lunedì 16 settembre 2013

17 settembre feste santi e memorie






http://www.johnsanidopoulos.com/2016/09/saints-sophia-faith-hope-and-love.html

Sainte SAGESSE (SOPHIE) et ses trois filles saintes FOI (PISTIS, VERA), ESPERANCE (ELPIS, ELPIDE, NADEJDA, NADEGE) et CHARITE (AGAPIE, LIOUBOV), martyres à Rome sous Adrien (vers 137). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX des Ménées. Acathiste traduit en français par le même au tome IX du Supplément aux Ménées.)
 
Santa Sofia  Martire venerata insieme alle figlie Pistis, Elpis, Agape, nomi greci che tradotti sono Sapienza, Fede, Speranza, Carità. Tutte e quattro martiri sotto Traiano; la più antica notizia sulla loro esistenza e venerazione risale alla fine del sec. VI, come autore il presbitero Giovanni, il quale raccolse gli olii sui sepolcri dei martiri romani al tempo di s. Gregorio Magno (590-604);
Tropaire de sainte Sophie et ses 3 Filles ton 4

L'Eglise célèbre et se réjouit
En la Fête des 3 filles : Foi, Espérance et Charité
Et leur mère Sophie, nommée d'après sa sagesse :
Car en elles, c'est aux 3 vertus divines qu'elle donna naissance.
A présent elles demeurent à jamais auprès de leur Epoux, le Verbe de Dieu.
Réjouissons-nous spirituellement en leur mémoire et crions :
O vous nos 3 célestes Protectrices,
Etablissez, confirmez et renforcez nous
Dans la Foi, l'Espérance et la Charité.


Kondak de sainte Sophie et ses 3 Filles ton 1


Les enfants, Foi, Espérance et Charité,
Etaient comme 3 promesses de sainteté pour la vénérable Sophie.
A travers la divine grâce, elles confondirent la philosophie Grecque :
Elles combattirent et obtinrent une courone incorruptible de la part du Christ, le Maître de tout!


 

Ces Saintes Martyres vivaient en Italie sous le règne d'Hadrien (117-138). Elles étaient originaires d'une riche et pieuse famille, et leur mère Sophie les élevait dans la foi, l'espérance et la charité, dont elle leur avait donné les noms. Un jour qu'elles s'étaient rendu à Rome, les jeunes filles et leur mère furent capturées par les troupes de l'empereur, aux oreilles duquel était parvenue la renommée de leur piété et de leur vertu. Stupéfait de constater leur fermeté dans la foi malgré leur jeune âge, l'empereur les fit comparaître séparément, pensant que c'était par émulation mutuelle qu'elles osaient ainsi lui tenir tête.

Pistis, qui était âgée de douze ans, fut la première à paraître devant le tyran. A ses flatteries, elle répondit audacieusement, condamnant son impiété et ses vaines machinations envers les Chrétiens. Furieux, l'empereur fit mettre à nue la jeune fille et la fit flageller sans pitié. On lui arracha ensuite les seins, d'où sortit du lait au lieu de sang. Les autres tortures qu'il fit subir à la Sainte restèrent sans effet, protégée qu'elle était par le puissance de Dieu. Enfin, c'est encouragée par sa mère à supporter avec joie la mort qui devait l'unir au Christ, qu'elle eut la tête tranchée.
L'empereur fit ensuite venir Elpis, qui était âgée de dix ans. Tout aussi ferme pour confesser le Christ que sa soeur, elle fut flagellée puis jetée dans une fournaise ardente qui s'éteignit à son contact: tant l'amour de Dieu qui était en elle était plus brûlant que toute flamme sensible. Après bien d'autres inutiles tortures, elle mourut, elle aussi, par le glaive, en rendant grâce à Dieu.
Hadrien, dont la colère tournait à la folie, fit venir la troisième soeur, Agapée, qui n'était âgée que de neuf ans. Mais il trouva chez l'enfant la même fermeté virile que chez ses soeurs. Il la fit suspendre à un gibet et entraver si étroitement que ses membres se rompaient sous les liens. Jetée dans une fournaise, elle fut elle aussi délivrée par un Ange, et eut la tête tranchée. Leur mère, Sophie, exultant spirituellement de voir ses filles rejoindre si glorieusement les demeures des Saints, mais accablée par la douleur humaine, rendit quelques jours plus tard son âme à Dieu, sur le tombeau de ses filles



