Saints PROTUS et HYACINTHE, frères selon la chair, eunuques de sainte Eugénie, martyrs à Rome sous Gallien (vers 257).
santi
Proto e Giacinto furono sepolti nel cimitero di Bassilla (poi di San
Ermete). Nel 1845 le loro ossa furono
trovate in un cubicolo che papa Damaso aveva fatto ripulire dalla terra
franata e in cui aveva fatto porre una lapide che ricordava come Proto e
Giacinto fossero fratelli martiri Essi sarebbero stati due fratelli
cristiani eunuchi, schiavi di Eugenia, figlia del nobile romano Filippo,
prefetto di Alessandria d'Egitto. Convertita al cristianesimo, Eugenia
avrebbe ceduto i due giovani alla nobile Bassilla, convertitasi a sua
volta grazie ai loro insegnamenti. Denunciati dal fidanzato di
quest'ultima, sarebbero stati tutti martirizzati.
Saints martyrs DIODORE, DIOMEDE et DIDYME, morts flagellés à Laodicée en Syrie.
Saints INGENU et HIPPOLYTE, martyrs à Porto Romano dans le Latium.
Saints DEMETRE, philosophe, EVANTHIA son épouse et DEMETRIEN leur fils, martyrs à Skepsis sur l'Hellespont.
http://www.johnsanidopoulos.com/2016/09/holy-martyrs-demetrius-his-wife.html
icona copta dei martiri della legione tebana
Saints FELIX, de la Légion thébaine, et REGULA sa soeur selon la chair, Egyptiens de nations, martyrs à Zurich (alors appelée Tigurum) en Alémanie avec leur serviteur saint EXUPERE (303).
Sainte IAS (IA), captive chrétienne, martyre en Perse par la main des Zoroastriens au temps de Chapour II (fin du IVème siècle).
http://www.johnsanidopoulos.com/2016/09/holy-martyr-ia-of-persia.html
Sainte THEODORA d'Alexandrie, qui pratiqua l'ascèse sous des habits masculins et en se faisant passer pour un eunuque (après 474). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX des Ménées.)
Tropaire de sainte Théodora la pénitente d'Alexandrie, ton 8
L'image de Dieu fut vraiment préservée en toi, O mère,
Car tu pris ta croix pour suivre le Christ.
Faisant cela, tu nous enseigne de ne pas nous attacher à la chair qui passe;
Mais de nous soucier surtout de notre âme immortelle.
C'est pourquoi ton esprit, O mère Théodora, se réjouit avec les Anges!
Kondak de sainte
Théodora la pénitente d'Alexandrie, ton 2
Pour gagner un complet pardon de ton péché,
Tu dépensa ta force physique en jeûne et abstinence,
Offrant tes nuits à Dieu en prière continuelle :
Une pénitence et persévérance qui te valurent le pardon.
https://doxologia.ro/sfanta-cuvioasa-teodora-din-alexandria
L'image de Dieu fut vraiment préservée en toi, O mère,
Car tu pris ta croix pour suivre le Christ.
Faisant cela, tu nous enseigne de ne pas nous attacher à la chair qui passe;
Mais de nous soucier surtout de notre âme immortelle.
C'est pourquoi ton esprit, O mère Théodora, se réjouit avec les Anges!
Kondak de sainte
Théodora la pénitente d'Alexandrie, ton 2
Pour gagner un complet pardon de ton péché,
Tu dépensa ta force physique en jeûne et abstinence,
Offrant tes nuits à Dieu en prière continuelle :
Une pénitence et persévérance qui te valurent le pardon.
https://doxologia.ro/sfanta-cuvioasa-teodora-din-alexandria
Le Seigneur
a dit que le Royaume de Cieux est semblable à
dix vierges. Et cela est bien vrai des dix saintes femmes célébrées par
l'Eglise, qui revêtirent des habits masculins et pratiquèrent l'ascèse
dans des monastères d'hommes. L'une d'elles est Sainte Théodora, qui
vécut à Alexandrie sous le règne de l'empereur Zénon (vers 472). Elle
était mariée à un homme pieux et de bonne renommée, nommé Pahnuce. Mais
un jour, sous l'instigation du diable, Théodora commit l'adultère. A
peine venait-elle de pécher que l'aiguillon de sa conscience la fit
cruellement souffrir. Elle n'osa pas rentrer chez elle. Abandonnant tout
et brûlant de faire pénitence au plus vite, elle changea ses vêtements,
s'habilla en homme et demanda à être reçue comme novice dans un
monastère masculin des environs, sous le nom de Théodore. L'Higoumène du
monastère, pensant qu'il s'agissait d'un eunuque et voyant son ardeur à
embrasser la voie du repentir, l'accepta sans tarder et la revêtit du
saint habit
angélique.
