giovedì 13 marzo 2014

14 marzo feste santi e memorie

14 marzo feste santi e memorie

 
QUARANTE-SEPT martyrs qui avaient été baptisés par saint Pierre dans la prison Mamertine à Rome (67).

Saints ALEXANDRE, DENYS, BASILE, EUPHRATES, FRONTON et FRONIMOS, martyrs à Thessalonique, probablement sous Maximien, entre 286 et 305.
Le 14 mars, mémoire du Saint Martyr ALEXANDRE de PYDNA (Macédoine)

D'abord aveuglé par les ténèbres du paganisme, ce Saint Martyr brilla ensuite comme un astre radieux par sa vaillante Confession de Foi, au temps de la persécution de Maximin (305-311), à Pydna en Macédoine, en décochant les flèches meurtrières de ses paroles contre le démon qui incitait ses concitoyens au culte des idoles. Comme les païens ne parvenaient pas à le soumettre par leurs flatteries et leurs promesses trompeuses, ils lui tranchèrent la tête; mais celle-ci devint par la suite une source abondante d'où jaillissaient toutes sortes de guérisons pour les fidèles qui s'en approchaient avec foi.
St Alexandre
 
 


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Saint INNOCENT, évêque de Vérone en Italie (IVème ou Vème siècle).

Saints PIERRE et APHRODISE, martyrs en Afrique par la main des Vandales ariens (Vème siècle).
 

Saint BENOÎT de Nursie en Ombrie, patriarche des moines d'Occident, fondateur des monastères de Subiaco et du Mont-Cassin, auteur de la règle bénédictine (543). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III des Ménées. Acathiste traduit en français par le père Denis Guillaume au tome III du Supplément aux Ménées. Office composé par saint Nil de Rossano et traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées à la date du 21 mars.) È il patriarca del monachesimo occidentale. Dopo un periodo di solitudine presso il sacro Speco di Subiaco, passò alla forma cenobitica prima a Subiaco, poi a Montecassino. La sua Regola, che riassume la tradizione monastica orientale adattandola con saggezza e discrezione al mondo latino, apre una via nuova alla civiltà europea dopo il declino di quella romana. In questa scuola di servizio del Signore hanno un ruolo determinante la lettura meditata della parola di Dio e la lode liturgica, alternata con i ritmi del lavoro in un clima intenso di carità fraterna e di servizio reciproco. Nel solco di San Benedetto sorsero nel continente europeo e nelle isole centri di preghiera, di cultura, di promozione umana, di ospitalità per i poveri e i pellegrini Le 14 mars, nous célébrons la mémoire de notre vénérable Père Théophore BENOIT de NURSIE1

St BenoitNotre saint Père Benoît vit le jour vers 480, à Nursie, petite ville de province située dans les montagnes au nord-est de Rome, au sein d'une famille chrétienne pieuse et aisée. Envoyé à Rome pour ses études, celui qui avait acquis dès son enfance la sagesse d'un vieillard, désireux de plaire à Dieu seul, dédaigna les plaisirs du monde et ses vaines promesses, pour se mettre en quête du saint habit monastique.

Comme il s'était arrêté dans la bourgade d'Effide, sa nourrice, qui l'avait suivi avec l'attachement d'une mère, emprunta un crible en terre cuite pour nettoyer le grain, en vue de préparer du pain. Mais le vase se brisa en tombant à terre. Voyant le chagrin de sa nourrice, le jeune garçon se mit à prier avec larmes et lorsqu'il se releva il lui remit l'objet intact. Dans leur admiration pour ce miracle, les habitants suspendirent le crible à la porte de l'église. Mais, craignant de se voir privé de la faveur divine par la vaine gloire des hommes, Benoît s'enfuit alors clandestinement et se retira à Subiaco, dans une grotte perchée à plus de six cents mètres d'altitude, où il demeura inconnu des hommes, sauf d'un moine cénobite, Romain, qui l'avait revêtu du saint habit monastique et venait lui apporter en secret des provisions qu'il économisait sur sa propre portion.

