lunedì 3 marzo 2014

4 marzo feste santi e memorie

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Saint LUCIUS Ier, pape et patriarche de Rome, martyr sous Valérien (254). Assurse al soglio pontificale il 25 giugno del 253, pochi giorni dopo la morte del suo predecessore Cornelio.
Non è dato sapere come ma nonostante il suo brevissimo pontificato riuscì ad emanare il decreto per il quale: "... ogni presbitero doveva essere accompagnato da due preti e tre diaconi... a testimonianza del comportamento di tutti".
Il suo papato, dopo la morte dell'imperatore Treboniano Gallo e l'evento di Valeriano, fu da considerarsi abbastanza tranquillo sul fronte delle persecuzioni.
Dopo un breve esilio a Lucio fu concesso di ritornare a Roma. Morì di morte naturale e fu sepolto nella cripta di san Callisto o forse di santa Cecilia.

Saints martyrs PAUL, JULIENNE, sa soeur, et leurs compagnons: CODRAT, ACACE et STRATONIQUE, martyrs à Ptolémaïs de Syrie sous Aurélien (vers 273).

Saint GREGOIRE, évêque de Constantia en Chypre, mort en paix.

 

Saint GERASIME l'Anachorète du Jourdain (Palestine 475). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III des Ménées.) In Palestina sulle rive del Giordano, san Gerásimo, anacoreta, che, al tempo imperatore Zenone, ricondotto alla retta fede da santo Eutimio, fece grande opera di penitenza, offrendo a tutti coloro che sotto la sua guida si esercitavano nella vita monastica, un modello irreprensibile di disciplina e di vita.
 
Le 4 mars, nous célébrons la mémoire de notre vénérable Père GERASIME l'ANACHORETE du JOURDAIN
Notre Saint Père Gérasime naquit dans la province de Lycie, à la fin du IVe siècle, et entra dès son enfance dans un monastère cénobitique. Après avoir été initié aux règlements de la vie commune, le désir ardent de Dieu le conduisit en des lieux déserts où il se nourrissait de plantes poussant là naturellement, et il passait ses jours et ses nuits à lutter contre les esprits des ténèbres et les passions de la chair. De là, il se rendit en Terre Sainte pour entreprendre de plus grands combats dans les lieux sanctifiés par la présence de tant de saints ascètes et nouveaux Apôtres. Après avoir vénéré les sanctuaires de Jérusalem, il se dirigea vers l'âpre désert de la Mer Morte, qu'il civilisa par ses vertus, et attira à lui un grand nombre de disciples.

Pendant les temps troublés qui agitèrent les moines de Palestine après le Concile de Chalcédoine (451) et entraînèrent vers l'hérésie plus de dix mille d'entre eux, Saint Gérasime, victime de sa grande simplicité, se laissa séduire lui aussi quelque temps par l'éloquence trompeuse du monophysite Théodose qui s'était emparé du siège épiscopal de Jérusalem, à la place de Saint Juvénal (cf. 2 juillet). Mais, rencontrant 
Saint Euthyme dans le désert de Rouba, il réalisa son erreur, accueillit avec humilité son enseignement et revint à l'Orthodoxie pour devenir, tant par sa vie que par ses enseignements un fervent défenseur de la Vraie Foi. Par la suite, il garda de fréquentes relations avec le grand Euthyme et, chaque année, il partait avec lui pour le désert profond, afin de passer tout le Carême, jusqu'au dimanche des Palmes, dans le jeûne le plus austère et la prière permanente. Pendant la semaine il s'abstenait de toute nourriture et ne se contentait, le dimanche, que de la Sainte Communion.

