Sainte JUDDENE, vierge, martyre à Carthage sous Septime Sévère (202).
Saints JOCONDE, SATURNIN, ARTAXE et QUINT, martyrs en Afrique sous Septime Sévère (203).
Saints JOCONDE, SATURNIN, ARTAXE et QUINT, martyrs en Afrique sous Septime Sévère (203).
Saintes PERPETUE, jeune mère de famille patricienne, et FELICITE, esclave, martyres à Tuburbe en Maurétanie sous Septime Sévère avec saints REVOCAT, esclave, SATURNIN et SECONDULE (204). (Office à saintes Perpétue et Félicité composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome III du Supplément aux Ménées à la date du 6 mars, jour où commença leur passion).
Chiusa
in carcere aspettando la morte, una giovane tiene una sorta di diario
dei suoi ultimi giorni, descrivendo la prigione affollata, il tormento
della calura; annota nomi di visitatori, racconta sogni e visioni degli
ultimi giorni. Siamo a Cartagine, Africa del Nord, anno 203: chi scrive è
la colta gentildonna Tibia Perpetua, 22 anni, sposata e madre di un
bambino. Nella folla carcerata sono accanto a lei anche la
più giovane Felicita, figlia di suoi servi, e in gravidanza avanzata; e
tre uomini di nome Saturnino, Revocato e Secondulo. Tutti condannati a
morte perché vogliono farsi cristiani e stanno terminando il periodo di
formazione; la loro «professione di fede» sarà il martirio nel nome di
Cristo. Le annotazioni di Perpetua verranno poi raccolte nella «Passione
di Perpetua e Felicita», opera forse di Tertulliano, testimone a
Cartagine. Sempre
a Cartagine, odierna Tunisia, passione dei santi
Satiro, Saturnino, Revocato e Secondino, dei quali, durante la medesima
persecuzione, l ' ¢ultimo morì in carcere, gli altri
invece, dopo essere stati straziati da varie belve, morirono sgozzati
con la spada mentre si scambiavano il bacio santo della pace e della
professione di fede to.
Y
Saints hiéromartyrs évêques de Chersone (aujourd'hui Sébastopol) en Crimée: EPHREM, BASILE, EUGENE, AGATHODORE, CAPITON, ETHERIUS et ELPIDIUS (IV ème siècle). (En fait, il semble que saint Ephrem ait accompli son martyre en 304 en tant qu'évêque de Tomis, aujourd'hui Constanta en Roumanie.) (Office traduit par le père Denis Guillaume au tome III des Ménées.
Troparion — Tone 5
Since You have given given us the miracles of Your Holy Hieromartyrs of Cherson as an invincible rampart, / foil the machinations of the ungodly, O Christ our God, / and strengthen the faith of the Orthodox Christians, / for You are good and love mankind.Kontakion — Tone 2
The radiant day of the hierarchs and pastors in Cherson has dawned! / Let us sing hymns for the feast of those who suffered for the sheep of Christ! / Hieromartyrs, entreat Christ, the chief Shepherd, that He may number us with the sheep on His right hand, / so that we may cry aloud to you: / Rejoice, holy fathers, for you shed your blood for Christ
Saints ARCADE et NESTOR, évêques de Trimithonte en Chypre.
Saint PAUL le Simple, paysan devenu disciple de saint Antoine le Grand et moine (Egypte, IV ème siècle).
Sposato,
quando si accorse che la moglie lo tradiva , scorgendo in questo un
segno di una divina chiamata alla vita monastica, si ritirò nel deserto;
fu un discepolo di s. Antonio Abate. Questi lo provò in molti modi: lo
tenne a digiuno e fuori della cella per vari giorni sotto il sole del
deserto; gli fece rompere un vaso di miele e glielo fece raccogliere con
un cucchiaio stando attento a non raccogliere con esso anche la sabbia;
gli fece svolgere lavori inutili come fare e disfare corde, cucire e
scucire vestiti e s. Paolo non mormorò, non si scoraggiò e non si
indignò. S. Antonio alla fine si commosse per questo suo discepolo
scorgendo che era estremamente semplice e che in lui la grazia agiva in
modo meraviglioso. Questa straordinaria umiltà e obbedienza di s. Paolo
il Semplice lo rese uno straordinario esorcista, infatti s.
Antonio abate gli diede una cella vicina alla sua e gli inviava gli
indemoniati che lui stesso (Antonio il Grande!!) non riusciva a liberare
e si racconta che per opera di s. Paolo il Semplice essi venivano
immediatamente liberati dai demoni.
Sainte LEWENEZ (GWENDIVIG), mère de saint Gwénaël (Bretagne, VIème siècle).
Saint DEIFER, abbé dans le pays de Galles (VIème siècle).
Saint EQUITIUS, abbé en Italie (VIème siècle). Sant'Equizio
nacque nel 480-490 nella provincia Valeria (L'Aquila-Rieti- Tivoli).
Non si hanno grandi notizie della sua vita. L'unico che ne parla
è S. Gregorio Magno nei suoi dialoghi (I,4 in PL, LXXVII, coll. 165-77).
Fu monaco e con S. Benedetto da Norcia può ritenersi il padre e il
diffusore del monachesimo in Italia e in Occidente. S. Equizio non
ricevtte mai gli ordini sacri. S. Gregorio afferma che S. Equizio per la
sua santità popolò l'intera provincia Valeria di monaci. Sono riferiti a
lui fatti starordinari come la liberazione da tentazioni per opera di
un angelo e lo smascheramento profetico di un certo Basilio mago.
