giovedì 1 gennaio 2015

del 2 gennaio feste santi e memorie




The first day of the Forefeast of Theophany falls on January 2. Like the hymns for the Nativity, many of the Church’s hymns of this period are slightly modified versions of the hymns of Holy Week.
One of the hymns at Matins today says that the coming Feast of Theophany will be “even more radiant” than the Feast of the Nativity.

del 2 gennaio feste santi e memorie

Saint SILAIN ou SILAN, harpiste, disicple de saint Front le premier évêque de Périgueux en Dordogne, martyr (Ier siècle?).

Saints FRONTAIS, SEVERIN et SEVERIEN, martyrs en Dordogne.

Saint PARACODE, Grec d'origine, septième évêque de Vienne en Dauphiné (vers 235).

Saint ANTERE, Grec d'origine, pape et patriarche de Rome (236). Greco, papa dal 21 novembre 235 al 31 gennaio 236, fu sepolto nella Cripta dei Papi nel Cimitero di Callisto. Alcune sue reliquie, in seguito, furono portate in S.Sisto Vecchio e a S.Silvestro in Capite.
Ordinò che si ricercassero gli atti dei martiri perché non andassero perduti o travisati. Morì santamente all’inizio del consolato di Massimino.

Sainte THEODOTE, mère des saints anargyres Côme et Damien célébrés le 1er novembre (IIIème siècle).

Saints ALVERIUS et SEBASTIEN, de la Légion thébaine, martyrs à Fossano en Piémont sous Dioclétien (288?).
Saint martyr SERGE, mort par le glaive à Césarée de Cappadoce (301). durante le celebrazioni annuali in onore di Giove, all'epoca dell'imperatore Diocleziano, il governatore dell'Armenia e della Cappadocia, Sapricio, trovandosi a Cesarea, ordinò che fossero convocati davanti al tempio pagano tutti i cristiani della città per costringerli a rendere il culto a Giove. Tra la folla comparve anche Sergio, un anziano magistrato, che da tempo aveva abbandonato la toga per fare vita eremitica.
La sua presenza produsse l'effetto sorprendente di spegnere i fuochi preparati per i sacrifici. Si attribuì immediatamente la causa dello strano fenomeno ai cristiani che col loro rifiuto avevano irritato il dio. Si fece allora avanti Sergio e spiegò che la ragione dell'impotenza degli dèi pagani era da cercarsi molto in alto, nella onnipotenza del vero e unico Dio, adorato dai cristiani. Sergio venne arrestato e condotto davanti al governatore, il quale con giudizio sommario lo condannò alla decapitazione. La condanna venne eseguita immediatamente: era il 24 febbraio. Il corpo del martire, raccolto dai cristiani, ebbe sepoltura in casa di una pia donna. Di qui le reliquie furono trasportate in Spagna, nella città andalusa di Ubeda.


Mémoire des SAINTS MARTYRS qui refusèrent de livrer les saintes Ecritures lors de la persécution de Dioclétien (Rome 304). Plusieurs MARTYRS jetés dans un puits à Plaisance en Emilie-Romagne sous Dioclétien.

Plusieurs MARTYRS égorgés à Lichfield (Angleterre) sous Dioclétien (304).

 

Saint THEAGENE, évêque de Parium dans l'Hellespont, martyr sous Licinius (320).
http://www.johnsanidopoulos.com/2016/01/holy-hieromartyr-theagenes-bishop-of.html
 


Saints ARGEU, NARCISSE et MARCELLIN, martyrs à Tomis (aujourd'hui Constanţa en Roumanie) lors de la persécution de Licinius (vers 320).





