sabato 25 luglio 2015

26 luglio feste santi e memorie


MYSTAGOGY


Saint HYACINTHE, martyr à Porto dans le Latium sous Trajan (entre 98 et 117). 
http://www.johnsanidopoulos.com/2009/07/saint-paraskeve-virgin-martyr-according.html

Sainte PARASCEVE, vierge et martyre à Rome sous Antonin (vers 140). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome VII des Ménées.)
 
Troparion (Tone 1)
Ready for godliness, O namesake of preparedness, thou didst inherit as a dwelling a faith worthy of thy name. O prize-winning Paraskevi thou dost pour forth healings, and art interceding for our souls.
Paraskevi was born in Rome to Christian parents. When her parents died, she became a nun. She received the blessing of the Abbess to proclaim the Gospel of Christ as an itinerant preacher, even though it was illegal to do so. Some Jews brought her for trial before the Emperor Antonius, who tried to persuade her to give up her faith. She remained steadfast, so she was tortured by fire and a white hot helmet was placed on her head. No matter what the soldiers would do to torture her, she would be healed and start the next day refreshed and whole as if nothing had happened. This infuriated Antonius so he decided to boil her alive in a cauldron of boiling water, oil and tar. When she was lowered into it, she acted as though it were lukewarm water. The Emperor accused his men of ineptitude and told Paraskevi to splash some of this water on him. She obeyed and threw hot tar on his face. He was blinded and called out to her to pray to God to heal him, promising to follow Christ if he were to be healed. She jumped out of the cauldron and went to a spring and poured some of its water on his eyes, making the sign of the Cross. He was healed immediately and was baptized in the Name of the Trinity, and ended the persecution of Christians. That spring in Therapia (now in Turkey) has ever since been a source of healing, especially for blindness and other eye ailments. Marcus Aurelius succeded Antonius and renewed the persecution of Christians. Paraskevi was tortured in two more cities. She again miraculously recovered from her wounds. The pagans tried to ascribe her miracles to their false gods. She affirmed that it was the power of "my Christ, the true God." Prince Tarasius ended her earthly life by beheading her on July 26, 180. Her holy relics were later taken to Constantinople
 