Saint GAUDIOSUS, évêque de Brescia en Lombardie (vers 445).
Saint ENODOCH (pays de Galles, vers 520).
Saint
EPHREM, comte d'Orient, nommé gouverneur d'Antioche par saint Justinien
le Grand, élu patriarche d'Antioche par le peuple et le clergé,
confesseur de la foi orthodoxe face au monophysitisme (546).
Saint EOSTERWINE, cousin de saint Benoît Biscop, higoumène de Wearmouth en Angleterre (688).
Saint
LAURENT, originaire de la ville de Mégare en Attique, fondateur du
monastère de la Mère de Dieu "Phanéroménie" sur l'île de Salamine
(1707).
Le
7 mars, mémoire de notre vénérable Père LAURENT, fondateur du monastère
de la MERE de DIEU « PHANEROMENIE », dans l'île de SALAMINA
Saint Laurent naquit dans la ville de Mégares (Attique) dans la première moitié du XVIle siècle. Marié et père de deux enfants, il travaillait comme maçon et laboureur, louant son travail en différents lieux. A la suite de trois apparitions nocturnes de la Mère de Dieu, qui lui ordonnait d'aller lui construire une église dans l'île de Salamine, il restait toujours indécis et plein de doutes. La TouteSainte lui apparut alors de nouveau et lui montra d'un ton sévère le plan précis de l'église et du monastère qu'elle lui commandait d'édifier. Laurent se décida à entreprendre la traversée, mais la mer démontée l'en empêchait. Il entendit alors une voix céleste lui ordonner d'étendre sa cape sur la mer. Il obéit, cette fois-ci sans hésitation et se retrouva miraculeusement transporté dans l'île de Salamine. Il n'eut pas de peine à trouver l'endroit indiqué, où se trouvaient les ruines d'une ancienne église, dans lesquelles il découvrit une icône de la Mère de Dieu. Rejetant dès lors derrière lui tout attachement au monde, il devint moine, convainquit son épouse de l'imiter, et consacra toutes ses ressources à la construction du monastère. Parmi les habitants de l'île qui venaient l'aider certains devinrent moines, et la communauté grandit rapidement, sous la protection de la Très Sainte Vierge qui accorda à Saint Laurent la grâce d'accomplir de nombreuses guérisons en faveur des Chrétiens et aussi des musulmans. C'est ainsi qu'il guérit d'une maladie mortelle la femme d'un dignitaire de la cour ottomane. En signe de reconnaissance l'époux de celle-ci rendit au monastère d'anciennes propriétés qui lui avaient été confisquées.
Ainsi aidé par la Grâce, le saint acheva la
construction du monastère en 1682, et s'endormit en paix, le 9 mars 1707
7 , emportant au ciel la couronne des fidèles serviteurs de la Mère de
Dieu.
L'icône
de la Mère de Dieu "CAUTION DES PECHEURS" ("SPOROUTCHNITSA GRIECHNYKH")
à Ordina (province d'Orel) (1843) et à Moscou (1848) (autre fête le 29
mai). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome
III du Supplément aux Ménées. Acathiste traduit en français par le père
Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées.)
The
Icon of the Mother of God "Surety of Sinners" is known by this name
because of the inscription on the icon: "I am the Surety of sinners for
My Son Who has entrusted Me to hear them, and those who bring Me the joy
of hearing them will receive eternal joy through Me." The Mother of God
embraces Her Child, Who holds Her right hand with both His hands so
that Her thumb is in His right hand, and Her small finger in His left
hand. This is the gesture of one who gives surety for another.
Although
we do not know when or by whom the icon was originally painted, it is
believed that the basis of the icon is to be found in the Akathist to
the Protection of the Most Holy Theotokos: "Rejoice, You Who offer Your
hands in surety for us to God."
This icon was first glorified by
miracles at the St Nicholas Odrino men's monastery of the former Orlov
gubernia in the mid-nineteenth century (The "Assuage My Sorrows Icon"
commemorated on October 9 is also from this monastery). The "Surety of
Sinners" icon of the Mother of God was in an old chapel beyond the
monastery gates, and stood between two other ancient icons. Because it
was so faded and covered with dust, it was impossible to read the
inscription.
In 1843 it was revealed to many of the people in
dreams that the icon was endowed with miraculous power. They solemnly
brought the icon into the church. Believers began to flock to it to pray
for the healing of their sorrows and sicknesses. The first to receive
healing was a crippled child, whose mother prayed fervently before the
icon in 1844. The icon was glorified during a cholera epidemic, when
many people fell deathly ill, and were restored to health after praying
before the icon.
A large stone church with three altars was built at the monastery in honor of the
wonderworking icon.
The "Surety of Sinners" Icon is also commemorated on May 29 and on Thursday of the week of All Saints.
Saint
NICOLAS, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1930).
Saint ELIE, moine, et saintes MATRONE et MARIE, moniales, martyrs par la main des Communistes (Russie 1938).
http://www.johnsanidopoulos.com/2011/03/saint-aimilianos-roman.html
http://www.johnsanidopoulos.com/2011/03/saint-aimilianos-roman.html
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