Au bout de trois ans Dieu, qui ne voulait pas laisser cachée sa vertu, révéla la cachette de son serviteur à un Prêtre qui, le jour de Pâques, vint lui apporter de la nourriture. Benoît, qui avait oublié toute notion du temps, le salua en disant : « Je sais bien que c'est Pâques, puisque j'ai l'honneur de te voir! » Peu après des bergers le découvrirent à leur tour et, dès lors, un grand nombre de personnes vint lui rendre visite pour recevoir une parole de salut.

Un jour, alors que le Saint priait seul, le démon lui apparut sous la forme d'un merle noir et, aussitôt après, il fut terriblement assailli par les feux de la tentation chamelle, à tel point qu'il était presque décidé à quitter sa solitude lorsque, sous l'impulsion de la Grâce, il se jeta nu dans un buisson d'orties et de ronces, et remporta ainsi, par la douleur, une victoire définitive sur la volupté. Gratifié par Dieu de l'impassibilité de la chair, il pouvait à bon droit devenir dès lors maître de vertu pour les autres, comme un homme mûr.

Le supérieur du Monastère voisin de Vicovaro étant venu à mourir, les moines insistèrent auprès de Benoît et parvinrent à le convaincre de prendre leur direction. Mais, dès que celui-ci voulut leur imposer une stricte discipline évangélique, qui se heurtait à leur conduite tortueuse, ils commencèrent à murmurer contre lui et en vinrent même à tenter de l'empoisonner. Mais aussitôt que l'homme de Dieu fit le signe de croix au-dessus de la carafe contenant le breuvage de mort qu'on lui présentait, celle-ci se brisa. Le visage serein et l'âme en paix, sans aucune haine pour ses ennemis, il quitta ceux qui étaient incorrigibles et retourna au désert, pour habiter avec lui-même et veiller constamment sur son coeur en présence de son Créateur, sans laisser l'oeil de son âme répandre ses regards à l'extérieur. ,

Comme il allait croissant en vertus et dans la contemplation, il attira à lui de nombreux disciples et des nobles de Rome vinrent lui confier leurs fils : Maur (cf. le 27 janvier) et l'enfant Placide2. Il les organisa en douze monastères, répartis aux alentours et comportant chacun douze moines, à la tête desquels se trouvait un supérieur qui rendait compte à l'homme de Dieu de tout ce qui concernait la vie commune et l'avancement spirituel de chaque moine. Benoît était à la fois leur père spirituel et le modèle vivant de la parfaite observance monastique. Il subvenait à tous leurs besoins matériels par l'assistance de la grâce divine et, discernant les pensées secrètes de leur coeur, il n'hésitait pas, dans son amour paternel, à les corriger, parfois par des peines corporelles, pour leur faire quitter leurs mauvaises habitudes.

Ses vertus et de tels miracles suscitèrent cependant de nouvelles tribulations au Saint. Un Prêtre nommé Florent, pris de jalousie à son égard sous la suggestion du diable, se mit à répandre sur lui toutes sortes de calomnies, en vue d'éloigner ses visiteurs, et il alla même jusqu'à lui envoyer, un jour, un pain empoisonné. En recevant ce cadeau maléfique, Benoît le tendit à un corbeau, qui avait coutume de venir prendre sa pitance de sa main, et lui ordonna d'aller le jeter dans un lieu où personne ne pourrait le trouver. Le Prêtre indigne n'en cessa pas pour autant de dresser des embûches au Saint et, voyant qu'il ne pouvait rien contre Benoît lui-même, il entreprit de faire tomber ses disciples en envoyant sept jeunes filles danser nues sous leurs regards, dans le jardin du monastère. Craignant de devenir cause de chute pour ses frères, Benoît décida de ne pas résister davantage au méchant et, après avoir donné ses dernières recommandations aux supérieurs des monastères, il quitta Subiaco à la tête d'un petit groupe de disciples (vers 529). Quand il apprit, quel que temps après, la mort accidentelle de Florent, l'Homme de Dieu se lamenta sincèrement sur lui et soumit à la pénitence un de ses disciples qui s'en était réjoui.

