mercoledì 21 maggio 2014

22 Maggio il santorale



Saint MELCHITSEDEK, le roi de Salem (Gen XIV: 17-24; He VII: 1-3).

Saint MARCIEN, évêque de Ravenne, confesseur (127).

 

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Saints CASTE (CASTUS) et EMILE, martyrs en Afrique sous Septime Sévère (vers 210).

 Sant' Aureliano Martire venerato a Pavia

http://www.santiebeati.it/dettaglio/77150

Saint AUSONE, premier évêque d'Angoulême en Angoumois (vers 270).

Sainte QUITERE ou QUITTERIE (QUITERIA), vierge et martyre (époque incertaine). Elle est la patronne d'Aire-sur-l'Adour en Gascogne. En Espagne, on l'invoque contre la rage.
Saint BASILISQUE, neveu de saint Théodore Tiron, martyr à Comane dans le Pont (ville où saint Jean Chrysostome mourut en exil) sous Galère (308). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome V des Ménées.) 
http://oca.org/saints/lives/2014/05/22/101461-martyr-basiliscus-the-bishop-of-comana

http://www.santiebeati.it/dettaglio/54320



Troparion — Tone 4

Your holy martyr Basiliscus, O Lord, / through his suffering has received an incorruptible crown from You, our God. / For having Your strength, he laid low low his adversaries, / and shattered the powerless boldness of demons. / Through his intercessions, save our souls!

Kontakion — Tone 8

You were shown to be strong and courageous in suffering; / you were revealed to be a wonder-worker in miracles! / You openly bore the name of Christ, putting the tyrant to shame! / Therefore we honor you, most honored Basiliscus, / ever crying: “Rejoice, splendid adornment of the martyrs!”


Saint MARCEL, qui accomplit son martyre en étant abreuvé de plomb fondu.

Saint martyr CODRAT, mort piétiné par des chevaux.

Sainte martyre SOPHIE, médecin, morte par le glaive.

Saint DONAT, évêque, MACAIRE, prêtre, et THEODORE, diacre, martyrs en Illyrie sous Licinius (vers 316).

Saints FAUSTIN, TIMOTHEE et VENUSTUS, martyrs à Rome sous Julien l'Apostat (362).



Mémoire du saint deuxième concile oecuménique, réuni à Constantinople en 381.


 

