sabato 15 marzo 2014

11/Marzo al 16/Marzo santi italici ed italo greci

11/Marzo al 16/Marzo  santi italici ed italo greci 

11 marzo feste santi e memorie 

 prayers

Saint BENOÎT CRISPUS, évêque de Milan, qui construisit un refuge pour les femmes repenties (vers 725). 

 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/44540 

12 marzo santi feste e memorie

 
Saint MAXIMILIEN, martyr à Rome, probablement sous Dioclétien.
 
 
 
 
 
 
 

Saint GREGOIRE Ier le Dialogue, pape et patriarche de Rome (590-604), biographe de saint Benoît de Nursie, organisateur de la mission en Angleterre et qui condamna d'avance les prétentions de ses successeurs (604).

St. Gregory I is shown at left. At right is St. Basil the Great. 
Troparion (Tone 3)
Thou didst excellently dispense the Word of God, endowed with discretion of speech, O Hierarch Gregory: for by thy life thou didst set the virtues before us, and dost radiate the brightness of holiness. O righteous Father, pray to Christ our God to grant us His great mercy.

Troparion — Tone 4

Receiving divine grace from God on high, glorious Gregory, / and strengthened with its power, / you willed to walk in the path of the Gospel, most blessed one. / Therefore you have received from Christ the reward of your labors. / Entreat Him that He may save our souls.

Kontakion — Tone 3

Father Gregory, you showed yourself to be an imitator of Christ, the chief Shepherd, / guiding the orders of monks to the fold of heaven. / You taught the flock of Christ His commandments. / Now you rejoice and dance with them in the mansions of heaven.

http://oca.org/saints/lives/2014/03/12/100789-st-gregory-dialogus-the-pope-of-rome

http://www.santiebeati.it/dettaglio/24350
 


Saint PIERRE, diacre et disciple de saint Grégoire Dialogue (605).

Saint GREGOIRE Ier le Dialogue, pape et patriarche de Rome (590-604), biographe de saint Benoît de Nursie, organisateur de la mission en Angleterre et qui condamna d'avance les prétentions de ses successeurs (604)


 

 

 


 


 



 



Saint GREGOIRE Ier le Dialogue, pape et patriarche de Rome (590-604), biographe de saint Benoît de Nursie, organisateur de la mission en Angleterre et qui condamna d'avance les prétentions de ses successeurs (604).
http://ilpalazzodisichelgaita.files.wordpress.com/2012/01/registrum_gregorii_san_gregorio_magno_ispirato_dalla_colomba_983_miniatura_treviri_stadtbiblithek_198x27_cm.jpg



St. Gregory I is shown at left. At right is St. Basil the Great. 
Troparion (Tone 3)
Thou didst excellently dispense the Word of God, endowed with discretion of speech, O Hierarch Gregory: for by thy life thou didst set the virtues before us, and dost radiate the brightness of holiness. O righteous Father, pray to Christ our God to grant us His great mercy.


Troparion — Tone 4

Receiving divine grace from God on high, glorious Gregory, / and strengthened with its power, / you willed to walk in the path of the Gospel, most blessed one. / Therefore you have received from Christ the reward of your labors. / Entreat Him that He may save our souls.

Kontakion — Tone 3

Father Gregory, you showed yourself to be an imitator of Christ, the chief Shepherd, / guiding the orders of monks to the fold of heaven. / You taught the flock of Christ His commandments. / Now you rejoice and dance with them in the mansions of heaven.

http://oca.org/saints/lives/2014/03/12/100789-st-gregory-dialogus-the-pope-of-rome

http://www.santiebeati.it/dettaglio/24350
 
 
http://www.ortodossiatorino.net/DocumentiSezDoc.php?cat_id=18&id=1099
 



Saint NICODEME, disciple de saint Fantin, solitaire à Mammola en Calabre (990).

http://www.santiebeati.it/Detailed/90976.html

13 marzo feste santi e memorie 

 

