Saints apôtres MARC (dit JEAN-MARC),
due presnetazioni metodologicamente congrue del Vangelo di Marco
ARISTARQUE et ZENON (Ier siècle).
Saint CAÏUS (GAÏUS), disicple de l'apôtre Barnabé, évêque de Milan en Lombardie (Ier siècle). Caio sarebbe stato discepolo di san Barnaba e vescovo di Milano per ventidue anni, dal 63 all'85.
Saint ADERIT (ABDERITUS, ADHERY, ADHENTUS), évêque de Ravenne en Emilie-Romagne, confesseur (IIIème siècle).
http://www.johnsanidopoulos.com/2015/09/saint-epicharis-martyr.html
Sainte EPICHARIS, "femme de race sénatoriale", martyre à Rome sous Dioclétien (vers 284).
Saints CALLISTRATE de Carthage et GYMNASIOS et leurs QUARANTE-HUIT compagnons, soldats martyrs sous Dioclétien (288). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX des Ménées.)
https://doxologia.ro/sfantul-mucenic-calistrat-cei-impreuna-cu-dansul-patruzeci-noua-de-mucenici
http://www.johnsanidopoulos.com/2013/09/saint-kallistratos-and-49-martyrs-with.html
Saints martyrs PHILEMON, évêque, et FORTUNIANUS avec lui.
Sainte martyre GAÏENNE, morte après avoir eu le dos brûlé.
QUINZE martyrs morts après avoir été abandonnés en mer sur un bateau dont on avait percé la coque.
Saints FIDENCE et TERENCE, martyrs à Todi en Ombrie sous Dioclétien.
Saint DEODAT, confesseur à Sora dans l'ancien royaume de Naples (vers le IVème siècle).
Saints FLORENTIN, HILIER et APHRODISE, martyrs près de Brémur au diocèse de Dijon en Bretagne (probablement par la main des Vandales en 406).
Sainte LUPITE, Irlandaise de nation, moniale en Bretagne (VIème siècle).
Saint BARRY (BARROG, BARRWG, BARNOCH), disciple de saint Cadoc, éponyme de l'île de Barry au large du pays de Galles, sur laquelle il vécut en ermite (VIIème siècle).
Tropaire de Saint Barrog Ton 8
Lumière de l'Occident, inspirateur des moines et encouragement des ascètes,/
Ta brillante vie fut agréable à Dieu, O père Barrog./
Ne nous rejette pas dans notre état pitoyable, mais prie, O saint,/
Que nous repentant et pleurant nous puissons être dignes d'une place dans le saint Royaume du Christ.
Saint CERAUNE ou CERAN, vingt-cinquième archevêque de Paris et confesseur (621 ou 624).
Saint SIGEBERT, roi d'Est-Anglie, martyr par la main des Païens de Mercie (637).
Sainte HILTRUDE ou HELTRUDE, vierge à Liessies au diocèse de Cambrai(785).
Saints ADULPHE et JEAN, frères, martyrs par la main des Musulmans à Cordoue en Andalousie (852).
Saint IGNACE, quatrième higoumène du monastère du Christ-Sauveur, dit du "Ruisseau-Profond" (Bathis Ryax) près de Triglia en Bithynie (vers 999) . (Il est appelé "saint Ignace de Bathyriac" dans les textes occidentaux.)
Saint SABBATIOS, fondateur du monastère de Solovki, thaumaturge (Russie 1435). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX du Supplément aux Ménées.)
