sabato 28 febbraio 2015

1 marzo feste santi e memorie





Sainte EUDOCIE, Samaritaine de nation, prostituée repentie, martyre à Héliopolis dans l'actuel Liban sous Adrien. (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées. Office complet plus récent traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III du Supplément aux Ménées.)

Le 1er mars, nous célébrons la mémoire de la Sainte Martyre EUDOCIE la SAMARITAINE

Ste EudocieD'origine samaritaine, la Sainte Martyre du Christ Eudocie vivait à Héliopolis, en Phénicie du Liban, sous le règne de Trajan (96-116). Comme elle était dépourvue de toute connaissance de Dieu, elle s'était laissée entraîner à la débauche et avait livré à la prostitution son corps que le Créateur avait orné d'une rare beauté. Nombreux étaient ceux qui venaient de loin et offraient de fortes sommes d'argent pour jouir de ses charmes, si bien qu'elle avait acquis par ce honteux commerce une immense fortune et elle vécut dans l'insouciance jusqu'au jour où un moine, nommé Germain, qui était arrivé en ville pour affaire, vint loger dans la maison voisine. Le soir, après avoir chanté l'Office dans sa chambre à l'heure prescrite, comme s'il se trouvait dans son monastère, Germain se mit à lire à haute voix un livre qui décrivait le Jugement dernier, les châtiments des pécheurs et les récompenses des justes. En entendant ces terribles paroles, Eudocie fut tout ébranlée, sa conscience s'éveilla de la torpeur dans laquelle l'avaient plongée de si longues années passées dans le péché et elle versa pendant toute la nuit des torrents de larmes.

Au matin, elle se précipita vers Germain et, tombant à ses pieds. elle l'implora avec larmes de lui indiquer la voie du salut. Après l'avoir dûment catéchisée, en père spirituel prudent, celui-ci la renvoya chez elle, pour qu'elle éprouve sa résolution pendant une semaine de retraite et de prière. Comme elle priait de nuit en versant quantité de larmes sur sa vie passée, Eudocie vit soudain une grande lumière et l'Archange Michel descendit pour la conduire au ciel où l'assemblée des élus l'accueillit avec joie, alors qu'à l'extérieur le diable, sous la forme d'un être gigantesque, noir et répugnant, accusait Dieu d'injustice pour avoir accepté si rapidement le repentir de cette femme débauchée. Une voix très douce se fit alors entendre du haut du ciel, qui disait : « Tel est le bon plaisir (eudokia) de Dieu : recevoir avec compassion les hommes qui se repentent. » Et, sur l'ordre de Dieu, l'Archange ramena Eudocie dans sa demeure, en lui promettant l'assistance de la Grâce pour les combats qu'elle aurait dès lors à mener contre le péché.

Pleine de joie et de confiance en la miséricorde du Seigneur, Eudocie fut baptisée par l'Evêque de la cité, Théodote, et, suivant scrupuleusement les instructions de son père spirituel, elle remit avec empressement sa fortune acquise dans l'iniquité à un Prêtre, afin qu'il la distribue aux nécessiteux, puis, ainsi délivrée de l'attachement au monde et de tout souci, elle alla rejoindre Germain qui la fit admettre dans un monastère féminin situé non loin du sien.

Dès son entrée dans le stade de la vertu, la Bienheureuse montra un zèle ardent pour effacer par l'ascèse et par les larmes du repentir toutes traces de ses anciennes passions. Elle portait constamment, sans jamais la changer, la tunique dont elle avait été revêtue à son baptême; elle apprit le Psautier par coeur et faisait de la prière et de la méditation de la Parole de Dieu sa nourriture, de préférence à tout autre aliment terrestre. Par cette conduite admirable et cette belle transformation, elle reçut du Seigneur le pouvoir d'accomplir des miracles et, à la mort de la supérieure, elle fut élue par la fraternité pour lui succéder.

En ce temps-là, ayant appris que la belle Eudocie avait rejeté les plaisirs de cette vie et le culte des idoles pour tourmenter son corps par amour du Christ, certains de ses anciens amants la dénoncèrent auprès de l'empereur, l'accusant d'utiliser sa fortune pour construire, dans le désert, des refuges pour les Chrétiens rebelles à son autorité et à la religion de l'Empire. Lorsque le dignitaire envoyé par l'empereur et les trois cents soldats de son escorte voulurent pénétrer dans le monastère de la Sainte, ils en furent empêchés par une force divine et, après avoir tourné autour de l'enceinte pendant trois jours, en cherchant vainement l'entrée, ils furent frappés de mort, à l'exception du magistrat et de trois soldats.

Quand l'empereur apprit ce lamentable échec, il envoya son propre fils pour arrêter la Sainte. Mais celui-ci fut frappé par Dieu et mourut après avoir été jeté à bas de son cheval. Sur le conseil d'un ancien amant d'Eudocie, le souverain éploré écrivit alors à la Sainte pour lui demander d'intercéder afin que son fils revienne à la vie. Eudocie lui répondit avec humilité, protestant de son impuissance à accomplir de tels miracles, et elle fit trois signes de croix sur la lettre en la refermant. Dès que le messager apporta la missive au palais devant le cadavre du prince, celui-ci reprit vie, et l'empereur et toute la cour s'écrièrent : « Grand est le Dieu des Chrétiens, qui accomplit de telles merveilles! » On raconte même que le souverain se fit baptiser avec un grand nombre des siens, et que le prince ressuscité devint par la suite Archevêque de la cité, alors que sa soeur, Gélasia, prenait le voile dans le monastère de Sainte Eudocie.

L'empereur Adrien (l17-138), qui prit la succession, était un farouche adepte de l'idolâtrie. Il envoya à Héliopolis un gouverneur, célèbre pour sa cruauté, nommé Diogène, lequel avait été fiancé à Gélasia et que la fuite de sa promise avait mis dans la plus grande haine à l'égard d'Eudocie. Sitôt installé, il envoya cinquante hommes d'armes pour se saisir de la Sainte. Alors que ceux-ci étaient encore en route, le Christ apparut à Eudocie et lui annonça que l'heure était venue pour elle de remporter la couronne du Martyre. Elle se rendit alors dans l'église, prit sur elle une parcelle de la Sainte Eucharistie et, accueillant les soldats avec calme et dignité, elle les suivit sans offrir de résistance. Sur le chemin, un Ange la précédait, tenant un flambeau allumé, sans que les païens s'en rendent compte.

Après l'avoir laissée pendant quatre jours en prison, sans recevoir ni nourriture ni boisson, on l'amena au tribunal, le visage couvert, et dès qu'on lui retira ce voile une lueur éclatante en resplendit, provoquant un cri de stupeur dans l'assistance. La Sainte répondit avec audace aux questions du gouverneur et l'invita à mettre son dessein à exécution, sans perdre de temps en de vains interrogatoires. On la somma de choisir entre trois solutions pour avoir la vie sauve : adorer les idoles, revenir à son ancien mode de vie ou remettre sa fortune au trésor public. Eudocie déclara qu'il était absolument exclu pour elle de retourner à sa vie passée, maintenant qu'elle avait connu la vérité, et qu'elle n'était plus maîtresse de l'argent qu'elle avait distribué. Sur lordre de Diogène, quatre hommes se saisirent d'elle et l'accablèrent de coups pendant deux heures entières; puis, comme ils tentaient de la dénuder afin de l'attacher au poteau de torture, ils trouvèrent sur elle le coffret contenant la Sainte Communion. Lorsque le gouverneur tenta de l'ouvrir, une flamme s'en dégagea, qui consuma tous ceux qui se trouvaient aux alentours et qui laissa Diogène à demi paralysé. Comme il tombait à genoux en priant le dieu Soleil de le délivrer de ce sortilège, un éclair fendit le ciel et le laissa raide mort sur le sol: Pendant ce temps, un Ange rayonnant descendait du ciel et s'entretenait avec la Sainte, après l'avoir chastement recouverte d'un voile. Un soldat qui avait été témoin de cette scène, saisi de repentir, alla la détacher et la pria d'intercéder pour ceux qui venaient d'être frappés par la colère de Dieu, afin qu'ils recouvrent la vie et puissent se repentir. Prise de compassion, Eudocie se mît en prière et aussitôt les morts ressuscitèrent, provoquant la conversion d'une grande partie de la population.

