mercoledì 31 dicembre 2014

saints pour le 1er janvier du calendrier ecclésiastique


 
CIRCONCISION selon la chair de notre Seigneur, Dieu et Sauveur JESUS CHRIST. (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées.) Huit jours après la naissance du Sauveur, ses parents le firent circoncire (Luc 2:21), conformément à l'ordre donné par Dieu à Abraham au moment où Il lui promit d'établir une alliance éternelle avec lui et toute sa descendance: «Et voici Mon alliance qui sera observée entre Moi et vous: c'est-à-dire ta race après toi (...) quand ils auront huit jours tous vos mâles seront circoncis de génération en génération» (Gen. 17:10-12). Celui-là même qui, par amour des hommes, a accepté de revêtir la nature humaine qu'Il a créée, a poussé la compassion jusqu'à assumer celle-ci dans son état déchu et corrompu. Par le retranchement de ce morceau de peau morte, symbole de la mortalité des hommes pécheurs, Lui, le Pur, le Sans-péché, acceptait de recevoir le signe de la réconciliation qu'en tant que Dieu et Auteur de la Loi Il avait Lui-même instituée. Dès Son arrivée sur la terre, Il se soumet humblement au précepte de la Loi, montrant ainsi que les figures obscures trouvent en lui leur accomplissement. Les quelques gouttes de sang qu'Il versa en ce jour étaient le prélude du Sang qu'Il allait bientôt verser sur la Croix pour laver les péchés du monde et nous délivrer de notre condamnation; c'est pourquoi, avec la circoncision du Seigneur, c'est en fait le mystère complet de notre Rédemption que nous commémorons.

aaaAujourd'hui, par la circoncision du Second Adam, prend fin la circoncision charnelle de l'ancienne Alliance et la Nouvelle et véritable Alliance, marquée par une circoncision spirituelle, est inaugurée par son sang. Le Baptême Chrétien constitue cette véritable circoncision spirituelle, ce signe de l'appartenance au peuple nouveau, non plus par le retranchement d'un morceau de peau morte, mais par l'affranchissement de la mort elle-même par la communion à la mort et à la Résurrection vivifiantes du Seigneur. Pour cette raison Saint Paul et les Apôtres se sont opposés avec énergie à ceux qui voulaient contraindre les convertis venus du paganisnisme à se faire circoncire (voir Actes 15:5-30; 1 Cor. 7:18-19; Galates 5:2,6 et 6:15). «C'est en Lui (le Christ), dit-il, que vous avez été circoncis d'une circoncision qui n'est pas de main d'homme ( ... ) telle est la circoncision du Christ: ensevelis avec Lui lors du Baptême, vous en êtes aussi ressuscités avec lui, parce que vous avez cru en la force de Dieu qui L'a ressuscité des morts» (Colossiens 2:11-12).

aaa«En effet dans le Christ Jésus ni circoncision ni incirconcision, mais seulement la foi opérant par la charité» (Galates 5:6). En mettant un terme au précepte de l'Ancienne Alliance par Sa propre circoncision, le Christ nous appelait donc à la circoncision du coeur, au renouvellement spirituel, qu'Il avait déjà annoncé par Ses prophètes (Jérémie 4:4, Romains 2:25-29).

aaaC'est également sous forme de prophétie que Dieu avait ordonné à Abraham de pratiquer la circoncision de la chair une fois accomplis les sept premiers jours de la vie de l'enfant, symbole de l'ensemble du déroulement du temps (voir la semaine de la Création, Genèse 1). Le huitième jour figurait donc le passage au-delà du temps de ce monde de mort vers la vie éternelle, qui nous a été ouvert par la Résurrection du Seigneur le «huitième» jour de la semaine, lequel est également le premier et unique jour de la vie sans fin et sans changement2. En étant circoncis le huitième jour après Sa naissance, le Christ nous annonçait Sa Résurrection et notre délivrance finale.