Comme ses disciples devenaient plus nombreux, il condescendit à leur faiblesse et alla fonder une laure dans un endroit plus clément, sur les rives du Jourdain, dans laquelle il alliait harmonieusement la vie communautaire et la solitude, offrant ainsi à tous une saine émulation dans les combats de la vertu. Les débutants devaient d'abord vivre dans le cénobion pour y apprendre la soumission et les institutions de la vie angélique, puis ceux d'entre eux qui étaient suffisamment éprouvés dans l'ascèse et l'humilité allaient vivre en solitaire aux alentours, répartis dans plus de soixante-dix cellules qui étaient assez éloignées les unes des autres pour que chacun puisse se livrer sans trouble à la prière et aux hymnes divines, se nourrissant seulement de pain et d'eau pendant les cinq jours de la semaine. Le samedi et le dimanche, ermites et cénobites se réunissaient dans l'église pour célébrer la Divine Liturgie et participer aux Saints Mystères. Après le repas commun, suivi de quelque conversation spirituelle ou d'une conférence de leur Père Gérasime, ils recevaient les fournitures nécessaires à leur travail manuel, un pain, quelques dattes et une cruche d'eau, et chacun repartait en silence pour mener son combat, seul devant Dieu. Ces ermites menaient une vie si austère qu'ils n'avaient dans leur cellule ni lampe, ni rien pour allumer du feu. Mortifiant leur ventre et toutes les passions chamelles par un combat permanent contre la tendance de notre nature au plaisir, ils apprenaient ainsi à rester maîtres de la tristesse, de la colère et de toutes les passions de l'âme, et gardaient leur intellect en éveil dans le constant souvenir de Dieu. Saint Gérasime leur enseignait comment mettre tout leur soin à cultiver « l'homme caché du coeur » et à élever leur âme vers la contemplation des mystères divins. Ils étaient si dépouillés de tout attachement aux choses du monde qu'ils avaient comme règle, quand ils sortaient, de laisser leur cellule ouverte à quiconque entrerait pour prendre ce dont il avait besoin. C'est ainsi qu'ils imitaient parfaitement la vie des Apôtres et pouvaient recevoir de Dieu les mêmes grâces que ces derniers.
Saint Cyriaque l'Anachorète (cf. 29 septembre) qui, trop jeune encore pour entreprendre les combats du désert avait été envoyé par Saint Euthyme auprès de Gérasime pour devenir son disciple, racontait qu'un jour, après avoir été averti de nuit par la vision d'une colonne de feu qui s'élevait au ciel, son Ancien lui annonça que Saint Euthyme venait de décéder et qu'ils devaient se rendre à ses funérailles, après une longue marche dans le désert jusqu'à Jéricho.

Une autre fois, comme le Saint se promenait sur la rive du Jourdain, un lion terrifiant se présenta soudain devant lui, hurlant de douleur et lui montrant sa patte enflée, car une pointe de roseau s'y était enfoncée. Plein de cette même compassion que Dieu éprouve envers toutes Ses créatures, Gérasime retira l'épine, nettoya la plaie et la banda, puis il congédia la bête. Mais le lion, plein de reconnaissance, ne voulut plus quitter l'homme de Dieu; il le suivait partout comme un disciple exemplaire et, converti de sa férocité naturelle, il ne mangeait plus que du pain et des légumes. Il avait même reçu une obédience et était chargé de conduire l'âne du monastère pour le faire paître sur les rives du fleuve. Un jour, échappant à la surveillance du lion, l'âne s'éloigna et fut capturé par des chameliers qui venaient d'Arabie. Le lion revint au monastère tout triste et la tête baissée. Saint Gérasime, croyant qu'il avait mangé l'âne, le réprimanda sévèrement et le condamna à faire désormais le travail de la bête de somme, en portant l'eau du fleuve au monastère. Quelque temps après, le chamelier qui avait pris l'âne étant de nouveau de passage dans la région, se trouva par hasard en face du lion. En reconnaissant l'âne, le lion fonça aussitôt sur lui et, le prenant par la bride avec trois chameaux à la suite, il le ramena avec joie au monastère d'abba Gérasime en frétillant de la queue de joie. Son innocence ayant été reconnue, le lion, qui avait reçu le nom de Jourdain, vécut dès lors dans la laure inséparable du Saint et ami de tous les moines.