 



Saint SYLVESTRE Ier, pape et patriarche de Rome (autre mémoire le 31 décembre) (335). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées.)
Notre bienheureux père Silvestre, originaire d'une pieuse famille de Rome, montra depuis son enfance un zèle ardent pour la défense et la propagation de la Foi. Pendant la persécution, il pratiqua avec courage l'hospitalité pour les Confesseurs pourchassés par les autorités, en particulier pour le Saint Martyr Timothée d'Antioche, qu'il alla enterrer en secret après son exécution. Arrêté, puis miraculeusement délivré, il fut ordonné Prêtre par l'Evêque saint Miltiade et, à la mort de ce dernier (314), fut contraint d'accepter la succession par les fidèles qui appréciaient ses vertus et sa charité. Silvestre devint alors un digne imitateur de l'Apôtre Pierre par le soin pastorale de son troupeau spirituel et par le zèle pour les Saints Dogmes. Il organisa avec soin le service des pauvres, organisa les coutumes de l'Eglise de manière à les différencier des usages païens, et s'illustra par de nombreux Miracles.aaaLorsque Constantin le Grand, vainqueur de Maxence par la puissance de la précieuse Croix, entra dans Rome et fit promulguer de nombreuses mesures favorables au Christianisme, Saint Silvestre put sortir de la clandestinité et enseigner aux foules les Mystères de la Foi. Nombreux furent ceux qui reçurent alors le Saint Baptême dans l'allégresse générale. Quant à l'empereur, après avoir été catéchisé par le Saint, il préféra remettre la date de son Baptême, afin d'être initié à la vie nouvelle dans le Jourdain, sur les lieux mêmes du Baptême du Sauveur1 Avec les conseils de Silvestre, Constantin fit construire dans Rome sept grandes basiliques pour célébrer dignement, désormais sans entraves, les Fêtes du Seigneur et des Saints Martyrs.aaaSeul le diable, ennemi du genre humain, grinçait des dents et méditait une vengeance. Il suggéra à la mère de l'empereur, Sainte Hélène (voir 21 mai), alors encore adepte du Judaïsme, d'organiser une grande confrontation publique de douze scribes des plus savants, menés par un certain Zambré adonné à la magie, et de douze Evêques chrétiens, sous la direction de Silvestre. A toutes les objections des Juifs, le bienheureux montrait de manière indiscutable, au moyen des paroles mêmes des Prophètes, que tous les événements de l'Ancienne Alliance et toutes les promesses de Dieu trouvent la plénitude de leur réalisation en la Personne du Christ Sauveur. Après leur avoir exposé que la confession des trois Personnes: Père, Fils et Saint-Esprit, ne contredit pas, mais confirme plutôt l'unité du Dieu Un en Sa nature, il répondit à leur question sur l'Incarnation à l'aide d'exemples. Prenant en main le manteau de pourpre de l'empereur, il dit: «Tout comme il convenait que cette étoffe écrue subisse violence et travail, qu'elle soit teinte de pourpre, taillée et façonnée, de manière à servir d'ornement et d'emblème de la dignité impériale, sans pour cela que le souverain n'en souffre quoi que ce fût; de même il fallait que la chair du Christ, assumée par lui, fusse soumise à l'épreuve, sans que Sa divinité n'en souffrît quoi que ce fût, pour que l'homme tout entier, âme et corps, devienne un digne ornement de la Gloire de Dieu. » A une autre objection sur la mort du Christ, il répondit: «Parce que l'homme était devenu prisonnier de la mort par la transgression, Dieu n'envoya pas un Ange mais son propre Fils pour l'échanger et le livrer comme en otage à la mort. Mais découvrant que cette proie était incorruptible, car Dieu même incarné, elle le rejeta, et la nature humaine toute entière avec Lui, convaincue dès lors de son impuissance. C'est ainsi qu'avec le Christ-homme, l'homme déchu ne fut pas seulement délivré de la mort, mais gagna le Ciel et le séjour avec Dieu». Les scribes juifs restèrent muets devant de tels arguments. Mais, voulant montrer malgré tout la puissance de son Dieu, Zambré souffla une invocation magique dans l'oreille d'un taureau sauvage qui tomba mort sur le coup, et défia Silvestre d'en faire autant. «Mon Dieu ne donne pas la mort, mais la vie et la résurrection» répondit Silvestre; et, élevant les mains vers le ciel, il ressuscita la bête qu'il renvoya docile. L'empereur et la foule saluèrent le Saint par des ovations et nombreux furent ceux qui décidèrent alors de se faire baptiser. Saint Sylvestre continua d'œuvrer pour la gloire de l'Eglise et la défense des Saints Dogmes. Il remit son âme à Dieu le 31 décembre 335.
Saint BASILE d'Ancyre (aujourd'hui Ankara) en Galatie, martyr sous Julien l'Apostat (362 ou 363).

