sabato 3 gennaio 2015

del 4 gennaio feste santi e memorie

del 4 gennaio feste santi e memorie 
 
 
Synaxe des SEPTANTE saints et glorieux "APÔTRES", disciples du Sauveur: AGABUS, AKYLAS, AMPLIAS, évêque d'Odyssopolis, ANANIAS, évêque de Damas, ANDRONIQUE, APELLE, évêque d'Héraclée, APELLE, évêque de Smyrne, APOLLOS, évêque de Césarée, ARISTARQUE, évêque d'Apamée, ARISTOBULE, évêque de Grande-Bretagne, ARTEMAS, évêque de Lystres, ARCHIPPE, ASYNCRITE, ACHAÏQUE, BARNABE, CARPUS, CESAR, CEPHAS, CLEMENT, évêque de Sardes, COUARTUS, CRESCENS, évêque de Chalcédoine et peut-être de Vienne en Dauphiné, EPAINETOS, évêque de Carthagène, EPAPHRODITE, évêque de Colophon, ERASTE, évêque de Panéas, FORTUNAT, GAÏUS, évêque d'Ephèse, HERMAS,évêque de Philippes, HERODION, évêque de Patras, JASON, évêque de Tarse, LIN, premier évêque de Rome, dont tous les papes et patriarches de Rome sont les successeurs, LUC, évêque de Laodicée, MARC, évêque de Byblos, MARC, évêque d'Apolloniade, NARCISSE, évêque d'Athènes, NYMPHAS, ONESIME, ONESIPHORE, évêque de Colophon, PATROBAS, évêque de Pouzzoles, PHILEMON, évêque de Gaza, PUDENS, RUFUS, évêque de Thèbes, SILVAIN, évêque de Thessalonique, STEPHANAS, SOSTHENE, évêque de Colophon, SOSIPATER, évêque d'Iconium, TERTIUS, évêque d'Iconium, TIMOTHEE, évêque d'Ephèse, TITE, évêque de Crète, TROPHIME, TYCHIQUE et ZENAS, évêque de Laodicée, tous disciples du saint apôtre Paul; EVODE, premier évêque d'Antioche, dont tous les patriarches d'Antioche sont les successeurs, disciple des saints apôtres Pierre et Paul; STACHYS, premier évêque de Byzance, dont tous les patriarches de Constantinople sont les successeurs, disciple des saints apôtres Paul et André; CODRAT, OLYMPAS, PHLEGON, PHILOLOGUE, URBAIN, évêque de Macédoine, tous disciples du Christ ou des Apôtres; en ce jour on leur associe les "frères du Seigneur", fils de Joseph: JACQUES, premier évêque de Jérusalem, dont tous les patriarches de Jérusalem sont les successeurs; JUSTE, évêque d'Eleuthéropolis, SYMEON (CLEOPAS), évêque de Jérusalem; on leur associe aussi six des sept diacres: ETIENNE, PHILIPPE, PROCHORE, NICANOR, TIMON et PARMENAS, ainsi que ZACHEE qui monta sur un sycomore pour voir le Christ. (Ier siècle) (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées.) 
http://oca.org/saints/lives/2014/01/04


Saint ZOSIME, ermite, et ATHANASE, greffier, martyrs en Cilicie (soit sous Domitien entre 81 et 96, soit aux IIIème-IVème siècles).

Saint MAVILE, martyr à Hadrumète en Afrique du Nord sous Septime Sévère ( vers 203).

Sainte FAUSTE, vierge et martyre en Gascogne.

Saints CHRYSANTHE et EUPHEMIE, martyrs. (Office à saint Chrysanthe de Chypre traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées.)

SIX saints martyrs, morts ensuite dans la paix.

Saints HERMES, AGGEE et CAÏUS, martyrs à Bologne en Emilie-Romagne sous Maximien (304).

Sainte DAFROSE, épouse de saint Flavien, martyre à Rome sous Julien l'Apostat (entre 360 et 363).  
http://www.santiebeati.it/dettaglio/91037
Saints PRISQUE, prêtre, PRISCILLIEN, diacre, et BENEDICTE ou BENOÎTE, femme pieuse, martyrs à Rome sous Julien l'Apostat (362). Saint THEOPROBE, évêque de Karpasia de Chypre (IVème siècle).