Au bout de cinq ans, quand Saint Gérasime s'endormit dans le Seigneur (5 mars 475), Jourdain était absent de la laure. Lorsqu'à son retour, les moines lui apprirent la mort de l'Ancien, il refusa de manger et, tournant çà et là, il poussait de grands rugissements de désespoir. Comme les moines ne parvenaient pas à le consoler, l'un d'eux l'invita à le suivre pour voir l'endroit où on avait enterré le Saint. Aussitôt qu'il approcha de la tombe, le lion se prosterna avec le moine et, frappant violemment sa tête contre terre, il mourut sur place en poussant un grand rugissement. Jean Moschos, qui nous a transmis cet épisode, conclut en disant : « Tout cela se fit non pas qu'il faille attribuer au lion une âme raisonnable, mais parce que Dieu voulait glorifier ceux qui Le glorifient, non seulement durant leur vie, mais encore après leur mort, et montrer comment les bêtes étaient soumises à Adam avant qu'il eût transgressé Son commandement et qu'il eût été chassé du Paradis de délices »1.

La laure de Saint Gérasime est restée pendant longtemps un des hauts lieux du monachisme palestinien, jusqu'à sa destruction au XIIIesiècle. Prenant avec eux les Reliques du Saint, les moines s'installèrent alors dans la laure de Calamon qui prit le nom de Saint Gérasime.
Troparion (Tone 1)
Thou didst shine as a desert dweller, a summit of ascetics and a reflection of the angelic life; thou wast made radiant with the light of the Spirit, O Gerasimos, adornment of the righteous. Therefore thou healest unfailingly those who cry: Glory to Him Who has strengthened thee; glory to Him Who has crowned thee; glory to Him Who through thee works healings for all.
 
Kontakion (Tone 4)
Aflame with heavenly love thou didst prefer the desert's hardship to all the pleasures of the world. Wherefore a wild creature served thee and became obedient till death. God glorified thee with signs and miracles: in thy prayers remember us also, O Godbearing Father Gerasimos
 
http://oca.org/saints/lives/2014/03/04/100649-venerable-gerasimus-of-the-jordan
 
 
Saint GOURDELOU, disciple de saint Guénolé, solitaire en Bretagne (VIème siècle).

Saint MENEK, fondateur de paroisse en Bretagne (VIème siècle).

Saint PAULIN, évêque de Brescia en Lombardie (vers 540). 
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Saint LEONARD ou LEODOWALD, évêque d'Avranches en Normandie, patron des charretiers (vers 580).

 

Saint OWIN, moine à Lichfield en Angleterre, disciple de saint Ceadd (vers 680).

Saint BASIN, évêque de Trèves en Rhénanie, qui abdiqua son siège pour redevenir moine (vers 704). A Treviri nella Renania in Austrasia, oggi Germania, san Basíno, vescovo, che, nato dai duchi del regno di Austrasia, divenne dapprima monaco, poi abate di San Massimino di Treviri e, elevato infine alla sede episcopale della città, consentì la fondazione del monastero di santa Irmina ad Echternach in Lussemburgo.

Saint LUTWIN ou LIEWIN, neveu de saint Basin et son successeur comme évêque de Trèves en Rhénanie (713).
Saint APPIEN, moine à Pavie en Lombardie, puis ermite à Commachio sur les rives de l'Adriatique (vers 800).
 
A Comacchio in Romagna,   Appiano, monaco, che, inviato dal monastero di Pavia, condusse in questa cittadina vita eremitica.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/43870


Saints ADRIEN, évêque de Saint Andrews, STOLBRAND, évêque de Glodian, CAÏUS, et plusieurs autres, martyrs par la main des Vikings païens (Ecosse, vers 875).
 

 
 
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Saint GERASIME, originaire de Kiev, fondateur du premier monastère de la région de Vologda, qui fut détruit par les envahisseurs polonais en 1612 (1178).
Saint Gerasimus, First Vologda Wonderworker, accepted monastic tonsure on March 4 (at that time it was customary to give a new monk the name of the saint commemorated on the day of his tonsure) at the Kiev Gniloe Dormition monastery, having been attracted to the Caves where St Theodosius (May 3) secluded himself during Great Lent.

