Hieromartyrs Marcellus, Bishop of Sicily, Philagrius, Bishop of Cyprus, and Pancratius, Bishop of Taoromina
Saint
MARCEL, Antiochien de nation, évêque de Syracuse en Sicile, et son fils
saint PANCRACE, évêque de Taormina en Sicile, martyr (Ier siècle).nacque
ad Antiochia, in Cilicia, regione in cui risuonava forte dalla
Palestina l eco dei fatti prodigiosi narrati circa la vita di
Gesù Cristo. Narra tradizione che San Pancrazio era
appena adolescente, quando suo padre, attratto dalla fama dei miracoli e
infiammato dal desiderio di vedere Gesù, decise di recarsi a
Gerusalemme, portando con sé il figlio. Pancrazio ebbe così la
straordinaria occasione di vederlo con i suoi occhi. Fatto ritorno ad
Antiochia, ebbe poi modo post Christi in caelum Ascensum di udire la predicazione di San
Pietro. E proprio dal apostolo venne battezzato, avviato al
sacerdozio ed infine consacrato vescovo.
Nel anno 40 d.C., nel tempo in cui era imperatore Caligola, San Pancrazio fu inviato da San Pietro in Sicilia quale primo vescovo di Taormina. Nella città sicula il protovescovo riuscì a convertire parecchi pagani, tra i quali lo stesso prefetto ed i suoi nemici si mobilitarono allora contro di lui per ucciderlo. Promotore dell assassinio fu un pagano di nome Artagato, definito infatti adoratore degli dei Egli, con un gruppo di amici, organizzo agguato: invitò San Pancrazio a casa sua per un banchetto e tentò di costringerlo a baciare un idolo di legno, oggetto che il vescovo con un segno di croce ridusse in frantumi. Ciò gli costò dunque la vita e venne immediatamente aggredito con bastoni, pugni, morsi, pietre e spade. Il suo cadavere fu infine occultato in un profondo pozzo, ma scoperto poi dai suoi discepoli ricevette finalmente degna sepoltura. La tradizione vuole che tale rinvenimento avvenne tramite un segno di luc: Divinae lucis indicio repertum deinde corpus discipuli maximo cum luctu sepelivere». Quanto all età di San Pancrazio si dice invece: Vixit egregius Pastor ad summam senectutem, et Traiani principatus initia attigit cioè arrivò a tarda vecchiaia e visse sino agli inizi del regno di Traiano. Essendo questi asceso al trono romano nel 98 d.C., si presume che l età di San Pancrazio al momento del martirio dovesse oscillare intorno ai novanta anni circa.
Quando la Sicilia passò sotto il dominio bizantino si intensificò ulteriormente nell ¢isola il culto di quei santi di origine orientale, fra cui appunto quello di San Pancrazio. Nel XV secoli i taorminesi introdussero il suo culto anche a Canicattì, che ancora oggi lo venera quale patrono.
Nel anno 40 d.C., nel tempo in cui era imperatore Caligola, San Pancrazio fu inviato da San Pietro in Sicilia quale primo vescovo di Taormina. Nella città sicula il protovescovo riuscì a convertire parecchi pagani, tra i quali lo stesso prefetto ed i suoi nemici si mobilitarono allora contro di lui per ucciderlo. Promotore dell assassinio fu un pagano di nome Artagato, definito infatti adoratore degli dei Egli, con un gruppo di amici, organizzo agguato: invitò San Pancrazio a casa sua per un banchetto e tentò di costringerlo a baciare un idolo di legno, oggetto che il vescovo con un segno di croce ridusse in frantumi. Ciò gli costò dunque la vita e venne immediatamente aggredito con bastoni, pugni, morsi, pietre e spade. Il suo cadavere fu infine occultato in un profondo pozzo, ma scoperto poi dai suoi discepoli ricevette finalmente degna sepoltura. La tradizione vuole che tale rinvenimento avvenne tramite un segno di luc: Divinae lucis indicio repertum deinde corpus discipuli maximo cum luctu sepelivere». Quanto all età di San Pancrazio si dice invece: Vixit egregius Pastor ad summam senectutem, et Traiani principatus initia attigit cioè arrivò a tarda vecchiaia e visse sino agli inizi del regno di Traiano. Essendo questi asceso al trono romano nel 98 d.C., si presume che l età di San Pancrazio al momento del martirio dovesse oscillare intorno ai novanta anni circa.