La Sainte resta en ville quelque temps pour enseigner le peuple, et elle accomplit encore d'autres miracles, jusqu'au jour où, Diogène étant décédé, un nouveau gouverneur, nommé Vincent, s'installa à Héliopolis, avec la ferme décision d'en finir avec la célébrité importune d'Eudocie. Il envoya des soldats dans sa résidence et ceux-ci lui tranchèrent la tête, sans autre forme de procès, lui offrant ainsi la satisfaction de son désir le plus cher : l'union définitive avec son Epoux céleste. Par la suite, les Reliques de Sainte Eudocie accomplirent de nombreux miracles qui témoignèrent pour des générations de Chrétiens de la puissance du repentir
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http://www.santiebeati.it/dettaglio/43450

Saints ADRIEN, VICTOR, SECUNDILLE, matyrs en Afrique.

Saint DONAT, martyr à Carthage.

DEUX CENT SOIXANTE martyrs de la porte Salaria à Rome sous Claude II le Gothique (vers 269). 
Saints HERMES, ADRIEN, FELIX, EUNUCULE, JANVIER et VINGT-ET-UN autres, martyrs à Marseille sous Dioclétien (vers 290).

Saint LUPERQUE (LUPERCUS, LUPERCULUS), martyr à Tarbes (?) sous Dioclétien (vers 300).

 

Sainte ANTONINE, martyre à Nicée sous Dioclétien et Maximien (vers 305). The Holy Martyr Antonina suffered at Nicea during a persecution under the emperor Maximian (284-305). After fierce tortures, St Antonina was thrown into prison, but Maximian could not force the saint to renounce Christ and offer sacrifice to idols.




 



Angels of God appeared to the holy martyr and the executioners took fright. Even when they placed her on a red-hot metal bed, St Antonina remained unharmed, by the power of God. Finally, after long torture they sewed the saint into a sack and sank it in a lake.
Antonina, cristiana di Nicea in Bitinia, durante la persecuzione di Diocleziano arrestata per ordine del prefetto Priscilliano, fu battuta con le verghe, sospesa al cavalletto, dilaniata ai fianchi e infine arsa viva.
Qualche codice del Geronimiano aggiunge che Antonina fu uccisa di spada



Saints MARCEL et ANTOINE, morts par le feu.

Saints SYLVESTRE et SOPHRONE, morts par le feu.

Saint NESTORIEN, mort par le glaive.

Saints martyrs CHARISE, NICEPHORE et AGAPIOS.

Saint SYLVESTRE, patriarche dont la mémoire était célébrée à Jérusalem en ce jour (lieu et époque inconnus).

Saint ALBIN ou GWEN, évêque de Quimper en Bretagne (Vème siècle).





Sainte DOMNINE, pénitente à Cyr en Syrie (vers 450). Secondo lo storico teologo Teodoreto, vescovo di Ciro (393-458), Domnina era di ricca famiglia nella Siria cristiana, da giovane si costruì una capanna nel giardino della casa materna e vi trascorse tutta la vita, pregando e digiunando, al punto da divenire estremamente magra; praticamente una eremita dentro le mura di casa.
Lo stesso storico Teodoreto, scrive nella sua “Historia Religiosaâ€, cap. 30 in ‘Patrologia Graeca’, che la santa aveva raggiunto un tale grado di misticismo, che non poteva pronunziare nemmeno una parola, senza versare lacrime, che gli sgorgavano ispirate dall’ardente amore di Dio.


Saint SIMPLICE (PLICE), évêque de Bourges en Berry (vers 477).

Saint FELIX II, pape et patriarche de Rome (483-492), qui confessa la foi orthodoxe face au monophysitisme (492). 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/89048

Saint DENEK, ermite en Bretagne (VIème siècle).

Sainte MELARIE, solitaire en Bretagne (VIème siècle).

Translation des reliques de saint Herculan, évêque de Pérouse et martyr sous Totila (547).
Saint AUBIN, originaire du Vannetais, moine de Cincillac en Anjou, puis évêque d'Angers (549 ou 550).
Nato verso il 469 a Vannes da nobile famiglia, fu monaco e quindi (504) abate a Tincillac (o Cincillac), da identificarsi con N. S. di Nantilly a Samour o a Théhillac, presso Guérande. Per circa venticinque anni Albino resse santamente l'abbazia, e la fama delle sue virtù ebbe rapida diffusione tanto che nel 529 fu eletto, per desiderio popolare e nonostante le sue resistenze, vescovo di Angers. Lottò particolarmente contro i matrimoni incestuosi, frequenti tra i nobili, partecipando attivamente ai Concili d'Orléans del 538 e del 541 mentre si fece rappresentare dall'abate Sapaudo in quello del 549. Il suo energico atteggiamento gli procurò minacce di morte e contrasti con gli altri vescovi, ma dall'approvazione di s. Cesario trasse nuova lena per proseguire nella sua difficile e pericolosa opera moralizzatrice. Morì il 1° marzo 550 ad Angers e fu sepolto nella chiesa di St. Pierre d'Angers; ma già nel 556 gli fu dedicata una chiesa nella cui cripta le sue spoglie vennero traslate.
Presso la chiesa sorse immediatamente un'abbazia (il cui primo abate fu, forse, Sapaudo) e in essa il corpo di Albino trovò definitiva sistemazione nel 1126. Da Gregorio di Tours sappiamo che già ai suoi tempi il culto di s. Albino era oltremodo diffuso; in seguito si estese in Germania, in Inghilterra e in Polonia, facendo di Albino uno dei santi più popolari del Medio Evo. La sua festa cade il 1° marzo.




Saint JEAN Ier, évêque de Nîmes en Languedoc (550).


 

Saint DAVID (DYFED), évêque et protecteur du pays de Galles (vers 600).
Grande figura di vescovo e monaco, evangelizzatore della Britannia, esimio rappresentante delle Chiese celtiche del Galles.
Visse nel secolo VI e sarebbe morto nel 601; sebbene sia citato in documenti dei secoli VIII una sua biografia fu scritta solo nel secolo XI da un certo Rhygyfarch, essa risulta molto fantasiosa e ricalca quella di s. Benedetto.
David era figlio di Sant e Nonna e nacque nella valle di Rhos; fu educato ed istruito da s. Iltut e poi da Paolino; venne ordinato sacerdote e si ritirò in  isola solitaria dove stette per dieci anni, dedito allo studio della Sacra Scrittura.
In seguito abbracciò la vita monastica e prese ad evangelizzare la Britannia, nome latino della Gran Bretagna, abitata ancora da popolazioni celtiche; fondò dodici monasteri, nei quali instaurò una vita comunitaria, austera, densa di studio, lavoro e preghiera.
Scampò ad un tentativo di avvelenamento da parte dei monaci, forse per la troppa austerità (stranamente a quei tempi, si cercava di risolvere così qualche problema di insofferenza, risulta anche qualche altro caso); andò a Gerusalemme, dove fu consacrato vescovo.
Ritornato in patria succedette a s. Dubricio come vescovo di Caerlon, da dove poi si trasferì alla sede di Menevia; fu molto influente sulla vita monastica del Galles, presiedendo a parecchi sinodi, nei quali furono prese delle decisioni disciplinari e teologiche, importanti per le Chiese celtiche.
Anche se è difficile crederci, risulta che David visse 147 anni, il suo sepolcro divenne presto una meta di pellegrinaggi ed a lui furono intestate molte chiese nel Galles, nell  Irlanda e Inghilterra.
Quasi quattro secoli dopo la sua morte, nel 966 il suo corpo fu traslato a Glastonbury; nei calendari celtici ed irlandesi e nel  Martirologio Geronimiano  è celebrato il 1° marzo.
Del monastero e della chiesa, da lui fondati a Menevia, oggi Saint-David, non rimane più nulla;  unica opera iconografica dove è raffigurato, sono gli affreschi della chiesa di Saint-Divy di Landerneau, nel miracolo operato quando la terra, dove era poggiato per predicare, si sollevò a formare una collina e la colomba dello Spirito Santo venne a posarsi sulla spalla.
Troparion (Tone 1)
Having worked miracles in thy youth, founded monasteries and converted the pagans who had sought to destroy thee, O Father David, Christ our God blessed thee to receive the episcopate at the place of His Resurrection. Intercede for us, that our lives may be blessed and our souls may be saved.
Kontakion (Tone 6)
The living waters of godly discipline encompassed thee and the saving waters of faith flowed through thy teaching, O Hierarch and Waterman David. Symbolising the baptism of Wales in thy life, thou art worthy of all praise, wherefore we keep festival in thy honour, glorifying thy eternal memory.


