Vénération de la
précieuse CHAÎNE du saint et glorieux Apôtre PIERRE (vers 43). (Office
traduit en français par le père Denis Guillaume au tome I des Ménées.)
Vers l'an 43, le
roi des Juifs, Hérode Agrippa, voyant les progrès de la prédication des
Apôtres, fut pris de folie sanguinaire contre les Chrétiens et fit périr
par le glaive Saint Jacques, le frère de Jean (mémoire le 30 avril).
Voyant que cela était agréable aux Juifs, il fit aussi arrêter Saint
Pierre, le chef des Apôtres, et le fit jeter en prison, jusqu'au moment
de l'offrir en oblation pour le plaisir du peuple, après la Pâque. De
peur de le voir s'enfuir, on avait chargé l'Apôtre de deux lourdes
chaînes de fer attachées aux deux soldats qui montaient la garde à ses
côtés, et on avait posté des sentinelles à toutes les issues de la
prison. Mais, la nuit même, grâce aux prières de l'Eglise, Dieu envoya
auprès de lui un Ange resplendissant qui remplit le cachot de lumière en
apparaissant. Il secoua l'Apôtre endormi pour le faire lever, et
aussitôt les chaînes
tombèrent de ses mains. Sans trop comprendre ce qui se passait et se
croyant encore endormi, Pierre mit sa ceinture, chaussa ses sandales et,
guidé par l'Ange, il franchit sans encombre tous les postes de garde.
Quand ils parvinrent enfin en pleine ville, l'Ange, ayant accompli sa
mission, quitta Pierre qui, sortant de sa torpeur, rendit grâces à Dieu.
Il courut alors vers la maison de Marie, mère de Jean, surnommé Marc, où
les Chrétiens assemblés le reçurent avec grande joie (Actes des Apôtres
12:1-19).
aaaCes chaînes tombées des mains du Saint Apôtre furent ensuite recueillies par de pieux Chrétiens et transmises de génération en génération, jusqu'à ce qu'elles fussent transférées par l'empereur byzantin à Constantinople et déposées dans l'Eglise de Saint-Pierre, près de Sainte-Sophie, où elles accomplirent pendant des siècles quantité de miracles et de guérisons1.
aaaIl n'y a rien d'étonnant à ce que non seulement les ossements des Saints opèrent des Miracles, mais aussi leurs vêtements ou les objets qu'ils ont touchés. L'Ecriture Sainte rapporte que la Grâce de Dieu accomplissait de tels miracles par l'entremise de l'Apôtre Saint Paul, qu'il suffisait aux habitants d'Ephèse d'appliquer sur les malades des mouchoirs ou des linges qui avaient touché son corps, pour que la maladie les quitte et que les esprits mauvais soient mis en déroute (Actes 19:11-12). La Grâce incréée de Dieu, qui remplit l'âme purifiée des Saints, déborde, en effet, sur leur corps, du corps sur leurs vêtements et de leurs vêtements même sur leur ombre, pour accomplir des Miracles. C'est ainsi que les Actes des Apôtres rapportent encore, à propos de Saint Pierre, qu'une multitude d'hommes et de femmes allait jusqu'à transporter les malades dans les rues et les déposait à terre, de sorte que l'ombre du Saint les couvrait à son passage et leur procurait ainsi la guérison, ou tout au moins la force de demeurer dans l'espérance (Actes 5:15). C'est ainsi que l'Eglise Orthodoxe a hérité la pieuse coutume de ne pas vénérer seulement le corps des Saints devenus porteurs de la Grâce, mais aussi leurs vêtements, leurs objets familiers ou les instruments par lesquels ils ont souffert pour le Seigneur.
1. On vénère à Rome, de temps immémorial, une autre chaîne de Saint Pierre (Fête de la dédicace de la Basilique de Saint-Pierre-aux-Liens, célébrée le ler août dans la tradition occidentale). Mais il semble qu'il s'agisse des chaînes dont fut lié le saint à Rome même, dans l'attente de son Martyre. Une légende médiévale rapporte que les chaînes de la prison de Jérusalem furent d'abord envoyées à Rome, puis une partie en fut donnée à Constantinople.
aaaCes chaînes tombées des mains du Saint Apôtre furent ensuite recueillies par de pieux Chrétiens et transmises de génération en génération, jusqu'à ce qu'elles fussent transférées par l'empereur byzantin à Constantinople et déposées dans l'Eglise de Saint-Pierre, près de Sainte-Sophie, où elles accomplirent pendant des siècles quantité de miracles et de guérisons1.