Quando la Sicilia passò sotto il dominio bizantino si intensificò ulteriormente nell ¢isola il culto di quei santi di origine orientale, fra cui appunto quello di San Pancrazio. Nel XV secoli i taorminesi introdussero il suo culto anche a Canicattì, che ancora oggi lo venera quale patrono.
Saint PHILAGRIOS, évêque de Chypre (Ier siècle). The Hieromartyrs Philagrius, Marcellus and Pancratius were disciples of the holy Apostle Peter and were made bishops by him: St Marcellus, of Sicily; Philagrius, of Cyprus, and Pancratius, of Taormina. They were put to death for spreading the faith of Christ among the pagans.
Saint SABIN, premier évêque d'Avellino en Italie et martyr sous Trajan (109).
SEIZE nobles alains (on dirait de nos jours ossètes) de la cour d'Arménie, dits SOUK'IASIANK', martyrs (IIème siècle). (Seuls les synaxaires arméniens ont gardé leur mémoire.)
Saints AMMON et ALEXANDRE, anciens étudiants de l'école d'Origène à Alexandrie, puis martyrs à Soléa sur l'île de Chypre avec VINGT autres(IIIème siècle).
Sainte APOLLONIE, martyre à Alexandrie (vers 249).
Saint ALEXANDRE et ses TRENTE-HUIT compagnons, martyrs à Rome.
Saint NICEPHORE, martyr à Antioche sous Valérien et Galien (vers 257). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.)
Le 9 février, nous célébrons la mémoire du Saint Martyr NICEPHORE
Dans la ville d'Antioche de Syrie vivaient, sous le règne de Valérien et de Galien (253-260), un Prêtre, nommé Sapricius, et un simple chrétien, Nicéphore, qui étaient liés d'une si forte amitié qu'on eût dit qu'ils n'avaient qu'une seule âme, qu'un seul coeur, qu'une seule volonté. Il advint pourtant que, par la malice du démon, cette amitié se changea en une haine implacable. Après quelque temps Nicéphore, revenant à lui-même et réalisant que rien n'est plus précieux aux yeux du Seigneur que la charité mutuelle et la réconciliation de ceux qui ont été séparés par la haine du diable, envoya à plusieurs reprises des amis vers Sapricius, afin de lui demander de lui pardonner pour l'amour du Christ. Mais à chaque fois, ces émissaires de la paix se heurtèrent au coeur endurci du Prêtre qui, transgressant le commandement du Seigneur, continuait d'offrir le Saint Sacrifice sans se réconcilier avec son frère (cf. Mat. 5:22). L'humble Nicéphore décida alors d'aller en personne se jeter aux pieds de l'impitoyable Sapricius, dans l'espoir de l'attendrir. Mais celui-ci passa son chemin, sans même jeter un regard sur son ami prosterné.
Dans la ville d'Antioche de Syrie vivaient, sous le règne de Valérien et de Galien (253-260), un Prêtre, nommé Sapricius, et un simple chrétien, Nicéphore, qui étaient liés d'une si forte amitié qu'on eût dit qu'ils n'avaient qu'une seule âme, qu'un seul coeur, qu'une seule volonté. Il advint pourtant que, par la malice du démon, cette amitié se changea en une haine implacable. Après quelque temps Nicéphore, revenant à lui-même et réalisant que rien n'est plus précieux aux yeux du Seigneur que la charité mutuelle et la réconciliation de ceux qui ont été séparés par la haine du diable, envoya à plusieurs reprises des amis vers Sapricius, afin de lui demander de lui pardonner pour l'amour du Christ. Mais à chaque fois, ces émissaires de la paix se heurtèrent au coeur endurci du Prêtre qui, transgressant le commandement du Seigneur, continuait d'offrir le Saint Sacrifice sans se réconcilier avec son frère (cf. Mat. 5:22). L'humble Nicéphore décida alors d'aller en personne se jeter aux pieds de l'impitoyable Sapricius, dans l'espoir de l'attendrir. Mais celui-ci passa son chemin, sans même jeter un regard sur son ami prosterné.
Sur
ces entrefaites, la persécution contre les Chrétiens s'étant ranimée,
Sapricius fut arrêté et traduit devant le tribunal du proconsul. Il
confessa avec fermeté qu'il était Prêtre Chrétien et qu'il préférait la
mort plutôt que de sacrifier aux faux dieux. Comme il restait
inébranlable sous la torture, il fut condamné à être décapité. Pendant
qu'on le conduisait vers le
supplice, Nicéphore, inquiet de voir son ami sacrifier ainsi vainement
sa vie au nom du Christ alors qu'il était séparé de son frère, vint se
jeter devant lui, en criant : « Martyr du Christ, pardonne-moi les
fautes pour lesquelles tu es fâché contre moi! » Froid et insensible
comme la pierre, Sapricius continua son chemin. Nicéphore, sans se
décourager, alla l'attendre à un autre endroit et renouvela sa demande
sous les quolibets des soldats de l'escorte, mais sans plus de succès.