Saint SIMPLES, confesseur à Tours (VIIème siècle).

Saint MARNOCK, Irlandais de nation, évêque en Ecosse (vers 625).

Saint ALBIN ou AUBIN, évêque d'Embrun (vers 630).

Saint REMESSAIRE (REMEZAIRE, RAMISSARIUS, REMISSARIUS), évêque de Nîmes en Languedoc (633).

Saint SIVIARD, abbé dans le Maine (687).

Saint ABDALONG, évêque de Marseille (VIIIème siècle).

Saint SUITBERT ou SWITBERT, évêque missionnaire en Frise (713).

S. Willibrord vescovo missionario, aveva con sé, compagni nell  ¢apostolato, dodici monaci fra cui Suitberto, monaco della Northumbria, essi nel 690 andarono in Frisia (fra Germania e Olanda) e lì si divisero fra le varie zone.
Suitberto predicò con successo nel Brabante, Gelderland e Kleve; nel 693 fu inviato in Inghilterra per ricevere la consacrazione vescovile dalle mani di s. Vilfrido nella Mercia.
Lasciò ben presto la Frisia per diventare apostolo dei Brukterer  nella Vestfalia del Sud; ma poi questa regione venne invasa dai pagani sassoni e Suitberto si ritirò nel territorio dei Franchi.
Il re Pipino e sua moglie Plectudre gli donarono  isola di Kaiserswerth vicino Dusseldorf ove fondò un monastero, morendovi il 1° marzo 713.
Le sue reliquie nel 1626 furono trovate in un reliquiario  argento a Kaiserswerth dove sono tuttora venerate.
Il suo nome è ricordato nel Calendario di Willibrord.


Saint PAUL, moine, martyr (probablement par la main des Iconoclastes).

Saint MONAN, archidiacre, martyr en Ecosse par la main des Vikings païens (874).

Saint LEON de Carentan en Normandie, évêque itinérant, apôtre du Pays basque avec ses frères GERVAIS et PHILIPPE, tous martyrs près de Bayonne (889).

Saint LEON LUC (LEOLUCA), higoumène de Corleone en Sicile (vers 900).


http://www.santiebeati.it/dettaglio/92184

 



Saint AGAPIOS de Vatopédi, moine athonite qui confessa la foi orthodoxe dans l'esclavage des Turcs.


 

Saint MARTYRIUS, fondateur du monastère de l'Île-Verte (Zelenetsk) au nord de l'actuelle Saint-Pétersbourg (1603). (Tropaire et kondakion traduits en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées.)
Saint Martyrius of Zelenets, in the world Menas, was born in the city of Veliki Luki (Great Meadow) in the sixteenth century. His parents, Cosmas and Stephanida, died when he was just ten years old. He was raised by his spiritual Father, a priest of the city's Annunciation church, and the child's soul cleaved to God.

The widowed priest Boris became a monk with the name Bogolep at the Trinity-Sergius monastery in Veliki Luki. Menas often visited him at the monastery, and later on he himself received monastic tonsure there taking the name Martyrius. For seven years both teacher and disciple toiled for the Lord unrelentingly in a single cell, encouraging each other in deeds of work and prayer. St Martyrius had the obediences of "kellarios" [cellarer], treasurer, and "ponomar" [or altar server].

It was at this time that the Mother of God first showed Her special solicitude for St Martyrius. At mid-day he dozed off in the bell tower and beheld the Tikhvin (Hodigitria) icon of the Most Holy Theotokos in a fiery column. The monk venerated it, and it was still hot from the fiery column. When he awoke, he still felt this heat on his forehead.

On the spiritual advice of St Martyrius, the grievously ill monk Abramius went to venerate the wonderworking Tikhvin Icon of the Mother of God, and he received healing. St Martyrius was filled with intense faith in the intercession of the Mother of God. He began to pray that the Heavenly Queen would show him where he might go for the ascetic feat of complete silence, for which his soul yearned.

The monk secretly withdrew into a desolate place situated 60 versts from Veliki Luki. As he himself writes, "in this wilderness I received fearful visitations from demons, but I prayed to God, and the demons were put to shame."

In a letter to Elder Bogolep, St Martyrius asked his blessing to dwell in the wilderness, but the spiritual father advised him to return to the cenobitic life where he would be of use to the brethren. Not daring to disobey his experienced Elder, and not knowing how to proceed, St Martyrius went to Smolensk to venerate the wonderworking Hodigitria [She who leads the way] Icon of the Mother of God and the relics of Sts Abramius and Ephraim (August 21). These saints appeared to St Martyrius in a dream, and they reassured him that he would be permitted to live in the wilderness, "wherever God will bless and the Most Holy Theotokos will guide you."

St Martyrius then went to the Tikhvin monastery, hoping that the Mother of God would resolve his dilemma. The monk Abramius, who remained at this monastery in gratitude to the Mother of God for his healing, told St Martyrius about a secret place, over which he had seen a radiant Cross of stars. This time he received the blessing of the Elder. St Martyrius took with him two small icons: one of the Life-Creating Trinity, and the other of the Tikhvin Mother of God. He then settled in Zelents (the green island), which was a beautiful island in a forested swamp.

Harsh and painful was the life of the monk in the wilderness, but neither cold, nor deprivation, nor wild beasts, nor the wiles of the Enemy were able to shake his resolve. He built a small chapel for the glorification of, and in gratitude to, the Lord and the Most Holy Theotokos. He was again deemed worthy to see an icon of the Mother of God in a dream. This time it was floating on the sea. To the right of the icon he saw the Archangel Gabriel who told him to venerate the icon. St Martyrius went into the water, and the icon began to sink in the sea. The saint then cried out, and a wave carried him to shore. With that, the icon vanished.

The wilderness was sanctified by the life of the hermit, and many began to arrive, not only to be instructed by the word and example of the monk, but also to settle there with him. The increased number of disciples prompted the monk to build a church dedicated to the Life-Creating Trinity, where he placed his own icons of the Trinity and of the Tikhvin Mother of God. As a sign of the grace of God resting upon the monastery of St Martyrius, his disciple St Gurias was permitted to see a Cross in the heavens, shining over the cross on top of the church.

This was the beginning of the Trinity Zelenets monastery, "the green wilderness monastery of Martyrius." The Lord blessed his labors, and the grace of God shone visibly upon him. The fame of his discernment and gift of healing became known to many. Many eminent people of Novgorod began to send gifts to the monastery. With funds provided by the pious boyar Theodore Syrkov, a heated church was built and consecrated in honor of the Annunciation of the Most Holy Theotokos in memory of the first church at Veliki Luki, from which the saint had begun his path to God.