aaaIl n'y a rien d'étonnant à ce que non seulement les ossements des Saints opèrent des Miracles, mais aussi leurs vêtements ou les objets qu'ils ont touchés. L'Ecriture Sainte rapporte que la Grâce de Dieu accomplissait de tels miracles par l'entremise de l'Apôtre Saint Paul, qu'il suffisait aux habitants d'Ephèse d'appliquer sur les malades des mouchoirs ou des linges qui avaient touché son corps, pour que la maladie les quitte et que les esprits mauvais soient mis en déroute (Actes 19:11-12). La Grâce incréée de Dieu, qui remplit l'âme purifiée des Saints, déborde, en effet, sur leur corps, du corps sur leurs vêtements et de leurs vêtements même sur leur ombre, pour accomplir des Miracles. C'est ainsi que les Actes des Apôtres rapportent encore, à propos de Saint Pierre, qu'une multitude d'hommes et de femmes allait jusqu'à transporter les malades dans les rues et les déposait à terre, de sorte que l'ombre du Saint les couvrait à son passage et leur procurait ainsi la guérison, ou tout au moins la force de demeurer dans l'espérance (Actes 5:15). C'est ainsi que l'Eglise Orthodoxe a hérité la pieuse coutume de ne pas vénérer seulement le corps des Saints devenus porteurs de la Grâce, mais aussi leurs vêtements, leurs objets familiers ou les instruments par lesquels ils ont souffert pour le Seigneur.
1. On vénère à Rome, de temps immémorial, une autre chaîne de Saint Pierre (Fête de la dédicace de la Basilique de Saint-Pierre-aux-Liens, célébrée le ler août dans la tradition occidentale). Mais il semble qu'il s'agisse des chaînes dont fut lié le saint à Rome même, dans l'attente de son Martyre. Une légende médiévale rapporte que les chaînes de la prison de Jérusalem furent d'abord envoyées à Rome, puis une partie en fut donnée à Constantinople.
L'Apôtre Pierre et la conscience Orthodoxe
http://stmaterne.blogspot.it/2007/01/chanes-de-saint-pierre-laptre-pierre.html
Sainte PRISICLLE, qui mit sa personne et ses biens au service des martyrs (Rome, Ier siècle).
santa Priscilla che sarebbe stata moglie
di Manlio Acilio Glabrione e madre del senatore Pudente, e che avrebbe
ospitato san Pietro nella propria villa a Roma situata nei pressi del
cimitero di Priscilla sulla via Salaria
http://www.santiebeati.it/dettaglio/38150
Saints MARIN, prêtre, et ETIENNE, diacre, martyrs à Brescia sous Adrien (entre 117 et 138).
Saints martyrs et frères selon la chair SPEUSIPPE, ELEUSIPPE, MELEUSIPPE, et leur grand-mère NEONILLE, Cappadociens, martyrs sous Marc-Aurèle ou sous Aurélien (soit entre 161 et 180, soit entre 270 et 275).
Saints SATURNIN, FAUSTIN, NAFFANIEN et SEPT autres, martyrs en Afrique.
Saints MARIN, prêtre, et ETIENNE, diacre, martyrs à Brescia sous Adrien (entre 117 et 138).
Saints martyrs et frères selon la chair SPEUSIPPE, ELEUSIPPE, MELEUSIPPE, et leur grand-mère NEONILLE, Cappadociens, martyrs sous Marc-Aurèle ou sous Aurélien (soit entre 161 et 180, soit entre 270 et 275).
Saints SATURNIN, FAUSTIN, NAFFANIEN et SEPT autres, martyrs en Afrique.
Saints ANAN et MARIUS, martyrs à Rome sur la Via Appia.
NEUF SOLDATS martyrs à Rome sur la Via Corneliana.
Saint HONORIUS et TREIZE autres, martyrs à Rome.
Saint DANACTE ou DANAX, lecteur de l'Eglise d'Aulone en Illyrie, martyr. Vissuto nel IX secolo, originario di Valona (Albania) , S.Dana approdò nel Capo di Leuca insieme con alcuni suoi connazionali. Prestò servizio, come diacono, nel Santuario di S. Maria di Leuca. in seguito a una incursione di Mori, nell'approssimarsi delle navi saracene, il giovane diacono prese con sé la pisside con l' Eucaristia e fuggì verso Montesardo, luogo sicuro e difeso. Ma lungo il percorso a 5 miglia da Leuca, in località "La Mora" fu raggiunto e ucciso in odio alla fede cristiana. Ebbe il tempo di consumare le Sacre Particole per non esporle alla profanazione. Sul Luogo del martirio sorge una stele marmorea, che dista circa 200 metri dal paesino che porta il suo nome.
