Mémoire du prophète BARUCH (VIème siècle avant NSJC).
http://www.gliscritti.it/dchiesa/bibbia_cei08/at32-libro_del_profeta_baruc.htm
http://wol.jw.org/it/wol/d/r6/lp-i/2006604
Saint PRIVAT, martyr à Rome sous Alexandre Sévère (222 ou 223).
Saints STACTEE (STACTEUS) et TURTURIN, martyrs à Rome.Saint MAXIME, martyr sous Dèce (250).
Saints MARTIAL, LAURENT, GURGILE, MARC, FAUSTIN, VICTOR, CANDIDE, VALERIE, LONGESE, CELERINE, DONATE, FORTELEE, LUCIOSE, EMILE, GAGILE, PLACIDE, VICTORIE, PRISQUE, JULIEN, CHRISTOPHORE, NOBLE et SECONDULE, martyrs d'Afrique.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/72310
Saint JEAN, martyr à Camogli en Ligurie.
Saint hiéromartyr MARC le berger, mort par l'épée; saints frères martyrs ALEXANDRE, ALPHEE et ZOSIME; saints martyrs NICON, NEON, HELIODORE et TRENTE soldats, ainsi que d'autres vierges et enfants, martyrisés à Antioche de Pisidie sous le règne de Dioclétien et le gouvernement de Magnus (vers 303).
Saints martyrs CALLINIQUE et EUSTHATE le Romain, morts par le glaive.
Saint martyr ALEXANDRE et ses TRENTE compagnons, morts par le glaive.
Saintes IRENE et SOPHIE.
Saint CHARITON, confesseur et maître de l'ascèse au désert de Palestine (vers 350). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX des Ménées.)
Saint
Chariton naquit et fut élevé
à Iconium, en Asie-Mineure, sous le règne de l'empereur Aurélien
(270-276). Au début de son règne, le successeur de ce dernier,
Dioclétien, n'était pas hostile aux Chrétiens; mais, poussé par le
démon, il déclencha par la suite une violente persécution contre ceux
qui invoquaient le nom du Christ (304). Comme Chariton était réputé à
Iconium pour sa piété et sa vertu, il fut capturé par les soldats de
l'empereur et mené devant le consul. Ayant confessé sans crainte le
Christ et condamné les idoles, Chariton fut étendu à terre et si
violemment fouetté que ses chairs en furent réduites en charpie. On le
jeta en prison et on l'en ressortit quelques jours plus tard pour le
présenter à nouveau devant le tribunal. Délivré de prison, il se réfugia
en Egypte jusqu'à ce que Constantin le Grand décrète la fin des
persécutions et reconnaisse officiellement la religion des Chrétiens.
Portant en son corps les marques de la Passion
du Christ, Chariton, dès lors libéré de la menace du Martyre, poursuivit
avec un zèle accru la voie de l'imitation du Christ par une vie
d'ascèse et d'austérité. Aux souffrances volontaires qu'il infligeait à
son corps pour le réduire en servitude et lui faire obéir à la loi de
l'Esprit, s'ajoutèrent des épreuves involontaires. Un jour, alors qu'il
se dirigeait vers Jérusalem, il rencontra sur la route une bande de
brigands, qui le ligotèrent et l'emmenèrent dans leur grotte. Mais
ceux-ci furent bientôt victimes du jugement divin. Ils moururent tous
après avoir bu du vin, dans lequel une vipère avait craché son venin.
Chariton, resté seul, fut miraculeusement libéré de ses liens et devint
ainsi l'héritier du butin qu'avaient amassé les brigands. Il distribua
ces richesses mal acquises en les donnant aux pauvres ou en les
utilisant à la construction d'églises pour la gloire de Dieu, et
s'installa dans cette grotte située dans
un lieu nommé Pharan, afin d'y pratiquer l'ascèse.
