagni nell’apostolato, dodici monaci fra cui Suitberto, monaco della Northumbria, essi nel 690 andarono in Frisia (fra Germania e Olanda) e lì si divisero fra le varie zone.
Suitberto predicò con successo nel Brabante, Gelderland e Kleve; nel 693 fu inviato in Inghilterra per ricevere la consacrazione vescovile dalle mani di s. Vilfrido nella Mercia.
Lasciò ben presto la Frisia per diventare apostolo dei Brukterer  nella Vestfalia del Sud; ma poi questa regione venne invasa dai pagani sassoni e Suitberto si ritirò nel territorio dei Franchi.
Il re Pipino e sua moglie Plectudre gli donarono  isola di Kaiserswerth vicino Dusseldorf ove fondò un monastero, morendovi il 1° marzo 713.
Le sue reliquie nel 1626 furono trovate in un reliquiario  argento a Kaiserswerth dove sono tuttora venerate.
Il suo nome è ricordato nel Calendario di Willibrord.


Saint PAUL, moine, martyr (probablement par la main des Iconoclastes).

Saint MONAN, archidiacre, martyr en Ecosse par la main des Vikings païens (874).

Saint LEON de Carentan en Normandie, évêque itinérant, apôtre du Pays basque avec ses frères GERVAIS et PHILIPPE, tous martyrs près de Bayonne (889).

Saint LEON LUC (LEOLUCA), higoumène de Corleone en Sicile (vers 900).


http://www.santiebeati.it/dettaglio/92184
Saint AGAPIOS de Vatopédi, moine athonite qui confessa la foi orthodoxe dans l'esclavage des Turcs.


 

Saint MARTYRIUS, fondateur du monastère de l'Île-Verte (Zelenetsk) au nord de l'actuelle Saint-Pétersbourg (1603). (Tropaire et kondakion traduits en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées.)
Saint Martyrius of Zelenets, in the world Menas, was born in the city of Veliki Luki (Great Meadow) in the sixteenth century. His parents, Cosmas and Stephanida, died when he was just ten years old. He was raised by his spiritual Father, a priest of the city's Annunciation church, and the child's soul cleaved to God.

The widowed priest Boris became a monk with the name Bogolep at the Trinity-Sergius monastery in Veliki Luki. Menas often visited him at the monastery, and later on he himself received monastic tonsure there taking the name Martyrius. For seven years both teacher and disciple toiled for the Lord unrelentingly in a single cell, encouraging each other in deeds of work and prayer. St Martyrius had the obediences of "kellarios" [cellarer], treasurer, and "ponomar" [or altar server].

It was at this time that the Mother of God first showed Her special solicitude for St Martyrius. At mid-day he dozed off in the bell tower and beheld the Tikhvin (Hodigitria) icon of the Most Holy Theotokos in a fiery column. The monk venerated it, and it was still hot from the fiery column. When he awoke, he still felt this heat on his forehead.

On the spiritual advice of St Martyrius, the grievously ill monk Abramius went to venerate the wonderworking Tikhvin Icon of the Mother of God, and he received healing. St Martyrius was filled with intense faith in the intercession of the Mother of God. He began to pray that the Heavenly Queen would show him where he might go for the ascetic feat of complete silence, for which his soul yearned.

The monk secretly withdrew into a desolate place situated 60 versts from Veliki Luki. As he himself writes, "in this wilderness I received fearful visitations from demons, but I prayed to God, and the demons were put to shame."

In a letter to Elder Bogolep, St Martyrius asked his blessing to dwell in the wilderness, but the spiritual father advised him to return to the cenobitic life where he would be of use to the brethren. Not daring to disobey his experienced Elder, and not knowing how to proceed, St Martyrius went to Smolensk to venerate the wonderworking Hodigitria [She who leads the way] Icon of the Mother of God and the relics of Sts Abramius and Ephraim (August 21). These saints appeared to St Martyrius in a dream, and they reassured him that he would be permitted to live in the wilderness, "wherever God will bless and the Most Holy Theotokos will guide you."

St Martyrius then went to the Tikhvin monastery, hoping that the Mother of God would resolve his dilemma. The monk Abramius, who remained at this monastery in gratitude to the Mother of God for his healing, told St Martyrius about a secret place, over which he had seen a radiant Cross of stars. This time he received the blessing of the Elder. St Martyrius took with him two small icons: one of the Life-Creating Trinity, and the other of the Tikhvin Mother of God. He then settled in Zelents (the green island), which was a beautiful island in a forested swamp.

Harsh and painful was the life of the monk in the wilderness, but neither cold, nor deprivation, nor wild beasts, nor the wiles of the Enemy were able to shake his resolve. He built a small chapel for the glorification of, and in gratitude to, the Lord and the Most Holy Theotokos. He was again deemed worthy to see an icon of the Mother of God in a dream. This time it was floating on the sea. To the right of the icon he saw the Archangel Gabriel who told him to venerate the icon. St Martyrius went into the water, and the icon began to sink in the sea. The saint then cried out, and a wave carried him to shore. With that, the icon vanished.

The wilderness was sanctified by the life of the hermit, and many began to arrive, not only to be instructed by the word and example of the monk, but also to settle there with him. The increased number of disciples prompted the monk to build a church dedicated to the Life-Creating Trinity, where he placed his own icons of the Trinity and of the Tikhvin Mother of God. As a sign of the grace of God resting upon the monastery of St Martyrius, his disciple St Gurias was permitted to see a Cross in the heavens, shining over the cross on top of the church.