Ce Saint et grand Concile, convoqué par l'empereur Théodose le Grand dès son entrée à Constantinople, réunit, entre le mois de mai et le mois de juillet 381, cent cinquante évêques d'Orient (1), d'abord sous la présidence de Saint Mélèce d'Antioche (cf. 12 fév.), le grand champion de l'orthodoxie, que l'empereur honora tout spécialement. Après sa mort inopinée, survenue quelques jours après l'ouverture des sessions, et ses grandioses funérailles, auxquelles participèrent l'empereur et tous les Pères, on choisit Saint Grégoire le Théologien, qui venait d'être intronisé Archevêque de Constantinople, pour présider aux débats. Mais, les Evêques ne parvenant pas à se mettre d'accord sur la succession de Mélèce au siège d'Antioche, Grégoire, accusé d'avoir été transféré à Constantinople en violation des Saints Canons, se retira (cf. 25 janv.). On élut alors Saint Nectaire (cf. 11 oct.) pour lui succéder, tant sur le siège patriarcal qu'à la présidence du synode.
Parmi les Saints Pères qui brillèrent pendant -ce Concile, se trouvaient Saint Cyrille de Jérusalem (cf. 18 mars), Saint Amphiloque d'lconium (cf. 23 nov.), et les deux frères de Saint Basile : Saint Pierre de Sébaste et surtout Saint Grégoire de Nysse (cf. 10 janv.). Celui-ci fut le véritable inspirateur des débats et il put y faire triompher le programme préparé au prix de longs et ingrats combats par son frère (cf. 1 er janv.), de sorte qu'on peut dire que, par l'intermédiaire de ses frères et de ses disciples, Saint Basile, mort deux ans plus tôt, était vraiment présent en esprit à ce Concile qui marquait le couronnement de ses labeurs, tant sur le plan théologique qu'au niveau de l'organisation ecclésiastique.
Mus par le Saint-Esprit, qu'ils proclamèrent vraiment de même nature que le Père et le Fils, les Saints Pères mirent fin aux séquelles de l'arianisme, qui divisaient cruellement l'Orient depuis plus de cinquante ans. Ils jetèrent l'anathème sur les partisans de Macédonius, les Pneumatomaques, qui avaient reporté sur la Personne du Saint-Esprit les blasphèmes d'Arius sur la divinité du Fils, et réfutèrent tous les autres hérétiques : Sabellius, Marcel d'Ancyre, Photin de Sirmium, Eunome, Aèce, Paul de Samosate, Apollinaire (Canon 1). Ils confirmèrent ainsi sans équivoque la foi en la Sainte et indivisible Trinité : Père, Fils et Saint-Esprit, trois Personnes divines, consubstantielles et distinctes, et en l'Incamation du Fils de Dieu, définie par les Pères du Premier Concile OEcuménique, puis ils complétèrent et scellèrent définitivement le Symbole de Foi (Credo), qu'ils transmirent à l'Eglise comme parfaite définition du mystère du Salut. Cette sobre et majestueuse expression de la doctrine chrétienne fut confirmée par tous les Conciles OEcuméniques ultérieurs et considérée comme le critère infaillible de la Foi Orthodoxe, immuable pour la suite des siècles. Récitée chaque jour par les fidèles (2), cette "Hymne divine de la piété orthodoxe, scellée par la grâce du Saint Esprit", les rends participants de la foi des Saints Pères, héritiers des Apôtres, et maintient toute l'Eglise dans l'unité et la concorde.
Avant de se séparer les Pères promulguèrent sept Canons énonçant d'importantes règles disciplinaires pour les relations des Eglises locales, et déclarant en particulier que l'Evêque de Constantinople, la Nouvelle Rome et le siège de l'administration impériale, aurait la primauté d'honneur après l'Evêque de Rome (Canon 3).
Le 30 juillet 381, l'empereur Théodose publia un édit qui ratifiait l'oeuvre du Concile, prescrivait de ne considérer comme Orthodoxes que ceux qui étaient en communion avec les Pères, et imposait de remettre aux Orthodoxes les églises détenues par les hérétiques.
1). Bien qu'ayant réuni seulement des représentants de l'Eglise orientale, ce Concile reçut une réception universelle lors du Concile de Chalcédoine (451). Ceci montre clairement que l'oecuménicité des Conciles est moins une notion géographique que doctrinale, d'autres conciles ayant rassemblé plus de représentants, d'Orient et d'Occident, pour se prononcer en faveur de telle ou telle variante de l'arianisme. C'est donc la vérité de la Doctrine, confirmée par les fruits de Sainteté, qui a donné aux Sept Conciles OEcuméniques leur valeur vraiment universelle.
2). La récitation du Symbole fut introduite dans la Divine Liturgie au VIe s. Il est aussi lu à l'Office de Minuit et aux Complies, de manière à sanctifier les "portes du matin et du soir" par la confession de la vraie foi.
(Le Synaxaire, vie des Saints de l'Eglise Orthodoxe par le hiéromoine Macaire de Simonos Pétra)




http://oca.org/saints/lives/2014/05/22/101462-commemoration-of-the-holy-fathers-of-the-second-ecumenical-counc

Sainte HELENE, moniale à Auxerre en Bourgogne (après 418).

Saint VOTROM ou AOTROM, Irlandais, fondateur de paroisse à Trédarzec en Bretagne (VIème siècle).

Saint ROMAIN de Subiaco, disciple de saint Benoît de Nursie, fondateur du monastère de Font-Rouge à Druye-les-Fontaines près d'Auxerre en Bourgogne (vers 560).

http://www.santiebeati.it/dettaglio/92338 

Saint CONALL (COEL, CONALD), abbé d'Inniscoel dans le Donegall en Irlande (VIIème siècle).

Saint LOUP, évêque de Limoges en Limousin (637).

Saint BOETIAN, noble irlandais, compagnon de saint Gobain et disciple de saint Fursy, ermite et martyr à Pierrepont en Picardie (668).

Saint JEAN, pélerin en Palestine et abbé à Parme en Toscane (982). 

http://www.santiebeati.it/dettaglio/91381


Saint JEAN VLADIMIR, roi de Serbie, martyr assassiné par son cousin Jean Vladislav et thaumaturge dont les reliques sont conservées à Elbasan en Albanie (1015). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome V du Supplément aux Ménées.)

http://oca.org/saints/lives/2014/05/22/101463-st-john-vladimir-the-prince-of-bulgaria-the-greatmartyr-and-mira

http://www.santiebeati.it/dettaglio/92785

 

 http://www.johnsanidopoulos.com/2012/04/saint-kali-philanthropist.html


Saint JACQUES, jeune homme de Borovitchi près de Novgorod (1544).


 
 https://www.johnsanidopoulos.com/2017/05/holy-new-martyr-paul-of-peloponnesos.html

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