De cette grotte, le Saint attira beaucoup d'infidèles à embrasser la foi et à suivre l'exemple de sa vie angélique. Mais comme cette affluence l'arrachait à sa solitude bien-aimée, il partit pour s'installer dans une autre grotte éloignée, après avoir placé le meilleur de ses disciples à la tête de la communauté de Pharan et avoir exhorté ses enfants spirituels à garder strictement la tempérance dans la nourriture et le sommeil, à prier la nuit comme le jour aux heures qu'il leur avait enseigné et à recevoir le pauvre et l'étranger comme le Christ lui-même. Retiré sur la montagne de Doucas, (tans les environs de Jéricho, il ne put rester bien longtemps à converser seul à seul avec Dieu: de nombreux disciples vinrent se joindre à lui et l'obligèrent à construire une seconde Laure1 et à s'enfuir de nouveau dans un endroit encore plus reculé, nommé Thécoué. Il s'installa avec quelques disciples dans une troisième laure, qu'on appela du nom syriaque Souka («monastère») ou encore «l'Ancienne Laure». Mais rien ne pouvait arrêter la foule des nouveaux disciples et des païens qui accouraient pour se délecter du miel de ses paroles et pour contempler cette vivante image du Christ. Aussi, Chariton, qui ne désirait en ce monde que la suavité de l'union à Dieu dans la solitude, se retira au-dessus de la Laure, dans une grotte si difficile d'accès qu'on ne pouvait y monter qu'avec des échelles. Il demeura là de nombreuses années, s'abreuvant à une source que Dieu, à la prière du Saint, avait fait jaillir dans la grotte. Comme Dieu lui avait à l'avance révélé la date de sa mort, Chariton se fit transporter dans sa première Laure de Pharan. De là, il adressa un testament spirituel à ses disciples, dans lequel il indiquait la voie sûre pour parvenir à l'union avec Dieu: c'est-à-dire l'ascèse liée à l'humilité et à la charité envers tous. Ayant achevé son ultime enseignement, il s'étendit sur son lit et s'endormit paisiblement, pour rejoindre le choeur des Anges et des Saints.
1 . Dans l'ancien monachisme de Palestine, la Laure était un lieu primitivement occupé par un ou plusieurs ermites, que le rayonnement et l'abondance des disciples avaient transformé en monastère.
De cette grotte, le Saint attira beaucoup d'infidèles à embrasser la foi et à suivre l'exemple de sa vie angélique. Mais comme cette affluence l'arrachait à sa solitude bien-aimée, il partit pour s'installer dans une autre grotte éloignée, après avoir placé le meilleur de ses disciples à la tête de la communauté de Pharan et avoir exhorté ses enfants spirituels à garder strictement la tempérance dans la nourriture et le sommeil, à prier la nuit comme le jour aux heures qu'il leur avait enseigné et à recevoir le pauvre et l'étranger comme le Christ lui-même. Retiré sur la montagne de Doucas, (tans les environs de Jéricho, il ne put rester bien longtemps à converser seul à seul avec Dieu: de nombreux disciples vinrent se joindre à lui et l'obligèrent à construire une seconde Laure1 et à s'enfuir de nouveau dans un endroit encore plus reculé, nommé Thécoué. Il s'installa avec quelques disciples dans une troisième laure, qu'on appela du nom syriaque Souka («monastère») ou encore «l'Ancienne Laure». Mais rien ne pouvait arrêter la foule des nouveaux disciples et des païens qui accouraient pour se délecter du miel de ses paroles et pour contempler cette vivante image du Christ. Aussi, Chariton, qui ne désirait en ce monde que la suavité de l'union à Dieu dans la solitude, se retira au-dessus de la Laure, dans une grotte si difficile d'accès qu'on ne pouvait y monter qu'avec des échelles. Il demeura là de nombreuses années, s'abreuvant à une source que Dieu, à la prière du Saint, avait fait jaillir dans la grotte. Comme Dieu lui avait à l'avance révélé la date de sa mort, Chariton se fit transporter dans sa première Laure de Pharan. De là, il adressa un testament spirituel à ses disciples, dans lequel il indiquait la voie sûre pour parvenir à l'union avec Dieu: c'est-à-dire l'ascèse liée à l'humilité et à la charité envers tous. Ayant achevé son ultime enseignement, il s'étendit sur son lit et s'endormit paisiblement, pour rejoindre le choeur des Anges et des Saints.
1 . Dans l'ancien monachisme de Palestine, la Laure était un lieu primitivement occupé par un ou plusieurs ermites, que le rayonnement et l'abondance des disciples avaient transformé en monastère.