Ils parvinrent au Mont Cassin, montagne élevée située à mi-chemin entre Rome et Naples, au sommet de laquelle se trouvait un temple jadis dédié au culte d'Apollon. Le Saint commença par briser l'idole et renversa l'autel pour transformer le temple en une église dédiée à Saint Martin de Tours (cf. 11 novembre). Il rasa les bois, où les habitants se livraient encore aux cultes idolâtres et réussit à les convertir par sa parole apostolique. Criant de dépit et maudissant Benoît, Satan essaya de dresser des embûches aux moines dans la construction du monastère, mais chaque fois la puissance de Dieu le mettait en déroute.

Le roi des Ostrogoths, Totila, qui ravageait alors l'Italie par une guerre sanguinaire, voulant éprouver l'esprit prophétique du Saint, envoya à sa place son écuyer revêtu de tous ses ornements royaux, mais dès qu'il vit apparaître le brillant équipage, l'homme de Dieu cria : « Quitte, mon fils, ce qui ne t'appartient pas! » Totila vint alors en personne se prosterner aux pieds du Saint qui le releva lui-même, lui reprocha ses mauvaises actions et lui prédit qu'il trouverait la mort après dix ans de règne dans Rome. Cette prédiction se réalisa exactement, en 556.

Une autre fois, il apparut en songe au supérieur qu'il avait désigné pour un monastère à Terracine, et il lui indiqua tous les emplacements des bâtiments conventuels qu'il devait construire.

En temps de disette, il fit, par sa prière, abonder le blé et l'huile au monastère, afin de laisser ses moines vaquer sans soucis à l'oeuvre de Dieu, à laquelle rien ne doit être préférable3. Il avait organisé la louange de Dieu avec mesure, pour qu'elle soit accessible à tous, en se fondant sur la tradition des Pères d'Orient et sur les usages romains de son temps. Constamment uni à Dieu par la prière, il n'en dédaignait pas pour autant le travail manuel avec ses moines. Un jour, en revenant des champs, il vit à la porte du monastère le corps inanimé d'un enfant que son père avait déposé là. Poussé par sa compassion, Benoît supplia le Seigneur au nom de la foi de ce père éploré, et l'enfant reprit vie. Les paroles mêmes du Saint avaient une puissance divine et elles avaient aussi le pouvoir de châtier ou de délier les âmes des défunts.

En ces temps de guerres et d'invasions, il prédit qu'au dépérissement de Rome, naguère capitale du monde, devait succéder la destruction du Mont Cassin par les Lombards (583). C'est peut-être en ayant en vue cette prophétie que, sur la fin de ses jours, il rédigea sa Règle, document admirable de discernement spirituel et d'une sobriété toute latine, qui devint la véritable charte des moines d'Occident4. En se fondant sur les écrits des Saints Pères : Pachôme, Basile et Cassien, et sur les institutions monastiques qu'il avait adoptées dans son propre monastère, il y expose les principes et les lois de fonctionnement d'un monastère cénobitique.

Pour Saint Benoît le monastère est l'Eglise en résumé et une école où l'on apprend le service du Seigneur5 sous la conduite de l'Abbé et au moyen de la sainte obéissance aux commandements évangéliques. C'est là qu'en persévérant jusqu'à la mort et en prenant part, par la patience, à la Passion de notre Seigneur Jésus-Christ, que les moines pourront progresser de vertu en vertu afin d'atteindre son Royaume éternel. Si, dans les débuts, il leur faut faire violence à la nature rétive, dans la mesure où ils se libéreront de leur égoïsme leur coeur se dilatera et ils pourront courir dans la voie des préceptes de Dieu avec une ineffable douceur d'amour.