Saint FIRMIN, évêque de Mende en Gévaudan (vers 300).
Saint MARCEL Ier, pape et patriarche de Rome, martyr sous Maxence (310). di lui si sottolinea il comportamento nel dopo-persecuzione, verso i cosiddetti lapsi , come si chiamavano i cristiani che per paura avevano rinnegato la fede. Altrove (in Africa, per esempio) molti vogliono escluderli per sempre dalla Chiesa. Marcello non è così severo: li accoglierà, sì, ma soltanto dopo un periodo di penitenza. A questo proposito si cita elogio di Marcello dettato da papa Damaso I (366-384): "Manifestò ai lapsi obbligo di espiare il loro delitto con lacrime di penitenza: da quei miserabili fu considerato come un terribile nemico... Per il delitto di uno, che anche durante la pace rinnegò Cristo, Marcello è stato deportato, vittima della crudeltà di un tiranno".
Il Martirologio Romano, infatti, dice che fu perseguitato e costretto a fare lo stalliere nelle scuderie della posta imperiale, dove secondo una tradizione fu ucciso squartato tra due cavalli in corsa
Saint JACQUES, Syrien de nation, moine de Lérins, apôtre de la Savoie, premier évêque de la Tarentaise (429).
Giacomo, di origini siriane, prestava
servizio nell armata del re di Persia e si convertì grazie all esempio
dei numerosi cristiani che morivano vittime di persecuzioni. Non appena
ricevuto il battesimo, incontrò il celebre Sant Onorato, fondatore del
monastero di Lérins e venerato egli oggi, e suo fratello San Venanzio.
Quando quest ultimo morì presso Méthone, Onorato fece ritorno in Gallia
portando con sè Giacomo, che divenne monaco a Lérins.
Quando Onorato divenne vescovo di Arles, si preoccupò non solo di evangelizzare la Provenza, ma anche alcune zone circostanti, tra le quali la Tarentaise (nome italianizzato in Tarantasia), subregione della Savoia: dopo avergli conferito gli ordini maggiori, inviò dunque Giacomo quale primo missionario nel 420 circa. Giunto nella grande vallata, fu ben accolto dalla popolazione locale ed intraprese la costruzione di una chiesa dedicata a Santo Stefano. Tre anni dopo, però, la Tarantasia fu invasa dai burgundi e San Giacomo ed i suoi compagni furono costretti a tornare sui loro passi. Sant Onorato gli conferì la consacrazione episcopale e nel 426 circa il novello vescovo, tornato nella sua terra di missione, stabilì la sua sede presso Moûtiers, cittadina capoluogo. Durante il suo episcopato, San Giacomo si rivelò anche potente taumaturgo ed eccessivo sarebbe dilungarsi sui numerosi prodigi che le leggende gli attribuirono. Dopo soli tre anni lasciò il governo della diocesi, designando un certo San Marcello quale suo successore. Quest ultimo a dir la verità non è però incluso negli Acta sanctorum . San Giacomo aveva ormai avvertito l ormai prossima fine della sua vita terrena e preferì far ritorno ad Arles dal suo maestro Sant onorato. Morirono entrambi il 16 gennaio 429
Quando Onorato divenne vescovo di Arles, si preoccupò non solo di evangelizzare la Provenza, ma anche alcune zone circostanti, tra le quali la Tarentaise (nome italianizzato in Tarantasia), subregione della Savoia: dopo avergli conferito gli ordini maggiori, inviò dunque Giacomo quale primo missionario nel 420 circa. Giunto nella grande vallata, fu ben accolto dalla popolazione locale ed intraprese la costruzione di una chiesa dedicata a Santo Stefano. Tre anni dopo, però, la Tarantasia fu invasa dai burgundi e San Giacomo ed i suoi compagni furono costretti a tornare sui loro passi. Sant Onorato gli conferì la consacrazione episcopale e nel 426 circa il novello vescovo, tornato nella sua terra di missione, stabilì la sua sede presso Moûtiers, cittadina capoluogo. Durante il suo episcopato, San Giacomo si rivelò anche potente taumaturgo ed eccessivo sarebbe dilungarsi sui numerosi prodigi che le leggende gli attribuirono. Dopo soli tre anni lasciò il governo della diocesi, designando un certo San Marcello quale suo successore. Quest ultimo a dir la verità non è però incluso negli Acta sanctorum . San Giacomo aveva ormai avvertito l ormai prossima fine della sua vita terrena e preferì far ritorno ad Arles dal suo maestro Sant onorato. Morirono entrambi il 16 gennaio 429