Out of obedience to the brethren, St Gerasimus accepted the rank of hieromonk. In imitation of the exploits of the Fathers of old, the monk felt drawn to Northern Rus and he arrived at the River Vologda (August 19, 1147). He blessed the emerging settlement on the right bank, "foretelling that here would be a great city."

The saint chose the dense virgin forest for his dwelling place, separated from the settlement by the Kaisarova creek. There the monk built a hut, and in the tranquil solitude he devoted himself to the contemplation of God, unceasing prayer and work. He built a church in honor of the Most Holy Trinity, and so the first monastery in the north named for the Most Holy Trinity came into being. The monastery served for the spiritual enlightenment of the surrounding peoples.

The monk peacefully fell asleep in the Lord on March 4, 1178, the day of his monastic tonsure, and the Feast of his namesake St Gerasimus of the Jordan.



Saint GREGOIRE, évêque d'Assos en Mysie (XIIIème siècle).

Saint BASILE (BASILKO), grand-prince de Rostov (1238).

Saint BASILE, higoumène du monastère du Sauveur de Mirojska à Pskov, et saint JOASAPH, higoumène du monastère de Svetogrosk, aussi à Pskov, martyrs brûlés vifs par la main des Catholiques- Romains (1299).

 

Saint DANIEL, fils de saint Alexandre de la Néva, grand-prince de Moscou, fondateur du monastère Saint-Daniel (actuel siège de la patriarchie de Moscou) et artisan de paix entre les princes russes (1303). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III du Supplément aux Ménées. Acathiste traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées.)
 
 
Holy Prince Daniel of Moscow was born at Vladimir in the year 1261. He was the fourth son of St Alexander Nevsky (August 30 and November 23) and his second wife Bassa. When he was two years old he lost his father. The date of his mother's repose is not indicated in the Chronicles; we know only that she was buried in the church of the Nativity of Christ at the Vladimir Dormition monastery (the Princess monastery), and the people in the surroundings venerated her as "Righteous."

In 1272, Prince Daniel received as his allotted portion the city of Moscow and its adjacent lands. The holy prince built a church (and a monastery beside it) in honor of his patron saint, St Daniel the Stylite (December 11) on the banks of the River Moskva.

During this period, the Moscow principality was small and unobtrusive. While growing up, Prince Daniel strengthened and expanded it, not in unjust or coercive ways, but peacefully and with benevolence. It was a time of unrest. Fratricidal strife among the appanage princes was rife. Often bloodshed was averted, thanks to Prince Daniel and his incessant striving for unity and peace in the Russian Land.

In 1293 his brother, the Great Prince Alexander, with Tatars summoned from the Horde and headed by Diuden ("the Diudenev Host"), laid waste to Russian cities: Murom, Suzdal, Kolomna, Dmitrov, Mozhaisk, and Tver. Prince Daniel decided to join them to Moscow to save their people from perishing, for they were not strong enough to resist.

The prince braced himself for terrible destruction and pillaging. Standing up for his rights, St Daniel was compelled to come out against his brother near a place called Yurievo Tolchische ("Yurievo Threshing-Mill" ), but his desire for peace prevailed, and bloodshed was averted.

In 1300, when the Ryazan prince Constantine was making secret preparations for a sudden assault on the Moscow principality, Prince Daniel went to Ryazan with an army. He defeated the enemy, took Constantine captive,and destroyed a multitude of Tatars. This was a first victory over the Tatars, though not a tremendous victory, but it was noteworthy as a first push towards freedom.

When he had beaten the Ryazan prince and scattered his confederates the Tatars, Prince Daniel did not take advantage of his victory to seize foreign lands or take booty, as was the accepted custom during these times. Instead, he displayed an example of true non-covetousness, love and fraternity. The holy prince never resorted to arms to seize the lands of others, nor did he ever take away the property of other princes either by force or by treachery. And so the Lord saw fit to expand the boundaries of his princely realm.

