Saint martyr NICANDRE, mort par le glaive.
Saintes THECUSE, ALEXANDRA, CLAUDIA, EUPHROSYNE, ATHANASIE, MATRONE et POLACTIE, martyres (IIIème siècle).
Saint FELIX, martyr à Tunis ou à Thynissa en Afrique (IVème siècle).
Saint SEVERE, martyr à Barcelone en Catalogne sous Dioclétien et le président Dacien (304).
Saintes THECUSE, ALEXANDRA, CLAUDIA, EUPHROSYNE, ATHANASIE, MATRONE et POLACTIE, martyres (IIIème siècle).
Saint FELIX, martyr à Tunis ou à Thynissa en Afrique (IVème siècle).
Saint SEVERE, martyr à Barcelone en Catalogne sous Dioclétien et le président Dacien (304).
Saint
PAUL le Confesseur, archevêque de Constantinople, martyr par la main
des Ariens sous Constance (entre 351 et 357). (Office traduit en
français par le père Denis Guillaume au tome XI des Ménées.)
Saint
Paul naquit à Thessalonique à l'aube du 4e siècle. Lors du premier
Concile de Nicée, il était encore tout adolescent, mais il fut peu de
temps plus tard rangé parmi les Clercs de l'Eglise de Constantinople. Il
se signalait par la pureté de sa vie, sa douceur et son enseignement
brillant de la Foi Orthodoxe. C'est pourquoi il fut ordonné Diacre, puis
Prêtre, par le Patriarche Alexandre, alors qu'il était encore jeune. Il
était aimé de tous les fidèles de la capitale et fut consacré
Archevêque en 340, à la mort d'Alexandre qui l'avait désigné comme son
successeur. Son élection déchaîna la haine des ariens qui le
calomnièrent auprès de l'empereur Constance. Celui-ci, en effet, se
trouvait alors à Antioche et rentra en fureur dans la capitale,
lorsqu'il apprit la consécration du jeune orthodoxe.
Il réunit un concile d'évêques ariens, qui déposa Paul de ses fonctions
et le remplaça par l'evêque de Nicomédie, Eusèbe: un des chefs de file
de l'hérésie. L'arianisme semblait alors pouvoir définitivement
triompher puisque l'empereur et l'archevêque de Constantinople en
étaient d'ardents partisans. Dès son installation, Eusèbe commença à
pourchasser avec acharnement les défenseurs du Concile de Nicée. Mais
Dieu n'abandonna pas alors son Eglise: Eusèbe mourut après une année et
les Orthodoxes de la capitale rappelèrent Paul, qui s'était réfugié à
Rome auprès du Pape Orthodoxe Jules avec Saint Athanase d'Alexandrie,
lui aussi exilé pour le nom du Christ. 0r, au moment de reprendre son
siège, le Saint Confesseur se trouva mêlé à de nombreux troubles
populaires, car les ariens avaient de leur côté élu et ordonné un
successeur à Eusèbe: l'hérétique Macédonius, qui joignait le blasphème
contre la divinité du
Saint-Esprit à l'erreur d'Arius quant à la divinité du Verbe. En
apprenant la nouvelle de ces manifestations, l'empereur Constance donna
d'Antioche l'ordre à Hermogène, le chef militaire de la Thrace, d'entrer
avec ses troupes dans la capitale afin d'en chasser Paul par la force.
