giovedì 18 dicembre 2014

19 dicembre il santorale



Sainte FAUSTA, mère de sainte Anastasie de Sirmium, recommandable par sa noblesse et sa piété (IIIème siècle). La più antica notizia su di lei è contenuta nella passio di s. Anastasia. Nel IV cap. la santa, scrivendo a Crisogono, dà alcuni particolari sulla sua famiglia. Riferisce di essere nata da padre pagano e da Fausta, donna molto pia che la educò fin dall'infanzia ai precetti evangelici

Saints martyrs TIMOTHEE, diacre, et POLYEUCTE, morts par le feu, l'un en Maurétanie (actuel Maroc) et l'autre à Césarée de Cappadoce.

Saints martyrs EUTYCHES, THESSALONIQUE et leurs compagnons, DEUX CENTS hommes et SEPTANTE femmes, morts par le glaive.

Saint martyr TRYPHON, qui accomplit son martyre en étant suspendu à un saule.

Sainte PROTHASIE (PROTAISE, PROTASIA), martyre à Senlis en Picardie (vers 287).


Saints BONIFACE, esclave et intendant, martyr à Tarse en Cilicie sous Dioclétien (vers 290), et AGLAÏS la Romaine, sa maîtresse, devenue ascète après le martyre de saint Boniface. (Office à saint Boniface traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XII des Ménées. Tropaire et kondakion plus récents traduits en français par le même au tome XII du Supplément aux Ménées.)

Saint Boniface, était le serviteur d'une femme riche et dépravée, Aglaïs, à Rome, et avait des relations impures et adultères avec elle. Aglaée manifesta le désir d'avoir chez elle des reliques de quelque martyr, comme une sorte d'amulette domestique contre le mal, et ainsi elle envoya son serviteur en Asie, afin de trouver et d'acheter ce qu'elle désirait. Boniface prit quelques esclaves avec lui, et une grande somme d'argent, et, au moment de partir, il dit à Aglaée : 'Si je ne trouve pas le moindre martyr, et qu'ils ramènent mon corps, martyrisé pour le Christ, est-ce que tu le recevra avec honneur?' Parvenant à la ville de Tarse, Boniface vit beaucoup de Chrétiens soumis à la torture : certains avaient leurs jambes tranchées, d'autres leurs mains, d'autres les yeux arrachés, d'autres mourraient sur la potence, et ainsi de suite. Le coeur de Boniface fut bouleversé, et il se repentit dans les larmes de sa vie pécheresse. Il cria aux martyrs Chrétiens "Moi aussi, je suis Chrétien!' Le juge le fit arrêter pour interrogation, et ordonna de le fouetter fortement, puis de déverser du plomb fondu dans sa bouche, et comme ça ne semblait rien lui faire, de le décapiter. Les esclaves ramenèrent son corps à Rome. Un Ange de Dieu apparut à Aglaée et lui dit : "Prend celui qui fut autrefois ton serviteur, mais qui est à présent notre frère et notre confrère dans le service; il est le gardien de ton âme et le protecteur de ta vie." Aglaé sortit, surprise, pour le rencontrer, prit le corps de Boniface, bâtit une église pour ses reliques, et les y plaça. Puis elle se repentit, donna tous ses biens aux pauvres, et se retira du monde, vivant encore 15 ans dans une sévère pénitence. Saint Boniface souffrit en 290. 

Le 19 décembre, nous célébrons la mémoire du Saint Martyr BONIFACE et de Sainte AGLAÏS la Romaine

Saint Boniface était esclave au service d'une riche dame romaine, nommée Aglaïs, fille du proconsul de la capitale, au temps de l'empereur Dioclétien (284-305). Intendant chargé de la gestion de la grande fortune de sa maîtresse, il menait une vie de débauche, conforme aux moeurs dissolues des Romains de cette époque. Tout adonné à l'ivrognerie et à la fornication, il était même tombé dans le péché avec Aglaïs, et semblait ne pas en éprouver de remord. Mais il était toutefois bon et généreux, pratiquait avec largesse l'hospitalité pour les étrangers et distribuait avec compassion de nombreuses aumônes aux pauvres.