St Martyrius continued to receive help from the Mother of God. She appeared to him on a bench in the corner where the icons stood. The saint recalled: "I looked upon Her without lowering my eyes... I gazed upon Her holy face, at her eyes filled with tears, ready to trickle down Her all-pure face. I awoke from the dream and was afraid. I lit a candle from the lampada, in order to see whether or not the Most Pure Virgin sat at the place where I saw Her in the dream. I went up to the icon of the Hodigitria and was convinced that in truth the Mother of God had appeared to me as She is depicted on my icon."

Soon after this (about the year 1570) St Martyrius was ordained priest at Novgorod by the archbishop (Alexander or Leonid). He was already an igumen in 1582.

Later, the Lord granted the Zelenets wilderness monastery an even wealthier benefactor. In 1595 at Tver St Martyrius resurrected the son of the former Kasimov ruler Simeon Bekbulatovich, praying in front of his own icons of the Life-Creating Trinity and the Tikhvin Mother of God. He placed both icons upon the chest of the dead child, and he awoke as if from sleep. In gratitude Simeon built a church in honor of the Tikhvin Icon of the Mother of God and of St John Chrysostom, the Heavenly patron saint of the ruler's son John.

In 1595 Tsar Theodore endowed the monastery with a sufficient quantity of land for its support.

Having reached a great old age and preparing for death, St Martyrius dug a grave for himself, and near it he placed a coffin fashioned by his own hands. He often came there to weep. Sensing his imminent departure, the monk assembled the brethren and told his children in the Lord to have steadfast hope in the Most Holy Trinity and to trust the Mother of God, as he himself had always trusted in Her. After receiving the Holy Mysteries of Christ, he gave the brethren his blessing with the words: "Peace to all the Orthodox." With spiritual joy he fell asleep in the Lord on March 1, 1603.

The saint was buried in the grave he dug near the church of the Mother of God. Later, his holy relics rested beneath a crypt in the church of the Most Holy Trinity, beneath the lower temple in honor of St John the Theologian. Cornelius, a former monk of the Zelenets monastery, and later Metropolitan of Kazan and Novgorod (+ 1698), compiled a service and wrote the Life of St Martyrius, making use of personal notes and the saint's testament.

The memory of St Martyrius of Zelenets and Veliki Luki is celebrated also on November 11.


 
 
Saint PARASKEVAS, originaire de Trébizonde où il fut martyrisé par la main des Musulmans (1659).

Saint METHODE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1920).

Sainte ANASTASIE ANDREÏEVNA, folle-en-Christ dans le Caucase du nord, martyre par la main des Communistes.

Sainte ANTONINE, abbesse de Kizliar, martyre par la main des Communistes (Russie 1924).

Saint JEAN, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1937).

Saints BASILE et PIERRE, prêtres, ANTOINE, moine, ANNE, moniale, et ESPERANCE (NADEJDA), laïque, martyrs par la main des Communistes (Russie 1938).

Saint ALEXANDRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (1942


 
 http://www.johnsanidopoulos.com/2016/03/saint-synesios-of-lysi-in-cyprus.html

29 febbraio santi feste e memorie


MYSTAGOGY

29 febbraio feste santi e memorie

Saint GERMAIN de Dacie Pontique (aujourd'hui la Dobroudja en Roumanie), moine, compatriote et compagnon d'ascèse de saint Jean Cassien en Palestine et en Egypte, ordonné prêtre par saint Jean Chrysostome à Constantinople, mort à Rome (après 405).
 
 
http://www.latheotokos.it/images/cassiano.jpg
Saint JEAN CASSIEN le Romain (ou plus exactement le Roumain!), originaire de la Dobroudja, moine en Palestine et en Egypte, ordonné diacre par saint Jean Chrysostome à Constantinople, prêtre à Rome, et enfin fondateur de monastères à Marseille en Provence, qui donna au monachisme gaulois son armature doctrinale et réfuta les erreurs d'Augustin d'Hippone sur la nature et la grâce et celles de Nestorius sur l'Incarnation (vers 435). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées. Autre office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome II du Supplément aux Ménées.)
Saint GEORGES, évêque de Delphetos, confesseur.

Saint THEOCTISTE, martyr (VIIIème siècle).

http://www.ortodossiatorino.net/Images/2013/Lavra/lavra2.jpg 
Saint CASSIEN, reclus et jeûneur de la Laure des Grottes de Kiev (XIIème siècle).
(Lorsque l'année n'est pas bissextile, ces saints sont commémorés le 28 février.)

venerdì 27 febbraio 2015

28 febbraio feste santi e memorie


28 FEBBRAIO SANTI FESTE E MEMORIE


 


Saints Apôtres NYMPHAS et EUBULE, disciples de saint Paul (Ier siècle).

Saints MACAIRE, RUFIN, JUSTE et THEOPHILE, potiers de profession, martyrs sous Dèce, peut-être à Rome (vers 250). 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/95635


Saint NESTOR, évêque de Magydos en Pamphylie, martyr sous Dèce (vers 251).Nestore era vescovo di Magydos in Panfilia, regione dell'Asia Minore. Fu ucciso in spregio alla fede nel 251 a Perge mediante crocifissione. Una "Passione" greca del martire narra che, durante la persecuzione ordinata dall'imperatore Decio, il governatore della Panfilia Poplio fece ricercare i cristiani della zona per farli sacrificare agli dèi. Nestore si prodigò per mettere in salvo la comunità cristiana di Magydois. Ma non si preoccupò della sua sorte. Dopo il rifiuto di abiurare e sacrificare agli dèi pagani, fu preso prigioniero. Dapprima venne giudicato dal senato e dal tribunale locale. Poi lo condussero a Perge per essere sottoposto a un nuovo processo. Durante il tragitto si verificò un terremoto. Dopo essere stato condannato e torturato fu giustiziato
Saint martyr ABRICIUS, mort par le glaive.

Saint MARTIN, évêque de Mayence en Rhénanie, qui confessa la foi orthodoxe face à l'arianisme (vers 350). 


 St Germanus of Dacia Pontica (Dobrogea)

http://oca.org/saints/lives/2014/02/28/205437-st-germanus-of-dacia-pontica-dobrogea


Saint BARSOS ou BAR-JESUS, évêque de Damas.

Saint VINDEMIAL, évêque de Vérone (Vème siècle).

 
 

Saintes MARANA et CYRA, femmes de la noblesse devenues ascètes en Syrie (Vème siècle).



Saint PROTERE, archevêque d'Alexandrie, martyr par la main des Monophysites (457).

SIX martyrs d'Egypte, martyrs avec saint Protère par la main des Monophysites (457).