Lectures du jour :
Epitre : 2 Corinthiens 4,6-15 (Saint Chariton)
Evangile : Luc 6,17-23 (Saint Chariton)
Tropaire de Saint Chariton ton 8
Par un flot de larmes tu rendis le désert fertile,
Et ton aspiration pour Dieu porta des fruits en abondance.
Par la brillance de tes miracles tu illumina tout l'univers!
Notre père Chariton, prie Christ notre Dieu qu'Il sauve nos âmes!
Kondakion de Saint Chariton ton 2
Tu te délectas dans la vie moanstique, O divin sage,
Et vainquis les passions charnelles;
Tu accrus en Foi, fleurissant comme l'Arbre de la Vie au milieu du Paradis,
Très bienheureux et saint Chariton!
Epitre : 2 Corinthiens 4,6-15 (Saint Chariton)
Evangile : Luc 6,17-23 (Saint Chariton)
Tropaire de Saint Chariton ton 8
Par un flot de larmes tu rendis le désert fertile,
Et ton aspiration pour Dieu porta des fruits en abondance.
Par la brillance de tes miracles tu illumina tout l'univers!
Notre père Chariton, prie Christ notre Dieu qu'Il sauve nos âmes!
Kondakion de Saint Chariton ton 2
Tu te délectas dans la vie moanstique, O divin sage,
Et vainquis les passions charnelles;
Tu accrus en Foi, fleurissant comme l'Arbre de la Vie au milieu du Paradis,
Très bienheureux et saint Chariton!
http://www.santiebeati.it/dettaglio/91023
Troparion — Tone 8
By a flood of tears you made the desert fertile, / and your longing for God brought forth fruits in abundance. / By the radiance of miracles you illumined the whole universe! / Our Father Chariton, pray to Christ God to save our souls!
Kontakion — Tone 2
You delighted in the monastic life, divinely-wise one / and conquered the bodily passions; / you increased in faith, blossoming as the tree of life in the midst of Paradise, / most blessed and holy Chariton!
Saint KERRIEN (KERIAN), disciple de saint Kay à Cléder en Bretagne (Vème siècle).
Saint EXUPERE d'Arreau, évêque de Toulouse en Languedoc et confesseur (vers 415).
Sainte EUSTOCHIE, native de Rome, vierge, fille de sainte Paule, abbesse à Bethléem en Palestine (419).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/72330
Saint SYLVIN, évêque de Brescia en Lombardie (vers 444).
Saint SALONIUS, fils de saint Eucher de Lyon, moine de Lérins, puis évêque de Genève (469).
Saint ALODE ou ALEU ou ALOGE, huitième évêque d'Auxerre en Bourgogne et confesseur (472).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/94690
Saint FAUSTE, troisième higoumène de Lérins et évêque de Riez en Provence, confesseur de la foi orthodoxe face à l'augustinisme, au pélagianisme et à l'arianisme, écrivain sacré (493 ou 495). (Office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome XVI du Supplément aux Ménées.)
http://www.johnsanidopoulos.com/2016/09/saint-faustus-bishop-of-riez-495.html
Saint KAY (KEW, KE) de Cambrie, évêque itinérant en Bretagne (495).
Saint FAUSTE, évêque de Tarbes (fin du Vème siècle).
Sainte DODE d'Estarac, moniale à Auch en Gascogne.
Saint ALKISON, évêque de Nicopolis (aujourd'hui Prévéza) en Epire, confesseur de la foi orthodoxe face au monophysisme promu par l'empereur Anastase (début du VIème siècle).
Saint MACHAN, Ecossais de nation, moine en Irlande.
Saint CONWALL (CONVAL), Irlandais de nation, disciple de saint Kentigern, missionnaire en Ecosse (vers 630).
Saint KAY (KEW, KE) de Cambrie, évêque itinérant en Bretagne (495).
Saint FAUSTE, évêque de Tarbes (fin du Vème siècle).
Sainte DODE d'Estarac, moniale à Auch en Gascogne.
Saint ALKISON, évêque de Nicopolis (aujourd'hui Prévéza) en Epire, confesseur de la foi orthodoxe face au monophysisme promu par l'empereur Anastase (début du VIème siècle).
Saint MACHAN, Ecossais de nation, moine en Irlande.