Au bout de quelques années d'une telle conduite, Aglaïs, tourmentée par les reproches de sa conscience et par la crainte d'avoir à rendre un jour compte à Dieu de ses péchés, entendit dire par des Chrétiens que celui qui sert et honore les Reliques des Saints Martyrs béfiéficiera de leur intercession auprès de Dieu et trouvera le pardon de ses péchés. Remplie d'espérance, elle convoqua alors Boniface et le chargea de se rendre en Asie Mineure, là où les Chrétiens souffraient persécution, pour acquérir à prix d'argent des Saintes Reliques et les ramener à Rome. Encore insensible aux choses de Dieu, son serviteur et amant reprit en se moquant: «Et si je te ramène mon propre corps en guise de relique, m'honoreras- tu comme un saint? » - «Le temps n'est plus à la plaisanterie, reprit Aglaïs sur un ton de reproche. Secoue ton ivresse et fais tes préparatifs en hâte pour ce voyage; car, moi la pécheresse, j'attends avec impatience ton retour pour obtenir de Dieu le pardon».

Parvenu à Tarse, en Cilicie, à la tête d'une nombreuse escorte qui emportait avec elle grande quantité d'or et tout ce qui est nécessaire pour embaumer et transporter avec éclat les restes des Saints, Boniface se rendit sur le champ à l'amphithéâtre, où il assista avec stupeur aux tourments d'une vingtaine de Martyrs. L'un avait les membres écartelés entre quatre poteaux, l'autre était suspendu la tête en-bas, sur d'autres les bourreaux s'acharnaient à coups de fouets ou leur déchiraient les côtes avec des crochets de fer... Mais tous restaient si imperturbables et montraient une telle constance que le courtisan débauché sentit son coeur fondre en lui. Il tomba en pleurs à leurs pieds, baisa avec respects leurs liens et, après avoir demandé l'assistance de leurs prières, il déclara publiquement que lui aussi était disciple du Christ. Traduit devant le tribunal du gouverneur, il repoussa avec dégoût le culte des idoles et confessa hardiment le Sauveur; puis il fut ramené vers le cirque où, grâce à la prière des Saints, il endura toutes sortes de supplices avec l'impassibilité de quelqu'un qui est déjà comme sorti du corps et étranger au monde. On lui enfonça des roseaux effilés sous les ongles, on lui fit couler du plomb fondu dans la bouche, on le plongea dans un chaudron rempli de goudron bouillant, et il resta chaque fois invaincu et incorruptible.

Le lendemain, l'athlète du Christ reçut avec joie l'annonce de la sentence de mort et, avant d'être décapité, s'étant revêtu du signe de la Croix, il adressa au Seigneur une fervente prière pour l'affermissement du peuple chrétien affligé et pour que sa mort, à l'imitation du Christ, lui procure la rémission de ses péchés et l'entrée dans la joie éternelle.

Or ses compagnons de voyage, pensant tout d'abord que, selon son habitude, Boniface devait se trouver dans quelque taverne ou autre lieu de débauche, commencèrent alors à s'inquiéter de son absence prolongée et partirent à sa recherche. Ils rencontrèrent en ville le frère du bourreau de Boniface, et celui-ci leur dit que justement, la veille, on avait exécuté un Romain qui semblait répondre au signalement de leur compagnon. Quoiqu'il leur semblât impossible que le Martyr en question fût Boniface, ce ripailleur, ils se précipitèrent à l'amphithéâtre et trouvèrent avec stupéfaction son saint corps qu'ils achetèrent pour cinquante livres d'or et transportèrent avec grands honneurs à Rome.

Un Ange du Seigneur apparut alors à Aglaïs et lui dit: «Lève-toi pour aller au-devant de celui qui était ton serviteur et ton compagnon de débauche et qui maintenant est devenu notre frère. Reçois-le comme ton maître, car, grâce à lui, tous tes péchés vont être remis». Au comble de la joie, elle rassembla un brillant cortège pour accueillir, conformément à sa prophétie involontaire, le corps de Saint Boniface à quelque distance de Rome, dans un lieu où, par la suite, elle fit édifier une belle et vaste église en son honneur et où se sont accomplis de nombreux miracles. Quant à elle, renonçant au monde et à ses vains honneurs, elle distribua sa fortune aux pauvres et s'adonna dès lors à l'ascèse et à la prière, tant et si bien qu'elle acquit le pouvoir de faire des miracles et s'endormit, treize années plus ans la paix du Seigneur, avec l'assurance que les souillures de sa vie avaient été effacées grâce à l'intercession de Saint Boniface.
http://www.johnsanidopoulos.com/2012/12/saints-boniface-of-tarsus-and-aglaida.html

http://www.johnsanidopoulos.com/2013/12/saints-boniface-and-aglaia-as-models.html


Saints ELIE, PROBOS et ARES, martyrs à Césarée de Palestine sous Maximin Daïa (308).
Faceva parte di un gruppo di cristiani egiziani che si erano mossi per portare un po' di sollievo ai correligionari deportati dall'imperatore Massimino Daia in Cilicia. Il 14 dicembre del 308 o 309 furono sorpresi alle porte di Ascalona, mutilati e condannati a lavorare nelle miniere. Ares e latri due del gruppo, Promo ed Elia, furono invece messi a morte: il primo bruciato vivo e gli altri due decapitati.
Festa il 19 dicembre.