This was the beginning of the Trinity Zelenets monastery, "the green wilderness monastery of Martyrius." The Lord blessed his labors, and the grace of God shone visibly upon him. The fame of his discernment and gift of healing became known to many. Many eminent people of Novgorod began to send gifts to the monastery. With funds provided by the pious boyar Theodore Syrkov, a heated church was built and consecrated in honor of the Annunciation of the Most Holy Theotokos in memory of the first church at Veliki Luki, from which the saint had begun his path to God.

St Martyrius continued to receive help from the Mother of God. She appeared to him on a bench in the corner where the icons stood. The saint recalled: "I looked upon Her without lowering my eyes... I gazed upon Her holy face, at her eyes filled with tears, ready to trickle down Her all-pure face. I awoke from the dream and was afraid. I lit a candle from the lampada, in order to see whether or not the Most Pure Virgin sat at the place where I saw Her in the dream. I went up to the icon of the Hodigitria and was convinced that in truth the Mother of God had appeared to me as She is depicted on my icon."

Soon after this (about the year 1570) St Martyrius was ordained priest at Novgorod by the archbishop (Alexander or Leonid). He was already an igumen in 1582.

Later, the Lord granted the Zelenets wilderness monastery an even wealthier benefactor. In 1595 at Tver St Martyrius resurrected the son of the former Kasimov ruler Simeon Bekbulatovich, praying in front of his own icons of the Life-Creating Trinity and the Tikhvin Mother of God. He placed both icons upon the chest of the dead child, and he awoke as if from sleep. In gratitude Simeon built a church in honor of the Tikhvin Icon of the Mother of God and of St John Chrysostom, the Heavenly patron saint of the ruler's son John.

In 1595 Tsar Theodore endowed the monastery with a sufficient quantity of land for its support.

Having reached a great old age and preparing for death, St Martyrius dug a grave for himself, and near it he placed a coffin fashioned by his own hands. He often came there to weep. Sensing his imminent departure, the monk assembled the brethren and told his children in the Lord to have steadfast hope in the Most Holy Trinity and to trust the Mother of God, as he himself had always trusted in Her. After receiving the Holy Mysteries of Christ, he gave the brethren his blessing with the words: "Peace to all the Orthodox." With spiritual joy he fell asleep in the Lord on March 1, 1603.

The saint was buried in the grave he dug near the church of the Mother of God. Later, his holy relics rested beneath a crypt in the church of the Most Holy Trinity, beneath the lower temple in honor of St John the Theologian. Cornelius, a former monk of the Zelenets monastery, and later Metropolitan of Kazan and Novgorod (+ 1698), compiled a service and wrote the Life of St Martyrius, making use of personal notes and the saint's testament.

The memory of St Martyrius of Zelenets and Veliki Luki is celebrated also on November 11.

Saint PARASKEVAS, originaire de Trébizonde où il fut martyrisé par la main des Musulmans (1659).

Saint METHODE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1920).

Sainte ANASTASIE ANDREÏEVNA, folle-en-Christ dans le Caucase du nord, martyre par la main des Communistes.

Sainte ANTONINE, abbesse de Kizliar, martyre par la main des Communistes (Russie 1924).

Saint JEAN, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1937).

Saints BASILE et PIERRE, prêtres, ANTOINE, moine, ANNE, moniale, et ESPERANCE (NADEJDA), laïque, martyrs par la main des Communistes (Russie 1938).

Saint ALEXANDRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (1942

29 febbraio feste santi e memorie


Saint GERMAIN de Dacie Pontique (aujourd'hui la Dobroudja en Roumanie), moine, compatriote et compagnon d'ascèse de saint Jean Cassien en Palestine et en Egypte, ordonné prêtre par saint Jean Chrysostome à Constantinople, mort à Rome (après 405).
http://www.allmercifulsavior.com/icons/Saint_Cassian.jpg 
Saint JEAN CASSIEN le Romain (ou plus exactement le Roumain!), originaire de la Dobroudja, moine en Palestine et en Egypte, ordonné diacre par saint Jean Chrysostome à Constantinople, prêtre à Rome, et enfin fondateur de monastères à Marseille en Provence, qui donna au monachisme gaulois son armature doctrinale et réfuta les erreurs d'Augustin d'Hippone sur la nature et la grâce et celles de Nestorius sur l'Incarnation (vers 435). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées. Autre office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome II du Supplément aux Ménées.)
Saint GEORGES, évêque de Delphetos, confesseur.

Saint THEOCTISTE, martyr (VIIIème siècle).

http://www.ortodossiatorino.net/Images/2013/Lavra/lavra2.jpg 
Saint CASSIEN, reclus et jeûneur de la Laure des Grottes de Kiev (XIIème siècle).
(Lorsque l'année n'est pas bissextile, ces saints sont commémorés le 28 février.)

giovedì 27 febbraio 2014

santi italici ed italo greci dal 16 febbraio al venti febbraio

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOKk60vOEoQ_GvLL1YdxQl0XL-JWyNoBXk3oYmUWx_ruC4pn2l-OASv2J53ZJNFUeVZKakqu-1yDCrp4NOmV1kX6WfVNIjSlXkJDibyKhtcXGt-EDHExe_Uaocztc9-DlI-Wz1YKKZbuRK/s1600/Croce+colore.gif

saints pour le 16 février du calendrier ecclésiastique

Saints PROCULE, EPHEBE et APOLLONIUS, Athéniens de nation, martyrs à Terni en Ombrie sous Aurélien (vers 273).
  