Saint ANSEVIN (ANSOVINUS), évêque de Camerino en Italie (840).Ludovico II, re d'Italia, associato all'impero dal padre Lotario I, volle Ansovino a Pavia come suo consigliere e confessore. Alla morte del vescovo di Camerino, Fratello, i concittadini lo elessero suo successore, ma Ansovino accettò solo quando Ludovico, rassegnato a perderlo, lo ebbe prosciolto dall'obbligo di servire in armi l'impero. Consacrato a Roma da Leone IV, vi ritornò per il Concilio Romano indetto da Niccolò I nell'861, e si firmò Ansuinus Camerinensis.
Il suo ministero si distinse per la generosità verso i poveri e per l'impegno posto nella pacificazione delle fazioni. Morì il 13 marzo nel diciottesimo anno del suo episcopato. In quel giorno lo ricordano i martirologi, tra cui quello dei Canonici Regolari Lateranensi. Un sarcofago monumentale eretto verso il 1390 nella Metropolitana di Camerino, conserva il suo corpo.

http://www.santiebeati.it/dettaglio/45100

 

14 marzo feste santi e memorie 


Saint BENOÎT de Nursie en Ombrie, patriarche des moines d'Occident, fondateur des monastères de Subiaco et du Mont-Cassin, auteur de la règle bénédictine (543)
Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III des Ménées. Acathiste traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III du Supplément aux Ménées. Office composé par saint Nil de Rossano et traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées à la date du 21 mars.) È il patriarca del monachesimo occidentale. Dopo un periodo di solitudine presso il sacro Speco di Subiaco, passò alla forma cenobitica prima a Subiaco, poi a Montecassino. La sua Regola, che riassume la tradizione monastica orientale adattandola con saggezza e discrezione al mondo latino, apre una via nuova alla civiltà europea dopo il declino di quella romana. In questa scuola di servizio del Signore hanno un ruolo determinante la lettura meditata della parola di Dio e la lode liturgica, alternata con i ritmi del lavoro in un clima intenso di carità fraterna e di servizio reciproco. Nel solco di San Benedetto sorsero nel continente europeo e nelle isole centri di preghiera, di cultura, di promozione umana, di ospitalità per i poveri e i pellegrini Le 14 mars, nous célébrons la mémoire de notre vénérable Père Théophore BENOIT de NURSIE1

St BenoitNotre saint Père Benoît vit le jour vers 480, à Nursie, petite ville de province située dans les montagnes au nord-est de Rome, au sein d'une famille chrétienne pieuse et aisée. Envoyé à Rome pour ses études, celui qui avait acquis dès son enfance la sagesse d'un vieillard, désireux de plaire à Dieu seul, dédaigna les plaisirs du monde et ses vaines promesses, pour se mettre en quête du saint habit monastique.

Comme il s'était arrêté dans la bourgade d'Effide, sa nourrice, qui l'avait suivi avec l'attachement d'une mère, emprunta un crible en terre cuite pour nettoyer le grain, en vue de préparer du pain. Mais le vase se brisa en tombant à terre. Voyant le chagrin de sa nourrice, le jeune garçon se mit à prier avec larmes et lorsqu'il se releva il lui remit l'objet intact. Dans leur admiration pour ce miracle, les habitants suspendirent le crible à la porte de l'église. Mais, craignant de se voir privé de la faveur divine par la vaine gloire des hommes, Benoît s'enfuit alors clandestinement et se retira à Subiaco, dans une grotte perchée à plus de six cents mètres d'altitude, où il demeura inconnu des hommes, sauf d'un moine cénobite, Romain, qui l'avait revêtu du saint habit monastique et venait lui apporter en secret des provisions qu'il économisait sur sa propre portion.

Au bout de trois ans Dieu, qui ne voulait pas laisser cachée sa vertu, révéla la cachette de son serviteur à un Prêtre qui, le jour de Pâques, vint lui apporter de la nourriture. Benoît, qui avait oublié toute notion du temps, le salua en disant : « Je sais bien que c'est Pâques, puisque j'ai l'honneur de te voir! » Peu après des bergers le découvrirent à leur tour et, dès lors, un grand nombre de personnes vint lui rendre visite pour recevoir une parole de salut.

Un jour, alors que le Saint priait seul, le démon lui apparut sous la forme d'un merle noir et, aussitôt après, il fut terriblement assailli par les feux de la tentation chamelle, à tel point qu'il était presque décidé à quitter sa solitude lorsque, sous l'impulsion de la Grâce, il se jeta nu dans un buisson d'orties et de ronces, et remporta ainsi, par la douleur, une victoire définitive sur la volupté. Gratifié par Dieu de l'impassibilité de la chair, il pouvait à bon droit devenir dès lors maître de vertu pour les autres, comme un homme mûr.