Saint MANIRUS, apôtre du nord de l'Ecosse.

Sainte CLERVIE (PERLE), soeur de saint Guénolé, abbesse à Saint-Frégant en Bretagne (VIème siècle).

Saint GREGOIRE, évêque d'Auxerre en Bourgogne (vers 530 ou 540).

Saint GREGENTIOS, natif de Milan en Lombardie, évêque de Safar au Yémen et confesseur de la foi orthodoxe face au judaïsme (552).
Gregentios war Erzbischof von Taphar im Jemen. Er ist Heiliger der orthodoxen Kirche (Festtag 19. Dezember).
Gregentios stammt nach seiner legendären griechischen Vita aus Lyplianes im Land der Awaren (Ljubljana in Slowenien) und reist über Agrigent, Mailand, Karthago und Rom nach Ägypten, von wo er in der Zeit des Kaisers Justin I. (518–527) als Missionar in das Land der Homeriten (Himjariten) im heutigen Jemen aufbricht. Dort regiert, nachdem eine äthiopische Expedition unter König Elesboam (Ela Asbeha) den jüdischen König Dunaas (Du Nuwas) gestürzt hat, der Christ Abreha. Gregentios erlässt in seinem Auftrag Gesetze für die Homeriten, bekehrt die verbliebenen Juden durch ein fünf Tage dauerndes Religionsgesprä ch mit dem Schriftgelehrten Herban und wirkt danach bis zu seinem Tod noch dreißig Jahre als Erzbischof von Taphar (Zafar).
Gregentios ist ganz offenbar eine erfundene Gestalt, seine Vita enthält grobe geographische Irrtümer und Anachronismen (so haben etwa Karthago und Lubljana nie gleichzeitig unter diesen Namen existiert). Nur der Bericht über die Vorgänge im Jemen geht auf eine alte, heute verlorene Quelle über die historische Ereignisse des frühen 6. Jh. zurück. Der gesamte Text, bestehend aus der eigentlichen Vita, den Gesetzen und dem Religionsgesprä ch, ist erst um 960 in Konstantinopel von einem einzigen Autor verfasst worden. Die drei Teile dieses Corpus wurden später auch getrennt überliefert, am häufigsten das Religionsgesprä ch, und dieses sowie die Gesetze galten bis fast zur Gegenwart häufig als authentische Werke des frühen 6. Jh.


Saint AVIT (AJOUT, ADJUTUS, AVITUS), higoumène de Micy dans l'Orléanais (époque incertaine).

Saint RIBERT (RIBIER, RIBIARUS), higoumène du monastère de Saint-Oyend (aujourd'hui la ville de Saint-Claude) en Franche-Comté (vers 790).

Saint ELIE de Mourom, thaumaturge (vers 1188).
Saint Elias Muromets of the Caves, nicknamed "Shoemaker" or "Cobbler," was from the city of Murom. Popular legend identifies him with the famous warrior hero Elias Muromets, who was the subject of Russian ballads and of Gliere's Symphony No. 3.


St Elias died with the fingers of his right hand formed to make the Sign of the Cross in the position accepted even today in the Orthodox Church: the first three fingers together, and the two outermost fingers folded onto the palm [in contrast to the Sign of the Cross used by the "Old Ritualists"] . During the struggle with the Old Ritualist Schism (seventeenth- nineteenth centuries). This information about the saint served as a powerful proof in favor of the present positioning of the fingers

Saints GEORGES de Kakhouli, écrivain, et SABBAS, son frère (Géorgie XVème siècle).
Saints George and Sava of Khakhuli were brothers of Jacob, the father of St. George of the Holy Mountain. George and Sava labored as monks at Khakhuli Monastery in southern Georgia.