Saint ROMAIN, fondateur du monastère de Condate (aujourd'hui la ville de Saint-Claude dans le département français du Jura) (463).  primi contatti del monachesimo orientale col mondo latino furono propiziati dai frequenti esili ai quali venne condannato S. Atanasio. E  nel secolo IV infatti che prese il via il monachesimo occidentale, destinato a produrre effetti di spirituale perfezione e di civile progresso.
Basti ricordare S. Benedetto. Il primo monastero in Gallia sorse nel 371 per opera di S. Martino di Tours: poi si ebbe una improvvisa fioritura di abbazie, in una delle quali, ad Ainay, presso Lione, troviamo all'inizio del V secolo il monaco Romano.
Non contento della pur rigida regola che vigeva nel suo monastero, col permesso dell'abate, munito di un testo della Sacra Scrittura e con gli attrezzi da lavoro sulle spalle, egli si inoltrò tra le inesplorate montagne del Giura. Di lui si persero poi le tracce, ma ciò non impedì che qualche anno dopo suo fratello Lupicino, rimasto vedovo, ne scoprisse il romitaggio e si aggregasse a lui, attirando dietro di sé altri uomini. Romano e Lupicino fecero spazio ai nuovi venuti, erigendo un primo grande monastero a Condat e un secondo a Leuconne. Poi li raggiunse anche una loro sorella, per la quale eressero un terzo monastero, poco lontano, in località detta La Beaume. I due fratelli condividevano in perfetta armonia il governo delle nuove comunità. I loro temperamenti, diametralmente opposti, si completavano a vicenda: Romano era uno spirito tollerante, incline alla comprensione e alla magnanimità; Lupicino era austero, intransigente con la regola, della quale pretendeva l'assoluta osservanza. Così, dopo un raccolto eccezionale, avendo i monaci scordato le rigide norme dell'astinenza, Lupicino fece gettare le provviste nel torrente e ordinò che a mensa venisse servita soltanto una minestra d'orzo. Dodici monaci non ressero a tanta austerità e abbandonarono il convento: fu Romano a correr loro dietro e ad implorarli con le lacrime agli occhi di far ritorno all'ovile.
La sua bontà trionfò anche in questa occasione. Più tardi, durante un pellegrinaggio alla tomba di S. Maurizio a Ginevra, compiuto in compagnia di un suo monaco, S. Pallade, avendo trovato riparo per la notte nella capanna dove si celavano due poveri lebbrosi, Romano non esitò ad abbracciarli. Il mattino dopo quei due relitti umani constatarono di essere completamente guariti e corsero in città a raccontare l'accaduto. Altri prodigi si verificarono durante quel pellegrinaggio. Poi il dolce e piissimo Romano tornò definitivamente alla solitudine di Condat dove precedette il fratello e la sorella nella tomba, nel 463. Era nato verso il 390.

Saint LUPICIN, frère de saint Romain, fondateur du monastère de Lauconne (aujourd'hui Saint-Lupicin) (480).

Les deux frères, saint Romain et saint Lupicin, sont considérés comme les "Pères du Jura" et c'est à eux que l'on doit l'introduction du monachisme dans la Franche-Comté et la Suisse romande.

Saint CHIO (SYMEON) des Cavernes (Mrvimévi), ascète géorgien (VIème siècle). (Autre mémoire le 9 mai.)

Saint LLIBIO (Pays de Galles, VIème siècle).

Saint MAIDOC (MADOC), évêque dans le Pays de Galles (VIème siècle).

Sainte CECILINE, ermite dans le Nantais en Bretagne (VIème-VIIème siècles).

Saint SILLAN (SILVANUS), higoumène en Irlande (vers 610).

Saint RUELLIN, évêque de Quimper en Bretagne, disciple de saint Tugdual (vers 650).


 
Saint BASILE le Confesseur, compagnon d'ascèse de saint Procope le Décapolite, qui souffrit pour les saintes Icônes sous Léon III l'Isaurien (747). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.) 
Saint OSWALD, Danois de nation, moine à Fleury puis évêque des sièges réunis de Worcester et de York en Angleterre (992).
Figlio di genitori danesi, divenne monaco benedettino a Fleury in Francia e ritornò prete in Inghilterra nel 959. Su raccomandazione di san Dunstano di cui Osvaldo condivideva gli ideali monastici fu nominato nel 961 vescovo di Worcester, dove trasformò il Capitolo in una comunità monastica; fondò anche due monasteri a Westbury-on-Trym presso Bristol e quello più influente di Ramsey per il quale ottenne in prestito da Fleury s. Abbone, quale maestro.
Quando fu nominato arcivescovo di York, gli fu concesso di tenere anche la Diocesi di Worcester. Nella reazione antimonastica che seguì la morte di s. Edoardo martire, le comunità monastiche furono temporaneamente disperse. Ebbe come caratteristica personale la gentilezza, la cortesia e gioiosità che lo fecero molto amare dal popolo.
Morì a Worcester il 28 febbraio 992 dopo aver lavato i piedi a dodici poveri ed essersi seduto con loro a tavola. Il suo corpo fu traslato in un nuovo sepolcro da s. Wulfstano anch egli vescovo di Worcester dal 1062 al 1095.

http://www.johnsanidopoulos.com/2017/02/saint-basil-confessor.html

Troparion — Tone 1

Dweller of the desert and angel in the body, / you were shown to be a wonder-worker, our God-bearing Father Basil. / You received heavenly gifts through fasting, vigil, and prayer: / healing the sick and the souls of those drawn to you by faith. / Glory to Him who gave you strength! / Glory to Him who who grant granted you a crown! / Glory to Him who through you grants healing to all!



Kontakion — Tone 2

Podoben: “Seeking the highest...” / You received a revelation of God from on high, O wise one, / and withdrew from the midst of the world’s tumult. / You lived the monastic life with honor, / receiving the power to work miracles and heal diseases by grace, / most blessed and holy Basil.
 
http://oca.org/saints/lives/2014/02/28/100615-venerable-basil-the-confessor-companion-of-the-venerable-procopi
 

Saint NICOLAS de Pskov, fol-en-Christ qui empêcha la destruction de Pskov par Ivan IV le Terrible (1576). (Tropaire et kondakion traduits en français par le père Denis Guillaume au tome II du Supplément aux Ménées.)


Sainte KYRANNA, vierge originaire du village d'Avissoka près de Thessalonique, martyre par la main des Musulmans (1751).


 http://www.johnsanidopoulos.com/2017/01/saint-kyranna-new-martyr-resource-page.html
Le 28 février, mémoire de Sainte KYRANNA, qui accomplit son Martyre dans les tourments, en 1751

Originaire d'un village proche de Thessalonique, la belle Kyranna menait une vie chaste et pieuse jusqu'au jour où un janissaire chargé de la collecte des impôts, dévoré d'un amour satanique à son égard, commença à la presser de ses instances. Comme la jeune fille restait inflexible, son amant déçu la conduisit de force auprès du juge de Thessalonique et, produisant d'autres soldats comme faux témoins, il prétendit qu'elle avait accepté ses propositions de mariage et lui avait promis de se convertir à l'Islam. A toutes les accusations, la vaillante servante du Christ répondait : « Moi, je suis Chrétienne, et je n'ai d'époux que le Christ, auquel j'offre en dot ma virginité. C'est Lui que j'aime et je suis prête à verser mon sang pour Lui! Voilà ma réponse et n'attendez rien d'autre de moi. » Puis, penchant pudiquement son regard vers le sol, elle s'enferma dans le silence, et son coeur se trouva alors rempli d'une joie indicible qui lui faisait oublier les horreurs des tribulations de cette vie. Désemparé par l'attitude de cette frêle jeune fille et par l'aspect radieux de son visage, le magistrat la fit jeter en prison, chargée d'entraves.

Persévérant dans ses désirs impudiques, le janissaire obtint l'autorisation de se rendre dans le cachot de la Sainte avec d'autres comparses, et ils venaient la tourmenter à tout moment par ses infâmes propositions accompagnées de menaces de mort. Comme Kyranna ne daignait même pas les regarder, ils s'acharnèrent avec fureur contre elle : l'un la frappait avec un bâton, un autre avec le plat de son épée, un autre à coups de pied ou à coups de poing. Puis, lorsqu'ils s'étaient retirés, son geôlier venait la suspendre par les aisselles et s'épuisait à la frapper à coups de verges, malgré les réprimandes et les cris de révolte des autres détenus de droit commun. Dans tous ces tourments, la Sainte Martyre restait aussi impassible que si quelqu'un d'autre souffrait à sa place, et elle refusait toute nourriture qu'on lui présentait.