Saint FAUSTIN, évêque de Brescia en Lombardie (vers 381). 

Saint EULALIUS, évêque de Syracuse en Sicile, qui donna l'hospitalité à saint Fulgence de Ruspe fuyant l'Afrique (après 503).  


saints pour le 17 février du calendrier ecclésiastique

Saint FAUSTIN et plusieurs autres, martyrs à Rome.
Saints SATURNIN, CASTULE, MAGNE, LUCE, ROGAT, JEAN et plusieurs autres, martyrs à Terni en Ombrie (vers 273).

Saints DONAT, SECONDIEN et ROMULE, martyrs à Concordia en Vénétie (303).  

Saint HABET-DEUS, évêque de Luna en Italie, probablement martyr par la main des Vandales ariens (vers 500). 

Saint SILVAIN, évêque de Crémone en Italie (763).  


saints pour le 18 février du calendrier ecclésiastique

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/3b/FortyMartyrsofSebaste.JPG

Les martyrs de Lentini en Sicile (255).  

Quasi un Passionario. Dal libro di A. Bonfiglio " I santi Martiri di Lentini " 1978

Sono scarse le notizie circa la Diocesi di Lentini, legata alla memoria dei Santi martiri Alfio, Cirino e Filadelfo. Il primo vescovo di Lentini fu Neofito, nuovo nome di quell'Alessandro, vicario di Tertullo, convertitosi anch'egli al cristianesimo e consacrato nel 259. Lentini fu un centro molto importante del cristianesimo siciliano e una sede molto attiva. Basti ricordare che Lentini riconobbe la definizione di Theotokos (ovvero Genitrice di Dio) ancor prima che il dogma venisse definito dal Concilio di Efeso. Il massimo splendore con la diocesi di Lentini fu con l'ultimo suo vescovo Costantino, il quale ebbe grande considerazione presso la corte di Costantinopoli. Costantino, in occasione della lotta contro l'iconoclastia tra il Pontefice Adriano I e l'impero bizantino, fu incaricato dall'imperatrice Irene nel 785 di recapitare al Papa una lettera nella quale il Pontefice fu invitato a partecipare al Concilio di Costantinopoli. Questo delicato compito gli fu affidato perché era già conosciuto da Adriano I e per il ruolo di cerniera che la Chiesa siciliana, in particolare quella di Lentini assunse in questo arco di tempo tra Roma e Bisanzio. Nel successivo Concilio di Nicea del 787, Costantino fu molto attivo e tra i vescovi siciliani fu quello a cui toccò parlare per primo. Dopo di lui non sono più noti vescovi leontini. Tuttavia, in una Notitia Episcopatuum della fine del IX secolo, Lentini appare ancora al tredicesimo posto fra le sedi episcopali 


Il Paese Nativo dei Santi ALFIO - FILADELFO E CIRINO
Nelle Puglie vi è un villaggio di un migliaio di abitanti i quali attorniano con le loro case la Chiesa dei Tre Santi Fratelli, nel Comune di Poggiardo, in provincia di Lecce, di nome Vaste.Ai tempi dei Santi era una grande città chiamata "Città dei Prefetti" Basta o Vastanis. Vi fu un errore di copiatura di un emanuense attraverso i secoli che invece di copiare Bastanon o Vastanon scrisse Vasconon.
E quindi li fecero nativi della Guascogna in Francia e addirittura Spagnoli perché i Baschi passarono in Gallia dalla Spagna. Era l'Aquitania romana dal 56 a. C. Prima fu abitata da Iberi. Augusto la estese sino al fiume Loira e, Carlo Magno nel 778 formò un Regno. Non risulta in quella regione nessuna Città detta dei Prefetti. Le Prefetture furono istituite dai Romani solo in Italia. Dagli atti risulta che i Santi risposero, e ciò e stato confermato dai Bollandisti: (in traduzione) "Venghiamo dalla regione dei Bastani, dalla città che dicesi dei Prefetti".Plinio scrisse che Basta era nella Magna Grecia. I nomi di Alfio, Filadelfo e Cirino derivano dalla Grecia. L'inviato di Roma Nigellione non fu mai in Aquitania. Nel XVIII secolo i Bollandisti, dotti Gesuiti del Belgio, che esaminarono gli Atti di quasi tutti i Martiri Cristiani, fra cui quelle dei nostri Patroni di Lentini, scopersero l'errore della K invece della t, e diedero l'incarico a Papebrochio per l'esame del Menologio greco dell'Imperatore Basilio Perfirogenito del VII secolo, che attesta essere i Tre Fratelli nati in Italia. Questa grande Città fu distrutta nel 1160 da Guglielmo il Malo, Re di Sicilia, dopo le insurrezioni nelle Puglie fomentate da Manuele I Comneno. La popolazione fu frammentata in tanti piccoli centri e sempre ivi c'è stata la tradizione del culto ai Tre Santi Fratelli A1fio, Filadelfo e Cirino; martirizzati a Leontini da Tertullo Romano, sotto l'Impero di Gallo nel 253 d. C. Nessuno mai ha indicato un paese o sito nelle Gallie. siciliane. 