aaaConformément à l'usage, on Lui donna aussi, en ce jour, le nom que l'Ange de Dieu avait indiqué à Joseph (Matth. 1:21; Luc 1:31): JÉSUS, c'est-à-dire Sauveur. Par ce seul nom était ainsi révélée Sa mission sur la terre, ce pourquoi le Dieu éternel et Créateur s'est fait homme. Le nom de JÉSUS résume et exprime tout le mystère de notre Salut; plus qu'un mot conventionnel, il rend mystérieusement présente la Personne elle-même du Sauveur, dans toute sa puissance triomphante. «AinsiDieu L'a-t-il exalté et Lui a-t-Il donné le Nom qui est au-dessus de tout nom, pour que tout au Nom de Jésus, s'agenouille, au plus haut des cieux, sur la terre et dans les enfers, et que toute langue proclame de Jésus-Christ qu'Il est SEIGNEUR à la gloire de Dieu le Père» (Philippiens 2:9-11). Comme le montre d'innombrables exemples dans la Sainte Ecriture (voir Actes 3:6; 4:7, 10:30; 10:43; 16:18; 19:13 etc.) et dans les vies des Saints, c'est par le Nom de Jésus invoqué avec foi que les Miracles s'accomplissent, que les démons et les forces de la mort prennent la fuite, comme brûlés par le feu de Sa divinité, conformément à Sa promesse: «Et tout ce que vous demanderez en Mon Nom Je le ferai .. » (Jean 14:13). C'est pourquoi, les Chrétiens Orthodoxes, témoins de ce Nom qui procure la Vie (Jean 20:31), se doivent de tout faire au nom de Jésus: «Quoi que vous puissiez dire ou faire, que ce soit toujours au nom du Seigneur Jésus, rendant par Lui grâces au Père» (Gal. 3:17). En répétant sans cesse, en toutes circonstances et à chaque respiration la sainte prière: «Seigneur Jésus-Christ, aie pitié de moi pêcheur!» ce sera la Personne même de Notre Seigneur qui habitera nos pensées, qui inspirera notre conduite, qui purifiera nos passions et qui, trouvant peu à peu une demeure stable dans notre coeur, fera alors resplendir en nous la Lumière divine de Sa Face. La commémoration de la Circoncision, le huitième jour après la Nativité, est donc aussi la fête du Saint Nom de Jésus et de la prière qui nous procure la Grâce de Son Esprit Saint.

1. Bien que la Circoncision soit une fête du Seigneur, l'ordonnance liturgique de ce jour donne la priorité à la célébration de Saint Basile.
2. D'après l'interprétation des Saints Pères, le dimanche chrétien est à la fois le huitième et le premier jour de la semaine: huitième comme dépassement du temps et premier comme introduction dans l'éternité qui ne connaît ni l'alternance du jour et de la nuit ni la succession des jours. Ces deux symbolismes sont largement développés dans l'Office du Dimanche du Renouveau (ou de Thomas), une semaine après Pâques, ce qui explique pourquoi le cycle des hymnes de la Résurrection se développe selon les huit tons de la musique byzantine (Octoèque).

Dai «Discorsi» di san Leone Magno, papa

(Disc. 6 per il Natale 2-3, 5, in PL 54, 213-216)