Mais le peuple s'ameuta, des combats sanglants eurent lieu partout dans
les rues, faisant de nombreuses victimes, et Hermogène lui-même fut
victime de la colère populaire. Les émeutiers le tuèrent, traînèrent son
corps dans les rues et brûlèrent sa demeure. On remit donc Paul sur son
siège, mais pour peu de temps, car l'empereur furieux arriva en force à
Byzance, en chassa Saint Paul, le contraignant à trouver refuge une
nouvelle fois à Rome, et déchaîna aussi sa colère sur Macédonius,
l'accusant d'avoir été la cause de tous ces troubles. En Occident, Paul
obtint le soutien de l'empereur Constant à Trèves et grâce aux lettres
de réprimandes du pape
adressées aux Evêques orientaux pour leur attitude envers Saint Athanase
et lui, il put regagner, quelque temps plus tard, son siège, au milieu
de l'allégresse populaire. Mais Constance, ne pouvant trouver de repos
dans sa lutte contre les Orthodoxes, chargea le préfet Philippe
d'expulser Paul et de replacer Macédonius sur le siège de la reine des
villes, sans toutefois réitérer les troubles qu'avait occasionnés
l'intervention d'Hermogène. C'est pourquoi Philippe usa d'un stratagème
pour attirer Saint Paul vers l'établissement de bains et, sous prétexte
de lui rendre des honneurs, il le fit enlever en secret et exiler à
Thessalonique, d'où le malheureux Evêque se rendit de nouveau à Rome.
En 347, à l'occasion du Concile de Sardique, Athanase et Paul purent reprendre possession de leur Siège. Pendant environ trois ans l'Eglise de Constantinople connut alors, autour de son pasteur, la paix et la sécurité de l'Orthodoxie. Mais ce fut de courte durée; car, en 350, le comte Magnence se souleva contre l'empereur orthodoxe d'Occident, Constant, et fut proclamé empereur par ses troupes. Ses prétentions à l'empire universel obligèrent Constance à engager une guerre contre lui et, après de dures campagnes, l'empereur hérétique s'empara de Lyon et reconstitua à son profit l'unité de l'empire. L'équilibre qu'avait donné jusque là la présence d'un empereur orthodoxe en Occident était désormais rompu et Constance put désormais déchaîner librement ses persécutions contre les défenseurs de la divinité du Fils de Dieu. Il fit arrêter Saint Paul et le fit conduire, chargé de lourdes chaînes, à Singar d'abord, puis à Emèse, puis enfin à Cucuse dans la lointaine Arménie. C'est là, un jour où le Saint Evêque célébrait la Divine Liturgie, que les ariens se ruèrent dans l'église et l'étranglèrent au moyen de son omophorion
En 347, à l'occasion du Concile de Sardique, Athanase et Paul purent reprendre possession de leur Siège. Pendant environ trois ans l'Eglise de Constantinople connut alors, autour de son pasteur, la paix et la sécurité de l'Orthodoxie. Mais ce fut de courte durée; car, en 350, le comte Magnence se souleva contre l'empereur orthodoxe d'Occident, Constant, et fut proclamé empereur par ses troupes. Ses prétentions à l'empire universel obligèrent Constance à engager une guerre contre lui et, après de dures campagnes, l'empereur hérétique s'empara de Lyon et reconstitua à son profit l'unité de l'empire. L'équilibre qu'avait donné jusque là la présence d'un empereur orthodoxe en Occident était désormais rompu et Constance put désormais déchaîner librement ses persécutions contre les défenseurs de la divinité du Fils de Dieu. Il fit arrêter Saint Paul et le fit conduire, chargé de lourdes chaînes, à Singar d'abord, puis à Emèse, puis enfin à Cucuse dans la lointaine Arménie. C'est là, un jour où le Saint Evêque célébrait la Divine Liturgie, que les ariens se ruèrent dans l'église et l'étranglèrent au moyen de son omophorion
http://www.johnsanidopoulos.com/2013/11/saint-paul-confessor-as-model-for-our.html
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Synaxe de tous les saints d'Irlande.
ICON OF ALL SAINTS OF THE BRITISH ISLES & IRELAND
Saint FELIX, moine à Fondi dans le Latium (VIème siècle).