Le supérieur du Monastère voisin de Vicovaro étant venu à mourir, les moines insistèrent auprès de Benoît et parvinrent à le convaincre de prendre leur direction. Mais, dès que celui-ci voulut leur imposer une stricte discipline évangélique, qui se heurtait à leur conduite tortueuse, ils commencèrent à murmurer contre lui et en vinrent même à tenter de l'empoisonner. Mais aussitôt que l'homme de Dieu fit le signe de croix au-dessus de la carafe contenant le breuvage de mort qu'on lui présentait, celle-ci se brisa. Le visage serein et l'âme en paix, sans aucune haine pour ses ennemis, il quitta ceux qui étaient incorrigibles et retourna au désert, pour habiter avec lui-même et veiller constamment sur son coeur en présence de son Créateur, sans laisser l'oeil de son âme répandre ses regards à l'extérieur. ,

Comme il allait croissant en vertus et dans la contemplation, il attira à lui de nombreux disciples et des nobles de Rome vinrent lui confier leurs fils : Maur (cf. le 27 janvier) et l'enfant Placide2. Il les organisa en douze monastères, répartis aux alentours et comportant chacun douze moines, à la tête desquels se trouvait un supérieur qui rendait compte à l'homme de Dieu de tout ce qui concernait la vie commune et l'avancement spirituel de chaque moine. Benoît était à la fois leur père spirituel et le modèle vivant de la parfaite observance monastique. Il subvenait à tous leurs besoins matériels par l'assistance de la grâce divine et, discernant les pensées secrètes de leur coeur, il n'hésitait pas, dans son amour paternel, à les corriger, parfois par des peines corporelles, pour leur faire quitter leurs mauvaises habitudes.

Ses vertus et de tels miracles suscitèrent cependant de nouvelles tribulations au Saint. Un Prêtre nommé Florent, pris de jalousie à son égard sous la suggestion du diable, se mit à répandre sur lui toutes sortes de calomnies, en vue d'éloigner ses visiteurs, et il alla même jusqu'à lui envoyer, un jour, un pain empoisonné. En recevant ce cadeau maléfique, Benoît le tendit à un corbeau, qui avait coutume de venir prendre sa pitance de sa main, et lui ordonna d'aller le jeter dans un lieu où personne ne pourrait le trouver. Le Prêtre indigne n'en cessa pas pour autant de dresser des embûches au Saint et, voyant qu'il ne pouvait rien contre Benoît lui-même, il entreprit de faire tomber ses disciples en envoyant sept jeunes filles danser nues sous leurs regards, dans le jardin du monastère. Craignant de devenir cause de chute pour ses frères, Benoît décida de ne pas résister davantage au méchant et, après avoir donné ses dernières recommandations aux supérieurs des monastères, il quitta Subiaco à la tête d'un petit groupe de disciples (vers 529). Quand il apprit, quel que temps après, la mort accidentelle de Florent, l'Homme de Dieu se lamenta sincèrement sur lui et soumit à la pénitence un de ses disciples qui s'en était réjoui.

Ils parvinrent au Mont Cassin, montagne élevée située à mi-chemin entre Rome et Naples, au sommet de laquelle se trouvait un temple jadis dédié au culte d'Apollon. Le Saint commença par briser l'idole et renversa l'autel pour transformer le temple en une église dédiée à Saint Martin de Tours (cf. 11 novembre). Il rasa les bois, où les habitants se livraient encore aux cultes idolâtres et réussit à les convertir par sa parole apostolique. Criant de dépit et maudissant Benoît, Satan essaya de dresser des embûches aux moines dans la construction du monastère, mais chaque fois la puissance de Dieu le mettait en déroute.

Le roi des Ostrogoths, Totila, qui ravageait alors l'Italie par une guerre sanguinaire, voulant éprouver l'esprit prophétique du Saint, envoya à sa place son écuyer revêtu de tous ses ornements royaux, mais dès qu'il vit apparaître le brillant équipage, l'homme de Dieu cria : « Quitte, mon fils, ce qui ne t'appartient pas! » Totila vint alors en personne se prosterner aux pieds du Saint qui le releva lui-même, lui reprocha ses mauvaises actions et lui prédit qu'il trouverait la mort après dix ans de règne dans Rome. Cette prédiction se réalisa exactement, en 556.

Une autre fois, il apparut en songe au supérieur qu'il avait désigné pour un monastère à Terracine, et il lui indiqua tous les emplacements des bâtiments conventuels qu'il devait construire.