Tout comme l'Evêque dans l'église locale, l'Abbé tient dans le monastère la place du Christ6, et il doit rendre compte devant Dieu de l'obéissance de ses disciples, en donnant tout son soin à les instruire, certes par sa parole mais surtout par l'exemple de sa propre vie. Père spirituel plein d'amour, il doit aussi savoir tempérer sa douceur par une juste sévérité et, s'il a toute autorité dans le domaine spirituel, il doit agir avec conseil en ce qui concerne la vie matérielle de la communauté et doit répartir les responsabilités entre les différents "officiers". Après avoir exposé les instruments des bonnes oeuvres, les vertus monastiques et les degrés de l'humilité qui nous fait accéder à la charité, c'est-à-dire l'union avec Dieu, Saint Benoît définit comment doivent être célébrés les Offices divins du jour et de la nuit, et précise qu'on doit s'y tenir, en présence de Dieu et des Anges en psalmodiant de telle sorte que notre esprit soit en accord avec notre voix8.

Il passe ensuite en revue tous les aspects de la vie comunautaire, en relevant de manière infaillible tout ce qui pourrait être occasion de chute ou de négligence dans les devoirs sacrés des moines : les repas, le sommeil, les vêtements, les services ménagers, le travail manuel, les sorties du monastère, la réception des hôtes, et les rapports des frères entre eux et avec les étrangers. Rien n'échappe à sa sollicitude pastorale et en quelques mots il précise ce qu'il convient de faire pour que tout s'accomplisse « dignement et dans l'ordre » (I Cor. 14:40).

Finalement, après avoir humblement rappelé que cette Règle ne saurait être qu'une ébauche et le commencement de la vie spirituelle, il renvoie à l'enseignement des Saints Pères ceux qui désirent se livrer à la contemplation pour atteindre la patrie céleste.

Quelque temps après le merveilleux et ultime entretien du saint avec sa sÅ“ur sainte Scholastique9 et le décès de celle-ci, alors qu'il se tenait de nuit à sa fenêtre en prière, il vit soudain une lumière fulgurante repousser les ténèbres et, au cÅ“ur de cette lumière, il contempla le monde entier comme ramassé sous un seul rayon de soleil. Elevé au-dessus du monde et hors de lui-même par son union au Créateur, Benoît pouvait en effet contempler toute la création, tout ce qui est au-dessous de Dieu, dans la lumière divine qui jaillissait de son coeur. Ayant atteint les confins de la vie future, il vit alors, dans cette lumière, l'âme de Germain, l'Evêque de Capoue, qui s'envolait vers le ciel. Saint Benoît appartenait dès lors plus au ciel qu'à la terre et, ayant annoncé le jour de sa mort, il ordonna qu'on ouvrît son tombeau, dans lequel avait été déposé quelque temps plus tôt le corps de sa soeur, puis il fut saisi d'une violente fièvre. Il se fit conduire à l'oratoire, reçut la Sainte Communion et, se tenant debout, soutenu par des frères, il éleva les mains vers le ciel et rendit son dernier soupir en murmurant les paroles d'une ultime prière (vers 560). Le même jour des frères virent un chemin jonché de riches tapis et illuminé d'innombrables torches s'élever de son monastère jusqu'au ciel, et un vénérable vieillard apparut au sommet pour leur révéler que c'était par là que le Saint était passé pour rejoindre sa patrie céleste. Les miracles abondèrent par la suite auprès des Reliques de Saint Benoît. Mais après la destruction du monastère par les Lombards, celles-ci furent oubliées, jusquà ce que des moines du Monastère de Fleury-sur-Loire viennent les prendre, au début du VIIIe siècle, pour les transférer dans leur monastère, où l'on peut encore les vénérer de nos jours (Saint-Benoît-sur-Loire).