Il répéta encore une fois sa démarche quand le cortège arriva sur les
lieux de l'exécution, en versant un flot abondant de larmes, mais il ne
trouva pour réponse que la colère et les injures du Martyr.
Au moment même, où le bourreau tenait le glaive levé et où la couronne inflétrissable du Martyre s'apprêtait à descendre du ciel, Dieu retira Sa grâce de l'indigne Sapricius qui se tourna soudain vers le bourreau et lui demanda : « Pourquoi donc veux-tu me couper la tête? » - « Parce que tu refuses de te soumettre aux ordres de l'empereur et d'adorer les idoles. » - « Ne me faites pas mourir pour cela, reprit-il lâchement, car je suis prêt à sacrifier aux dieux. » Nicéphore s'écria en pleurs : « Non, mon Frère bien-aimé, ne fais pas cela! Ne perds pas une couronne que tu as préparée par tant de souffrances, en reniant ainsi le Seigneur! » Mais celui qui était resté si opiniâtrement sourd aux propositions de paix de son ami ne l'écouta pas davantage et resta obstiné dans sa résolution. Nicéphore se tourna alors vers le bourreau, en s'écriant : « Je suis Chrétien. Je crois en Notre Seigneur Jésus-Christ que celui-ci vient de renier. Laissez-le aller et faites-moi mourir à sa place! »
On rapporta la chose au gouverneur qui ordonna de relâcher Sapricius et d'exécuter Nicéphore à sa place. Celui-ci posa joyeusement sa tête sur le billot et offrit sa vie, à l'imitation du Christ, pour celui qui avait perdu, à cause de son orgueil et de sa dureté de coeur, la récompense de tous ses combats. En partant au ciel pour recevoir la couronne de gloire, Saint Nicéphore laissa aux Chrétiens l'illustration vivante de ces paroles prononcées par l'Esprit Saint : « Quand je livrerais mon corps au flammes, si je n'ai pas la charité, cela ne me sert de rien » (I Cor. 13:3). Et « Si vous ne pardonnez pas aux autres les offenses que vous en avez reçues, votre Père céleste ne vous pardonnera pas non plus les fautes que vous commettez ( ... ) Car on se servira pour vous de la même mesure dont vous vous serez servie envers les autres » (Mat 6:14; 7:2).
Saints AMMON, EMILIEN, LASSE, DIDYME, POEME, AMMON et TRENTE-HUIT autres, martyrs à Membressa en Afrique du Nord.
Sainte PRIMA, martyre de Carthage à laquelle le saint empereur Justinien le Grand dédia une église.
Saints PRUME (PRIMUS) et DONAT, diacres, qui furent tués par les Donatistes à Lavallum en Afrique du Nord dans une église dont ils défendaient l'autel (vers 362).
Saint ROMAIN le Thaumaturge, Cilicien de nation, ascète dans la région d'Antioche (IVème-Vème siècles).
Sainte ATTRACTE ou TARAHATE, soeur de saint Coeman, vierge et solitaire consacrée à Dieu par saint Patrick (Irlande, Vème siècle).
Saint EINGAN (EINON), prince devenu ermite à Llanengan près de Bangor (VIème siècle).
Saint EUMACHE (CHAMASSY), domestique d'une dame du Périgord devenu ascète puis prêtre en Périgord (VIème siècle).
Saint RUFIN, évêque de la ville disparue de Canosa (Canusium) en Apulie (500).
Saint MEMOIRE (MEMOR, MEMORIUS), évêque de Canosa en Apulie (514). (Office et acathiste composés en français par l'évêque Paul (Alderson) de Tracheia et publiés par le monastère Saint-Antoine-le-Grand de Saint-Laurent-en-Royans .)
Saint NEBRIDE, évêque d'Egara, ancienne ville d'Espagne détruite par les Musulmans (vers 527).