La Sainte et Grande Martyre Parasc
ève naquit dans un village proche de Rome, sous le règne d'Hadrien (117-138), de parents chrétiens, Agathon et Politeia, qui avaient longtemps supplié le Seigneur de leur donner une progéniture. Dieu, qui comble toujours le désir de ceux qui le craignent, leur accorda donc une fille, qu'ils appelèrent Parascève, car elle était née un vendredi et par dévotion pour la Passion vivifiante de Notre Seigneur Jésus-Christ. Dès sa plus tendre enfance, elle se consacra tout entière aux choses de Dieu. N'éprouvant aucun attrait pour les jeux puérils, elle passait tout son temps soit dans l'église pour assister aux Offices, soit à la maison, pour s'adonner àla méditation de la Parole de Dieu ou à la prière. Quand ses parents moururent, alors qu'elle était âgée de douze ans elle distribua leurs grandes richesses aux nécessiteux, puis se retira dans un Monastère où elle reçut le voile, signe de sa consécration à Dieu. Après y avoir passé quelque temps dans une complète soumission à sa supérieure, l'âme avide de faire partager aux autres hommes le trésor de la foi, elle quitta le Monastère pour aller proclamer le Nom du Christ par villes et campagnes. Elle amena ainsi beaucoup de païens à la vraie foi, suscitant la jalousie et la haine des Juifs, qui la dénoncèrent au roi de la contrée dans laquelle elle se trouvait. Le souverain ordonna aussitôt d'arrêter la noble chrétienne et de la faire comparaître devant lui. Lorsqu'il la vit, il resta d'abord stupéfait devant sa beauté, puis essaya de l'attirer par des flatteries, disant: " Si tu te laisses convaincre par mes paroles et acceptes de sacrifier aux dieux, tu recevras de grandes richesses; mais si tu t'obstines, sache que je vais te livrer à de terribles tourments." La frêle jeune fille lui répondit avec une virile assurance: " Jamais je ne renierai mon très doux Jésus-Christ, et nul supplice ne pourra me séparer de Son amour. Car c'est Lui Qui a dit: Je suis la Lumière du monde, et Qui Me suivra ne marchera point dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. Quant à vos dieux, qui n'ont fait ni le ciel ni la terre, ils seront exterminés de la terre et de dessous le ciel ". La colère du roi s'enflamma alors, et il donna l'ordre aux soldats de poser sur la tête de la Sainte un casque de fer rougi au feu. Recouverte de rosée, comme les Trois Jeunes Gens dans la fournaise, Sainte Parascève ne ressentit aucune souffrance. Après avoir eu les seins arrachés, elle fut jetée en prison, avec une lourde pierre posée sur la poitrine, mais fut guérie par un Ange apparu dans un grand tremblement de terre. Constatant le miracle, soixante-dix soldats de la garnison se convertirent; ils furent aussitôt exécutés sur ordre du tyran qui fit de nouveau comparaître Parascève. Ayant réitéré son ardente confession de foi, la Sainte fut plongée dans un chaudron d'airain rempli de plomb en fusion. Mais là encore, son corps ayant reçu, par l'ascèse et la virginité, les arrhes de l'incorruptibilité future, resta invulnérable. Ne croyant pas que le mélange fût vraiment brûlant, le tyran s'approcha et se trouva aveuglé par l'ardeur de la foumaise. Prenant conscience de sa faute sous l'effet de la douleur, il se mit àcrier: " Aie pitié de moi, servante du vrai Dieu, et rends la lumière à mes yeux, et je croirai au Dieu que tu proclames. "A la prière de la Sainte, il recouvra non seulement la vue, mais reçut aussi la lumière de la foi, et à sa demande, il fut baptisé au nom de la Sainte Trinité, avec tout son entourage.
Libérée, Sainte Parascève quitta la contrée, en vue de poursuivre ses missions. Alors qu'elle se trouvait dans une ville, gouvernée par un certain Asclépios, et y proclamait le Christ, elle fut arrêtée et traduite au tribunal. À la question dAsclépios, lui demandant de décliner son identité, la Sainte fit le signe de la Sainte Croix, et déclara qu'elle était servante du Dieu Qui a créé le ciel et la terre, Qui S'est offert à la croix et à la mort pour notre Salut, et Qui reviendra en gloire juger les vivants et les morts. Le tyran la fit frapper de verges, mais la Sainte continuait de glorifier Dieu, le regard tourné vers le ciel, et quand Asclépios interrompit les bourreaux pour lui proposer de sacrifier, elle lui cracha avec mépris au visage. Hors de lui, il la fit fustiger jusqu'aux os. Mais après une nuit passée dans le cachot, les soldats la découvrirent, au matin, indemne. Comme elle demandait au roi à se rendre au temple d'Apollon, tous les païens se réjouirent, croyant quelle acceptait de sacrifier. Lorsqu'elle traça le signe de la Croix, après avoir longuement prié, les idoles s'effondrèrent dans un grand fracas, et le peuple s'écria: " Grand est le Dieu des Chrétiens! " Les prêtres des idoles, dans une grande fureur, ayant réclamé au roi d'en finir avec elle, elle fut précipitée dans une fosse, où elle mit àmort, par sa prière, un dragon et des reptiles qui s'y trouvaient. Constatant que toutes ses entreprisesétaient restées vaines, Asclépios l'envoya dans un autre royaume, dirigé par le cruel Tarasios Comme elle y guérissait par l'invocation du Nom du Christ tous les malades qu'on lui présentait, le roi la fit comparaître, en l'inculpant de pratiques magiques, et ordonna de la jeter dans une fosse puante, remplie de bêtes venimeuses. Par le signe de la Croix, cette fange devint semblable à une prairie parfumée au printemps, et la Sainte, protégée par un Ange, resta invulnérableà toutes les autres tortures qu'on lui infligea. Aussi, ne contenant plus sa rage, le roi ordonna à ses bourreaux de trancher la tête de la servante de Dieu. Tombant à genoux, Parascève pria avec larmes, confiant son âme valeureuse au Christ son Epoux et lui demandant d'accorder le pardon des péchéà ceux qui honoreraient sa mémoire. Quand sa tête tomba sous le glaive, on entendit une voix céleste lui souhaiter la bienvenue dans le Royaume des Cieux, dont elle avait annoncé la venue par sa parole et par des oeuvres de puissance. Depuis, les fragments de ses Reliques, dispersés dans les Saintes Eglises, n'ont cessé d'accomplir de nombreuses guérisons, en particulier pour les maladies des yeux.

Saint PASTEUR (PASTOR), prêtre à Rome (vers 160).

Sainte HOREOZELE, vierge et martyre à Byzance sous Dèce (vers 250).

Sainte JERUSALEM, disciple de sainte Horéozèle, martyre.

Saints SYMPHRONE, esclave, OLYMPIUS, tribun converti par saint Symphrone, EXUPERIE, épouse de saint Olympius, et THEODULE, fils de saint Olympius et de sainte Exupérie , martyrs par le feu sur la voie Latine à Rome sous Valérien (vers 257)

Saint martyr APPION, mort par le glaive. 