Pendant
deux ans, la bienheureuse Théodora montra un zèle exemplaire pour
toutes les oeuvres de l'ascèse, accomplissant les tâches les plus viles
et passant toutes ses nuits dans les larmes et les prières ardentes,
afin que le Seigneur lui pardonne son péché et lui fasse retrouver la
grâce de la chasteté. Sa conduite était si exemplaire, qu'elle faisait
l'admiration de tous et faisait trembler de rage le démon, qui voyait
ainsi s'échapper sa proie. Cet insatiable ennemi du bien ne s'avoua
pourtant pas vaincu et suggéra à certains moines jaloux de répandre la
rumeur selon laquelle le jeune Théodore serait tombé dans la fornication
avec une femme d'un village voisin. Ils apportèrent même le nourrisson à
la porte du monastère. Comme Théodora ne répondait rien à ces
accusations, ne voulant pas dévoiler sa véritable identité et
estimant que c'était un châtiment voulu par Dieu, elle fut expulsée du
monastère pendant sept années. Elle prit alors l'enfant avec elle, comme
si c'était le sien, s'installa dans une petite cabane à proximité et
lutta, dans un extrême dénuement, contre le froid l'hiver, contre la
chaleur l'été et contre les tentations sans nombre que lui infligèrent
les démons. Au bout de sept ans, l'Higoumène du monastère permit à
Théodore de rejoindre la communauté. Mais une fois de retour, loin de se
reposer de ses labeurs, Théodora redoubla ses veilles, ses jeûnes, ses
prières et montra une obéissance et une patience encore plus grandes
qu'auparavant. Elle avait pris avec elle l'enfant et lui enseignait
comment acquérir les vertus évangéliques et la prière perpétuelle.
Quelque temps après, ayant une dernière fois exhorté celui qui était en
vérité devenu son fils selon l'Esprit, elle s'endormit en paix. Au
moment de sa mort,
l'Higoumène eut une vision. Il vit une femme revêtue de vêtements
lumineux, s'élever dans les airs et rejoindre le Choeur des Justes et
des Saints. Tous reconnurent alors en pleurant leur méprise et rendirent
gloire à Dieu d'avoir accompli une si grande merveille. En effet,
fortifiée par la grâce, Théodora avait vaincu la faiblesse de sa nature.
Pour guérir la passion de la chair, elle avait lutté de front contre
les tentations de la chair, en vivant secrètement au milieu des hommes,
en dépassant ses compagnons par l'ascèse et les labeurs.
http://www.johnsanidopoulos.com/2015/09/saint-theodora-of-alexandria-who.html
Troparion — Tone 4
You offered your life as a holy gift, O righteous Theodora, / For resplendent with the light of repentance, you illumined mankind. / Now pray to Christ who has magnified you to grant us his great mercy!Troparion — Tone 8
The image of God was truly preserved in you, O Mother, / for you took up the Cross and followed Christ. / By so doing doing you taught us to disregard the flesh for it passes away / but to care instead for the soul, since it is immortal. / Therefore your spirit, venerable Theodora, rejoices with the angels.Kontakion — Tone 2
You depleted your bodily strength by fasting, vigil, and prayers, / entreating the Creator to grant forgiveness of your sin; / having received it, you showed us the way of repentance, / venerable Mother Theodora.Saint PATIENT, métropolitain de Lyon (491).
Saint EMILIEN, évêque de Verceil en Piémont (vers 520).
Saint ALVEE, ermite dans le Maine (VIème siècle).
Saint ALMIRE (ALMER, ALMIRUS), natif de l'Auvergne, ermite dans le Maine (vers 560).
Saint DEINIOL (DANIEL), évêque-abbé de Bangor dans le pays de Galles (584).