L'infanzia, che il Figlio di Dio non ha ritenuto indegna della sua maestà, si sviluppò con il crescere dell'età nella piena maturità dell'uomo. Certo, compiutosi il trionfo della passione e della risurrezione, appartiene al passato tutto l'abbassamento da lui accettato per noi: tuttavia la festa d'oggi rinnova per noi i sacri inizi di Gesù, nato dalla Vergine Maria. E mentre celebriamo in adorazione la nascita del nostro Salvatore, ci troviamo a celebrare il nostro inizio: la nascita di Cristo segna l'inizio del popolo cristiano; il natale del Capo è il natale del Corpo.
Sebbene tutti i figli della Chiesa ricevano la chiamata ciascuno nel suo momento e siano distribuiti nel corso del tempo, pure tutti insieme, nati dal fonte battesimale, sono generati con Cristo in questa natività, così come con Cristo sono stati crocifissi nella passione, risuscitati nella risurrezione, collocati alla destra del Padre nell'ascensione.
Ogni credente, che in qualsiasi parte del mondo viene rigenerato in Cristo, rompe i legami con la colpa d'origine e diventa uomo nuovo con una seconda nascita. Ormai non appartiene più alla discendenza del padre secondo la carne, ma alla generazione del Salvatore che si è fatto figlio dell'uomo perché noi potessimo divenire figli di Dio. Se egli non scendesse a noi in questo abbassamento della nascita, nessuno con i propri meriti potrebbe salire a lui.
La grandezza stessa del dono ricevuto esige da noi una stima degna del suo splendore. Il beato Apostolo ce l'insegna: «Non abbiamo ricevuto lo spirito del mondo, ma lo Spirito che viene da Dio per conoscere tutto ciò che Dio ci ha donato» (Cor 2, 12). La sola maniera di onorarlo degnamente è di offrirgli il dono stesso ricevuto da lui.
Ora, per onorare la presente festa, che cosa possiamo trovare di più confacente, fra tutti i doni di Dio, se non la pace, quella pace che fu annunziata la prima volta dal canto degli angeli alla nascita del Signore? La pace genera i figli di Dio, nutre l'amore, crea l'unione; essa è riposo dei beati, dimora dell'eternità. Suo proprio compito e suo beneficio particolare è di unire a Dio coloro che separa dal mondo del male.
Quelli dunque che «non da sangue né da volere di carne né da volere d'uomo, ma da Dio sono nati» (Gv 1, 13), offrano al Padre i loro cuori di figli uniti nella pace. Tutti i membri della famiglia adottiva di Dio si incontrino in Cristo, primogenito della nuova creazione, il quale venne a compiere non la sua volontà, ma quella di chi l'aveva inviato.
Il Padre infatti nella sua bontà gratuita adottò come suoi eredi non quelli che si sentivano divisi da discordie e incompatibilità vicendevoli, bensì quelli che sinceramente vivevano ed amavano la loro mutua fraterna unione. Infatti quanti sono stati plasmati secondo un unico modello, devono possedere una comune omogeneità di spirito. Il Natale del Signore è il natale della pace. Lo dice l'Apostolo: «Egli è la nostra pace, egli che di due popoli ne ha fatto uno solo» (Ef 2, 14), perché, sia giudei sia pagani, «per mezzo di lui possiamo presentarci al Padre in un solo Spirito» (Ef 2, 18).


Plusieurs MARTYRS immolés à Syracuse en Sicile sous Néron (67). 

Saint CONCORDE (CONCORDIUS), prêtre, martyr à Spolète en Ombrie (vers 175). 

Saint ELVAN, évêque de Londres (vers 198).

Saint MEDUIN, missionnaire en Grande-Bretagne (vers 198).

Saints CAÏUS, JACTUS et HERACLUS, martyrs à Bologne en Emilie-Romagne.

Saints VICTOR, FELIX, NARCISSE, ARGYRE et leurs compagnons, martyrs en Afrique.
Saints PRIMIEN, SATURNIEN, VICTOR, HONORE, SATURNIEN, LEUCIUS et HERMES, martyrs à Pavie en Lombardie.
Saint martyr THEODOTE.
TRENTE soldats martyrs à Rome sous Dioclétien (vers 303). Saint SEVERE, martyr à Ravenne (304).
Saints EVANT et HERMES, martyrs en Rhétie (actuel canton suisse des Grisons).
Saint GREGOIRE, évêque de Nazianze, père de saint Grégoire le Théologien (374).


