Saints DONAT, JUSTE, HERENAS et leurs compagnons, martyrs en Afrique.
Saint ALEXANDRE le Romain, légionnaire, martyr à Drizipara en Thrace sous Dioclétien et Maximien.
Saint ANTOINE, mort en étant étendu sur un gril.
Saint THEODORE, fou pour le Christ, mort en paix.
Saint PAPHNUCE KEPHALAS, ascète du désert d'Egypte (IVème siècle).
Saint REGHINOS (REGINOS), évêque de l'île de Skopélos dans les Cyclades, martyr sous Julien l'Apostat (362). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II du Supplément aux Ménées.)
Saint ALEXANDRE le Romain, légionnaire, martyr à Drizipara en Thrace sous Dioclétien et Maximien.
Saint ANTOINE, mort en étant étendu sur un gril.
Saint THEODORE, fou pour le Christ, mort en paix.
Saint PAPHNUCE KEPHALAS, ascète du désert d'Egypte (IVème siècle).
Saint REGHINOS (REGINOS), évêque de l'île de Skopélos dans les Cyclades, martyr sous Julien l'Apostat (362). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome II du Supplément aux Ménées.)
Troparion (Tone 3)
Thy righteous acts have manifested thee to thy flock as a model of faith, a reflection of humility, and a teacher of abstinence, O Father Bishop Riginos. Therefore, through humilty thou hast achieved exaltation, and through poverty, riches. Intercede thou with Christ God to save our souls.
icona in file allegato
Le 25 février, mémoire du Saint Hiéromartyr REGINOS, Evêque de SKOPELOS, mort par le glaive
Né à Lébadia, en Béotie, vers la fin du IIIe siècle, de parents chrétiens, qui lui inculquèrent l'amour de la vertu et le zèle pour la vérité, Saint Réginos fit fructifier avec abondance la Grâce du Saint-Esprit, de sorte qu'il devint célèbre dans tout l'archipel des Cyclades et le reste de la Grèce.
Lorsque l'Evêque de Skopelos vint à mourir, il fut choisi comme pasteur par tout le peuple enthousiaste. Comme l'hérésie arienne continuait de sévir après le Concile de Nicée (325), on réunit un nouveau concile à Sardique (Sofia, en Bulgarie), en 343, au cours duquel Saint Réginos se distingua par son habileté à réfuter les hérétiques.
Une fois confirmée la Vraie Foi sur la divinité du Fils de Dieu, il retourna dans son diocèse; mais il ne put jouir bien longtemps de la paix, car, Julien l'Apostat ayant déclenché sa persécution contre les Chrétiens (361), le préfet de l'Hellade parvint un jour dans l'île de Skopelos pour arrêter l'Evêque et les fidèles en vue. Tel le fer qui, soumis au feu et frappé sur l'enclume, fait jaillir tout autour des étincelles, ainsi le Saint resplendissait sous les supplices et encourageait les Chrétiens à tenir ferme dans la Foi. Constatant qu'il ne pourrait pas le fléchir, le magistrat le fit finalement décapiter, le 25 février 362.
Ses Reliques furent par la suite transférées en Chypre, et ce n'est qu'au XIXe siècle que les fidèles de Skopelos purent en récupérer quelques fragments.
Né à Lébadia, en Béotie, vers la fin du IIIe siècle, de parents chrétiens, qui lui inculquèrent l'amour de la vertu et le zèle pour la vérité, Saint Réginos fit fructifier avec abondance la Grâce du Saint-Esprit, de sorte qu'il devint célèbre dans tout l'archipel des Cyclades et le reste de la Grèce.
Lorsque l'Evêque de Skopelos vint à mourir, il fut choisi comme pasteur par tout le peuple enthousiaste. Comme l'hérésie arienne continuait de sévir après le Concile de Nicée (325), on réunit un nouveau concile à Sardique (Sofia, en Bulgarie), en 343, au cours duquel Saint Réginos se distingua par son habileté à réfuter les hérétiques.
Une fois confirmée la Vraie Foi sur la divinité du Fils de Dieu, il retourna dans son diocèse; mais il ne put jouir bien longtemps de la paix, car, Julien l'Apostat ayant déclenché sa persécution contre les Chrétiens (361), le préfet de l'Hellade parvint un jour dans l'île de Skopelos pour arrêter l'Evêque et les fidèles en vue. Tel le fer qui, soumis au feu et frappé sur l'enclume, fait jaillir tout autour des étincelles, ainsi le Saint resplendissait sous les supplices et encourageait les Chrétiens à tenir ferme dans la Foi. Constatant qu'il ne pourrait pas le fléchir, le magistrat le fit finalement décapiter, le 25 février 362.
Ses Reliques furent par la suite transférées en Chypre, et ce n'est qu'au XIXe siècle que les fidèles de Skopelos purent en récupérer quelques fragments.
Saint MARCEL, évêque d'Apamée sur l'île de Chypre.