Saint HONORAT, archevêque d'Arles, fondateur du monastère de Lérins au large des côtes de Provence (429 ou 430). (Office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome I du Supplément aux Ménées.) Le origini di San Onorato affondano in una famiglia consolare romana, poi stabilitasi nelle Gallie. Ricevuta una solida educazione pagana, si convertì comunque al cristianesimo con suo fratello maggiore Venanzio. I due subirono influenza di San Caprasio, eremita presso isola di Lérins, al largo della Costa Azzurra, dirimpetto all odierna Cannes, e tentarono di emulare il suo stile di vita, ma furono ostacolati dal padre con ogni mezzo. Ai santi fratelli non rimase allora che abbandonare la terra natia e, preso con sé Caprasio, salparono per la Grecia alla ricerca di un deserto adatto lalla vita ascetica. L ardua impresa si rivelò disastrosa: Venanziò morì ben presto e gli altri due, ammalatisi, furono costretti a tornare sui loro passi. Giunti finalmente in Gallia, si ritirarono a vita eremitica tra le colline sopra Fréjus, nell entroterra provenzale. Grazie ad alcuni discepoli di San Martino di Tours, Onorato venne a conoscenza della Regola di San Pacomio, fondatore in Oriente del monachesimo cenobitico.
Verso anno 405 tornò allora sulla costa, sempre in compagnia di Caprasio, scelse l isola più distante dalla terraferma tra quelle del arcipelago di Lérins, e vi fondò una comunità che nel giro di soli vent anni si sviluppò sino a divenire il grande e celebre monastero di Lérins. L isola assunse poi in suo onore il nome di Saint-Honorat. La nuova comunità si basò fortemente sulla regola pacomiana: alcuni monaci preferirono la vita comunitaria, mentre altri optarono per divenire anacoreti, vivendo in celle disposte attorno agli edifici principali. Ebbe così inizio la seconda e più importante fase del monachesimo in terra gallica. Presto Onorato ricevette l ordinazione presbiterale e rimase quale padre spirituale presso il monastero da lui fondato, sino a quando nel 426 ricevette la nomina a vescovo di Arles.
Nella sua nuova sede decise di portare con sé alcuni discepoli tra i quali Ilario, suo parente e monaco a Lérins, venerato come santo al 5 maggio. Onorato morì dopo soli tre anni di episcopato il 16 gennaio 429, stremato dalla fatica del ministero pastorale. Con lui in quel giorno spirò anche un suo discepolo, San Giacomo, che lui aveva inviato quale apostolo della Tarantasia, grande vallata della Savoia. Entrambi sono infatti commemorati ancora oggi in tale anniversario
Saint MARCEL, deuxième évêque de Tarentaise (vers 450).
Sainte LIBERATE, vierge à Pavie, soeur de l'évêque saint Epiphane de Pavie et de trois autres saintes (VIème siècle).
Saint ROMARE, confesseur à Saint-Savin en Poitou.
Sainte MEROFLETE, vierge.
Saint TRIVIER, moine dans la Dombes, aujourd'hui dans le département de l'Ain (vers 550). San Troverio nacque in Nesturia da una famiglia romana che aveva abitato nel paese di Cahors. Sin dalla giovane età manifestò il suo gusto per la vita contemplativa e cercò asilo in un monasterò presso Thérouanne. All età di quarant ¢anni ricevette l ordinazione presbiterale. Furono affidati alle sue cure due prigionieri di guerra , che il re d Austrasia aveva abbandonato all abate del monastero : dopo ben tre anni insieme, Troverio poté riaccompagnarli al loro paese, le Dombes, ove loro vollero ricompensarlo cedendogli tutti i loro possedimenti. Il santo però non accettò che un mile capanna sita in un giardino, per poter intraprendere la vita eremitica. La sua nuova vita fu scandita dalla preghiera, dal canto degli inni e dei salmi, i giovani, gli anziani e le macerazioni.