Saint BASILE le Grand, archevêque de Césarée de Cappadoce (379). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées. Acathiste traduit en français par le même au tome I du Supplément aux Ménées.) Questi nacque a Cesarea di Cappadocia, attuale Kaysery in Turchia, verso il 330 da un ricco rètore e avvocato. La sua famiglia era intrisa di santità: suo nonno morì martire nella persecuzione di Diocleziano e sua nonna, Santa Macrina, fu discepola di San Gregorio Taumaturgo nel Ponto. Santi furono i suoi genitori Basilio ed Emmelia, che ebbere oltre a Basilio altri cinque figli tra cui San Gregorio, poi vescovo di Nissa, e San Pietro, vescovo di Sebaste, e cinque figlie. La primogenita, Santa Macrina, omonima della nonna, visse nella sua proprietà di Annesi che aveva trasformata in monastero.
Il padre di Basilio, che pare si fosse trasferito a Neocesarea, fu primo maestro del figlio, che continuò poi i suoi studi a Cesarea, a Costantinopoli ed infine ad Atene, capitale culturale del mondo ellenico e pagano, dove legò un’intima amicizia con il suo conterraneo San Gregorio Nazianzeno. Ritornato in patria verso il 356, insegnò retorica e coltivò sogni di gloria, ma infine cedette alle esortazioni della sorella e si diede alla vita ascetica. Secondo gli usi del tempo ricevette finalmente il battesimo ed intraprese la visita dei grandi asceti dell’Egitto, della Palestina e della Mesopotamia, al fine di farsi un’idea circa il loro stile di vita. Quando fece ritorno in patria non esitò a distribuire parte dei suoi beni ai poveri ed a ritirarsi in solitudine sulle rive dell’Iris, di fronte ad Annosi, presso Neocesarea. Ai suoi seguaci, presenti con lui nel cenobio, diede una solida formazione morale e ascetica, prima con le Grandi Regole e poi con le Piccole Regole, concernenti i doveri e le virtù dei monaci, che gli valsero l’appellativo di “legislatore del monachesimo orientale”.
Basilio restò per cinque anni nella solitudine, finché il suo vescovo Eusebio, eletto ancora catecumeno, gli conferì l’ordinazione sacerdotale perché potesse coadiuvarlo nel difficile ministero. Preferì tuttavia ritornare ben presto alla vita solitaria, non appena si accorse di avere suscitato con il suo prestigio la gelosia del poco istruito pastore. Quando sotto l’imperatore ariano Valente l’ortodossia si vide minacciata, l’intercessione di San Gregorio Nazianzeno ottenne il ritorno dell’amico a Cesarea, che poté così lavorare proficuamente per il mantenimento della fede, il regolamento della liturgia ed il rimedio ai danni cagionati da una spaventosa carestia. Nel 370 successe ad Eusebio, divenuto ormai celebre per la sua “Storia ecclesiastica” in dieci volumi, nella sede metropolitana di Cesarea, che contava una cinquantina di diocesi suffraganee suddivise in undici province. Malgrado la breve durata del suo episcopato, l’azione pastorale di San Basilio fu così molteplice e feconda da meritargli dai contemporanei il titolo di “Magno A quel tempo infuriava la lotta a favore dell’eresiarca Ario. Valente tornò a Cesarea nel 371 e tentò ripetutamente di indurre Basilio a concessioni, ma non osò ricorrere alla violenza contro di lui. Per diminuirne però l’influenza, divise in due parti la Cappadocia. Per difendere i diritti della sua sede Basilio creò allora alcune diocesi e consacrò l’amico Gregorio a vescovo di Sàsima, borgo importante per le comunicazioni, ma costui assai riluttante anziché prenderne possesso preferì fuggire nella solitudine.