Troparion — Tone 4

The Church celebrates and rejoices / In the feast of the three daughters: Faith, Hope, and Love / And their Mother Sophia, named for her wisdom: / For in them she gave birth to the three godly virtues. / Now they eternally behold their bridegroom, God the Word. / Let us rejoice spiritually in their memory and cry: / O our three Heavenly Protectors, / Establish, confirm and strengthen us / In Faith, Hope and Love.
https://doxologia.ro/sfanta-mucenita-sofia-fiicele-sale-pistis-elpis-agapis

Troparion — Tone 5

You blossomed in the courts of the Lord / as a fruitful olive tree, / holy martyr Sophia; / in your contest you offered to Christ the sweet fruit of your womb, / your daughters Faith, Hope, and Love. / Together with them intercede for us all.

Kontakion — Tone 1

The holy branches of noble Sophia, / Faith, Hope, and Love, / confounded Greek sophistry through Grace. / They struggled and won the victory / and have been granted an incorruptible crown by Christ the Master of all.




Saint FLOCEL (FLOSCEL, FLOCELLUS, FLOCELLE), enfant, martyr à Autun en Bourgogne sous Marc-Aurèle (entre 177 et 180). 






Sainte THEODOTE, dame riche et estimée du Pont, martyre à Nicée en Bithynie sous Alexandre Sévère (vers 222 ou 230). 




 

 

Sainte AGATHOCLEE, esclave chrétienne martyre par la main de Pauline, sa maîtresse païenne. 


Saints martyrs CHARALAMPOS, PANTOLEON et leurs compagnons. 



Saints NARCISSE et CRESCENTIEN, martyrs à Rome sous Valérien



Saint JUSTIN, prêtre et martyr à Rome sous Claude II le Gothique (269). 



Saints SOCRATE et ETIENNE, martyrs en Grande-Bretagne (IVème siècle).
Tropaire des saints Socrates et Etienne Ton 1

Vous avez gagné la couronne du martyre,/
O nobles Socrates et Etienne,/
Quand, marchant tous 2 sur les pas du saint patron et protomartyr * de votre nation,/
Vous avez résisté à l'édit de Dioclétien, le vrai ennemi de Dieu./
Priez Dieu afin que nous ayons aussi la force de rester fidèles, jusqu'à la mort,/
Afin que nous puissions aussi hériter de la vie éternelle.



Saints MACRIN, VALERIEN et GORDIEN, martyrs à Nyon (NovoduniumColonia Iulia Equestris) dans le pays de Vaud (III-IVème siècles). 


Saints LUCIE, veuve, et son fils spirituel GEMINIEN, martyrs à Rome sous Dioclétien et Maximien (vers 303). 

http://www.johnsanidopoulos.com/2016/09/saints-lucy-widow-and-geminianus-her.html




Saints PELEAS et NIL, évêques et martyrs, et ELIE et PATERMOUTHIOS, notables, martyrs morts par le feu; et avec eux DEUX CENT martyrs d'Egypte morts par le glaive et CINQUANTE martyrs de Palestine morts par le feu, sous Dioclétien et Maximien (entre 303 et 305). 

 http://www.johnsanidopoulos.com/2016/09/156-holy-martyrs-of-palestine.html



Saint SATYRE, frère aîné de saint Ambroise de Milan et ascète (383).




Saint EUXIPHIOS. 



Saint LEONTIEN, évêque de Coutances en Normandie (mentionné en 511). 



Saint TRIDOU, ermite au Relecq-Kerhuon en Bretagne (VIIème siècle). 



Saint ROUIN (RODING, RODINGUS, ROVINTER), Irlandais de nation, fondateur et abbé de Beaulieu en Argonne (vers 680). 



Saint FLACEAU, aumônier d'un couvent de moniales et d'un hospice au Mans dans le Maine (début du VIIIème siècle). 