La madre dei Santi - Santa Benedetta di Locuste
Prima dei figli e del nipote, ai tempi dell'Imperatore Massimino, 234 - 243 d. C., fu arrestata a Vaste la madre dei nostri Santi Patroni: Benedetta di Locuste, moglie di un Principe chiamato Vitale, padre di quattro figli. La primogenita fu madre del martire Erasmo, gli altri tre figli furono A1fio, nato nel 230 e quattro mesi d. C.; Filadelfo, dopo un anno e otto mesi dal primo; Cirino, dopo sedici mesi dal secondo. La madre dei Santi Fratelli fu decapitata per la fede in Gesù Cristo e prima di morire disse dinanzi al popolo accorso da tutte le Puglie: "Sta scritto nel Vangelo che chi perderà la vita per Cristo in questo mondo, acquisterà la vita eterna nell'altro".

Martirio di Onesimo. Erasmo e 13 Compagni a Pozzuoli
Il tiranno Diomede dopo vari interrogatori fece schiacciare Onesimo sotto un macigno, fece decapitare Erasmo (il nipote dei Tre Fratelli) e i tredici altri. Lasciò in vita i Tre Fratelli Alfio, Filadelfo e Cirino per tentare di farli abiurare. Non riuscendovi li mandò in Sicilia dal Preside romano Tertullo, sotto scorta di 50 soldati capitanati da Silvano. Il 25 agosto del 252 d. C. sbarcarono a Messina e dopo due ore furono avviati a Taormina, nella quale città in quei giorni trovavasi Tertullo. Tertullo era un generale romano a riposo e aveva diverse dimore in Sicilia. Quella preferita era nel grandioso palazzo in Lentini che si elevava sulle grotte adibite a prigioni (fra cui la Grotta detta poi la " Grotta dei Santi", ove stettero prigionieri i Santi e altri martiri). Tertullo interrogò i Tre Fratelli e dopo li avviò a Lentini sotto la scorta di 40 soldati capitanati da Mercurio. La comitiva attraversò costeggiando l'Etna e fermandosi dove in seguito nacquero in onore dei Santi i paesi di Sant'Alfio e di Trecastagni. La fine di agosto, di sera, giunsero a Catania e furono rinchiusi in un Carcere che oggi trovasi in una Chiesa di fronte all'ospedale Santa Marta, l'Immacolata ai Minoritelli. Ivi c'è una lapide in marmo e un quadro. Nel marmo: "Sanctorum Alphii - Philadelphi et Cyrini - Carcer". Nel quadro i Tre Fratelli e inoltre tre statue. All'alba vennero avviati a Lentini. Attraversarono il fiume Simeto che era in piena. Vi furono spinti da otto soldati
I Santi lo passarono incolumi; ma gli otto soldati che li avevano spinti e li seguirono, annegarono.


Tecla e Giustina
Due Contesse di Lentini; Tecla paralitica da sei anni viene guarita dalla preghiera dei Tre Fratelli e assiste e nutrisce loro. La Provvidenza le risparmiò il martirio perché difesa da 500 Coloni beneficati e perché doveva costruire Tre Chiese e il Vescovado a Leontini. Morì il 10 - 1 - 264.Giustina era cieca in un occhio e fu guarita da Sant'Alfio. Morì il 10 - 1 - 262, prima di Tecla.
Il primo Vescovo Alessandro detto Neofito morì a 80 anni, dopo 35 anni e 5 mesi di Vescovado, il 18 aprile.
Il 1O Maggio 253 d. C. Era un bel dì di Maggio, giorno 10 di Mercoledì. La sterminata piazza di Leontini era gremita di folla in attesa di un grande evento storico. I Tre Fratelli venivano messi alla prova suprema dopo essere stati costretti a girare nudi e a piedi scalzi i colli e le vie della città di Leontini. Ecco il perché della Via dei Santi che il popolo percorre ogni anno nella notte dal 9 al 10 Maggio. Nel Foro Tertullo, ammantato di Porpora, attorniato dai Consiglieri e da numerosi soldati romani, fece tradurre i Tre Fratelli. A fianco al trono del Preside si erigeva una statua di una divinità pagana. Tertullo invitò i Tre Fratelli ad incensare alla dea. "0 vi piegate agli dei di Roma o presto sarete uccisi: Decidete!"Sant'Alfio rispose per tutti! "Noi siamo Cristiani!!! - Fa su di noi quello che tu vuoi, inventa strumenti di tortura; Noi saremo sempre fedeli a Gesù Cristo, Figlio di Dio vivente".Filadelfo e Cirino confermarono quanto detto da Alfio. "Nostra madre - essi dissero - ci ha dato l'esempio; essa è beata in Cielo; il maestro Onesimo, il nostro nipote Erasmo e altri 13 Compagni sono stati sacrificati a Pozzuoli; Mercurio e i suoi soldati decapitati da te o Tertullo; altri nelle contrade di Leontini; e noi dovremmo piegarci a te?" Tertullo furente, si alza agitato, si consiglia coi suoi Consiglieri ed esclama:, "Nel nome dell'Imperatore di Roma, ordino di strappare la lingua ad Alfio e buttarla in quel pozzo aperto (ecco il nome di Chiesa della Fontana dove ancora sgorga un'acqua limpida e sempre viva bevuta dai fedeli); Filadelfo sia steso su quella graticola ardente, - Cirino sia tuffato nella caldaia bollente".Mentre spiravano tutti videro Angeli del cielo portanti corone che posarono sulle teste dei Tre Santi Fratelli. I corpi dei Tre furono nella notte depositati da Tecla e Giustina allo Strobilio ( pino ) dove veneriamo i Sepolcri.