Basilio si rivelò abile amministratore del suo territorio: con mano ferma seppe correggere abusi e bizzarrie, trasformare preti e monaci in modelli di santità, difendere le immunità ecclesiastiche di fronte al potere civile e proteggere i poveri e gli indifesi. Manifestò particolarmente il suo zelo ed il suo genio nell’organizzazione delle attività caritatevoli. In ogni circoscrizione amministrata da un corepiscopo, previde l’istituzione di un ospizio. A Cesarea costruì addirittura una cittadella della carità, quasi un “Cottolengo” d’altri tempi, con funzioni di locanda, ospizio, ospedale e lebbrosario, soprannominata dal popolo “Basiliadc”. Nonostante questa fondazione godesse di diffidenza da parte del potere civile, il santo vescovo acquistò un tale ascendente che, lasciando da parte i loro dissensi religiosi, Valente lo incaricò di ristabilire in Armenia la concordia tra i vescovi e provvedere alle sedi vacanti.
Parecchi vescovi suffraganei, tuttavia, invidiosi della sua elevazione, si sottrassero al suo influsso ed insinuarono persino dubbi sulla sua ortodossia. Basilio scrisse allora il trattato sullo Spirito Santo, per dimostrare contro gli ariani che ad egli è dovuto lo stesso onore che al Padre e al Figlio. A più riprese dal 371 al 376 intrattenne una fitta corrispondenza con il papa San Damaso e con altri vescovi occidentali per implorare il loro intervento, desolato per la diffusione dell’eresia e per la competizione di Melezio e di Paolino riguardo alla sede patriarcale di Antiochia. A Roma però si sosteneva Paolino, mentre i più illustri vescovi orientali erano partigiani dichiarati di Melezio e Basilio se ne lamentò fortemente.
L’ora della distensione, tanto sospirata dal santo, arrivò con la morte di Valente, caduto nel 378 in lotta contro i Goti. Il suo successore, San Teodosio I il Grande, ristabilì la libertà religiosa e pose sulla sede di Costantinopoli San Gregorio Nazianzeno, su proposta della Chiesa latina e con l’appoggio di San Basilio. Fu questo l’ultimo atto ufficiale del grande uomo di azione e di pensiero poiché, sfinito dalle preoccupazioni, dalle austerità e dalle malattie, morì il 1° gennaio 379. I suoi funerali, officiati a Cesarea di Cappadocia, furono un vero trionfo. San Gregorio Nazianzeno dipinge l’amico dal volto sempre pallido, dall’espressione pensosa, resa ancor più tale dalla barba di monaco e filosofo. Di grandissimo interesse è l’Epistolario di Basilio che consta di ben 365 lettere, preziose per un’approfondita conoscenza della sua dottrina, della sua vita e della storia della Chiesa di quel tempo. Dal punto di vista teologico fu suo grande merito aver definitivamente formulato il dogma trinitario con la celebre espressione: “Una sola essenza in tre ipostasi”. Dal punto di vista letterario Basilio è indubbiamente il più classico tra i Padri greci, benché le sue opere siano state composta anzitutto per soddisfare necessità pratiche immediate. Anche dai suoi discorsi emerge costantemente la figura del pastore attento ai bisogni delle anime e presenta nella forma più adatta al grande pubblico la dottrina e la morale cristiana, avvalendosi della sua vasta cultura e dell’' accurata formazione retorica.