Saint ILLTYD (ILLTUT, ILLTUD), disciple de saint Cadoc, fondateur du monastère de Llantwit dans le pays de Galles (vers 505).
http://www.santiebe ati.it/dettaglio /92324
O wise Illtyd, thou wast noble by birth and noble in mind/ and didst
train many saints in the way of holiness./ Pray to Christ our God to
raise up saints in our days/ to His glory and for our salvation
http://www.ancienttexts.org/library/celtic/ctexts/illtud.html
Saint PROTASE (PREUTS, PROSTASIUS), évêque d'Avenches dans le pays de Vaud en Suisse romande (507).
Saint EFFLAM, prince irlandais, ermite en Bretagne, patron du village de Plestin (vers 512).
Saint GREGOIRE d'Autun, évêque de Langres en Champagne, bisaïeul de saint Grégoire de Tours (539 ou 541).
Troparion of St Illtyd Tone 6
train many saints in the way of holiness./ Pray to Christ our God to
raise up saints in our days/ to His glory and for our salvation
http://www.ancienttexts.org/library/celtic/ctexts/illtud.html
Saint PROTASE (PREUTS, PROSTASIUS), évêque d'Avenches dans le pays de Vaud en Suisse romande (507).
Saint EFFLAM, prince irlandais, ermite en Bretagne, patron du village de Plestin (vers 512).
Saint GREGOIRE d'Autun, évêque de Langres en Champagne, bisaïeul de saint Grégoire de Tours (539 ou 541).
Saint LEONARD le Libérateur, moine et reclus à Micy, puis fondateur du monastère de Noblac, aujourd'hui le village de Saint-Léonard- de-Noblat en Limousin (559). Il est le patron des prisonniers, des porteurs d'eau, des forgerons, chaudronniers, serruriers, portefaix, houilleurs, fruitiers et tonneliers. On invoque son secours dans les accouchements.
San Leonardo di Noblac Eremita
6 novembre
Voici une ancienne représentation de saint Martin de Tours sur une icône du monastère Sainte-Catherine du Mont Sinaï. Peinte au XIIème siècle (probablement avant la chute du royaume de Jérusalem en 1187), l'icône représente trois saints vénérés dans le patriarcat de Jérusalem (saint Paul, saint Jacques le frère du Seigneur et saint Etienne le Protomartyr) et trois saints des pays latins, dont deux de France (saint Laurent l'Archidiacre, saint Martin de Tours et saint Léonard de Noblat le Libérateur). Les légendes sont en latin." |
Retable
médiéval hétérodoxe : la Mère de Dieu allaite le Christ, avec à gauche
saint Léonard de Noblat, et à droite le saint Apôtre Pierre auteur : Meister der Heiligen Magdalena, 13ème s. 108,5 × 163 cm Yale University Art Gallery, New Haven (Connecticut) |
Gallia, inizio VI sec. – Limoges, 6 novembre 545 ca.
Leonardo nacque in Gallia al tempo dell’imperatore
Anastasio da nobili franchi, amici del re Clodoveo che volle fargli da
padrino al battesimo. In gioventù rifiutò di arruolarsi nell’esercito e
si mise al seguito di S. Remigio, arcivescovo di Reims. Avendo questi
ottenuto dal re di poter chiedere la liberazione dei prigionieri che
avesse incontrato, anche Leonardo, acceso di carità, chiese e ottenne lo
stesso favore e liberò, di fatto, un gran numero di questi infelici.
Diffondendosi la fama della sua santità, egli rifiutata la dignità
vescovile offertagli da Clodoveo si diresse a Limoges; attraversando la
foresta di Pavum soccorse la Regina sorpresa dalle doglie del parto. La
preghiera del santo le concesse di superare i dolori e di dare alla luce
un bel bambino. Clodoveo riconoscente gli concesse una parte del bosco
per edificarvi un monastero. Il Santo costruì un oratorio in onore della
Madonna e dedicò in altare in onore di S. Remigio; scavò poi un pozzo
che si riempì miracolosamente d’acqua e al luogo diede il nome di
nobiliacum in ricordo della donazione di Clodoveo. Il Santo sarebbe
morto il 6 novembre di un anno imprecisato, nella metà del VI secolo.