Cleonico e Stratonico - martiri
Due giovani Leontinesi, Cleonico e Stratonico, presenti al sacrifizio gridarono contro il tiranno accusandolo di crudeltà. Tertullo subito li fece arrestare e fece strappare la 1ingua anche a loro buttata in altri pozzi. 


Santa Epifana martire
Il Ministro di Tertullo, Alessandro, una notte vide nel Carcere dove stavano rinchiusi i Tre Santi Fratelli, una gran luce soprannaturale. Dal buco della serratura della porta scorse che Sant'Andrea Apostolo, sceso dal cielo, (confortava i Tre Santi. Poi vide Tecla e Giustina entrare nel carcere con riserve di viveri mentre le porte si aprivano da sole. Alessandro si convertì alla fede dei Cristiani e fuggì allo Sperone. Tertullo fece arrestare la moglie di lui per conoscere il luogo del nascondiglio del marito. Invano; Epifania tacque e non cedette alle losche brame del tiranno. La fece uccidere lassù dove c'è oggi la Chiesa della Madonna della Catena, tagliandole le mammelle come a Sant'Agata. Il corpo di Santa Epifana fu raccolto da Tecla e riposto nei Sepolcri dei Tre Fratelli.


Santa Eutalia martire
Era il giorno 14 luglio del 257 d. C. Tertullo uscì a cavallo insieme ai suoi Consiglieri per arrestare Alessandro. Le spie lo avevano avvertito che Alessandro trovavasi nel monte Pancali (l'antico vulcano spento). Giunti in una contrada detta Cillepi inseguirono una belva e tutti insieme caddero in una vallata, dove furono divorati dai lupi allora numerosi ovunque. I1 luogo si chiama tuttora la "Valle di Tertullo". Alla ferale notizia prese il comando della Città il Capo dei Sacerdoti di Cerere: Serviliano. Egli odiava la madre e la sorella (Eutropia ed Eutalia) per la loro fede in Cristo.Nella piazza tagliò la testa alla sorella Eutalia di sua mano, ma accecò sul posto e morì subito.
Il corpo di Santa Eutalia fu portato nella Cripta dei Santi dalla madre, dal fidanzato di lei, da Tecla e da Giustina.
 

Saints MAXIME et CLAUDE son frère , avec sainte PREPEDIGNE, femme de saint Claude et leurs deux fils saints ALEXANDRE et CUTHIAS, martyrs à Ostie sous Dioclétien (vers 295). 

Saintes CONSTANCE, AUGUSTA, ATTIQUE et ARTEMOE, vierges à Rome (IVème siècle).
  

http://www.atelier-st-andre.net/fr/images/oeuvres_icones/leo-01.jpg

Saint LEON Ier le Grand, pape et patriarche de Rome (440-461), qui confessa la foi orthodoxe face au monophysitisme (461). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.) 

saints pour le 19 février du calendrier ecclésiastique

Saint GABIN, prêtre, martyr à Rome sous Dioclétien (vers 296).  

Saint BARBAT (BARBATUS, BARBAS), évêque de Bénévent en Italie et thaumaturge, qui convertit à la vraie foi un grand nombre de Lombards (682). 

http://www.santiebeati.it/Detailed/90353.html

 

Saint MANSUET (MANSUETUS), évêque de Milan et auteur d'un traité contre le monothélisme (vers 690).  

http://www.santiebeati.it/dettaglio/41900

 

saints pour le 20 février du calendrier ecclésiastique

Saints VICTOR, CORONA et leurs VINGT compagnons, martyrs à Rome.  

Saint AGATHON, pape et patriarche de Rome, qui confessa la foi orthodoxe face au monothélisme (682). (En Occident, sa mémoire se célèbre le 10 janvier.) 

http://www.santiebeati.it/dettaglio/91427

 http://www.tuttocollezioni.it/santini/santi-nomi/Leo/slides/Xsa-02-33%20S.%20San%20LEONE%20VESCOVO%20DI%20CATANIA%20Santino%20Holy%20card.jpg

Saint LEON le Thaumaturge, originaire de Ravenne, évêque de Catane en Sicile (vers 787). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.)  


28 febbraio feste santi e memorie


28 FEBBRAIO SANTI FESTE E MEMORIE

Saints Apôtres NYMPHAS et EUBULE, disciples de saint Paul (Ier siècle).

Saints MACAIRE, RUFIN, JUSTE et THEOPHILE, potiers de profession, martyrs sous Dèce, peut-être à Rome (vers 250). 
 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/95635


Saint NESTOR, évêque de Magydos en Pamphylie, martyr sous Dèce (vers 251).Nestore era vescovo di Magydos in Panfilia, regione dell'Asia Minore. Fu ucciso in spregio alla fede nel 251 a Perge mediante crocifissione. Una "Passione" greca del martire narra che, durante la persecuzione ordinata dall'imperatore Decio, il governatore della Panfilia Poplio fece ricercare i cristiani della zona per farli sacrificare agli dèi. Nestore si prodigò per mettere in salvo la comunità cristiana di Magydois. Ma non si preoccupò della sua sorte. Dopo il rifiuto di abiurare e sacrificare agli dèi pagani, fu preso prigioniero. Dapprima venne giudicato dal senato e dal tribunale locale. Poi lo condussero a Perge per essere sottoposto a un nuovo processo. Durante il tragitto si verificò un terremoto. Dopo essere stato condannato e torturato fu giustiziato
Saint martyr ABRICIUS, mort par le glaive.