St. Deiniol Gwyn,
Bishop of Bangor Fawr
(c.AD 535-584)
(Welsh-Deiniol, Latin-Dainiolus, English-Daniel)
Bishop of Bangor Fawr
(c.AD 535-584)
(Welsh-Deiniol, Latin-Dainiolus, English-Daniel)
Prince Deiniol the Blessed was
a saintly man who appears to have already established himself in
Gwynedd in the early 6th century, long before his father, King Dunaut of
the Northern Pennines' defeat and expulsion from Dunoting. Deiniol
settled in Bangor Fawr on the Menai Straits where King Maelgwn of
Gwynedd gave him lands to establish a monastic Cathedral. He later
refounded the monastery at Bangor-Is-y-Coed (upon Dee) under the
patronage of his uncle, King Brochfael Ysgythrog (of the Tusks) of
Powys. Deiniol's aging father may have become Abbot here. Deiniol
attended the Synod of Llandewi Brefi where he was consecrated Bishop of
Bangor (Fawr) by St. Dewi (David) himself. Upon his return, he is said
to have founded churches at Llandeiniol in Dyfed and Llanfor and
Llanuwchllyn near Llyn Tegid (Lake Bala). Though he died at Bangor Fawr
on 11th September 584, his body was taken to Ynys Enlli (Bardsey Island)
to be buried. The Cathedral at Bangor (Fawr) is still dedicated to him
today.
Figlio di un Re e discendente di Coel Godeborg, secondo la Legenda novem lectionum de S. Daniele, episcopo Bangorensi, viene ricordato come il fondatore del Monastero di Bangor Fawr (Monastero gallese, da non confondere coll’omonimo Monastero irlandese. Secondo una fonte, fondò due Monasteri omonimi: oltre a Bangor Fawr, su terre donate da Re Maelgwn di Gwynedd anche a Bangor-Is-y-Coed (upon Dee), fondazione patrocinata da suo zio, Re Brochfael Yagythrog - qui poté divenire Abate il suo vecchio padre - che secondo Beda era il più famoso Monastero della Chiesa britannica.
Discepolo di S. Cadoc a Llancanfarn, da questi ricevette il compito di fondare il Monastero, divenendo il primo Vescovo della zona (Bangor Fawr, oggi Gwynedd). Consacrato Vescovo da S. Dubricio o da S. Davide, fu inviato in Gallia a contrastare il pelagianesimo. Nel 545 prese parte con San Davide e San Dyfrig ad un Sinodo (Llandewi Brefi) in cui presero varie decisioni in materia penitenziale. Compì molti miracoli a testimonianza della sua santità e fondò altre chiese: a Llandeiniol, Dyfed; a Llanfor e Llanuwchllyn presso Llyn Tegid (Lac Bala).
Morì verso il 584 (secondo gli Annales Cambriae del XII secolo, mentre altri pongono la morte nel 544 o nel 554. Oggi però anche il 584 sembra troppo antica come data). Sepolto a Ynya Ynlli (Bardsey Island), ebbe un culto molto diffuso nel Galles del Nord, dove gli furono dedicate molte chiese e qualcuna anche nel Sud.
Figlio di un Re e discendente di Coel Godeborg, secondo la Legenda novem lectionum de S. Daniele, episcopo Bangorensi, viene ricordato come il fondatore del Monastero di Bangor Fawr (Monastero gallese, da non confondere coll’omonimo Monastero irlandese. Secondo una fonte, fondò due Monasteri omonimi: oltre a Bangor Fawr, su terre donate da Re Maelgwn di Gwynedd anche a Bangor-Is-y-Coed (upon Dee), fondazione patrocinata da suo zio, Re Brochfael Yagythrog - qui poté divenire Abate il suo vecchio padre - che secondo Beda era il più famoso Monastero della Chiesa britannica.
Discepolo di S. Cadoc a Llancanfarn, da questi ricevette il compito di fondare il Monastero, divenendo il primo Vescovo della zona (Bangor Fawr, oggi Gwynedd). Consacrato Vescovo da S. Dubricio o da S. Davide, fu inviato in Gallia a contrastare il pelagianesimo. Nel 545 prese parte con San Davide e San Dyfrig ad un Sinodo (Llandewi Brefi) in cui presero varie decisioni in materia penitenziale. Compì molti miracoli a testimonianza della sua santità e fondò altre chiese: a Llandeiniol, Dyfed; a Llanfor e Llanuwchllyn presso Llyn Tegid (Lac Bala).
Morì verso il 584 (secondo gli Annales Cambriae del XII secolo, mentre altri pongono la morte nel 544 o nel 554. Oggi però anche il 584 sembra troppo antica come data). Sepolto a Ynya Ynlli (Bardsey Island), ebbe un culto molto diffuso nel Galles del Nord, dove gli furono dedicate molte chiese e qualcuna anche nel Sud.