Saint CONWALL (CONVAL), Irlandais de nation, disciple de saint Kentigern, missionnaire en Ecosse (vers 630).
Tropaire de saint Conwall ton 8
Prennant à coeur le saint commandement du Christ, tu prêcha Son Evangile à la nation des Pictes,/
O père Conwall, nous offrant un exemple louable./
Prie afin que nous soit nous aussi accordée la force de témoigner du Christ jusqu'à notre dernier souffle,/
Afin qu'ayant vécu pour Lui seul, nous puissions être trouvés digne d'entrer en Son Royaume
O père Conwall, nous offrant un exemple louable./
Prie afin que nous soit nous aussi accordée la force de témoigner du Christ jusqu'à notre dernier souffle,/
Afin qu'ayant vécu pour Lui seul, nous puissions être trouvés digne d'entrer en Son Royaume
Troparion of St Conwall tone 8
Taking to heart Christ's holy command, thou didst preach His Gospel to
the nation of the Picts,/ O Father Conwall, setting us a laudable
example./ Pray that we may be granted strength also to witness for
Christ until our last breath,/ that having lived only for Him, we may be
made worthy to enter His Kingdom
Saint ANNEMOND ou CHAMOND, vingt-troisième archevêque de Lyon, martyr près de Chalon-sur-Saône sur ordre du maire du palais Ebroïn (657).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/72340
Sainte TETTA, abbesse de Wimborne dans le Dorset (vers 772).
Sainte
LIOBE, LIOUBA ou LIEBE, abbesse de Bischofsheim au diocèse de Mayence,
thaumaturge (779). (Office composé en français par le père Denis
Guillaume et publié au tome XVI du Supplément aux Ménées.)
http://har22201.blogspot.it/2015/09/sainte-lioba-leoba-abbesse-benedictine.html
http://har22201.blogspot.it/2015/09/sainte-lioba-leoba-abbesse-benedictine.html
St.
Lioba was a nun at Wimborne and a friend of St. Boniface, who invited
her to Germany. She arrived about 748. St. Boniface made her abbess of a
women's monastery at Sischofsheim, and gave her the duty of supervising
all nuns in the missionary church (she was functionally an archabbess).
The great woman of the Lord abbess Lioba founded women's monasteries
also in Kitzingen and Ochsenfurt. She was much sought after by rulers
and princes for her wisdom and ability to train women in living the
angelic life. She wrought various miracles; one that is well remembered
today is her instantaneous quelling of a storm by her prayers. She was a
friend of Hildegard, the wife of Charlemagne, and was beloved of Pippin
III. She retired with a group of Anglo-Saxon nuns to a new community
near Mainz donated by Charlemagne, and there, on Sept. 28, 782, she
passed to the Lord. She was buried next to her mentor St. Boniface,
who had been like an uncle to her, but later her relics were elevated
and translated twice, and now rest at Petersburg in Fulda.
Holy Mother Lioba, pray to God for us!
http://www.santiebeati.it/dettaglio/72350
Saint VENCESLAS (VACLAV, VIATCHESLAV), petit-fils de sainte Ludmilla, roi des Tchèques, martyr sur ordre de son frère Boleslav le Cruel (935 ou 936). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome IX du Supplément aux Ménées.)
Le
saint prince Wenceslaus (Vyacheslav) des Tchèques était petit-fils de
la sainte princesse martyre Ludmilla (16 Septembre), et il fut élevé par
elle dans la piété la plus profonde. Il commença à règner à l'âge de 18
ans, suite au décès de son père le prince Bratislav (+ 920).
Malgré son jeune âge, il dirigea avec sagesse et justice, et se préoccupa beaucoup de l'illumination Chrétienne de son peuple. Le saint prince était un homme fort bien éduqué, et il étudiait le latin et le grec.
Saint Wenceslaus était un pacifiste. Il bâtit et embellit les églises, et à Prague, capitale de la Tchéquie, il éleva une magnifique église dédiée à saint Vith, et il respectait le clergé. Des nobles envieux décidèrent d'assassiner le saint, et, pour commencer, montèrent sa mère contre lui, puis ensuite encouragèrent son jeune frère Boleslav à occuper le trône princier.