Saints AQUILAIN, GEMINE, EUGENE, MARCIEN, QUINCTUS, THEODOTE et TRYPHON, martyrs en Afrique du Nord par la main des Ariens sous le roi des Vandales Hunéric (vers 484).

Sainte APOLLINAIRE, vierge de rang sénatorial qui pratiqua l'ascèse en Egypte sous le nom de DOROTHEE (fin Vème siècle).Massimino Daia, trovandosi ad Alessandria di Egitto, concepì un'insana passione per una nobile donna cristiana, celebre per le sue ricchezze, l'educazione e specialmente per la purezza. Fece molti tentativi supplicandola perché volesse accondiscendere ai suoi desideri, ma la donna gli fece sapere che avrebbe preferito la morte piuttosto che peccare. Non riuscendo a spuntarla, Massimino si vendicò condannandola all'esilio e confiscandole i beni. Eusebio non ha tramandato il nome dell'eroica donna, ma Rufino, non si sa su quale fondamento, afferma che si chiamava Dorotea, che era una vergine consacrata a Dio e che, per sfuggire alle voglie di Massimino, si rifugiò nell'Arabia

Saint GREGOIRE, évêque de Langres en Champagne, célèbre par ses miracles (539). (Autre mémoire le 6 novembre.)
A Digione in Burgundia, odierna Francia, san Gregorio, che, dopo essere stato per molti anni conte nella regione di Autun, fu ordinato vescovo di Langres.
De famille sénatoriale, Grégoire gouverna le pays d'Autun, en qualité de comte, pendant quarante ans ; il remplit cette charge avec un grand sentiment de l'équité et avec une fermeté qui en faisait la terreur des méchants. De son épouse Armentaire, il eut deux fils, dont l'un, Tetricus, fut son successeur sur le siège de Langres, et l'autre fut le grand-père de l'historien Grégoire de Tours. Il était déjà avancé en âge quand, devenu veuf, il abandonna le monde et se donna à Dieu sans réserve. C'est alors que le Clergé et les fidèles de Langres l'élurent comme Evêque. Après son Sacre, on vit en lui un admirable exemple de fidélité à tous les devoirs de sa charge pastorale ; sans le laisser paraître extéricurement, il pratiquait une rigoureuse abstinence, ne vivait que de pain d'orge, ne mêlait que quelques gouttes de vin à l'eau qu'il buvait, consacrait de longues heures à la prière durant la nuit.

aaaLa ville de Dijon, à cette époque, faisait partie du Diocèse de Langres ; Grégoire y faisait d'assez longs séjours. Sa résidence était contiguë au baptistère de Saint-Vincent, non loin de l'endroit où se trouve l'église Saint-Étienne. De nombreuses Reliques étaient exposées dans ce baptistère, et Grégoire venait les vénérer pendant la nuit. Un de ses Clercs, qui épiait ses démarches, raconta que, durant l'une de ces veilles, les Saints dont les Reliques étaient ainsi exposées vinrent se joindre à lui pour chanter les louanges du Seigneur. Il entendit Saint Bénigne, dont le culte était négligé, se plaindre de cet oubli ; ce qui amena Grégoire à renouveler la châsse du Saint Martyr.

aaaGrégoire gouverna pendant trente-trois ans le Diocèse de Langres ; il assista en personne aux conciles d'Épaone et de Clermont, en 517 et 525, il se fit représenter à celui d'Orléans de 538. Il se rendait à Langres pour les fêtes de l'Épiphanie quand il fut atteint de la fièvre et passa à une vie meilleure le 4 janvier 539 ; il était plus qu'octogénaire. Selon son désir, son corps fut inhumé dans le baptistère de Dijon.

aaaL'épitaphe composée par Venance Fortunat laisse entendre que le saint homme sut réparer ses excès de sévérité comme gouverneur séculier par la tendre charité dont il usa envers tous durant la dernière partie de sa vie. De fait, les miracles accomplis après sa mort, par son intercession, furent de préférence en faveur de captifs frappés par la justice humaine.

aaaLorsque Tetricus, fils et successeur de Grégoire, voulut lui élever un monument plus somptueux, on procéda à l'exhumation, et le corps fut trouvé dans l'attitude du sommeil et sans corruption ; l'anniversaire de cette translation se célèbre le 6 novembre.