Tropaire de saint Deiniol ton 4
Par ton enseignement et ta pieuse vie tu brillas à l'époque des Saints, O hiérarque Deiniol,/
Et devenant le premier évêque de Bangor tu fut un instrument de la grâce de Dieu, en guidant beaucoup au Salut./
Prie, O Saint, afin que nous puissions être guidés dans le Chemin de la Vérité afin d'être sauvés.
Saint LEUDIN (BODON), frère de sainte Salaberge, évêque de Toul en Lorraine (vers 670).
Leudin, surnommé Bodon, naît vers 625 dans le Bassigny, au sein d’une famille noble d’Austrasie. Après quelques années de mariage, d’un commun accord, chacun des deux époux choisit la vie religieuse dans la ville de Laon. Époux, père, Bodon devient moine puis évêque. Il est choisi par le clergé comme évêque de Toul. Il consacre ses biens à soulager les malades et les pauvres. Il meurt à Toul vers 678. On inhume son corps auprès de Saint Mansuy premier évêque de Toul.
Le chanoine Jean Ruyr a écrit les lignes suivantes: « Le monastère d'Estival fut anciennement possédé par des chanoines de saint Colomban, ou autres religieux, du temps de saint Gondelbert. Quelque temps en suivant on y colloqua des moniales de même profession, assez près du dit monastère... L'on peut voir à 500 pas d'Estival les masures et fondements d'un autre monastère, situé vers le couchant, que l'on tient plus ancien, où autrefois habitaient moniales, et encore y reste un oratoire représentant seulement le chœur d'une église plus ample, que l'on dit aujourd’hui la Chapelle des Dames. Et pourra être qu'en même lieu était la résidence des dames mentionnées ci-devant. » II y avait donc à Etival, dès l'origine, deux monastères, celui des religieux colombanistes, que Ruyr appelle pompeusement des chanoines, qui subsista jusqu'à la Révolution, et, assez près de ce monastère, un couvent de moniales, à l'endroit qui a toujours porté le nom de Vieille Abbaye, où se trouve une croix commémorative et dont les champs avoisinants s'appelaient le Faing des Dames. « Ceci d'ailleurs ne serait pas pour nous surprendre, ajoute M. l'abbé M.-C. Idoux, à qui nous avons emprunté les détails précédents ; c'était dans les usages de Luxeuil dont saint Leudin s'inspira pour ses fondations ; sainte Salaberge agit de même sous la conduite de saint Walbert. A Laon, elle bâtit d'abord un monastère de femmes pour elle et ses trois cents nonnes, puis un monastère d'hommes où saint Leudin, après avoir construit et doté Bonmoutier, Etival et Enfonvelle, vint faire sa profession religieuse ».
L'abbé Idoux dans une étude historique très poussée, a démontré que Saint Odile a été baptisée dans le monastère de moniales à Etival.
Sainte VINCIANE (VINCIENNE), Romaine d'origine lombarde, soeur de saint Landoald (cf. 20 mars), missionnaire en Limbourg (vers 670).
Saint ADELPHE, higoumène de Remiremont dans les Vosges, mort moine à Luxeuil en Franche-Comté (vers 670).
Par ton enseignement et ta pieuse vie tu brillas à l'époque des Saints, O hiérarque Deiniol,/
Et devenant le premier évêque de Bangor tu fut un instrument de la grâce de Dieu, en guidant beaucoup au Salut./
Prie, O Saint, afin que nous puissions être guidés dans le Chemin de la Vérité afin d'être sauvés.
Saint LEUDIN (BODON), frère de sainte Salaberge, évêque de Toul en Lorraine (vers 670).
Leudin, surnommé Bodon, naît vers 625 dans le Bassigny, au sein d’une famille noble d’Austrasie. Après quelques années de mariage, d’un commun accord, chacun des deux époux choisit la vie religieuse dans la ville de Laon. Époux, père, Bodon devient moine puis évêque. Il est choisi par le clergé comme évêque de Toul. Il consacre ses biens à soulager les malades et les pauvres. Il meurt à Toul vers 678. On inhume son corps auprès de Saint Mansuy premier évêque de Toul.