En temps de disette, il fit, par sa prière, abonder le blé et l'huile au monastère, afin de laisser ses moines vaquer sans soucis à l'oeuvre de Dieu, à laquelle rien ne doit être préférable3. Il avait organisé la louange de Dieu avec mesure, pour qu'elle soit accessible à tous, en se fondant sur la tradition des Pères d'Orient et sur les usages romains de son temps. Constamment uni à Dieu par la prière, il n'en dédaignait pas pour autant le travail manuel avec ses moines. Un jour, en revenant des champs, il vit à la porte du monastère le corps inanimé d'un enfant que son père avait déposé là. Poussé par sa compassion, Benoît supplia le Seigneur au nom de la foi de ce père éploré, et l'enfant reprit vie. Les paroles mêmes du Saint avaient une puissance divine et elles avaient aussi le pouvoir de châtier ou de délier les âmes des défunts.

En ces temps de guerres et d'invasions, il prédit qu'au dépérissement de Rome, naguère capitale du monde, devait succéder la destruction du Mont Cassin par les Lombards (583). C'est peut-être en ayant en vue cette prophétie que, sur la fin de ses jours, il rédigea sa Règle, document admirable de discernement spirituel et d'une sobriété toute latine, qui devint la véritable charte des moines d'Occident4. En se fondant sur les écrits des Saints Pères : Pachôme, Basile et Cassien, et sur les institutions monastiques qu'il avait adoptées dans son propre monastère, il y expose les principes et les lois de fonctionnement d'un monastère cénobitique.

Pour Saint Benoît le monastère est l'Eglise en résumé et une école où l'on apprend le service du Seigneur5 sous la conduite de l'Abbé et au moyen de la sainte obéissance aux commandements évangéliques. C'est là qu'en persévérant jusqu'à la mort et en prenant part, par la patience, à la Passion de notre Seigneur Jésus-Christ, que les moines pourront progresser de vertu en vertu afin d'atteindre son Royaume éternel. Si, dans les débuts, il leur faut faire violence à la nature rétive, dans la mesure où ils se libéreront de leur égoïsme leur coeur se dilatera et ils pourront courir dans la voie des préceptes de Dieu avec une ineffable douceur d'amour.

Tout comme l'Evêque dans l'église locale, l'Abbé tient dans le monastère la place du Christ6, et il doit rendre compte devant Dieu de l'obéissance de ses disciples, en donnant tout son soin à les instruire, certes par sa parole mais surtout par l'exemple de sa propre vie. Père spirituel plein d'amour, il doit aussi savoir tempérer sa douceur par une juste sévérité et, s'il a toute autorité dans le domaine spirituel, il doit agir avec conseil en ce qui concerne la vie matérielle de la communauté et doit répartir les responsabilités entre les différents "officiers". Après avoir exposé les instruments des bonnes oeuvres, les vertus monastiques et les degrés de l'humilité qui nous fait accéder à la charité, c'est-à-dire l'union avec Dieu, Saint Benoît définit comment doivent être célébrés les Offices divins du jour et de la nuit, et précise qu'on doit s'y tenir, en présence de Dieu et des Anges en psalmodiant de telle sorte que notre esprit soit en accord avec notre voix8.

Il passe ensuite en revue tous les aspects de la vie comunautaire, en relevant de manière infaillible tout ce qui pourrait être occasion de chute ou de négligence dans les devoirs sacrés des moines : les repas, le sommeil, les vêtements, les services ménagers, le travail manuel, les sorties du monastère, la réception des hôtes, et les rapports des frères entre eux et avec les étrangers. Rien n'échappe à sa sollicitude pastorale et en quelques mots il précise ce qu'il convient de faire pour que tout s'accomplisse « dignement et dans l'ordre » (I Cor. 14:40).

Finalement, après avoir humblement rappelé que cette Règle ne saurait être qu'une ébauche et le commencement de la vie spirituelle, il renvoie à l'enseignement des Saints Pères ceux qui désirent se livrer à la contemplation pour atteindre la patrie céleste.