Troverio morì il 16 gennaio di un anno imprecisato, verso il 550. Secondo l uso comune del tempo, il suo corpo fu sepolto nel luogo stesso che lui aveva utilizzato quale oratorio. Settanta anni dopo, visti i numerosi miracoli verificatisi sulla sua tomba, il corpo fu allora esumato e trovato incorrotto. Il vescovo secondino di Lione lo fece dunque trasportare nella sua diocesi, a Neuville-les-Dames, dove fu erettauna chiesa in suo onore, che divenne meta di incessanti pellegrinaggi
Saint HONORAT, abbé de Fondi (Italie, VIème siècle).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/95166
Saint VALERE, évêque de Sorrente (Italie, VIIème siècle).
Saint
FURSY, Irlandais de nation, higoumène du monastère de Lagny près de Paris, patron de la ville de Péronne en Picardie (650).
San Fursa nacque con ogni probabilità sulla costa occidentale irlandese, nei pressi di Lough Corrib, nella contea di Galway, o forse sull’isoletta di Inchiquin. Rispetto ai numerosi altri primi santi irlandesi dei quali ben poco è stato tramandato, possediamo invece parecchi elementi della vita di Fursa, il cui nome si presenta talvolta nelle varianti di Fursay, Fursae o Fursu, al quale viene dato un grande risalto nella celebre Storia Ecclesiastica scritta da San Beda il Venerabile entro un secolo dalla sua morte, basandosi perciò in gran parte su racconti di testimoni oculari. Non riuscendo però forse a trovare grandi informazioni sulla prima parte della sua vita, lo storico seguì il classico schema del pellegrinaggio, a cui si avviò abbandonando la sua vita agiata. Il viaggio intrapreso, che lo portò in un primo momento a lasciare la patria per ricevere una migliore formazione, lo ricondusse poi in patria, ove fondò un monastero a Rathmat, nome fittizio forse inventato da una leggenda successiva.
Trascorso un periodo come predicatore itinerante, con i confratelli San Foillan (31 ottobre) e Sant Ultan (2 maggio) si trasferì in Inghilterra e più precisamente nell Anglia orientale. San Beda narrò nelle sue cronache: Vive ancora un fratello molto anziano nel nostro monastero, il quale è solito raccontare che un uomo pio e veritiero gli aveva detto di aver visto Fursa in persona nella terra degli angli orientali e di aver udito quelle visioni proprio dalla sua bocca. Le visioni riguardavano la lotta tra bene e male ed includevano una delle prime testimonianze raccolte su visioni della vita del aldilà, in cui Fursa vide il paradiso e l inferno, angeli e demoni, e quattro grandi fuochi pronti a bruciare chi si era macchiato di diversi tipi di peccato, tutti riuniti insieme per mettere alla prova ogni uomo secondo i meriti delle sue opere
Il re del Anglia San Sigeberto II (27 settembre), venerato come martire, lo ricevette cortesemente ed affidò a lui ed ai suoi compagni l antica fortezza di Cnobheresburg perché la trasformassero in un monastero. Il santo sovrano morì poi in battaglia il 27 settembre 637 e negli anni successivi Fursa si recò in Gallia, ove fu ricevuto con tutti gli onori dal re Clodoveo II. Fondò poi un monastero a Lagny-sur-Marne, su un terreno donatogli dal governatore della Nesturia Ercinoaldo. Il santo abate morì tra il 648 ed il 650 presso Mezerolles, nella regione della Somme, durante un viaggio.
In seguito le sue reliquie vennero traslate in Piccardia nel monastero irlandese di Péronne, per poi essere riposte nel 654 in un acrario a forma di cassetta ritenuto opera del fabbro Sant Eligio. Nel 1056 i suoi poveri resti furono nuovamente spostati e gran parte di essi furono preservati sino alla Rivoluzione francese. Il reliquiario contenebte la sua testa sopravvisse addirittura ai bombardamenti della guerra franco-prussiana del 1870.
San Fursa nacque con ogni probabilità sulla costa occidentale irlandese, nei pressi di Lough Corrib, nella contea di Galway, o forse sull’isoletta di Inchiquin. Rispetto ai numerosi altri primi santi irlandesi dei quali ben poco è stato tramandato, possediamo invece parecchi elementi della vita di Fursa, il cui nome si presenta talvolta nelle varianti di Fursay, Fursae o Fursu, al quale viene dato un grande risalto nella celebre Storia Ecclesiastica scritta da San Beda il Venerabile entro un secolo dalla sua morte, basandosi perciò in gran parte su racconti di testimoni oculari. Non riuscendo però forse a trovare grandi informazioni sulla prima parte della sua vita, lo storico seguì il classico schema del pellegrinaggio, a cui si avviò abbandonando la sua vita agiata. Il viaggio intrapreso, che lo portò in un primo momento a lasciare la patria per ricevere una migliore formazione, lo ricondusse poi in patria, ove fondò un monastero a Rathmat, nome fittizio forse inventato da una leggenda successiva.