Saint hiéromartyr ANTHIME le Géorgien, métropolite de l'Hongro-Valachie, martyr par la main des Musulmans (Roumanie 1716).
http://www.johnsanidopoulos.com/2011/09/hieromartyr-anthimos-metropolitan-of.html
Saint Anthime le Géorgien, métropolite de Valachie (+1716)
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St Anthime líIbère (+ 1716) : Originaire de Géorgie, il fut esclave des Turcs de longues années à Constantinople. Il y apprit le grec, l'arabe, le turc et le slavon. Une fois affranchi, il s'installa à proximité du Patriarcat pour enseigner l'art des icônes brodées et des sculptures sur bois. En 1690, il fut appelé en Valachie, apprit l'art de la typographie et de l'imprimerie à Bucarest et dans son monastère de Snagov, grâce à quoi il eut une intense activité d'éditeur et d'écrivain. Il fut mis à la tête de la typographie princière. Nommé métropolite d'Hongrie-Valachie, il fut un pasteur doux et paisible. Il organisa dans tout le pays des écoles où l'enseignement était dispensé gratuitement aux enfants des familles démunies. Il fonda le monastère de Tous-les-Sts à Bucarest, appelé actuellement, monastère de St Anthime. Accusé par les Turcs en 1716 d'avoir intrigué pour rattacher la Valachie à l'empire autrichien, il fut aveuglé et envoyé en exil au monastère du Sinaï. Sur le chemin, il subit maints supplices de la part des soldats de l'escorte qui, finalement, le noyèrent dans un des affluents du Danube.
Sainte néomartyre AQUILINA (AQUILINE) de Zanglivéri(on) en Chalcidique, morte sous les verges des Turcs pour avoir refusé de renier sa foi dans le Christ Sauveur (1764).
Sainte Aquilina était originaire d'un village proche de Thessalonique. Alors qu'elle n'était encore qu'un nourisson, son père se querella un jour avec l'un de ses voisins turcs. Ils en vinrent aux coups, et le malheureux tua involontairement le Turc. Il ne put avoir la vie sauve qu'à la condition de renier sa foi et de devenir musulman, en promettant de surcroît la conversion de sa fille, lorsqu'elle en aurait l'âge. Mais la mère d'Aquilina demeurait fidèle et pieuse admiratrice des exploits des Martyrs. C'est ainsi qu'elle éduqua sa fille, lui apprenant à préférer la mort à l'apostasie. Lorsque la jeune fille eût atteint l'âge de dix-huit ans, son père lui proposa la conversion à la foi des Turcs, mais il fut fort surpris de la voir refuser et de l'entendre se déclarer prête à tous les supplices pour l'amour du Christ. Constatant sa résolution et pris de peur pour lui-même, ce père indigne et lâche livra sa fille aux autorités turques, en leur disant d'en faire ce qu'ils voulaient. La jeune fille se laissa emmener sans résistance, après avoir embrassée sa mère et l'avoir assurée qu'elle se rendrait digne de son enseignement. Ni les promesses flatteuses, ni les menaces ne l'ébranlèrent.
Vêtue d'une simple chemise, bientôt réduite en lambeaux sous les coups, la fiancée du Sauveur fut soumise à trois reprises à la bastonnade sans pitié des barbares. Loin de perdre son assurance, et comme transportée de joie par l'amour de Dieu qui brûlait en son coeur, Aquilina ne cessait de se moquer de ses bourreaux. Quand elle fut réduite à la dernière extrémité, de pieux Chrétiens la transportèrent devant sa mère, pour que celle-ci assiste à ses derniers instants. En la voyant, elle demanda toute anxieuse à sa fille si elle avait tenu bon. La Sainte lui répondit dans son dernier soupir: -«Que pensais-tu donc que je fisse, si ce n'est ce que tu m'as enseigné. Selon ton commandement, j'ai gardé la confession de notre foi». Elles rendirent toutes deux gloire à Dieu et la Sainte martyre partit pour les demeures des bienheureux. Comme on emmenait sa dépouille pour l'inhumer tous les lieux où elle passait s'emplissaient d'un suave parfum. Et cette nuit là, une lumière éclatante se dégagea de son tombeau
http://www.johnsanidopoulos.com/2010/09/saint-akylina-new-martyr-of.html
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Saint DEMETRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1918).
Sainte RACHEL, moniale du Grand-Habit au couvent de Borodino (Russie 1928). (Tropaire, kondakion et prière traduits en français par le père Denis Guillaume au tome XVI du Supplément aux Ménées.)
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