Au moment même, où le bourreau tenait le glaive levé et où la couronne inflétrissable du Martyre s'apprêtait à descendre du ciel, Dieu retira Sa grâce de l'indigne Sapricius qui se tourna soudain vers le bourreau et lui demanda : « Pourquoi donc veux-tu me couper la tête? » - « Parce que tu refuses de te soumettre aux ordres de l'empereur et d'adorer les idoles. » - « Ne me faites pas mourir pour cela, reprit-il lâchement, car je suis prêt à sacrifier aux dieux. » Nicéphore s'écria en pleurs : « Non, mon Frère bien-aimé, ne fais pas cela! Ne perds pas une couronne que tu as préparée par tant de souffrances, en reniant ainsi le Seigneur! » Mais celui qui était resté si opiniâtrement sourd aux propositions de paix de son ami ne l'écouta pas davantage et resta obstiné dans sa résolution. Nicéphore se tourna alors vers le bourreau, en s'écriant : « Je suis Chrétien. Je crois en Notre Seigneur Jésus-Christ que celui-ci vient de renier. Laissez-le aller et faites-moi mourir à sa place! »
On rapporta la chose au gouverneur qui ordonna de relâcher Sapricius et d'exécuter Nicéphore à sa place. Celui-ci posa joyeusement sa tête sur le billot et offrit sa vie, à l'imitation du Christ, pour celui qui avait perdu, à cause de son orgueil et de sa dureté de coeur, la récompense de tous ses combats. En partant au ciel pour recevoir la couronne de gloire, Saint Nicéphore laissa aux Chrétiens l'illustration vivante de ces paroles prononcées par l'Esprit Saint : « Quand je livrerais mon corps au flammes, si je n'ai pas la charité, cela ne me sert de rien » (I Cor. 13:3). Et « Si vous ne pardonnez pas aux autres les offenses que vous en avez reçues, votre Père céleste ne vous pardonnera pas non plus les fautes que vous commettez ( ... ) Car on se servira pour vous de la même mesure dont vous vous serez servie envers les autres » (Mat 6:14; 7:2).
Saints AMMON, EMILIEN, LASSE, DIDYME, POEME, AMMON et TRENTE-HUIT autres, martyrs à Membressa en Afrique du Nord.
Sainte PRIMA, martyre de Carthage à laquelle le saint empereur Justinien le Grand dédia une église.
Saints PRUME (PRIMUS) et DONAT, diacres, qui furent tués par les Donatistes à Lavallum en Afrique du Nord dans une église dont ils défendaient l'autel (vers 362).
Saint ROMAIN le Thaumaturge, Cilicien de nation, ascète dans la région d'Antioche (IVème-Vème siècles).
Sainte ATTRACTE ou TARAHATE, soeur de saint Coeman, vierge et solitaire consacrée à Dieu par saint Patrick (Irlande, Vème siècle).
Saint EINGAN (EINON), prince devenu ermite à Llanengan près de Bangor (VIème siècle).
Saint EUMACHE (CHAMASSY), domestique d'une dame du Périgord devenu ascète puis prêtre en Périgord (VIème siècle).
Saint RUFIN, évêque de la ville disparue de Canosa (Canusium) en Apulie (500).
Saint MEMOIRE (MEMOR, MEMORIUS), évêque de Canosa en Apulie (514). (Office et acathiste composés en français par l'évêque Paul (Alderson) de Tracheia et publiés par le monastère Saint-Antoine-le-Grand de Saint-Laurent-en-Royans .)
Saint NEBRIDE, évêque d'Egara, ancienne ville d'Espagne détruite par les Musulmans (vers 527).
Saint SABIN, évêque de Canosa en Apulie, thaumaturge et patron de la ville de Bari (566). un vescovo vissuto tra la fine del V secolo e la metà del VI, di lui prima dell'episcopato non si sa praticamente nulla; sembra che sia succeduto come vescovo di Canosa di Puglia a Memore nel 514. Dal Papa Agapito fu inviato come capo di una commissione di vescovi, nel 535 a Costantinopoli per constatare l'eresia monofisita del patriarca Antimo, la sua rimozione e la sostituzione con il nuovo patriarca Mena, che convocò un sinodo nel 536. San Gregorio Magno racconta che Sabino era solito visitare san Benedetto a Montecassino. In una di queste visite gli disse, che era preoccupato per l'ingresso di Totila re degli Ostrogoti in Roma (dicembre 546) ricevendo come risposta che Roma si sarebbe disfatta da sé per altre vie. E Totila in una delle sue incursioni, arrivò a Canosa e invitato a mensa dal santo vescovo, ormai vecchio e cieco, volle provarne lo spirito profetico, offrendogli lui stesso del vino al posto del servo. Sabino chiamandolo per nome lo ringraziò
Saints EMILIEN et BRACHION (BRAQUE), son
disciple, ermites dans la région de Riom en Auvergne, puis fondateurs du
monastère de Pionsat. Saint Brachion fut ensuite abbé du monastère de
Ménat et mourut en 576.