Saint LAMBERT, évêque de Maëstricht en Toxandrie (Limbourg actuel), successeur de saint Théodard et prédécesseur de saint Hubert, martyr assassiné sur odre de Dodon, frère d'Alpaïde, la concubine de Pépin d'Héristal, qui s'était pris de haine pour le saint évêque parce qu'il avait reproché à Pépin d'avoir délaissé son épouse légitime sainte Plectrude (cf. le 10 août) (705, 706, 708 ou 709). (Office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome XVI du Supplément aux Ménées.)
Tropaire de saint Lambert de Liège Ton 6


Illustre pontife Lambert, tu as répandu

La sainte Parole de ton Créateur
Et tu as vaillamment dénoncé le péché
Sans craindre l'arrogance des puissants.
Puis tu devins pour ton peuple un berger
Qui termina sa vie en martyr.
Vénérable père Lambert,
Intercède pour nous.
San Landeberto, il cui nome successivamente fu mutato in Lamberto, nacque tra il 633 ed il 638 da una nobile e ricca famiglia di Maastricht, nella diocesi belga di Liegi. Nonostante il paganesimo imperasse ancora nella zona, la sua famiglia era cristiana ed egli ricevette la sua istruzione a corte dal vescovo San Teodardo. Intraprese poi la carriera ecclesiastica e divenne sacerdote Quando Teodardo fu assassinato verso il 670, Lamberto gli succedette sulla cattedra episcopale di Tongres-Maastricht.
Dopo cinque anni fu coinvolto nel tumulto politico seguito alla morte di Childerico II di Neustria e Borgogna. Lamberto fu allora esiliato dalla sua sede da Ebroino, precedente sindaco del palazzo di Neustria. Il re San Dagoberto II d´Austrasia, che lo ospitò inizialmente, chiese ai monaci di Stavelot-Màlmedy di accoglierlo provvisoriamente per assicurare la sua sicurezza e lo sostituì alla sede episcpale di Liegi con un certo Paramondo. Fu così che per ben sette anni Lamberto visse da semplice monaco, contraddistinguendo si per la sua umiltà e la sua laboriosità.
Nel 680 fu assassinato Ebroino e gli succedette Pipino di Héristal. Questi, al fine di consolidare la sua precaria posizione, immediatamente reintegrò tutti gli ecclesiastici nelle loro legittime sedi ed anche Lamberto poté dunque fare ritorno a Maastricht, pieno di zelo ed energia. Oltre ad espletare i suoi doveri di vescovo nei confronti del gregge affidato alle sue cure pastorali, intraprese un´opera di conversione dei pagani ancora presenti nel Campine e nel Brabante. Con la collaborazione di Santa Landrada fondò un monastero femminile presso Munsterblizen. sarebbe stato ucciso nella chiesa dei Santi Cosma e Damiano in Liegi in vendetta per le sue interferenze nella adulterina relazione tra Pipino e sua cognata Alpais, sorella della moglie Santa Plectrude.

http://stmaterne.blogspot.it/2007/06/sanctus-lambertus-ora-pro-nobis.html

Par les prières de notre saint père, évêque et martyr Lambert, Seigneur Jésus-Christ, Fils de Dieu, ai pitié de nous et sauve-nous!


Sainte COLOMBE, moniale, martyre à Cordoue en Andalousie par la main des Musulmans (853). 



L'icône de la Mère de Dieu de Constantinople (1071). 


 

 

Saint ANASTASE, qui pratiqua l'ascèse à Péristéron sur l'île de Chypre sous le règne d'Alexis et de Jean Comnène (entre 1081 et 1143), mort en paix (avant 1150). 



L'icône de la Mère de Dieu de Macaire (région de Kostroma, Russie 1442). 

 https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-sfantului-macarie





http://www.johnsanidopoulos.com/2015/09/saint-joachim-i-pany-patriarch-of.html

L'icône de la Mère de Dieu de Moltchensk (Russie 1635). 



Saint JEAN, laïque, martyr par la main des Communistes (Russie 1941

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