The holy fathers were filled with divine grace. The elder brother, George, was a spiritual adviser in the court of King Bagrat III Kuropalates and, along with the king, he became an active participant in the production of ecclesiastical literature. (This period is known as the Golden Age of Georgian Letters, when many translations and copies of ecclesiastical writings were made.) The younger brother, Sava, is remembered as a righteous and blameless man by the renowned Church figure George the Lesser. According to George the Lesser, the brothers were generously endowed with both spiritual blessings and material wealth.

When the holy fathers heard about the piety of their nephew, the young George (later of the Holy Mountain), they suggested that Jacob bring him to them in Khakhuli in Klarjeti. With exceeding gladness Jacob brought his son to the God-fearing brothers.

At that time a certain Peris Jojikisdze, a nobleman married to the daughter of King Bagrat III, governed the village of Tvartsatapi. Peris thought it wise to invite an intelligent and experienced monk to his palace to serve as an instructor and spiritual guide, and he selected St. George to fill this role. With great reluctance the venerable father consented, and he was entrusted with responsibility for all the spiritual and earthly affairs at the palace.

George of Khakhuli took the young George with him to the palace of Peris Jojikisdze. A year later, the Byzantine Emperor Basil II brought false accusations against Peris and ordered his execution. His wife and those in his court, among whom were St. George and the young George of the Holy Mountain, were captured and escorted to Constantinople.

After twelve years in Byzantium, the captives were finally permitted to return home. Upon his return to Georgia, George of Khakhuli sent his nephew to Khakhuli Monastery, entrusting him to the care of his brother Sava.

The holy fathers reposed peacefully in the mid-11th century.
Icons of St. Boniface,
apostle of Germany & martyr
Bonifacio o Winfrid sembra appartenesse a una nobile famiglia inglese del Devonshire, dove nacque nel 673 (o 680). Professò la regola monastica nell'abbazia di Exeter e di Nurslig, prima di dare inizio all'evangelizzazion e delle popolazioni germaniche oltre il Reno. Il suo primo tentativo di raggiungere la Frisia andò a vuoto per l'ostilità tra il duca tedesco Radbod e Carlo Martello. Winfrid compì allora il pellegrinaggio a Roma per pregare sulle tombe dei martiri e avere la benedizione del papa. S. Gregorio II ne assecondò lo slancio missionario e Winfrid ripartì per la Germania. Sostò nella Turingia, quindi raggiunse la Frisia, appena assoggettata dai Franchi, e vi operò le prime conversioni. In tre anni percorse gran parte del territorio germanico.
Anche i Sassoni risposero con entusiasmo alla sua predicazione. Convocato a Roma, ebbe dal papa l'ordinazione episcopale e il nuovo nome di Bonifacio. Durante il viaggio di ritorno in Germania in un bosco di Hessen fece abbattere una gigantesca quercia alla quale le popolazioni pagane attribuivano magici poteri perché ritenuta sede di un dio. Quel gesto fu ritenuto una vera sfida alla divinità e i pagani accorsero per assistere alla vendetta del dio offeso. Bonifacio ne approfittò per recare loro il messaggio evangelico. Ai piedi della quercia abbattuta eresse la prima chiesa dedicata a S. Pietro.
Prima di organizzare la Chiesa sulla riva destra del Reno pensò alla fondazione, tra le regioni di Hessen e Turingia, di un'abbazia, che divenisse il centro propulsore della spiritualità e della cultura religiosa della Germania. Nacque così la celebre abbazia di Fulda, paragonabile per attività e prestigio alla benedettina Montecassino. Come sede arcivescovile scelse la città di Magonza, ma espresse il desiderio di essere sepolto a Fulda.

http://santiebeati.it/immagini/Original/23300/23300H.JPG 
Già vecchio, eppur infaticabile, ripartì per la Frigia. Lo accompagnavano una cinquantina di monaci. Il 5 giugno 754 aveva dato l'appuntamento presso Dokkum a un gruppo di catecumeni. Era il giorno di Pentecoste; all'inizio della celebrazione della Messa i missionari vennero assaliti da un gruppo di Frisoni armati di spade. "Non temete - disse Bonifacio ai compagni - tutte le armi di questo mondo non possono uccidere la nostra anima". Quando la spada di un infedele si abbatté sul suo capo, cercò di ripararsi coprendosi con l'Evangeliario. Ma il fendente sfregiò il libro e mozzò il capo del martire.




Fu il fondatore dell'abbazia di Fulda (Germania), dove è sepolto.

Nessun commento:

Posta un commento

Nota. Solo i membri di questo blog possono postare un commento.