 



 


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Saints HERMOLAOS, HERMIPPE et HERMOCRATE, prêtres de Nicomédie en Bithynie, martyrs sous Maximien (vers 305). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome VII des Ménées.)

Saint OURS, septième évêque de Troyes en Champagne (426).

Sainte KOUPAÏA (POMPEE), reine, épouse de Hoël Ier d'Armorique, mère de saints Tugdual, Sève et Lunaire, moniale à Langoat en Bretagne (VIème siècle).

Saint VALENS, évêque de Vérone en Vénétie (531).

Saint SYMEON, archimandrite et stylite.

Saint EVROULT (EVROLS, EVROULS, EBRULFUS, EBERULFUS), higoumène du monastère Saint-Fuscien-au-Bois près d'Amiens en Picardie (vers 600).

Saint BEAT, frère de saint Banton, prêtre de Trèves, ermite dans les Vosges (VIIème siècle).

Saints BENIGNE et LAZARE (CARO), son disciple, ermites à Bennago près de Vérone en Vénétie (début du IXème siècle).

Saint GLISENT, ermite à Brescia en Lombardie (IXème siècle).

Saint IGNACE le Steironite.

Saint HERMOLAOS l'Anargyre (Chypre).

Saint TURPIN, évêque de Limoges en Limousin (944 ou 945).

Saint SIMEON, Arménien de nation, pélerin et thaumaturge en divers lieux, mort au monastère de Padolirone près de Padoue en Vénétie (1016).

Saint JOR (KREVORK), évêque arménien, pélerin en France, mort à Béthune (1033). 



 
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Saint MOÏSE, Magyar de nation, serviteur de saint Boris, qui souffrit mille tourments pour la chasteté lorsqu'il fut esclave d'une riche Polonaise, puis devint moine à la Laure des Grottes de Kiev après sa libération (1043). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome VII du Supplément aux Ménées.)


 
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Saint SABBAS III, archevêque de Serbie.




 
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Saint GERONCE (GERONTIOS), fondateur de la skite de Sainte-Anne au Mont Athos. 



http://www.johnsanidopoulos.com/2012/06/saint-ioannikios-new-of-romania-1638.html

 
Saint JACQUES NETSETOV, né de père russe et de mère aléoute, prêtre missionnaire auprès des Aléoutes et des Esquimaux youpiks de la basse vallée du Yukon (1865).
Troparion (Tone 8)O righteous father Jacob, adornment of Atka and the Yukon Delta; you offered yourself as a living sacrifice To bring light to a searching people. Offspring of Russian America, flower of brotherly unity, healer of sickness and terror of demons: O holy father Jacob, pray to Christ God that our souls may be saved
http://www.johnsanidopoulos.com/2009/07/saint-jacob-netsvetov-enlightener-of.html
. Jacob was born on Atka Island, Alaska, in 1802, to pious parents. His father was Russian and his mother was Aleut. When the familiy moved to Irkutsk in 1823, he enrolled in the seminary there. In 1825, he married Anna Simeonovna and was ordained deacon in 1826. In 1828, Archbishop Michael ordained him priest and provided him with two antimensia; one for St. Nicholas Church in Atka and one for missionary activity. St. Nicholas did not have a building, so Jacob and his father, Yegor, constructed a large tent to serve until one could be built. Father Jacob would take that tent with him on his missionary journeys. His parish stretched for 2,000 miles. He established a school for the children in Atka where they learned both Russian and Unangan Aleut. He created an alphabet so the Aleutian language could be written and read. He continued the work of translation of liturgical texts into the native languages that St. Innocent had started. In March of 1836, his wife died of cancer. In July, his house burned to the ground. In 1837, his father died. Father Jacob petitioned his bishop to be permitted to return to Irkutsk to be tonsured a monk. A year later, he received permission, contingent upon the arrival of a replacement; which never happened. Instead, St. Innocent had him accompany him on a missionary voyage to several islands. Father Jacob returned, comforted and energized. He continued to serve in Atka until the end of 1844. Bishop Innocent appointed him to serve the new Kvikhpak Mission in the Yukon. He learned more languages and devised more alphabets. He baptized thousands of natives from various warring tribes all through the region, bringing peace through the Gospel of Christ. In 1863, he was slandered by an assistant and summoned to Sitka to answer charges before Bishop Peter. He was quickly cleared of all charges, but remained in Sitka, because of failing health, serving at Tlingit chapel. He reposed on July 26, 1864, and was buried at the entry to the chapel

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