Saint FERREOL, évêque d'Uzès en Languedoc (581).  A Uzès nella Gallia narbonense, odierna Francia, san Ferréolo, vescovo, che scrisse una regola per i monaci e, mandato in esilio per invidia, fu dopo tre anni riconosciuto come vero uomo di Dio e restituito con gioia al o popolo
Ferréol, de famille royale, naquit dans la province de Narbonne. Il succéda à son oncle Firmin sur le siège d'Uzès. Si l'on en croit la tradition, il améliora la situation de son Clergé au temporel et au spirituel, gagna l'affection des simples fidèles par l'aménité de son caractère, et réussit à convertir un bon nombre de juifs répandus dans la contrée. Des envieux le dénoncèrent au roi Childebert comme trop favorable aux juifs et aux Sarrasins, et il fut condamné à l'exil. Childebert, qui l'avait fait venir à Paris, reconnut en lui un véritable homme de Dieu et, au bout de trois ans, le rendit à son diocèse. Ferréol y fut accueilli avec transport et continua l'Å“uvre des conversions heureusement commencée. Un Ange du Seigneur lui apparut pour lui annoncer l'heure prochaine de son trépas. Ferréol s'y prépara avec ferveur et mourut peu après ; son corps fut déposé dans l'église Saint-Paul d'Uzès et de nombreuses guérisons furent opérées à son tombeau.

aaaD'après Grégoire de Tours, Ferréol écrivit un certain nombre de Lettres, mais il n'en est rien resté. On a attribué aussi à cet évêque une Règle pour les moines ; elle était destinée à l'Abbaye fondée par lui à Uzès en 558.

Sainte TARSICIE, vierge, soeur de saint Ferréol d'Uzès, solitaire au pays des Rutènes (diocèse de Rodez / Rouergue / actuel département de l'Aveyron). (Autre mémoire le 15 janvier.)

Sainte NEOPHYTE, nièce du roi Oswald de Northumbrie, martyre de la virginité (VIIème siècle).

Sainte PHARAÏLDE, vierge, patronne de Gand en Flandre belge (710). 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/36280


Saint ROBERT ou RIGOBERT, archevêque de Reims (732 ou 733). 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/91519



Saint THEOCTISTE, higoumène du monastère de Coucoumios en Sicile (800). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées.) 

Saint EUTHYME le Jeune, qui reposait dans le sanctuaire de Saint-Mocius à Constantinople.

Saint EUTHYME, higoumène de Vatopédi sur l'Athos, noyé dans la mer pour avoir confessé la foi orthodoxe, et DOUZE de ses moines, pendus en haut d'une colline au terme de divers supplices par les partisans de l'union avec le Pape (Athos, 1276, 1280 ou 1281).

Saint EUSTATHE Ier, archevêque de Serbie (1286). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I du Supplément aux Ménées.)
http://oca.org/saints/lives/2014/01/04/100089-repose-of-st-eustathius-i-archbishop-of-serbia

Saint ACHILLE, diacre de la Laure des Grottes de Kiev (XIVème siècle). 
http://oca.org/saints/lives/2014/01/04/100090-st-aquila-deacon-of-the-kiev-caves


