Dormition
ou transfert au ciel de notre Toute-Glorieuse Souveraine l'Enfantrice
de Dieu et toujours vierge Marie. (Office traduit en français par le
père Denis Guillaume au tome VIII des Ménées. Eloges funèbres ou thrènes
devant l'épitaphion de la Mère de Dieu traduits en français par le père
Denis Guillaume au tome VIII du Supplément aux Ménées. Autres thrènes
traduits en français par le
père Denis Guillaume au tome XV du Supplément aux Ménées. Acathiste à la
dormition de la Mère de Dieu traduit en français par le père Denis
Guillaume au tome XV du Supplément aux Ménées.)
Troparion — Tone 1
In giving birth you preserved your virginity, / In falling asleep you did not forsake the world, O Theotokos. / You were translated to life, O Mother of Life, / And by your prayers, you deliver our souls from death.Kontakion — Tone 2
Neither the tomb, nor death could hold the Theotokos, / Who is constant in prayer and our firm hope in her intercessions. / For being the Mother of Life, / She was translated to life by the One who dwelt in her virginal womb.
http://oca.org/saints/lives/2015/08/15/102302-the-dormition-of-our-most-holy-lady-the-mother-of-god-and-ever-v
L'icône de la Mère de Dieu d'Atskoursk en Géorgie (Ier siècle).
L'icône de la Mère de Dieu d'Atskoursk en Géorgie (Ier siècle).
Saint TARSICIUS, acolyte, martyr à Rome sous Valérien et Gallien (vers 257).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/66150
E´
il protomartire dell´Eucaristia, accolito della Chiesa di Roma, fu
martirizzato in giovane età mentre portava le Sacre Specie ai cristiani
in carcere per la comunione, scoperto, strinse al petto l´Eucaristia,
per non farla cadere in mani profane, ma non riuscendo a strappargliela,
fu ucciso dai carnefici esasperati e feroci come cani rabbiosi.
Queste notizie si rilevano dall´unica fonte storica esistente, cioè l´epigrafe posta da papa Damaso sul suo sepolcro, riprese successivamente da altri studiosi e inserite nel `Martirologio Romano´ fissando la sua morte al 15 agosto del 257 d.C.
Il suo corpo fu dapprima sepolto insieme a papa Stefano nel Cimiterio Callisti sulla via Appia; secondo altri autori esso fu trasferito nella cosiddetta Cella Tricora in un sarcofago insieme a papa Zefirino.
Nel 767 papa Paolo I lo portò nella basilica di s. Silvestro in Capite insieme ad altri corpi di martiri; Anche qui ebbe alcune traslazioni in cui l´ultima è del 1596 ove le reliquie furono poste sotto l´altare maggiore.
L'icône de la Très-Sainte Mère de Dieu "TSILKANSKAÏA" de Khartli en Géorgie (IVème siècle).
Saint BAUSSENGE (BALSEME), diacre, apôtre d'Arcis-sur-Aube en Champagne, martyr par la main de brigands (vers 407).
Saint MACCARTHENE, évêque de Clogher en Irlande (506).
Mémoire de la très grande miséricorde que Dieu a manifestée, par l'intercession de notre Souveraine l'Enfantrice de Dieu et Toujours Vierge Marie, en repoussant les impies Sarrasins qui assiégeaient Constantinople (718).
Queste notizie si rilevano dall´unica fonte storica esistente, cioè l´epigrafe posta da papa Damaso sul suo sepolcro, riprese successivamente da altri studiosi e inserite nel `Martirologio Romano´ fissando la sua morte al 15 agosto del 257 d.C.
Il suo corpo fu dapprima sepolto insieme a papa Stefano nel Cimiterio Callisti sulla via Appia; secondo altri autori esso fu trasferito nella cosiddetta Cella Tricora in un sarcofago insieme a papa Zefirino.
Nel 767 papa Paolo I lo portò nella basilica di s. Silvestro in Capite insieme ad altri corpi di martiri; Anche qui ebbe alcune traslazioni in cui l´ultima è del 1596 ove le reliquie furono poste sotto l´altare maggiore.
L'icône de la Très-Sainte Mère de Dieu "TSILKANSKAÏA" de Khartli en Géorgie (IVème siècle).
Saint BAUSSENGE (BALSEME), diacre, apôtre d'Arcis-sur-Aube en Champagne, martyr par la main de brigands (vers 407).
Saint MACCARTHENE, évêque de Clogher en Irlande (506).
Mémoire de la très grande miséricorde que Dieu a manifestée, par l'intercession de notre Souveraine l'Enfantrice de Dieu et Toujours Vierge Marie, en repoussant les impies Sarrasins qui assiégeaient Constantinople (718).
http://www.johnsanidopoulos.com/2015/08/commemoration-of-miracle-of-theotokos.html
L'icône de la Sagesse de Dieu de Novgorod.
L'icône de la Dormition de la Mère de Dieu de la Laure des Grottes de Kiev (1073). (Autre mémoire le 3 mai.)
L'icône de la Très-Sainte Mère de Dieu de Vladimir de Rostov (Russie XIIème siècle).
L'icône de la Mère de Dieu de Mozdorskaïa, copie de l'icône d'Iviron (XIIIème siècle). (Autre mémoire le jour de la Mi-Pentecôte.)
L'icône de la Mère de Dieu de Gaïénat, qui appartenait autrefois à la sainte reine Thamar (Géorgie, XIIIème siècle).
L'icône de la Mère de Dieu de Tchoukhlom (Russie, XIVème siècle). (Autres mémoires le 28 mai et le 20 juillet.)
L'icône de la Dormition de la Très-Sainte Mère de Dieu de Siémigorod (Russie, XVème siècle).
L'icône de la Dormition de la Très-Sainte Mère de Dieu d'Ovinov (Russie 1425).
L'icône de la Dormition de la Mère de Dieu de la Laure des Grottes de Pskov (Russie 1472).
L'icône de la Dormition de la Mère de Dieu de Bakhtchi-Saray (en fait, de la communauté grecque de Marioupol en Crimée).
L'icône de la Dormition de la Mère de Dieu de Pioukhtistkaïa (Estonie, XVIème siècle).
L'icône de la Mère de Dieu de Sourdiègue (Lituanie 1530).
Saint MACAIRE le Romain, natif de Rome, exilé en Russie pour pouvoir se convertir à l'Orthodoxie, moine à Novgorod, ermite dans les marais de la rivière Lezna, puis premier higoumène du monastère de la Dormition (1550).
L'icône de la Mère de Dieu de Toupitchev (Russie XVIIème siècle). (Autre mémoire le jour du Saint-Esprit.)
L'icône de la Mère de Dieu de Bethléem du village de Metekh en Géorgie (1891).
L'icône de la Très-Sainte Mère de Dieu de Bethléem, vénérée à la cathédrale de Tbilissi en Géorgie.
L'icône de la Très-Sainte Mère de Dieu des Blachernes, vénérée au monastère de Kvabtakhi en Géorgie.
Saint ALTFRIED, évêque d'Hildesheim en Basse-Saxe (875).
Saint ARDUIN, prêtre de Rimini en Emilie-Romagne, puis ermite, mort au monastère Saint-Gaudens (1009).
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