 
Saint ALMAQUE ou TELEMAQUE, moine, martyr à Rome par la main de païens à qui il reprochait leurs pratiques superstitieuses
Saint MONCAIN, abbé en Irlande (VIème siècle).

Saint MARTIN, higoumène de Lérins en Provence (VIème siècle).

Saint MAELRHYS, vénéré sur l'île de Bardsey au pays de Galles (VIème siècle).

Saint OYEND (EUGENDUS), higoumène à Condat, aujourd'hui la ville de Saint-Claude dans le département français du Jura (510)
Saint BASILE, évêque d'Aix-en-Provence (521
 
Saint FULGENCE, évêque de Ruspe en Tunisie (532). (Office composé en français par le père Denis Guillaume dans le tome XIII du Supplément aux Ménées.) nato da una casata illustre (il nonno era senatore), da giovane se la cava bene come amministratore di beni familiari e poi pubblici. Sua madre è cristiana, ma di lui non si sa: forse cristiano, forse pagano. Nemmeno è del tutto chiarito il suo mutamento radicale: a un tratto lo troviamo monaco. E di quelli buoni, per dottrina e impegno. Tutto è cominciato, dicono i biografi, con la lettura di commenti biblici scritti da un altro cristiano d’Africa: Agostino di Ippona, morto nel 430.
Al tempo di Fulgenzio tutta l’Africa romana è regno dei Vandali, con capitale Cartagine. Ariani i dominatori, cattolici i sudditi: la convivenza è difficile; sotto il regno di Trasamundo (496-523) non manca la persecuzione. Fulgenzio raggiunge via mare Siracusa, per proseguire verso l’Egitto. Vuole farsi eremita lì, come tanti. Ma le notizie di conflitti nella Chiesa egiziana gli fanno cambiare idea. E nell’anno 500 lo troviamo a Roma. Una città suddita, ma che vuole mostrarsi splendida al suo nuovo padrone, Teodorico il Goto. Fulgenzio è sbalordito da quello che vede: dovunque restauri e abbellimenti, costruzioni vere e finte, feste e appalti; un’appetitosa “Roma 500”, per usare il linguaggio del XX secolo.
Tornato in Africa, viene consacrato sacerdote. Re Trasamundo, che vuole l’estinzione morbida della Chiesa, proibisce di dare successori ai vescovi morti. Ma i cristiani eleggono in segreto i vescovi, e uno di essi è Fulgenzio, fatto capo della Chiesa di Ruspe (sempre in Tunisia). Trasamundo manda tutti gli eletti a soggkorno obbligato in Sardegna, che fa parte dei suoi domini. E qui, almeno, i cattolici sono lasciati in pace. Così, in un monastero di Cagliari, Fulgenzio diventa maestro di vescovi, di preti, di monaci, e consigliere e pacificatore tra i cittadini.
Diventa, nella sua umiltà, un capo, una figura che nemmeno re Trasamundo può ignorare. Difatti lo richiama a Cartagine, lascia che predichi, e anzi gli chiede pareri, lo interpella su questioni di fede. Insomma, lo stima molto. Anche se, per placare i suoi ariani duri e puri, deve rimandarlo a Cagliari. Solo alla morte del re sarà possibile a Fulgenzio tornare in patria, per fare sempre lo stesso lavoro: formare vescovi, preti e fedeli, con una sua pedagogia efficacissima che parte dall’esempio.
Preghiera, lettura e scrittura riempiono le sue giornate. Nelle sue opere espone con nitida precisione la dottrina trinitaria e cristologica, tratta i problemi della grazia e della predestinazione, polemizza con gli ariani. Muore a Ruspe,

Saint AGRIPPIN, évêque d'Autun en Bourgogne, qui
conféra la prêtrise à saint Germain de Paris (541).

Saint JUSTIN, évêque de Chiéti dans les Abruzzes (543). resse la diocesi di Chieti durante il travagliato periodo delle invasioni barbariche e della diffusione dell’eresia ariana, cioè intorno alla fine del IV secolo.


Saint FELIX, vingt-troisième évêque de Bourges en Berry (après 573).

Sainte FAINE (FANCHEA, GARBH), vierge en Irlande (vers 585?).

Sainte COMNATAN, abbesse de Kildare en Irlande (vers 590).

Saint MOCHUA, moine à Balla dans le Connaught (637).

Saint CLAIR, higoumène de Saint-Marcel à Vienne en Dauphiné (vers 660).  A Vienne in Burgundia, nell’odierna Francia, san Chiaro, abate del monastero di San Marcello, che lasciò ai suoi monaci un esempio di perfetta vita religiosa.
 


Saint STABLE, trente-huitième évêque de Clermont en Auvergne (IXème siècle).

Saint THEODOSE, higoumène de Triglia en Bithynie.

Saint JARNETIN, hiéromoine à Redon en Bretagne (vers 888).

Saint néomartyr PIERRE du Péloponnèse, pendu par les Musulmans à Témissis, en Asie mineure, après avoir refusé de baiser le Coran (1776). 
Saint PLATON, évêque de Tallin (Reval) en Estonie, et les prêtres MICHEL et NICOLAS avec lui, martyrs par la main des Communistes (1919).

Saint ALEXANDRE, archevêque de Samara, et avec lui les prêtres JEAN, ALEXANDRE, JEAN, ALEXANDRE, TROPHYME, VIATCHESLAV, BASILE et JACQUES, martyrs par la main des Communistes (1938).
 
 
 
 

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