Prince John of Pereslavl-Zalessk, Daniel's nephew, was gentle and pious and benevolent towards the poor, and he esteemed and loved his uncle. Dying childless in 1302, he bequeathed his principality to St Daniel. The Pereslavl lands together with Dmitrov, had the most inhabitants after Rostov, with the corresponding fortification befitting a major city. Pereslavl-Zalessk was well protected on all sides. But the holy prince remained faithful to Moscow and did not transfer the capital of his princedom to the stronger and more significant seat of Pereslavl. This annexation allowed Moscow to be considered as the most significant principality. Here the principle of the unification of the Russian Land into a single powerful realm was set in place.

Through the ages God's providence concerning Russia and its destiny was clearly manifest!

Grateful for the constant blessings of the Hodigitria (She who leads the Way) both in his personal life, and also in the life of the Russian realm, St Daniel's father, St Alexander Nevsky said, "God is not in might, but in right!"

In 1303 St Daniel fell seriously ill. He assumed the great schema and commanded that he be buried at the Danilov monastery. In his deep humility he wanted to be buried not within the church, but in the common monastery cemetery. The holy prince died on March 4.

Less than thirty years after the repose of holy Prince Daniel, the Danilov monastery he founded was transformed into the Moscow Kremlin, the church was transformed into a parish church, and the cemetery became non-monastic.

At the time of Great Prince Ivan III (1462-1505), St Daniel gave reminders of himself to his forgetful descendents. He appeared as a stranger to a youth who attended the Great Prince and said: "Don't be afraid of me. I was a Christian and the master of this place, my name is Daniel Prince of Moscow, and by the will of God I am here. Tell Great Prince John about me saying: you are enjoying yourself while you have forgotten me, but God has not forgotten me."

After this, the Great Prince ordered panikhidas for his ancestral princes to be sung in the cathedral. During the time of Tsar Ivan the Terrible, the dying son of a barge merchant was healed at the grave of St Daniel. The Tsar, struck by the miracle, renovated the ancient Danilov monastery and established a yearly church procession. The Metropolitan led the way to the the holy prince's tomb, and served a panikhida there.

In 1652 holy Prince Daniel was glorified by the uncovering of his incorrupt relics, which were transferred on August 30 to the church dedicated to the Holy Fathers of the Seventh Ecumenical Council.

The holy relics were placed in a reliquary "to the glory of the Holy Trinity and for the healing of the infirm." Metropolitan Platon of Moscow (+ 1812), in the Life of the holy prince which he compiled, writes: "The founder laid the foundation of Moscow's grandeur, modestly making only a small path to it. Just as any edifice, which is not built with excessive haste, but rather with great artistry and skill, receives a particular firmness and stands indestructible for a long time; like a tall tree that grows for many centuries after beginning as a small sapling, then slowly becomes sturdier, with its branches spreading about far around, so this city was to grow from small, but firm beginnings, so that its first sparkle would not bedazzle the eyes of the envious, and so it would not be shaken or felled early on, before it had attained its full height. Thus did this founder prepare the great city given him, giving it a modest but steady radiance, undisturbed by any gusts of the wind. He left the great glory of its rise to his son Great Prince John, called Kalita."


Saint PIERRE MITCHOURINE, ascète à Tobolsk en Sibérie (1820). 

Saint VIATCHESLAV LEONTIEV, prêtre, martyr par la main des Communistes (1937)
 
 
 
 
 
Right-believing Prince Wenceslaus of the Czech Lands
 The Translation of the Relics of the Right-Believing Prince St Wenceslaus (Vyacheslav) of the Czech Lands.


The mother, hearing of the murder of her son, found and placed his body in a recently consecrated church at the princely court. They were not able to wash off the blood splashed on the church doors, but after three days it disappeared by itself.

After repenting of his sin, the murderer transferred the relics of St Wenceslaus to Prague, where they were placed in the church of St Vitus, which the martyr himself had constructed. The memory of Prince Wenceslaus is honored from of old in the Russian Orthodox Church.
St Wenceslaus is also commemorated on September 28.

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