venerdì 5 dicembre 2014

saints pour le 6 décembre du calendrier ecclésiastique



Saint THEOPHILE, septième évêque d'Antioche, mort en paix (185). 




Sainte FLORENTINE, vierge et martyre à Cologne en Rhénanie.



Le saint martyr NISER, mort par le feu, attaché à une colonne, pendant la persécution de Maximien (304).




Saint NICOLAS, archevêque de Myre en Lycie, le Thaumaturge, un des saints Pères du Ier concile oecuménique. Il est un patron des marins, des enfants et des écoliers et un protecteur des récoltes (vers 345). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XII des Ménées. Canon et stichères traduits en français par le même au tome XII du Supplément aux Ménées.) 



Saint AEROS, évêque. 

Saint ABRAAMIOS, évêque de Cratéa (aujourd'hui Gérédé) en Bithynie (Vème siècle). 

Saints AUXILIUS, ISSERNINUS et SECUNDINUS, auxiliaires de saint Patrick dans l'évangélisation de l'Irlande (Vème siècle). 

Sainte ASELLE (ASELLA), moniale puis abbesse à Rome, surnommée "une fleur du Seigneur" (vers 406).


Sant' Asella di Roma Vergine
Sec. IV
Non fu un personaggio celebre, e il suo ricordo sarebbe sparito se di lei non avesse scritto, nelle sue lettere, lo stesso san Girolamo, il dalmata traduttore della Bibbia in latino, e dottore della Chiesa, di cui Asella fu collaboratrice. Vivendo a Roma, negli anni della sua maturità, Girolamo raccolse intorno a sé un gruppo di donne devote e studiose, i cui nomi si incontrario ancora nel calendario: Paola, Marcella, Lea, Eustochia e infine Asella. Quest'ultima fin da ragazza manifestò l'intezione di consacrarsi a Dio fino a lasciare tutto per ritirarsi a vita eremitica. Lavorava continuamente, non per sé, ma per i poveri, e al tempo stesso pregava o salmodiava. Visitava anche le tombe dei martiri, ma nell'oscurità, senza mai farsi riconoscere. La vita durissima non le fiaccò il fisico; al contrario, sui cinquant'anni, secondo la testimonianza di San Girolamo era «ancora in buona salute, e ancor più sana in spirito». Di lei, vent'anni dopo la partenza di Girolamo da Roma, scrisse anche lo storico Palladio, testimoniandone l'impegno alla guida di alcuni monasteri. Le sue reliquie si trovano nella basilica dei Santi Bonifacio e Alessio all'Aventino (nella foto), a Roma, e nella chiesa di Sant'Abbondio a Cremona.

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/it/d/dc/Dieci_martiri_di_Creta.jpg


Saints DENISE, DATIVE, LEONTIA, TERTIUS, EMILIEN, médecin de profession, BONIFACE, 



MAJORIC, fils de sainte Denise, et TROIS autres, martyrs en Afrique par la main des 




Vandales ariens sous Hunéric (484).






Saint SOURON, ermite à Plougouver en Bretagne (VIème-VIIème siècles). 


Sainte GERTRUDE aux Câts, veuve, fondatrice et abbesse d'Hamage près de Douai en Hainaut (vers 649). 

Saint MAXIME, Grec de nation, confesseur de la foi orthodoxe face à la fausse union de Lyon (1274), métropolite de Kiev (1285-1305), siège qu'il transféra à Vladimir en 1300 (1305). 

Saint NICOLAS CARAMOS (ou CASSETIS), martyr à Smyrne par la main des Musulmans (1657).
http://www.johnsanidopoulos.com/2016/12/holy-new-martyr-nicholas-karamanos-of.html

Saint GREGOIRE (Péradzé), archimandrite, premier recteur de la paroisse orthodoxe géorgienne Sainte-Nino de Paris, martyr à Auschwitz / Oswiecim en Pologne par la main des Nationaux-Socialistes (1942).

 http://liturgia.cerkiew.pl/page.php?id=152

 Premier recteur de la paroisse orthodoxe géorgienne Sainte-Nino de Paris, martyr à Auschwitz en Pologne, Grégoire Péradze a été officiellement canonisé par l’Église orthodoxe de Géorgie en 1995.
Grigol Peradze, né en 1899 en Géorgie de l'Est, fit ses études à Tbilissi. Quand, en 1921, la Géorgie fut occupée par la Russie soviétique, il partit en exil en Allemagne. Professeur à l'université de Bonn puis à la faculté théologique de Varsovie, il fut ordonné prêtre en 1931. Il publia de nombreux ouvrages. L'invasion de la Pologne en 1939 rendit sa position difficile. Il aida des juifs et rendit visite à des prisonniers. Arrêté en 1942 par la Gestapo, il mourut le 6 décembre 1942 entrant dans la chambre à gaz à la place d'un prisonnier juif père d'une large famille.




http://www.johnsanidopoulos.com/2010/12/holy-icon-of-panagia-seafaring.html

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