Saint TELIAUS (ELIUD, TEIO, DILLON), fondateur du monastère de Llandaff dans le pays de Galles; les Bollandistes le donnent comme évêque (vers 580).
Saint BRAVY, successeur de saint Brachion comme higoumène du monastère de Ménat en Auvergne (vers 590).
Saint AUDEBERT, évêque de Senlis (685).
Saint ANSBERT, chancelier du roi Clotaire III devenu moine, puis archevêque de Rouen en Normandie (695). (Office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome II du Supplément aux Ménées.)
Saint TELIAUS (ELIUD, TEIO, DILLON), fondateur du monastère de Llandaff dans le pays de Galles; les Bollandistes le donnent comme évêque (vers 580).
Saint BRAVY, successeur de saint Brachion comme higoumène du monastère de Ménat en Auvergne (vers 590).
Saint AUDEBERT, évêque de Senlis (685).
Saint ANSBERT, chancelier du roi Clotaire III devenu moine, puis archevêque de Rouen en Normandie (695). (Office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome II du Supplément aux Ménées.)
Ad
Hautmont sulla Sambre nell Hainault, nel territorio
dell odierna Francia, transito di sant Ansberto, che fu
abate di Fontenelle e poi vescovo di Rouen, relegato in esilio dal re
Pipino.
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Saint CUARAN (CURVINUS, CRONAN), évêque en Irlande puis moine à Iona (vers 700).
Saint PIERRE, archevêque de Canosa (VIIIème siècle).
Saint CRONAN, surnommé "le Sage" en raison de sa connaissance des canons (VIIIème siècle).
Saint ALTON, Irlandais de nation, ermite près d'Ausbourg en Bavière, puis fondateur du monastère depuis appelé Altomünster (vers 760).
Saint ALTON, Irlandais de nation, ermite près d'Ausbourg en Bavière, puis fondateur du monastère depuis appelé Altomünster (vers 760).
Nella
Baviera, in Germania, commemorazione di sant Altone, abate, che,
di origine irlandese, costruì nei boschi di questa regione un
monastero, che da lui prese poi il nome.
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Saint PIERRE DAMASCENE, évêque de Damas, martyr (ou confesseur?) par la main des Musulmans (vers 776).
http://www.johnsanidopoulos.com/2011/02/saint-peter-of-damascus-and-his-feast.html
Saint PIERRE DAMASCENE, moine, auteur de traités recueillis dans la Philocalie (vers le XIIème siècle).
Saint PANCRACE, hiéromoine de la Laure des Grottes de Kiev (XIIIème - XIVème siècles). (Tropaire et kondakion traduits en français par le père Denis Guillaume au tome XIII su Supplément aux Ménées.)
Saint GENNADE du Lac-Vaje (Vajiozirsk), ermite dans une grotte près du lac Vaje dans la région de Vologda (Russie, vers 1516).
Saint NICEPHORE, ermite dans la grotte où avait vécu saint Gennade, puis fondateur d'un monastère près du lac Vaje (Russie 1556).
Invention des reliques de saint Innocent d'Irkoutsk (1805). (Tropaire et kondakion de saint Innocent traduits en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées.) In 1764, the body of Saint Innocent of Irkutsk was discovered incorrupt during restoration work on the Ascension monastery's Tikhvin church. Many miracles occurred not only at Irkutsk, but also in remote places of Siberia, for those who flocked to the saint with prayer. This moved the Most Holy Synod to uncover the relics and to glorify the saint in the year 1800.
In 1804, a feastday was established to celebrate his memory throughout all Russia on November 26, since the Icon of the Mother of God "of the Sign" is commemorated on the actual day of his repose (November 27). Today we commemorate the uncovering of his relics in 1805.
Saint BASILE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1930).
Venerable Shio Mgvime
Saint
Shio was one of the twelve disciples of St John Zedazeni. They were
holy Syrian (Cappadocian) ascetics, the founders of Georgian
monasticism, who arrived in Georgia from Cappadocia in the mid-sixth
century. The holy Thirteen Cappadocian Fathers were actually Georgians,
who received their spiritual
schooling at the renowned Lavra of St Simeon the Stylite and at other
monasteries of Syria and Mesopotamia, intending to return to their
native land and assist in its Christian enlightenment.
St Shio is also commemorated on May 9.
St Shio is also commemorated on May 9.
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