Le chanoine Jean Ruyr a écrit les lignes suivantes: « Le monastère d'Estival fut anciennement possédé par des chanoines de saint Colomban, ou autres religieux, du temps de saint Gondelbert. Quelque temps en suivant on y colloqua des moniales de même profession, assez près du dit monastère... L'on peut voir à 500 pas d'Estival les masures et fondements d'un autre monastère, situé vers le couchant, que l'on tient plus ancien, où autrefois habitaient moniales, et encore y reste un oratoire représentant seulement le chœur d'une église plus ample, que l'on dit aujourd’hui la Chapelle des Dames. Et pourra être qu'en même lieu était la résidence des dames mentionnées ci-devant. » II y avait donc à Etival, dès l'origine, deux monastères, celui des religieux colombanistes, que Ruyr appelle pompeusement des chanoines, qui subsista jusqu'à la Révolution, et, assez près de ce monastère, un couvent de moniales, à l'endroit qui a toujours porté le nom de Vieille Abbaye, où se trouve une croix commémorative et dont les champs avoisinants s'appelaient le Faing des Dames. « Ceci d'ailleurs ne serait pas pour nous surprendre, ajoute M. l'abbé M.-C. Idoux, à qui nous avons emprunté les détails précédents ; c'était dans les usages de Luxeuil dont saint Leudin s'inspira pour ses fondations ; sainte Salaberge agit de même sous la conduite de saint Walbert. A Laon, elle bâtit d'abord un monastère de femmes pour elle et ses trois cents nonnes, puis un monastère d'hommes où saint Leudin, après avoir construit et doté Bonmoutier, Etival et Enfonvelle, vint faire sa profession religieuse ».
L'abbé Idoux dans une étude historique très poussée, a démontré que Saint Odile a été baptisée dans le monastère de moniales à Etival.
Sainte VINCIANE (VINCIENNE), Romaine d'origine lombarde, soeur de saint Landoald (cf. 20 mars), missionnaire en Limbourg (vers 670).
Saint ADELPHE, higoumène de Remiremont dans les Vosges, mort moine à Luxeuil en Franche-Comté (vers 670).
Saint
Euphrosynos
était d'origine paysanne et simple d'esprit. Il se retira dans un
monastère, où il devint serviteur et aide à la cuisine dans les tâches
les plus ingrates. Il était la risée de tous, mais supportait les
moqueries avec une constance et une douceur inébranlables.
Il y avait dans ce monastère un Prêtre, ami de Dieu, qui désirait ardemment que le Seigneur lui révélât quels biens Il réserve à ceux qui l'aiment. Un nuit, alors qu'il dormait, il lui sembla qu'il était transporté en songe au Paradis, dans un jardin plein d'ineffables délices. Au centre de ce jardin, se trouvait Euphrosynos, qui goûtait à ces biens et se réjouissait avec les Anges. Le Prêtre s'approcha de lui, et lui demanda où ils se trouvaient. Euphrosynos répondit: «C'est ici la demeure des élus de Dieu que tu désires voir depuis tant d'années. Moi je suis ici par la bonté de Dieu, qui a bien voulu me pardonner mes péchés». Voyant que ces biens ineffables que «l'oeil n'a point vu, que l'oreille n'a point entendu et qui ne sont pas montés au coeur de l'homme» (1 Cor. 2:9) pouvaient aussi être, dans une certaine mesure, accessibles aux sens des habitants de cette demeure, le Prêtre demanda à Euphrosynos s'il pouvait prendre avec lui quelques uns des fruits de ce jardin. Euphrosynos prit alors trois pommes, et les plaça dans le manteau du Prêtre. A ce moment, celui-ci fut réveillé par la sonnerie qui appelait à l'Office du matin. Comme il se secouait, pensant sortir d'un rêve, il fut stupéfait de découvrir dans son manteau les trois pommes qui dégageaient une suave odeur, inconnue ici-bas. A l'église, il vit Euphrosynos à sa place habituelle et se dirigea vers lui, le suppliant de lui dire où il était la nuit précédente. Celui-ci répondit: «Pardonne-moi, Père, mais j'étais là où tu me trouves maintenant». Mais sur les instances du pieux Prêtre, qui le pressait de ne pas laisser cacher les bienfaits de Dieu, l'humble Euphrosynos finit par dire: «Oui, Père, j'étais dans ce jardin, où tu as vu les biens que Dieu réserve à ses élus. C'est ainsi que le Seigneur a voulu te révéler ce mystère par l'entremise de moi, l'indigne». Le Prêtre s'empressa de révéler à tous ce dont il avait été témoin et de leur montrer les pommes en guise de preuve. Grâce à ce signe, les moines furent encouragés à courir avec plus de zèle sur la voie de la vertu, et ceux qui goûtèrent aux pommes furent guéris de toutes sortes de maladies. Quant au bienheureux Euphrosynos, craignant plus que tout la louange des hommes, il s'enfuit secrètement du monastère.