Le septième jour, comme le geôlier n'avait pas permis l'entrée de la prison aux janissaires, ceux-ci le dénoncèrent au magistrat qui le convoqua pour le reprendre. A son retour, celui-ci déversa toute sa haine et sa colère sur la Sainte. Il l'avait laissée suspendue, ensanglantée, quand une lumière divine entoura soudain son corps et illumina toute la prison, pendant que son âme remontait glorieuse vers son Epoux céleste, en laissant derrière elle un sublime parfum. Le geôlier, repentant et tremblant sous les sanglots, chargea un Chrétien de décrocher le corps de la Sainte et de le préparer pour les funérailles.

Quand la nouvelle du miracle se répandit dans la ville, le lendemain, les Turcs, pleins de honte, concédèrent le corps aux Chrétiens pour qu'ils l'ensevelissent en-dehors de la ville


Saint ARSENE (Matséïévitch), métropolite de Rostov, martyr sur ordre de Catherine II qui le fit emprisonner parce qu'il défendait les droits de l'Eglise (Russie 1772).

giovedì 26 febbraio 2015

27 febbraio santi feste e memorie

MYSTAGOGY
27 FEBBRAIO feste santi e memorie

Saint DENIS et VINGT-QUATRE autres, martyrs en Afrique.

Sainte HONORINE, vierge et martyre en Normandie ou en Île-de-France à une époque inconnue. (La ville de Conflans-Sainte-Honorine porte son nom.)  
http://www.santiebeati.it/dettaglio/42950
 


Sainte PONTIENNE, martyre à Gênes en Ligurie.

Saint CHRYSOGONE, confesseur à Gênes en Ligurie. 


 


 
Saint GELASE le Comédien, martyr à Héliopolis (Phénicie) sous Dioclétien (vers 297). Il fait partie de la demi-douzaine de saints mimes ou comédiens qui se convertirent soudain du paganisme au christianisme alors qu'ils participaient à des mascarades censées tourner en ridicule le saint Baptême.

Saints ABONDE (AVOUDANTIOS,AVOUNDIOS, AVOUDIMOS), CALAN (KALANOS), JANVIER, ALEXANDRE, ANTIGONOS, FORTUNAT, MACAIRE, TITIEN et SEVERIEN, martyrs à Thessalonique sous Dioclétien.

Saint NISIOS, qui accomplit son martyre en étant frappé à coups de nerf de boeuf.

Saint TIMOTHEE de Césarée, mort en paix.




Saint THALLELAIOS, ascète près de Gabala en Syrie (Vème siècle).


Saints ASCLEPIOS et JACQUES, ascètes en Syrie (Vème siècle).
Saints Asclepius and James were Syrian ascetics, and lived during the fifth century. Theodoret of Cyrrhus speaks of them. St Asclepius led an ascetic life of temperance in his native village and was not hindered by constant association with many people.

He had many imitators and followers. One of them was St James, who secluded himself in a small dwelling near the village of Nimuza. Up until the end of his life, the ascetic did not leave his hermitage, but spoke to visitors through a small aperture in the wall, cut at a angle so that no one was able to see him. He never kindled a fire or lit a lamp.



Saint EUCHER, évêque de Maëstricht en Limbourg néerlandais (VIème siècle).

Saint COMGAN, abbé en Irlande (565).


 
Saint LEANDRE, évêque métropolitain de Séville en Andalousie, qui reçut le peuple wisigoth dans l'Orthodoxie et institua la liturgie dite mozarabe (600 ou 601). (Office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome II du Supplément aux Ménées.) 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/43000



Saint ETIENNE, ancien dignitaire de la cour de l'empereur Maurice, fondateur de l'Hospice du quartier d'Armanos à Constantinople, lequel hospice resta en fonctionnement pendant huit siècles (vers 614).

Saint GALMIER (BALDOMER, WALDIMER, GARMIER, GERMIER, GAUMIER, GEAUMIER), serrurier de profession, sous-diacre et thaumaturge dans le Lyonnais (vers 660). (Le village de Saint-Galmier, fameux par la source Badoit, porte son nom.)

Saint ALNOTH, ermite et martyr en Angleterre (vers 700).






 


Saint PROCOPE le Décapolite, moine à Constantinople, confesseur des saintes Icônes sous Léon III l'Isaurien (vers 750). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.) Le 27 février, nous célébrons la mémoire de notre vénérable Père et confesseur PROCOPE le DECAPOLITE

Saint Procope vécut au temps de la persécution de Léon III l'Isaurien (717-741) contre les Saintes Icônes. Originaire de la Décapole1 et devenu moine à Constantinople, il se purifia d'abord complètement de toutes les passions et souillures de la chair, par l'ascèse et la prière silencieuse, puis, affermi par l'autorité que donne le Saint-Esprit, il alla réfuter, en compagnie de son disciple Basile (cf 28 fév.), les hérétiques qui reniaient la vérité de l'Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ en refusant de vénérer les Saintes Icônes. Non content d'enseigner par la parole, il confirma son orthodoxie par de nombreuses souffrances et tribulations qu'il endurait avec joie par amour de la Vérité, brillant dans le monde comme l'or affiné par le feu. A la mort du tyran (741), la persécution s'étant calmée, Saint Procope regagna son monastère, où il s'endormit en paix de longues années plus tard.





 



1. Il s'agit certainement, comme St Grégoire le Décapolite, autre grand confesseur des Saintes Icônes (cf. sa mémoire le 20 novembre), de la Décapole d'Isaurie, région montagneuse d'Asie Mineure avec Séleucie comme métropole.

Saint MARVART, moine de Ferrière en Gâtinais, puis higoumène de Prüm dans les Ardennes (855).

Saint HEREFRITH, évêque de Lindsey en Angleterre, probablement martyr par la main des Vikings païens (869 ou 873).

Saint TITE, hiéromoine de la Laure des Grottes de Kiev, modèle de charité fraternelle (vers 1190).

 

Saint TITE le Soldat, moine de la Laure des Grottes de Kiev (Ukraine, XIVème siècle). (Autre mémoire le 28 août. Tropaire et kondakion traduits en français par le père Denis Guillaume au tome II du Supplément aux Ménées.)

Saint PITIRIM, évêque de Tambov (Russie 1698).

Saint ELIE, originaire du village des Eaux-Froides (Krionéri) près de Trébizonde, martyr par la main des Musulmans sur le môle du port de Trébizonde (1749).


Saint RAPHAËL (Hawawini), Syrien de nation, évêque de Brooklyn dans l'Etat de New York aux Etats-Unis, premier évêque orthodoxe consacré sur le continent américain (1914). (Office anglais traduit en français par le père Denis Guillaume et publié au tome XIII du Supplément aux Ménées.)
Proclamation on the Glorification of Our Holy Father Bishop RAPHAEL (30-Apr-2000) 





Troparion — Tone 1

Your proclamation has gone forth throughout North America, / calling the scattered sheep into the unity of the church. / hearing your voice, they responded to your teaching, / and through your writings you instructed them in piety. / now guided by your example, O Father Raphael, / we sing hymns of praise unto Christ our God. / Glory to Him Who gave you strength! / Glory to Him Who granted you a crown! / Glory to Him Who, through you, grants healing to all!




Kontakion — Tone 8

You were a guardian and a defender of the Church’s teaching; / you protected your flock from false doctrines and confirmed them in the true faith. / O holy father Raphael, son of Syria and glory of North America, / always intercede before the Lord that our souls may be saved.





http://www.antiochian.org/node/17909



mercoledì 25 febbraio 2015

26febbraio feste santi e memorie


26 FEBBRAIO feste santi e memorie





Sainte et grande martyre PHOTINIE (CLAIRE, SVETLA, SVETLANA) la Samaritaine, avec qui NSJC s'était entretenu au puits de Jacob (cf. Jn IV), et des compagnons de martyre: PHOTA, PHOTIDE, et KYRIAQUIE ses soeurs; JOSE et VICTOR (ou PHOTINOS), ses fils; le duc SEBASTIEN et l'officier ANATOLE (vers 66). (Office à sainte Photinie la Samaritaine traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II du Supplément aux Ménées.)
The Holy Martyr Photina (Svetlana) the Samaritan Woman, her sons Victor (named Photinus) and Joses; and her sisters Anatola, Phota, Photis, Paraskeva, Kyriake; Nero's daughter Domnina; and the Martyr Sebastian: The holy Martyr Photina was the Samaritan Woman, with whom the Savior conversed at Jacob's Well (John. 4:5-42).