Saint MARTIN, évêque de Mayence en Rhénanie, qui confessa la foi orthodoxe face à l'arianisme (vers 350). 

 St Germanus of Dacia Pontica (Dobrogea)

http://oca.org/saints/lives/2014/02/28/205437-st-germanus-of-dacia-pontica-dobrogea


Saint BARSOS ou BAR-JESUS, évêque de Damas.

Saint VINDEMIAL, évêque de Vérone (Vème siècle).

 
 
 
 

Saintes MARANA et CYRA, femmes de la noblesse devenues ascètes en Syrie (Vème siècle).
Saints Marana and Kyra, sisters by birth, lived during the fourth century in the city of Veria (or Berea) in Syria. Their parents were illustrious and rich, but the sisters left home and departed the city when they had reached maturity.

Having cleared off a small plot of land, the holy virgins sealed up the entrance to their refuge with rocks and clay, leaving only a narrow opening through which food was passed to them. Their little hut had no roof, and so they were exposed to the elements.

On their bodies they wore heavy iron chains and patiently endured hunger. During a three year period, they ate food only once every forty days. Their former servants came to them, wanting to join their ascetic life. The saints put them in a separate hut next to their own enclosure and they spoke to them through a window, exhorting them to deeds of prayer and fasting.

The life of the holy ascetics Marana and Kyra was described by Bishop Theodoret of Cyrrhus in his RELIGIOSA HISTORIA. Out of respect for his hierarchical dignity, the holy virgins allowed him into their dwelling. Theodoret conversed with them and persuaded them to remove the heavy chains they wore under their clothing. Kyra, who was weak in body, was always stooped under their weight and was unable to sit upright. Once he left, however, they resumed wearing the chains.

So they lived in asceticism for forty years. They disturbed their solitude only to make a pilgrimage to Jerusalem to pray at the Sepulchre of the Lord. During their journey (which took twenty days) they ate no food until they had prayed at the Holy Places. On the way back, they also went without eating. They did the same thing at another time, when they journeyed to the grave of the Protomartyr Thekla (September 24) at Seleucia, Isauria.

Sts Marana and Kyra died in about the year 450. Their ascetical life equalled that of the great male ascetics of the desert, and they received the same crown of victory from Christ the Savior.
 
Troparion (Tone 6)
Through asceticism, holy struggle and virtuous life you have become our first ideal, an ornament for all women excelling men at bravery, shining with virtues; O Aleppian faithfuls, Marona and Kyra, intercede for us to Christ the Lord to grant us his majestic mercy.



Saint PROTERE, archevêque d'Alexandrie, martyr par la main des Monophysites (457).

SIX martyrs d'Egypte, martyrs avec saint Protère par la main des Monophysites (457).

Saint ROMAIN, fondateur du monastère de Condate (aujourd'hui la ville de Saint-Claude dans le département français du Jura) (463).  primi contatti del monachesimo orientale col mondo latino furono propiziati dai frequenti esili ai quali venne condannato S. Atanasio. E  nel secolo IV infatti che prese il via il monachesimo occidentale, destinato a produrre effetti di spirituale perfezione e di civile progresso.
Basti ricordare S. Benedetto. Il primo monastero in Gallia sorse nel 371 per opera di S. Martino di Tours: poi si ebbe una improvvisa fioritura di abbazie, in una delle quali, ad Ainay, presso Lione, troviamo all'inizio del V secolo il monaco Romano.
Non contento della pur rigida regola che vigeva nel suo monastero, col permesso dell'abate, munito di un testo della Sacra Scrittura e con gli attrezzi da lavoro sulle spalle, egli si inoltrò tra le inesplorate montagne del Giura. Di lui si persero poi le tracce, ma ciò non impedì che qualche anno dopo suo fratello Lupicino, rimasto vedovo, ne scoprisse il romitaggio e si aggregasse a lui, attirando dietro di sé altri uomini. Romano e Lupicino fecero spazio ai nuovi venuti, erigendo un primo grande monastero a Condat e un secondo a Leuconne. Poi li raggiunse anche una loro sorella, per la quale eressero un terzo monastero, poco lontano, in località detta La Beaume. I due fratelli condividevano in perfetta armonia il governo delle nuove comunità. I loro temperamenti, diametralmente opposti, si completavano a vicenda: Romano era uno spirito tollerante, incline alla comprensione e alla magnanimità; Lupicino era austero, intransigente con la regola, della quale pretendeva l'assoluta osservanza. Così, dopo un raccolto eccezionale, avendo i monaci scordato le rigide norme dell'astinenza, Lupicino fece gettare le provviste nel torrente e ordinò che a mensa venisse servita soltanto una minestra d'orzo. Dodici monaci non ressero a tanta austerità e abbandonarono il convento: fu Romano a correr loro dietro e ad implorarli con le lacrime agli occhi di far ritorno all'ovile.
La sua bontà trionfò anche in questa occasione. Più tardi, durante un pellegrinaggio alla tomba di S. Maurizio a Ginevra, compiuto in compagnia di un suo monaco, S. Pallade, avendo trovato riparo per la notte nella capanna dove si celavano due poveri lebbrosi, Romano non esitò ad abbracciarli. Il mattino dopo quei due relitti umani constatarono di essere completamente guariti e corsero in città a raccontare l'accaduto. Altri prodigi si verificarono durante quel pellegrinaggio. Poi il dolce e piissimo Romano tornò definitivamente alla solitudine di Condat dove precedette il fratello e la sorella nella tomba, nel 463. Era nato verso il 390.