Quelque temps après le merveilleux et ultime entretien du saint avec sa sÅ“ur sainte Scholastique9 et le décès de celle-ci, alors qu'il se tenait de nuit à sa fenêtre en prière, il vit soudain une lumière fulgurante repousser les ténèbres et, au cÅ“ur de cette lumière, il contempla le monde entier comme ramassé sous un seul rayon de soleil. Elevé au-dessus du monde et hors de lui-même par son union au Créateur, Benoît pouvait en effet contempler toute la création, tout ce qui est au-dessous de Dieu, dans la lumière divine qui jaillissait de son coeur. Ayant atteint les confins de la vie future, il vit alors, dans cette lumière, l'âme de Germain, l'Evêque de Capoue, qui s'envolait vers le ciel. Saint Benoît appartenait dès lors plus au ciel qu'à la terre et, ayant annoncé le jour de sa mort, il ordonna qu'on ouvrît son tombeau, dans lequel avait été déposé quelque temps plus tôt le corps de sa soeur, puis il fut saisi d'une violente fièvre. Il se fit conduire à l'oratoire, reçut la Sainte Communion et, se tenant debout, soutenu par des frères, il éleva les mains vers le ciel et rendit son dernier soupir en murmurant les paroles d'une ultime prière (vers 560). Le même jour des frères virent un chemin jonché de riches tapis et illuminé d'innombrables torches s'élever de son monastère jusqu'au ciel, et un vénérable vieillard apparut au sommet pour leur révéler que c'était par là que le Saint était passé pour rejoindre sa patrie céleste. Les miracles abondèrent par la suite auprès des Reliques de Saint Benoît. Mais après la destruction du monastère par les Lombards, celles-ci furent oubliées, jusquà ce que des moines du Monastère de Fleury-sur-Loire viennent les prendre, au début du VIIIe siècle, pour les transférer dans leur monastère, où l'on peut encore les vénérer de nos jours (Saint-Benoît-sur-Loire).

1. Nous résumons le Livre II des Dialogues de St Grégoire, qui lui est entièrement consacré.
2. Mémoire le 5 octobre dans l'Eglise latine.
3. Règle de Saint-Benoît, 43.
4. Cf. Notice de St Benoît d'Aniane au 12 février.
5. Règle, Prologue.
6. Ibidem.
7. Idem, 2.
8. Idem, 19.
9. Cf. la notice de celle-ci, le 10 février


Troparion — Tone 1

By your ascetic labors, God-bearing Benedict, / you were proven to be true to your name. / For you were the son of benediction, / and became a rule and model for all who emulate your life and cry: / “Glory to Him who gave you strength! / Glory to Him who grant-ed you a crown! / Glory to Him who through you grants healing to all!”

Kontakion — Tone 6

You were enriched with God’s grace; / your works a-greed agreed with your name, O Benedict, helpful servant of Christ God. / Through prayer and fasting you were revealed to be filled with the gifts of the Spirit of God! / You are a healer of the sick, the banisher of demons and speedy defender of our souls!
  http://oca.org/saints/lives/2014/03/14/100800-venerable-benedict-of-nursia

Icons of St. Benedict the Great, abbot

Icons of St. Benedict the Great, abbot

http://www.monasterodumenza.it/dati_dume/comunita/essere_monaci/san_Benedetto.jpg








Il tuo nome,la tua vocazione:Ai monaci d'Occidente
hai dettato la santa regola.A tutti hai indicato
la via della santità.Lavoro e preghiera come doni dello Spirito







Presso Cristo Dio o padre Benedetto continua ad
intercedere per la salvezza delle anime nostre


Saint BENOÎT de Nursie en Ombrie, patriarche des moines d'Occident, fondateur des monastères de Subiaco et du Mont-Cassin, auteur de la règle bénédictine (543). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III des Ménées. Acathiste traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III du Supplément aux Ménées. Office composé par saint Nil de Rossano et traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées à la date du 21 mars.)









Top Icon: by the hand of Alexander Stolyarov, courtesy of Hieromonk Benedikt (Schneider) of the Moscow Patriarchate. The Latin inscription St. Benedict is holding is the prologue to the Holy Rule: "Hearken, my son, to the precepts of thy master," etc.
Sts. Benedict the Great and Photini, by the hand of Mother Justina, Greek Old Calendarist Convent of St. Elizabeth the New-Martyr at Etna, California
by the hand of Mother Justina, Greek Old Calendarist convent of St. Elizabeth, Etna, California, with permission. 
Fresco from a Church in Serbia
by the hand of Mother Justina, Greek Old Calendarist convent of St. Elizabeth, Etna, California, with permission. Inscriptions are in German; St. Benedict is the prostrate figure in black at the right of Christ's feet. 
from the workshop of the Brotherhood of the Holy Trinity in France. 
from a workshop in Pskov, Russia. From the Pravoslavie website.