Il y avait dans ce monastère un Prêtre, ami de Dieu, qui désirait ardemment que le Seigneur lui révélât quels biens Il réserve à ceux qui l'aiment. Un nuit, alors qu'il dormait, il lui sembla qu'il était transporté en songe au Paradis, dans un jardin plein d'ineffables délices. Au centre de ce jardin, se trouvait Euphrosynos, qui goûtait à ces biens et se réjouissait avec les Anges. Le Prêtre s'approcha de lui, et lui demanda où ils se trouvaient. Euphrosynos répondit: «C'est ici la demeure des élus de Dieu que tu désires voir depuis tant d'années. Moi je suis ici par la bonté de Dieu, qui a bien voulu me pardonner mes péchés». Voyant que ces biens ineffables que «l'oeil n'a point vu, que l'oreille n'a point entendu et qui ne sont pas montés au coeur de l'homme» (1 Cor. 2:9) pouvaient aussi être, dans une certaine mesure, accessibles aux sens des habitants de cette demeure, le Prêtre demanda à Euphrosynos s'il pouvait prendre avec lui quelques uns des fruits de ce jardin. Euphrosynos prit alors trois pommes, et les plaça dans le manteau du Prêtre. A ce moment, celui-ci fut réveillé par la sonnerie qui appelait à l'Office du matin. Comme il se secouait, pensant sortir d'un rêve, il fut stupéfait de découvrir dans son manteau les trois pommes qui dégageaient une suave odeur, inconnue ici-bas. A l'église, il vit Euphrosynos à sa place habituelle et se dirigea vers lui, le suppliant de lui dire où il était la nuit précédente. Celui-ci répondit: «Pardonne-moi, Père, mais j'étais là où tu me trouves maintenant». Mais sur les instances du pieux Prêtre, qui le pressait de ne pas laisser cacher les bienfaits de Dieu, l'humble Euphrosynos finit par dire: «Oui, Père, j'étais dans ce jardin, où tu as vu les biens que Dieu réserve à ses élus. C'est ainsi que le Seigneur a voulu te révéler ce mystère par l'entremise de moi, l'indigne». Le Prêtre s'empressa de révéler à tous ce dont il avait été témoin et de leur montrer les pommes en guise de preuve. Grâce à ce signe, les moines furent encouragés à courir avec plus de zèle sur la voie de la vertu, et ceux qui goûtèrent aux pommes furent guéris de toutes sortes de maladies. Quant au bienheureux Euphrosynos, craignant plus que tout la louange des hommes, il s'enfuit secrètement du monastère.
Troparion
Thou didst live righteously in great humility, in labors of asceticism and in guilelessness of soul O righteous Euphrosynos. Hence, by a mystical vision, thou didst demonstrate most wondrously the heavenly joy which thou hadst found. Do thou make us worthy to be partakers thereof by thine intercessions
Thou didst live righteously in great humility, in labors of asceticism and in guilelessness of soul O righteous Euphrosynos. Hence, by a mystical vision, thou didst demonstrate most wondrously the heavenly joy which thou hadst found. Do thou make us worthy to be partakers thereof by thine intercessions
Saint PIERRE, métropolite de Nicée en Bithynie, confesseur des saintes Icônes (826).
Saint HERIMBERT, abbé de Saint-Wandrille / Fontenelle en Normandie (849 ou 850).
Sainte THEODORA, ascète déguisée sous des vêtements masculins dans un monastère du Péloponnèse, accusée à tort de mauvaises moeurs et martyre assassinée à Vasta en Arcadie (Xème siècle).
Saint ARSENE, moine italo-grec, père spirituel de saint Elie le Spiléote (904).
Saint ELIE le Spiléote, de Reggio di Calabria, ascète dans une grotte, puis higoumène de Mélicouccà en Calabre, haute figure du monachisme italo-grec (960). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX du Supplément aux Ménées.)
per la vita del Santo rimando al link
https://it.groups.yahoo.com/neo/groups/presbiteroortodosso/conversations/messages/3644
http://www.inarmoniarc.altervista.org/storia.html
L'icône de la Mère de Dieu de Kaplounov (Ukraine 1689).
Translation des reliques de saints Serge et Germain de Valaam (Carélie 1718). (Acathiste traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XVI du Supplément aux Ménées.)
Saints NICOLAS et VICTOR, prêtres, martyrs par la main des Communistes (Russie 1918).
Saint CARPUS, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1937
Nessun commento:
Posta un commento
Nota. Solo i membri di questo blog possono postare un commento.