Saint EDWEN, patronne de Llanedwen sur l'île d'Anglesey dans le pays de Galles (VIIème siècle).
San Leonardo il
Liberatore, prega Cristo Dio per noi,
che Egli ci libera dalle catene delle passioni terrene
e ci fanno vivere quaggiù dalla vita celeste.
che Egli ci libera dalle catene delle passioni terrene
e ci fanno vivere quaggiù dalla vita celeste.
" dono di Dio non si può comprare con il denaro: è la fede che merita, e il Signore distribuisce ai fedeli secondo la misura della loro fede . "
Saint Léonard de Noblat
Saint Léonard de Noblat
Saint SEVERE, évêque de Barcelone en Catalogne, martyr par la main des Ariens (633).
Saint APUAN, moine à Pavie en Lombardie (VIIIème siècle).
Saint
WINNOC, fils d'un roi de Bretagne, moine à Sithiu puis fondateur d'un
monastère à Wormhoudt en Flandre (717). Il est le patron des meuniers.
On l'invoque pour chasser les corneilles.
St.
Winnoc was probably a Briton of royal blood. He was
raised in Brittany and with three companions became a monk at St.
Peter's in Sithiu, under St. Bertin. He and his friends were sent to
found a monastery among the Morini at Wormhout near Dunkirk, of which he
was made Abbot. This monastery became the centre of their missionary
work, and in it St. Winnoc built a church and a hospital. Having
attained to the gift of miracles, and widely famed for his sanctity, he
reposed in the Lord on Nov. 6. Holy Father Winnoc, pray to God for us!
Saint LOUANT (LUPENCE), ermite à Saint-Louant en Touraine (IXème siècle).
Saint LUC, natif de Taormina en Sicile, ascète sur les pentes de l'Etna, à Constantinople et à Corinthe (vers 820).
https://doxologia.ro/sfantul-cuvios-luca
Saint ERLAFRID, fondateur du monastère d'Hirschau en Allemagne (vers 830).
Saint PAUL de Corinthe, fol-en-Christ, mort dans la paix.
Saint DIMITRIEN, évêque de Chytri en Chypre (vers 915).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/90424
Saint BARLAAM, fondateur du monastère de Khoutyne, thaumaturge (1193). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XI du Supplément aux Ménées.)
http://oca.org/saints/lives/2013/11/06/103186-venerable-barlaam-the-abbot-of-khutyn-novgorod
https://doxologia.ro/sfantul-varlaam-hutinski
https://doxologia.ro/sfantul-varlaam-hutinski
Saint LUC, économe de la Laure des Grottes de Kiev (XIIIème siècle).
Saint BARLAAM, prêtre à Kola, puis ascète près du lac de Kéret (Russie XVIème siècle).
http://oca.org/saints/lives/2013/11/06/103188-st-herman-the-archbishop-of-kazan
Saint AGAPIOS, dit HADJI-AGAPIOS, dans le monde Asimakis Léonardos, hiéromoine, professeur et missionnaire, qui se préoccupa de l'éducation et de la foi du peuple orthodoxe en Thessalie, Macédoine, Thrace, Asie mineure, Palestine, Arabie, Egypte, Epire, Péloponnèse, et divers autres lieux (1812).
Synaxe des nouveaux-martyrs de Sarov: ANATOLE, BASILE, HIEROTHEE, ISAAC et RUFIN.
Saint GREGOIRE le Stavrophore, martyr par la main des Communistes (Russie 1936).
Saint NICETAS, évêque de Orekh-Zouev, ANATOLE et NICOLAS, prêtres, BARLAAM et GABRIEL, moines, et NINA et SERAPHIMA, moniales, martyrs par la main des Communistes (Russie 1937).
Saint BASILE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1938).
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