Trascorso un periodo come predicatore itinerante, con i confratelli San Foillan (31 ottobre) e Sant Ultan (2 maggio) si trasferì in Inghilterra e più precisamente nell Anglia orientale. San Beda narrò nelle sue cronache: Vive ancora un fratello molto anziano nel nostro monastero, il quale è solito raccontare che un uomo pio e veritiero gli aveva detto di aver visto Fursa in persona nella terra degli angli orientali e di aver udito quelle visioni proprio dalla sua bocca. Le visioni riguardavano la lotta tra bene e male ed includevano una delle prime testimonianze raccolte su visioni della vita del aldilà, in cui Fursa vide il paradiso e l inferno, angeli e demoni, e quattro grandi fuochi pronti a bruciare chi si era macchiato di diversi tipi di peccato, tutti riuniti insieme per mettere alla prova ogni uomo secondo i meriti delle sue opere
Il re del Anglia San Sigeberto II (27 settembre), venerato come martire, lo ricevette cortesemente ed affidò a lui ed ai suoi compagni l antica fortezza di Cnobheresburg perché la trasformassero in un monastero. Il santo sovrano morì poi in battaglia il 27 settembre 637 e negli anni successivi Fursa si recò in Gallia, ove fu ricevuto con tutti gli onori dal re Clodoveo II. Fondò poi un monastero a Lagny-sur-Marne, su un terreno donatogli dal governatore della Nesturia Ercinoaldo. Il santo abate morì tra il 648 ed il 650 presso Mezerolles, nella regione della Somme, durante un viaggio.
In seguito le sue reliquie vennero traslate in Piccardia nel monastero irlandese di Péronne, per poi essere riposte nel 654 in un acrario a forma di cassetta ritenuto opera del fabbro Sant Eligio. Nel 1056 i suoi poveri resti furono nuovamente spostati e gran parte di essi furono preservati sino alla Rivoluzione francese. Il reliquiario contenebte la sua testa sopravvisse addirittura ai bombardamenti della guerra franco-prussiana del 1870.
Saint TITIEN, évêque et confesseur à Oderzo près de Trévise (vers 650). È un santo vescovo nato e vissuto nella zona del Veneto comprendente Vittorio Veneto e buona parte della provincia di Treviso.
Tiziano nacque nella seconda metà del sec. VI da una nobile famiglia di Eraclea nel Veneto, antica città che fino al 1950 si chiamava Grisolera.
Ebbe come maestro s. Floriano vescovo di Opitergium, Comune veneto, attuale Oderzo e da lui fu ordinato diacono e sacerdote e poi economo di quella diocesi.
Primeggiò nell amore verso i poveri, che invitava a casa sua e nutriva con i propri mezzi; la sua fama si estese in tutta la regione.
S. Floriano lasciò poi la diocesi per diventare missionario nelle terre inospitali e al suo posto, il clero e il popolo elesse Tiziano vescovo di Oderzo, sebbene questi avesse tentato di far ritornare Floriano in sede.
Resse la diocesi di Oderzo in modo eccellente, ammaestrò con la parola e l esempio, visse molto santamente, divenne famoso per la sua appropriata predicazione, nel fuggire l eresia ariana allora dilagante fra i Longobardi invasori, non accettando lo scisma istriano detto dei Tre Capitoli
(Scisma provocato dal rifiuto dei vescovi di Aquileia e di Milano, di riconoscere l accettazione fatta nel 555 da papa Pelagio I della condanna emanata dal imperatore Giustiniano nel 544, degli scritti detti Tre Capitoli, di Teodoro di Mopsuestia, Teodoreto di Ciro e Iba di Edessa, favorevoli all eresia nestoriana).
Pieno di meriti e santità, Tiziano morì ad Oderzo (Opitergium) il 16 gennaio 632 e fu sepolto nella chiesa cattedrale della sua città dove, dice la tradizione, avvennero molti miracoli.
OGGI,
16
GENNAIO, RICORRE LA MEMORIA DEL NOSTRO PADRE TRA I SANTI TIZIANO,
VESCOVO DI ODERZO ( Opitergium) e patrono della diocesi di Vittorio
Veneto ( prov. TV) , in passato detta Ceneda-Serravalle
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