Saint LUPICIN, frère de saint Romain, fondateur du monastère de Lauconne (aujourd'hui Saint-Lupicin) (480).

Les deux frères, saint Romain et saint Lupicin, sont considérés comme les "Pères du Jura" et c'est à eux que l'on doit l'introduction du monachisme dans la Franche-Comté et la Suisse romande.

Saint CHIO (SYMEON) des Cavernes (Mrvimévi), ascète géorgien (VIème siècle). (Autre mémoire le 9 mai.)

Saint LLIBIO (Pays de Galles, VIème siècle).

Saint MAIDOC (MADOC), évêque dans le Pays de Galles (VIème siècle).

Sainte CECILINE, ermite dans le Nantais en Bretagne (VIème-VIIème siècles).

Saint SILLAN (SILVANUS), higoumène en Irlande (vers 610).

Saint RUELLIN, évêque de Quimper en Bretagne, disciple de saint Tugdual (vers 650).
 
 


 
Saint BASILE le Confesseur, compagnon d'ascèse de saint Procope le Décapolite, qui souffrit pour les saintes Icônes sous Léon III l'Isaurien (747). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.) 
Saint OSWALD, Danois de nation, moine à Fleury puis évêque des sièges réunis de Worcester et de York en Angleterre (992).
Figlio di genitori danesi, divenne monaco benedettino a Fleury in Francia e ritornò prete in Inghilterra nel 959. Su raccomandazione di san Dunstano di cui Osvaldo condivideva gli ideali monastici fu nominato nel 961 vescovo di Worcester, dove trasformò il Capitolo in una comunità monastica; fondò anche due monasteri a Westbury-on-Trym presso Bristol e quello più influente di Ramsey per il quale ottenne in prestito da Fleury s. Abbone, quale maestro.
Quando fu nominato arcivescovo di York, gli fu concesso di tenere anche la Diocesi di Worcester. Nella reazione antimonastica che seguì la morte di s. Edoardo martire, le comunità monastiche furono temporaneamente disperse. Ebbe come caratteristica personale la gentilezza, la cortesia e gioiosità che lo fecero molto amare dal popolo.
Morì a Worcester il 28 febbraio 992 dopo aver lavato i piedi a dodici poveri ed essersi seduto con loro a tavola. Il suo corpo fu traslato in un nuovo sepolcro da s. Wulfstano anch egli vescovo di Worcester dal 1062 al 1095.
 

Troparion — Tone 1

Dweller of the desert and angel in the body, / you were shown to be a wonder-worker, our God-bearing Father Basil. / You received heavenly gifts through fasting, vigil, and prayer: / healing the sick and the souls of those drawn to you by faith. / Glory to Him who gave you strength! / Glory to Him who who grant granted you a crown! / Glory to Him who through you grants healing to all!

Kontakion — Tone 2

Podoben: “Seeking the highest...” / You received a revelation of God from on high, O wise one, / and withdrew from the midst of the world’s tumult. / You lived the monastic life with honor, / receiving the power to work miracles and heal diseases by grace, / most blessed and holy Basil.
 
 
http://oca.org/saints/lives/2014/02/28/100615-venerable-basil-the-confessor-companion-of-the-venerable-procopi
 

Saint NICOLAS de Pskov, fol-en-Christ qui empêcha la destruction de Pskov par Ivan IV le Terrible (1576). (Tropaire et kondakion traduits en français par le père Denis Guillaume au tome II du Supplément aux Ménées.)
Blessed Nicholas of Pskov lived the life of a holy fool for more than three decades. Long before his death he acquired the grace of the Holy Spirit and was granted the gifts of wonderworking and of prophecy. The Pskov people of his time called him Mikula [Mikola, Nikola] the Fool. Even during his lifetime they revered him as a saint, even calling him Mikula the saintly.

In February 1570, after a devastating campaign against Novgorod, Tsar Ivan the Terrible moved against Pskov, suspecting the inhabitants of treason. As the Pskov Chronicler relates, "the Tsar came ... with great fierceness, like a roaring lion, to tear apart innocent people and to shed much blood."

On the first Saturday of Great Lent, the whole city prayed to be delivered from the Tsar's wrath. Hearing the peal of the bell for Matins in Pskov, the Tsar's heart was softened when he read the inscription on the fifteenth century wonderworking Liubyatov Tenderness Icon of the Mother of God (March 19) in the Monastery of St Nicholas (the Tsar's army was at Lubyatov). "Be tender of heart," he said to his soldiers. "Blunt your swords upon the stones, and let there be an end to killing."

All the inhabitants of Pskov came out upon the streets, and each family knelt at the gate of their house, bearing bread and salt to the meet the Tsar. On one of the streets Blessed Nicholas ran toward the Tsar astride a stick as though riding a horse, and cried out: "Ivanushko, Ivanushko, eat our bread and salt, and not Christian blood."

The Tsar gave orders to capture the holy fool, but he disappeared.