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJocXNaHlF1KkXi_ecn5f5tEhidF-sqT832K3Lx3ISxZggmhziL9G1oO_nuuYWViHCPM3xkmhYHBV9i8Qr98XbTpi79-jZIpK_Vn8zbR00qdRG0HR8nbLWScfJQO5Pevp6euOThLY2XffW/s1600/Cristo_e_la_Samaritana_miniatura_Monte_Athos_sec_XIII____85-03.jpg



Sainte Photine était la femme de Samarie, avec laquelle Notre Seigneur s'était entretenu au puits de Jacob (Jean 4) et à qui Il avait révélé tout ce qu'elle avait fait depuis son enfance. Changeant alors son genre de vie, elle alla proclamer la Bonne Nouvelle dans sa patrie et convertit au Christ ses quatre soeurs et ses deux fils.

Après le Martyre des Saints Apôtres Pierre et Paul, sous la persécution de Néron (vers 54), elle alla prêcher avec succès la foi à Carthage, en compagnie de son fils José (ou Joseph). Son autre fils Victor, après avoir combattu vaillamment contre les Avares, fut nommé général et envoyé par l'empereur en Galilée, avec l'ordre d'y mettre à mort les Chrétiens. Mais celui-ci, au lieu de châtier les disciples des Apôtres, passa son temps à proclamer lui-même la Foi et à exhorter les fidèles à la persévérance. Il fit si bien qu'il réussit à convertir le duc Sébastien, ainsi que de nombreux dignitaires de l'Etat. Lorsque l'empereur apprit cette nouvelle, il les fit arrêter et traduire sans retard devant son tribunal. Mais, réalisant qu'il ne parviendrait pas à vaincre leur résolution, il fit couper les bras de Victor et de son frère José, à la hauteur des épaules, puis les fit jeter en prison.

Sainte Photine fut elle aussi convoquée au tribunal et elle réussit à convertir par ses paroles la propre fille de l'empereur et ses servantes, ce qui provoqua la fureur du tyran qui fit jeter tous les Saints dans une fournaise ardente. Gardés indemnes par la Grâce de Dieu, ils furent ensuite soumis à toutes sortes de supplices, avant d'avoir les veux crevés. On les précipita alors dans un cachot rempli de serpents venimeux, où le Christ leur apparut au sein d'une gloire divine, accompagné des Saints Apôtres Pierre et Paul et d'une foule de Saints Anges, et Il les bénit en disant : « Paix à vous! Bienheureux ceux qui ont cru en Moi! » Ils reçurent ainsi la force d'endurer les peines de l'incarcération pendant trois ans, en entraînant la conversion de beaucoup de païens.

Quand on les tira de prison pour être soumis à de nouveaux supplices, ils furent protégés par un Ange. Finalement, le tyran ordonna d'arracher la peau de Sainte Photine et de jeter la Sainte dans un puits à sec. Il fit également écorcher ses deux fils ainsi que Sébastien et, après les avoir mutilés du membre viril, il les fit enfermer dans un bain désaffecté. Puis il ordonna de couper les seins des autres Saintes femmes et de les écorcher vives. Photide fut attachée à deux arbres inclinés de force, qui l'écartelèrent en reprenant leur position naturelle. C'est ainsi que, par ces horribles tourments, les âmes des Saints Martyrs s'envolèrent de concert pour gagner le Royaume des cieux.


 https://doxologia.ro/sfanta-mucenita-fotini-samarineanca
Troparion (Tone 3)
Thou wast illumined by the Holy Spirit and refreshed by the streams of Christ the Saviour. Having drunk the Water of Salvation thou didst give copiously to the thirsty. O holy Great Martyr Photini, Equal-to-the Apostles, entreat Christ our God that our souls may be saved.

Giovanni 4,1-40

1 QUANDO adunque il Signore ebbe saputo che i Farisei aveano udito, che Gesù faceva, e battezzava più discepoli che Giovanni 2 (quantunque non fosse Gesù che battezzava, ma i suoi discepoli); 3 lasciò la Giudea, e se ne andò di nuovo in Galilea.
4 Or gli conveniva passare per il paese di Samaria. 5 Venne adunque ad una città del paese di Samaria, detta Sichar, che è presso della possessione, la quale Giacobbe diede a Giuseppe, suo figliuolo. 6 Or quivi era la fontana di Giacobbe. Gesù adunque, affaticato dal cammino, sedeva così in su la fontana; or era intorno alle sei ore. 7 Ed una donna di Samaria venne, per attinger dell'acqua. E Gesù le disse: Dammi da bere. 8 (Perciocchè i suoi discepoli erano andati nella città, per comperar da mangiare.) 9 Laonde la donna Samaritana gli disse: Come, essendo Giudeo, domandi tu da bere a me, che son donna Samaritana? Poichè i Giudei non usano co' Samaritani. 10 Gesù rispose, e le disse: Se tu conoscessi il dono di Dio, e chi è colui che ti dice: Dammi da bere, tu stessa gliene avresti chiesto, ed egli ti avrebbe dato dell'acqua viva. 11 La donna gli disse: Signore, tu non hai pure alcun vaso da attingere, ed il pozzo è profondo: onde adunque hai quell'acqua viva? 12 Sei tu maggiore di Giacobbe, nostro padre, il qual ci diede questo pozzo, ed egli stesso ne bevve, e i suoi figliuoli, e il suo bestiame? 13 Gesù rispose, e le disse: Chiunque beve di quest'acqua, avrà ancor sete; 14 ma, chi berrà dell'acqua ch'io gli darò, non avrà giammai in eterno sete; anzi, l'acqua ch'io gli darò diverrà in lui una fonte d'acqua saliente in vita eterna. 15 La donna gli disse: Signore, dammi cotest'acqua, acciocchè io non abbia più sete, e non venga più qua ad attingerne. 16 Gesù le disse: Va', chiama il tuo marito, e vieni qua. 17 La donna rispose, e gli disse: Io non ho marito. Gesù le disse: Bene hai detto: Non ho marito. 18 Perciocchè tu hai avuti cinque mariti, e quello che tu hai ora non è tuo marito; questo hai tu detto con verità. 19 La donna gli disse: Signore, io veggo che tu sei profeta. 20 I nostri padri hanno adorato in questo monte; e voi dite che in Gerusalemme è il luogo ove conviene adorare. 21 Gesù le disse: Donna, credimi che l'ora viene, che voi non adorerete il Padre nè in questo monte, nè in Gerusalemme. 22 Voi adorate ciò che non conoscete; noi adoriamo ciò che noi conosciamo; poichè la salute è dalla parte de' Giudei. 23 Ma l'ora viene, e già al presente è, che i veri adoratori adoreranno il Padre in ispirito e verità; perciocchè anche il Padre domanda tali che l'adorino; 24 Iddio è Spirito; perciò, conviene che coloro che l'adorano, l'adorino in ispirito e verità. 25 La donna gli disse: Io so che il Messia, il quale è chiamato Cristo, ha da venire; quando egli sarà venuto, ci annunzierà ogni cosa. 26 Gesù le disse: Io, che ti parlo, son desso.
27 E in su quello, i suoi discepoli vennero, e si maravigliarono ch'egli parlasse con una donna; ma pur niuno disse: Che domandi? o: Che ragioni con lei? 28 La donna adunque, lasciata la sua secchia, se ne andò alla città, e disse alla gente: 29 Venite, vedete un uomo che mi ha detto tutto ciò ch'io ho fatto; non è costui il Cristo? 30 Uscirono adunque della città, e vennero a lui. 31 OR in quel mezzo i suoi discepoli lo pregavano, dicendo: Maestro, mangia. 32 Ma egli disse loro: Io ho da mangiare un cibo, il qual voi non sapete. 33 Laonde i discepoli dicevano l'uno all'altro: Gli ha punto alcuno portato da mangiare? 34 Gesù disse loro: Il mio cibo è ch'io faccia la volontà di colui che mi ha mandato, e ch'io adempia l'opera sua. 35 Non dite voi che vi sono ancora quattro mesi infino alla mietitura? ecco, io vi dico: Levate gli occhi vostri, e riguardate le contrade, come già son bianche da mietere. 36 Or il mietitore riceve premio, e ricoglie frutto in vita eterna; acciocchè il seminatore, e il mietitore si rallegrino insieme. 37 Poichè in questo quel dire è vero: L'uno semina, l'altro miete. 38 Io vi ho mandati a mieter ciò intorno a che non avete faticato; altri hanno faticato, e voi siete entrati nella lor fatica. 39 Or di quella città molti de' Samaritani credettero in lui, per le parole della donna che testimoniava: Egli mi ha dette tutte le cose che io ho fatte. 40 Quando adunque i Samaritani furon venuti a lui, lo pregarono di dimorare presso di loro; ed egli dimorò quivi due giorni.
 