Boleslav invita son frère à une dédicace d'église, puis lui demanda de rester un jour de plus. Malgré les avertissements de ses serviteurs, le saint prince refusa de croire à une conspiration, et exposa sa vie à la volonté de Dieu. Le lendemain, 28 septembre 935, lorsque Wenceslaus partit pour assister aux Matines, il fut traitreusement assassiné aux portes de l'église, par son propre frère aidé de ses serviteurs. Son corps fut dépecé et jetté sans sépulture.
La mère, apprennant le meurtre de son fils, trouva et plaça son corps dans une église récemment consacrér à la cour princière. Ils ne parvinrent pas à laver le sang maculant les portes de l'église, mais 3 jours après il disparut de lui-même.
Après s'être repentit de son péché, l'assassin fit la translation des reliques de saint Wenceslas à Prague, où elles furent placées dans l'église de saint Vith, que le martyr avait lui-même construite - on célèbre cette translation des reliques de saint Wenceslas le 4 mars. La mémoire du prince Wenceslas a été honorée depuis des temps immémoriaux dans l'Eglise Orthodoxe de Russie.
Malgré son jeune âge, il dirigea avec sagesse et justice, et se préoccupa beaucoup de l'illumination Chrétienne de son peuple. Le saint prince était un homme fort bien éduqué, et il étudiait le latin et le grec.
Saint Wenceslaus était un pacifiste. Il bâtit et embellit les églises, et à Prague, capitale de la Tchéquie, il éleva une magnifique église dédiée à saint Vith, et il respectait le clergé. Des nobles envieux décidèrent d'assassiner le saint, et, pour commencer, montèrent sa mère contre lui, puis ensuite encouragèrent son jeune frère Boleslav à occuper le trône princier.
Boleslav invita son frère à une dédicace d'église, puis lui demanda de rester un jour de plus. Malgré les avertissements de ses serviteurs, le saint prince refusa de croire à une conspiration, et exposa sa vie à la volonté de Dieu. Le lendemain, 28 septembre 935, lorsque Wenceslaus partit pour assister aux Matines, il fut traitreusement assassiné aux portes de l'église, par son propre frère aidé de ses serviteurs. Son corps fut dépecé et jetté sans sépulture.
La mère, apprennant le meurtre de son fils, trouva et plaça son corps dans une église récemment consacrér à la cour princière. Ils ne parvinrent pas à laver le sang maculant les portes de l'église, mais 3 jours après il disparut de lui-même.
Après s'être repentit de son péché, l'assassin fit la translation des reliques de saint Wenceslas à Prague, où elles furent placées dans l'église de saint Vith, que le martyr avait lui-même construite - on célèbre cette translation des reliques de saint Wenceslas le 4 mars. La mémoire du prince Wenceslas a été honorée depuis des temps immémoriaux dans l'Eglise Orthodoxe de Russie.
Synaxe des saints des grottes de Kiev. (Office aux saints de la grotte Saint-Antoine traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XVI du Supplément aux Ménées.)
http://www.oca.org/FSlives.asp
Mémoire de notre vénérable Père AUXENCE qui pratiqua l'ascèse sur
l'île de Chypre nel XIII secolo
.
Invention des reliques de saint Néophyte le Reclus (+1214) de Chypre (XIVème siècle).
http://www.johnsanidopoulos.com/2011/04/saint-neophytos-recluse-of-cyprus-1219.html
Mémoire des vénérables CYRILLE et MARIE (+ 1337), père et mère de saint Serge de Radonège devenus moine et moniale du Grand-Habit.
Mémoire de notre vénérable Père AUXENCE qui pratiqua l'ascèse sur
l'île de Chypre nel XIII secolo
.
Invention des reliques de saint Néophyte le Reclus (+1214) de Chypre (XIVème siècle).
http://www.johnsanidopoulos.com/2011/04/saint-neophytos-recluse-of-cyprus-1219.html
Mémoire des vénérables CYRILLE et MARIE (+ 1337), père et mère de saint Serge de Radonège devenus moine et moniale du Grand-Habit.
Saint HERODION, higoumène d'Iloezersk (Russie 1541).
Sainte princesse vierge JULIENNE d'Olchansk (Ukraine 1550).
Sainte AGNES, martyre par la main des Communistes (Russie 1925).
http://www.johnsanidopoulos.com/2010/09/feast-day-of-st-isaac-syrian-on.html
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