Saint THEOPEMPTOS, mort en paix.

 
Saint MARC le Sourd, mort en paix.
http://www.johnsanidopoulos.com/2010/07/saint-mark-deaf.html?m=1
 


Saint MARTINIEN, archevêque de Milan en Lombardie, qui assista au concile d'Ephèse en 431 et confessa la foi orthodoxe face au nestorianisme (vers 435). 

Saint MACAIRE, vicaire du préfet de Rome, devenu ermite (vers 450). 


Saint NIL le Sanctifié, fondateur du monastère de Géromérion.

Saint ASPAIS, évêque d'Eauze en Aquitaine et confesseur (entre 533 et 539). forse di Eauze (l’antica ‘Elusa’ nella Francia Meridionale), come si ritiene da studi del XVII secolo; s. Aspasio comunque già dal sec. XIII gode di un culto nella città di Melun, di cui è patrono (città della Francia Centro-settentrionale, sulla Senna, capoluogo del Dipartimento della Seine-et-Marne).
Egli avrebbe evangelizzato questa regione, ma non vi sono certezze; mentre se è stato vescovo di Eauze, si sa che fu presente nel 533 al Concilio di Orléans, convocato per ordine di Chidelberto I, Clotario I e Tierrico I, figli eredi del regno merovingio di Clodoveo I.
Partecipò anche ad altri Concili tenutesi sempre ad Orléans nel 541 e 549; riunì i vescovi dipendenti dalla sua sede metropolitana, in un Sinodo Provinciale nel 551, che fu il primo dell’epoca merovingia.
Le sue reliquie si conservano a Melun, l’antica ‘Meledunum’, nella chiesa a lui intitolata; è celebrato in questa città l’11 gennaio, mentre a Meaux il 2 gennaio. È invocato contro gli ascessi ed i mal di testa.



Saint ASPACE, ASPAIS ou ASPASIUS, prêtre et confesseur à Melun en Brie (vers 550 ou 573).

Saint MUNCHIN, probablement le premier évêque de Limerick en Irlande (VIIème siècle?).

Saint MÊME ou MAXIMIN, prêtre dans un faubourg de Vienne en Dauphiné, martyr par la main des serviteurs d'Eldebode, intendant du roi Clotaire II (614).

Saint BLADULPHE, moine de Bobbio, qui reprocha au roi des Lombards Ariovald son appartenance à l'hérésie arienne (vers 630). 


Saint VINCENTIEN ou VIENCE, esclave palefrenier qui s'enfuit parce que son maître voulait le contraindre à se marier, et qui devint solitaire dans le Limousin (667 ou 674).

aaaVincentien ou Viance, que l'on dit natif de l'Anjou, étant devenu orphelin, fut élevé par les soins d'un duc d'Aquitaine sur la recommandation de Didier, Evêque de Cahors. Animé des sentiments d'une fervente piété, il refusa de contracter mariage et, pour ce motif, subit les mauvais traitements du duc, son protecteur. Il parvint à s'échapper et alla mener la vie érémitique dans un désert du Limousin.
aaaA sa mort, survenue le 2 Janvier, vers 672, on voulut transporter son corps dans une église récemment bâtie sur les bords de la Vézère. Des miracles, accomplis au moment de cette translation, ne firent qu'augmenter le renom de sa Sainteté, et, à partir de ce moment, il fut l'objet d'un culte dans le lieu qui porta le nom de Saint-Viance, au diocèse de Tulle. Au moment de la Révolution, on a pu conserver une grande partie de ses Reliques.