http://www.johnsanidopoulos.com/2011/05/synaxarion-for-sunday-of-samaritan.html

http://oca.org/saints/lives/2014/03/20/100846-martyr-photina-svetlana-the-samaritan-woman-and-her-sons





 http://www.johnsanidopoulos.com/2017/02/saint-photini-samaritan-resource-page.html



Saint THEOCLITE, magicien converti par sainte Photinie la Samaritaine, martyr.

Saint HILAIRE, évêque de Mayence (Mainz) en Rhénanie, martyr (150?). E' una figura discussa; nel Proprio della diocesi di Magonza al 26 febbraio è nominato un Ilario che sarebbe stato vescovo di quella città al tempo dell'imperatore Antonino Pio (138-161) ed avrebbe subito il martirio verso il 158. Questa asserzione si basa su di un tardivo elenco di quaranta vescovi di Magonza, fino a s. Bonifacio, ritenuto genuino dal Gams e perciò accolto nella sua Series episcoporum Eccl. Cath. (p. 288). Ma già nel 1871 lo studioso F. Falk provò, nel suo lavoro sui Cataloghi dei vescovi pre-bonifaciani di Magonza, che solo l'elenco piú antico, contenente dieci nomi, era veritiero, e in questo elenco Ilario non era nominato. Anche nell'indagine piú recente di E. Ewig solo l'elenco piú antico dei vescovi è riconosciuto autentico.
Esisteva invece, nella cosiddetta valle sacra, a Sud-Ovest di Magonza, ca. sul posto dell'attuale cimitero, una chiesa dedicata a un s. Ilario, la cui esistenza è attestata già in tempi molto antichi. In essa furono sepolti i primi vescovi di Magonza, trasferiti poi, nel sec. XI, alla chiesa di S. Albano. Da questo fatto potrebbe essere nata l'opinione che il titolare della chiesa fosse un vescovo di Magonza

Saint martyr CHRISTODOULE, mort par le glaive.






Sant' Alessandro di Alessandria Patriarca
http://www.santiebeati.it/dettaglio/42850


Saint DENIS ou ZOSIME, premier évêque d'Augsbourg dans les Champs décumates, martyr sous Dioclétien (303). Visse forse nel III o IV secolo. Secondo gli Acta di S. Afra (fine sec. VIII) fu zio di questa e sarebbe stato battezzato e ordinato vescovo di Augusta da Narcisso, vescovo di Gerona. Le circostanze della morte, datagli sul rogo o con la decapitazione durante la persecuzione di Diocleziano, sono leggendarie. Qualcuno lo ha confuso con Zosimo, primo vescovo della città.


Saint FAUSTINIEN, deuxième évêque de Bologne en Emilie-Romagne (IVème siècle). S. Faustiniano, secondo la più antica lista dei vescovi dell’archidiocesi di Bologna, cioè il cosiddetto “Elenco renano†precedente al secolo XIV, è posto al secondo posto; questa notizia è confortata anche da un’iscrizione a caratteri gotici, anteriore al 1494, dove si legge che s. Zama fu il primo vescovo e s. Faustiniano il secondo.
Secondo alcuni studiosi egli sarebbe da identificare con il ‘Faustinus’ vescovo, citato da s. Atanasio vescovo di Alessandria, nella sua “Apologia contra Arianosâ€, in un elenco di vescovi italiani partecipanti al Concilio di Sardica (antico nome di Sofia in Bulgaria), nel 343.
L’ipotesi è accettabile in quanto questi vescovi in buona parte erano del litorale adriatico, e nell’elenco non è indicato per nessuno la città di cui erano vescovi, poi nell’antichità era abbastanza comune creare diminutivi dei nomi (Faustus = Faustinus = Faustinianus).
Se tutto ciò fa stabilire che s. Faustiniano era in carica nel 343, fa risultare come non plausibile, l’antica tradizione bolognese che dice, che durante la persecuzione di Diocleziano, morto nel 313, s. Faustiniano avrebbe divulgato la fede in Bologna; le date non corrispondono, anche perché la sede episcopale di Bologna non sembra essere sorta prima del secolo IV.


Saint NICOLAS de Catopinon.

Saint ANDRE, évêque de Florence en Toscane (vers 407).


 





Saint PORPHYRE, évêque de Gaza en Palestine (420). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.) 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/42900
http://oca.org/saints/lives/2014/02/26/100606-st-porphyrius-the-bishop-of-gaza



Troparion — Tone 4

Adorned with the royal purple of your virtues, / you were glorious as a hierarch and shone forth resplendently, wise Porphyrius. / You were excellent in word and deed / and you strengthen all with the grace of godliness. / As you ever serve Christ, do not cease to pray for the world.


Kontakion — Tone 2

You were adorned by your holy way of life / and were resplendent in the robe of the priesthood, all-blessed, divinely-wise Porphyrius. / You are famous for your powers of healing / and you unceasingly pray for us all.
 



Saint AUSPICE, évêque de Toul en Lorraine (vers 478).

Saint SERVULE, évêque de Vérone (VIème siècle).

Saint AMAND, ermite en Limousin (VIème siècle).

Saint KOULFINID, évêque d'Aleth en Bretagne (VIème siècle).

Saint TADEK, higoumène et martyr en Bretagne (VIème siècle).

Saint VICTOR ou VITRE de Plancy, prêtre et ermite près d'Arcis-sur-Aube (VIème ou VIIème siècle).

Saint EOLADE, évêque de Nevers en Bourgogne (après 570).

Saint AGRICOLA (AIGLE, ARILLE, AGRICOLE), évêque de Nevers en Bourgogne (594).
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Saint ONEN, moine en Bretagne (Xème siècle).

Saint SEBASTIEN, moine de Pochékhon (Russie, vers 1500).

Saint JEAN, ébéniste de profession, martyr par la main des Musulmans à Constantinople (1575



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Saint PIERRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1930).

Saint SERGE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1933).

Sainte ANNE, moniale, martyre par la main des Communistes (Russie 1937).

Saints JEAN, évêque de Rylsk, et JEAN, prêtre, martyrs par la main des Communistes (Russie 1938).