The Officium or Introit for St. Benedict begins thus in the Old English liturgical books:  "With jubilation of the voice, O chant ye of our Father Benedict: The mouth of the righteous shall meditate wisdom. For wisdom hath built up a throne for herself in the bosom of the righteous man. And his tongue shall speak of judgment, seeing the Logos-teaching Pneumatos bedeweth the hidden places of his heart; for the law of his God is in his heart. (Ps 36:33,34, trope "In jubilo" in the Anglo-Saxon Troperia)  --- From Old Sarum Rite Missal, (c) 1998 St. Hilarion Press


St Benoit


 

 

 



 

 

 

 

 

 

15 marzo feste santi e memorie 

Saint PROBE (PROBUS), évêque de Riéti en Italie (570).

Conosciamo solo il racconto della sua morte fatto da san Gregorio Magno. Per accompagnarne il transito apparvero i martiri Giovenale ed Eleuterio. Trovandosi Probo in punto di morte si preoccupava píú di coloro che l'assistevano, il padre Massimo ed i medici, che di se stesso e raccomandava loro, giacché già si faceva sera, di pensare al proprio sostentamento ed al proprio riposo. Restò presso di lui solo un ragazzetto (vivo ancora ai tempi in cui scriveva s. Gregorio): ed ecco nella stanza dell'infermo apparire alcuni personaggi vestiti di vesti candide e piú splendenti della luce. Il fanciullo spaventato cominciò a gridare, ma Probo, riconosciuti quei personaggi, disse al ragazzo: "Non aver paura, sono i martiri Giovenale ed Eleuterio che sono venuti a trovarmi". Tuttavia il ragazzo corse alla sala superiore per avvertire gli altri dello strano fatto. Tutti accorsero, ma non trovarono piú vivo il santo vescovo: i due martiri erano venuti ad assisterlo nella sua morte e ad accompagnarne l'anima al cielo.
Questo episodio s. Gregorio afferma di averlo sentito spesso raccontare dallo stesso nipote del vescovo reatino, pure di nome Probo, allora monaco in Roma ed abate nel monastero di S. Andrea de Renatis (posto probabilmente sull'Esquilino); e questo particolare, insieme con l'altro che era ancor vivo il ragazzo testimone del fatto, ci porta alla conclusione che Probo morì ancor giovane poco dopo la metà del sec. VI, attorno al 570. 


Saint ZACHARIE, Grec de Sicile, pape et patriarche de Rome (741-752), traducteur en grec des Dialogues de saint Grégoire (752). 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/91636


Saint VALERE, archevêque de Ravenne (812). resse la diocesi di Ravenna tra il 788 e l'810, fu un pastore zelante non solo per il decoro delle splendide chiese della Romagna ma anche per la salvaguardia dell'ortodossia, costantemente insidiata dall'eresia ariana

16 marzo feste santi e memorie

Saint ALEXANDRE Ier, pape et patriarche de Rome, martyr sous Trajan (115)
 
http://www.santiebeati.it/dettaglio/51675 

Saints VALENTIN, évêque de Terracino, et DAMIEN, son diacre, martyrs (Italie 312)


Saint AGAPIT, évêque de Ravenne (341).
Decimo dei vescovi ravennati, il Martirologio Romano ne celebra la memoria il 16 marzo. Visse tra la fine del III sec. e la prima metà del IV, ed è senza fondamento la notizia della sua partecipazione al concilio di Roma del 340, indetto dal papa Giulio I. La breve e generica biografia del Liber Pontificalis di Agnello ravennate non fa che rifarsi a motivi suggeriti dall'etimologia del nome, ma ne ignora il giorno obituale. Fino al sec. X rimase sepolto nell'area cimiteriale adiacente alla Basilica Probi di Classe; nel 963 l'arcivescovo Pietro IV ne riesumò le reliqui e le trasferì nell'Anastasi urbana. Ma il suo culto comincia ad affermarsi solo verso il sec. XI, quando viene estesa a tutti i primi dodici vescovi ravennati la tradizione dell'elezione miracolosa attraverso la discesa di una colomba sul capo del candidato, ltradizione  originariamente propria solo per s. Severo Fu l'arcivescovo Filippo Fòntana (1250-1270) che soprattutto diffuse e curò il culto dei cosiddetti «Vescovi Colombini».
 

 

 

 

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