Saint SYMEON, métropolite de Smolensk (Russie 1681).
St Théoctiste
Saint ONUPHRE, moine du monastère athonite de Chilandar, martyr par la main des Musulmans à Chio (1818).
Né à Camproba, bourg de la région de Tirnovo (Bulgarie), dans une famille aisée, Saint Onuphre, appelé Matthieu au Saint Baptême, reçut une solide éducation chrétienne. Un jour, vers l'âge de huit ans, comme il recevait une correction par ses parents pour une indiscipline, en présence de Turcs de la contrée, il s'écria pour se venger qu'il voulait devenir musulman. Heureusement, le soin attentif et les réprimandes de ses parents lui firent bien vite abandonner cette idée et, étant parvenu à l'âge requis, il décida même d'embrasser la vie monastique au Monastère Serbe de Chilandar sur le Mont Athos. Tonsuré sous le nom de Manassé et ordonné Diacre, il montrait un grand zèle dans le jeûne, la prière et tous les labeurs de la vie ascétique, de telle sorte que, progressant dans la vertu et l'humilité, le souvenir du reniement prononcé dans son enfance en un moment d'égarement lui brûlait la conscience et l'amena au désir d'offrir sa vie en sacrifice au Seigneur pour obtenir son pardon. Plus l'amour de Dieu grandissait en lui, plus le désir du Martyre se faisait pressant. Sans révéler son projet à personne, il se rendit à la skite de Saint Jean le Précurseur auprès de l'ancien Nicéphore, ascète réputé et père spirituel expérimenté, qui avait préparé au Martyre quelque temps auparavant Saints Euthyme, Ignace et Acace (voir au ler mai). Celui-ci lui donna une cellule, où il demeurait reclus, ne mangeant qu'un peu de pain tous les deux ou trois jours, faisait environ quatre mille prosternations de jour et de nuit, priait sans interruption, l'intelligence fixée dans son coeur, et versait des torrents de larmes. Au bout de quatre mois d'une telle préparation, comme son désir du Martyre ne cessait de croître, en lui faisant oublier tout ce qui est de cette vie, l'Ancien le revêtit du saint et grand habit angélique sous le nom d'Onuphre et l'envoya accomplir son dessein, en compagnie d'un des ' frères, Grégoire du Péloponnèse, qui avait assisté les trois Saints Martyrs mentionnés plus haut dans leur ultime combat. Parvenu dans l'île de Chios, il s'isola d'abord pendant sept jours pour se préparer dans la prière et le jeûne, en lisant avec avidité le récit de la mort des Néomartyrs qui l'avaient précédé. Saisi par la crainte humaine de la souffrance et tenté d'abandonner son projet, il fut alors réconforté par l'apparition d'un groupe de Néomartyrs qui lui dirent: «Viens, car le Roi te demande! » puis, le premier janvier, par celle de Saint Basile de Grand.

aaaTout en l'encourageant à persévérer dans sa résolution, Grégoire, en maître avisé, lui adressait injures et lourdes réprimandes pour l'affermir dans l'humilité avant de parvenir à l'humilité parfaite du Fils de Dieu qui s'est humilié pour nous jusqu'à la mort sur la Croix (voir Philippiens 2:8). Le soir du Jeudi Saint, de même que le Seigneur était parti pour veiller au jardin des Oliviers avant d'être livré, Onuphre, après avoir communié aux Saints Mystères, s'oignit le corps, tel un athlète avant le combat, avec l'huile des veilleuses brûlant devant les Icônes des Néomartyrs, et passa le reste de la nuit en prière. A l'aurore, il se présenta au tribunal local revêtu du costume turc et, piétinant le turban blanc, signe distinctif des adeptes de Mahomet, il raconta son histoire et abjura l'Islam devant un grand nombre d'agas (juges). D'abord ahuris par une telle audace, les Turcs s'emparèrent du Saint, le rudoyèrent, puis le jetèrent en prison, les pieds étroitement enserrés dans un étau. Comme sa résolution restait inébranlable, la sentence fut prononcée et aussitôt exécutée. Le Saint parvint à attirer ses bourmaux jusqu'au lieu même où dix-sept ans auparavant le Saint Martyr Marc avait été décapité (voir sa mémoire le 5 juin), il s'agenouilla, courba docilement la nuque et expira après trois coups de glaive maladroitement assénés. Son corps et la terre imbibée de son sang furent jetés en hâte à la mer, de peur que les Chrétiens ne viennent les vénérer
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http://oca.org/saints/lives/2014/01/04/103806-martyrs-of-the-shio-mgvime-monastery

Saints EVAGRE, ELIE le diacre et les moines du monastère de Chiomrvimévi en Géorgie.
http://oca.org/saints/lives/2014/01/04/103807-martyr-evargrisi-of-the-shio-mgvime-monastery

Saints ALEXANDRE, ETIENNE et PHILIPPE, prêtres, martyrs par la main des Communistes (Russie 1933).

Saint NICOLAS, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1939).

Saint PAUL, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1941).

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