Saint MAXIMIN, confesseur à Billom en Auvergne.

Saint AUBRIN ou ALBERICUS, protecteur de Montbrison en Forez (département français de la Loire).

Saint ASCLIPE, évêque de Limoges (VIII ème siècle).

Saint CÔME Ier, patriarche de Constantinople de 1075 à 1081, thaumaturge.

Saint SYLVESTRE, moine de la Laure des Grottes de Kiev, continuateur de la chronique de saint Nestor (XIIème siècle).

Sainte JULIENNE OSSORGUINE de Lazarevskoïe, propriétaire terrienne et mère de famille qui s'illustra dans la prière et l'ascèse au milieu des occupations de la vie quotidienne (Russie 1604).
Righteous Juliana of Lazarevo and Murom presents an astonishing example of a self-denying Russian Christian woman. She was the daughter of the nobleman Justin Nediurev. From her early years she lived devoutly, kept the fasts strictly and set aside much time for prayer. Early on having become orphaned, she was given over into the care of relatives, who did not take to her and laughed at her. Juliana bore everything with patience and without complaint. Her love for people was expressed by nursing the sick and sewing clothing for the poor.

The pious and virtuous life of the maiden attracted the attention of the Lazarevo village owner, Yurii Osoryin, who soon married her. The husband's parents loved their gentle daughter-in-law and left the running of the household in her hands. Domestic concerns did not disrupt the spiritual efforts of Juliana. She always found time for prayer and she was always prepared to feed the orphaned and clothe the poor. During a harsh famine, she herself remained without food, having given away her last morsel to someone begging. When an epidemic started after the famine, Juliana devoted herself completely to the nursing of the sick.

Righteous Juliana had six sons and a daughter. After the death of two of her sons she decided to withdraw to a monastery, but her husband persuaded her to remain in the world, and to continue to raise their children. On the testimony of Juliana's son, Kallistrat Osoryin, who wrote her Life, at this time she became all the more demanding towards herself: she intensified her fasting and prayer, slept not more than two hours at night, and then laying her head upon a board.

Upon the death of her husband, Juliana distributed to the poor her portion of the inheritance. Living in extreme poverty, she was none the less vivacious, cordial, and in everything she thanked the Lord. The saint was vouchsafed a visitation by St Nicholas the Wonderworker and guidance by the Mother of God in church. When Righteous Juliana fell asleep in the Lord, she was then buried beside her husband at the church of St Lazarus. Here also her daughter, the schemanun Theodosia was buried. In 1614 the relics of Righteous Juliana were uncovered, exuding a fragrant myrrh, from which many received healing.




 



https://doxologia.ro/sfanta-iuliana-din-lazarevo

Saint GEORGES le Géorgien, esclave contraint à l'apostasie dans son enfance, martyr par la main des Musulmans à Mytilène (1770).
St George (Zorzes) was from Georgia, and was sold into slavery when he was young. His master, a Muslim from the Greek island of Mytilene, forced him to embrace Islam and renamed him Sali. After his master died, George remained on the island and opened a small shop. In 1770, when he was seventy years old, he appeared before the authorities and announced that he was an Orthodox Christian. The kadi thought that George had lost his mind, since his declaration would lead to his death.

The next day George was questioned again, and then he was beaten. He endured his torments with silence, but would not be turned from his confession of faith. After more torture, the holy martyr was hanged on January 2, 1770, receiving a crown of glory from the Savior Christ.




Saint SERAPHIN, ermite et thaumaturge de Sarov (Russie 1833). (Acathiste traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I du Supplément aux Ménées.)

 http://www.johnsanidopoulos.com/2017/01/saint-seraphim-of-sarov-resource-page.html

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