Though he had forbidden his men to kill, Ivan still intended to sack the city. The Tsar attended a Molieben at the Trinity cathedral, and he venerated the relics of holy Prince Vsevolod-Gabriel (February 11), and expressed his wish to receive the blessing of the holy fool Nicholas. The saint instructed the Tsar "by many terrible sayings," to stop the killing and not to plunder the holy churches of God. But Ivan did not heed him and gave orders to remove the bell from the Trinity cathedral. Then, as the saint prophesied, the Tsar's finest horse fell dead.

The blessed one invited the Tsar to visit his cell under the belltower. When the Tsar arrived at the cell of the saint, he said, "Hush, come in and have a drink of water from us, there is no reason you should shun it." Then the holy fool offered the Tsar a piece of raw meat.

"I am a Christian and do not eat meat during Lent", said Ivan to him. "But you drink human blood," the saint replied.

Frightened by the fulfillment of the saint's prophecy and denounced for his wicked deeds, Ivan the Terrible ordered a stop to the looting and fled from the city. The Oprichniki, witnessing this, wrote: "The mighty tyrant ... departed beaten and shamed, driven off as though by an enemy. Thus did a worthless beggar terrify and drive off the Tsar with his multitude of a thousand soldiers."

Blessed Nicholas died on February 28, 1576 and was buried in the Trinity cathedral of the city he had saved. Such honors were granted only to the Pskov princes, and later on, to bishops.

The local veneration of the saint began five years after his death. In the year 1581, during a siege of Pskov by the soldiers of the Polish king Stephen Bathory, the Mother of God appeared to the blacksmith Dorotheus together with a number of Pskov saints praying for the city. Among these was Blessed Nicholas (the account about the Pskov-Protection Icon of the Mother of God is found under October 1).

At the Trinity cathedral they still venerate the relics of Blessed Nicholas of Pskov, who was "a holy fool in the flesh, and by assuming this holy folly he became a citizen of the heavenly Jerusalem" (Troparion). He also "transformed the Tsar's wild thoughts into mercy" (Kontakion).


Sainte KYRANNA, vierge originaire du village d'Avissoka près de Thessalonique, martyre par la main des Musulmans (1751).
 
Le 28 février, mémoire de Sainte KYRANNA, qui accomplit son Martyre dans les tourments, en 1751

Originaire d'un village proche de Thessalonique, la belle Kyranna menait une vie chaste et pieuse jusqu'au jour où un janissaire chargé de la collecte des impôts, dévoré d'un amour satanique à son égard, commença à la presser de ses instances. Comme la jeune fille restait inflexible, son amant déçu la conduisit de force auprès du juge de Thessalonique et, produisant d'autres soldats comme faux témoins, il prétendit qu'elle avait accepté ses propositions de mariage et lui avait promis de se convertir à l'Islam. A toutes les accusations, la vaillante servante du Christ répondait : « Moi, je suis Chrétienne, et je n'ai d'époux que le Christ, auquel j'offre en dot ma virginité. C'est Lui que j'aime et je suis prête à verser mon sang pour Lui! Voilà ma réponse et n'attendez rien d'autre de moi. » Puis, penchant pudiquement son regard vers le sol, elle s'enferma dans le silence, et son coeur se trouva alors rempli d'une joie indicible qui lui faisait oublier les horreurs des tribulations de cette vie. Désemparé par l'attitude de cette frêle jeune fille et par l'aspect radieux de son visage, le magistrat la fit jeter en prison, chargée d'entraves.

Persévérant dans ses désirs impudiques, le janissaire obtint l'autorisation de se rendre dans le cachot de la Sainte avec d'autres comparses, et ils venaient la tourmenter à tout moment par ses infâmes propositions accompagnées de menaces de mort. Comme Kyranna ne daignait même pas les regarder, ils s'acharnèrent avec fureur contre elle : l'un la frappait avec un bâton, un autre avec le plat de son épée, un autre à coups de pied ou à coups de poing. Puis, lorsqu'ils s'étaient retirés, son geôlier venait la suspendre par les aisselles et s'épuisait à la frapper à coups de verges, malgré les réprimandes et les cris de révolte des autres détenus de droit commun. Dans tous ces tourments, la Sainte Martyre restait aussi impassible que si quelqu'un d'autre souffrait à sa place, et elle refusait toute nourriture qu'on lui présentait.

Le septième jour, comme le geôlier n'avait pas permis l'entrée de la prison aux janissaires, ceux-ci le dénoncèrent au magistrat qui le convoqua pour le reprendre. A son retour, celui-ci déversa toute sa haine et sa colère sur la Sainte. Il l'avait laissée suspendue, ensanglantée, quand une lumière divine entoura soudain son corps et illumina toute la prison, pendant que son âme remontait glorieuse vers son Epoux céleste, en laissant derrière elle un sublime parfum. Le geôlier, repentant et tremblant sous les sanglots, chargea un Chrétien de décrocher le corps de la Sainte et de le préparer pour les funérailles.

Quand la nouvelle du miracle se répandit dans la ville, le lendemain, les Turcs, pleins de honte, concédèrent le corps aux Chrétiens pour qu'ils l'ensevelissent en-dehors de la ville


Saint ARSENE (Matséïévitch), métropolite de Rostov, martyr sur ordre de Catherine II qui le fit emprisonner parce qu'il défendait les droits de l'Eglise (Russie 1772).