1. Nous résumons le Livre II des Dialogues de St Grégoire, qui lui est entièrement consacré.
2. Mémoire le 5 octobre dans l'Eglise latine.
3. Règle de Saint-Benoît, 43.
4. Cf. Notice de St Benoît d'Aniane au 12 février.
5. Règle, Prologue.
6. Ibidem.
7. Idem, 2.
8. Idem, 19.
9. Cf. la notice de celle-ci, le 10 février

Troparion — Tone 1

By your ascetic labors, God-bearing Benedict, / you were proven to be true to your name. / For you were the son of benediction, / and became a rule and model for all who emulate your life and cry: / “Glory to Him who gave you strength! / Glory to Him who grant-ed you a crown! / Glory to Him who through you grants healing to all!”

Kontakion — Tone 6

You were enriched with God’s grace; / your works a-greed agreed with your name, O Benedict, helpful servant of Christ God. / Through prayer and fasting you were revealed to be filled with the gifts of the Spirit of God! / You are a healer of the sick, the banisher of demons and speedy defender of our souls!
  http://oca.org/saints/lives/2014/03/14/100800-venerable-benedict-of-nursia
 
Saint LUBIN, natif du Poitou, évêque de Chartres en Beauce (552 ou 567).

DEUX moines et UN diacre, martyrs en Italie par la main des Lombards (VIème siècle).

Saint LEON, évêque en Italie, martyr, probablement par la main des Ariens.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/45300

Saint EGAREC ou TEGAREC, ermite en Bretagne (VIème / VIIème siècles).

Saint TALMACH, higoumène en Irlande (VIIème siècle).

Sainte FLORENTINE, vierge, abbesse en Espagne, soeur de saint Léandre de Séville (vers 630).

Saint BONIFACE CURITAN, Romain de nation, évêque en Ecosse (vers 660). 


Saint Rostislav-Michael, Great Prince of Kiev,
http://oca.org/saints/lives/2014/03/14/100802-right-believing-great-prince-rostislav-michael-the-prince-of-kie
 
Saint EUSCHEMON, évêque de Lampsaque, thaumaturge qui confessa les saintes Icônes sous l'empereur iconoclaste Théophile (IXème siècle). On l'invoque pour la protection des jardins.
http://oca.org/saints/lives/2014/03/14/100803-st-euschemon-the-confessor-and-bishop-of-lampsacus
 

Saint THEOGNISTE, Grec de nation, métropolite de Kiev, Vladimir et Moscou, qui confessa la foi orthodoxe face aux Tatars, accorda sa protection à saint Serge de Radonège et fit connaître saint Grégoire Palamas en Russie (1353). Saint Theognostus the Greek succeeded St Peter (August 25 and December 21) as Metropolitan of Moscow and All Russia, holding this office from 1327 until 1353. It was through his influence that the Grand Prince Simeon sent money to the Byzantine Emperor John Cantacuzene for repairs to the Great Church of Hagia Sophia.
http://oca.org/saints/lives/2014/03/14/100801-st-theognostus-the-metropolitan-of-kiev-and-all-russia

L'icône de la Mère de Dieu "DE SAINT-THEODORE" ("FEODOROVSKAÏA"). (Elle fut découverte par le saint prince Georges Vsiévolodovitch au XIIIème siècle. C'est devant cette icône, alors conservée dans un monastère de Kostroma, que la tsarine Marthe Ioannovna bénit l'intronisation de son fils Michel Féodorovitch, premier tsar de la dynastie des Romanov, le 14 mars 1613. Autre fête le 16 août.) (Acathiste traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XIII du Supplément aux Ménées.) 

http://oca.org/saints/lives/2014/03/14/100804-icon-of-the-mother-of-god-of-st-theodore

Saint JEAN, fol-en-Christ à Iourievits (Russie 1893).
 
 
 
 
 
 

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