Saint NORGANT, fondateur de paroisse en Bretagne (VIème siècle).
Saint MAELDAN, évêque en Irlande, puis ermite en Bretagne (VIème siècle).
Saint CONCORDE, évêque de Saintes en Saintonge (vers 510).
Saint LEOBARD ou LEUVART, Irlandais de nation, fondateur de l'abbaye de Marmoutier (Maurmünster) en Alsace (618).
Sainte ADELTRUDE (ALDETRUDE), nièce de sainte Aldegonde, abbesse à Maubeuge (696).
Sainte WALBURGE, Anglaise de nation, fille de saint Richard (cf. 7 février), abbesse à Heidenheim en Allemagne (779).
Devonshire, Wessex, Inghilterra, 710 c. - Heidenheim, Germania, 25 febbraio 779
Di
lei si sa che visse nel secolo VIII, di stirpe inglese, Valburga era
sorella dei santi Villibaldo e Vunibaldo, faceva parte del gruppo di
monache e monaci che
aiutarono s. Bonifacio (680-755) ad evangelizzare la Germania. Era
monaca nel monastero di Wimborne (Dorset) e dopo due anni divenne
badessa delle monache del doppio monastero, istituito da suo fratello
Villibaldo ad Heidenheim, mentre l’altro fratello Vunibaldo guidava il
ramo maschile. Alla morte di Vunibaldo, prese lei la direzione
dell’intera istituzione, rimanendo badessa per tutta la vita.
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http://www.santiebeati.it/dettaglio/42775
Ovviamente icone del western rite di tradizione celtica
.....
Tropario tono sesto
God,
who among the countless gifts of thy grace dost work thy wonders even
in the weakness of women: mercifully grant; that we, who are not only
enlightened by the example of the chastity of blessed Walburga thy
Virgin but also gladdened by the glory of her miracles, may perceive her
to be our advocate at thy mercy-seat. Through Jesus Christ thy Son our
Lord, Who liveth and reigneth with Thee, in the unity of the Holy
Spirit, ever one God, world without end. Amen
Saint
TARAISE, patriarche de Constantinople (784-806), artisan de la
restauration de l'Orthodoxie lors du septième concile oecuménique de
Nicée II en 787 qui condamna l'iconoclasme (806). (Office traduit en
français par le père Denis Guillaume au tome II des Ménées.)
Troparion — Tone 4
You appeared to your flock as a rule of faith, / An image of humility and a teacher of abstinence. / Because of your lowliness, Heaven was opened to you. / Because of your poverty, riches were granted to you. / O holy bishop, Tarasius, pray to Christ our God to save our souls!Troparion — Tone 3
You shone forth as a light of the Spirit, / adorned with an exemplary life and clothed in hierarchical vesture. / You stilled the turbulence of heresy / and became a pillar and foundation of the Church, / which praises your struggles, holy Father Tarasius.Kontakion — Tone 3
You illumined the Church with Orthodox doctrine / and taught all to venerate and honor the precious image of Christ. / You vanquished the godless godless doctrine of the iconoclasts. / Therefore we cry to you: / “Rejoice, wise Father Tarasius.”
http://oca.org/saints/lives/2014/02/25/100605-st-tarasius-the-archbishop-of-constantinople
(Mémoire
de GREGOIRE, abbé du monastère de Narek en Arménie et poète (vers
1010). Les anciens synaxaires arméniens fixent sa commémoration au 25
février, mais sa fête est devenue mobile dans l'Eglise arménienne. Bien
qu'il ait vécu plusieurs siècles après la séparation de l'Eglise
d'Arménie d'avec l'Orthodoxie, je mentionne néanmoins sa mémoire,
attendant une éventuelle décision de l'Eglise, car il est attesté que
son monastère et lui-même avaient adopté la doctrine de Chalcédoine et
étaient en communion de foi avec l'Eglise orthodoxe.)
951 – 1003
Gregorio
di Narek fu un insigne teologo, poeta e scrittore religioso armeno. Tra
le sue opere si annoverano un commentario al Cantico dei Cantici,
numerosi panegerici (tra i quali uno in onore alla Deipara ) ed una
raccolta di 95 preghiere in
forma poetica dette “Narek†dal nome del monastero ove visse.
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GREGORIO DI NAREK
Gregorio Narekatsi, armeno, è monaco, sacerdote, teologo, poeta e scrittore religioso.
Nacque
verso il 944 e sua madre morì quando egli era ancora un bambino. Suo
padre, Khrosrow il Grande, rimasto vedovo, abbracciò la carriera
ecclesiastica, affidando il piccolo Gregorio al monastero di Narek, che
si trova 4 km a sud del lago di Vano Là ricevette una formazione
cristiana solida e una grande preparazione intellettuale.
Emise la professione religiosa e, ordinato sacerdote, divenne a sua
volta maestro e formatore degli altri religiosi del suo monastero.
Condusse
una vita tutta di umiltà e carità, divisa fra il lavoro e la preghiera,
animata da un amore ardente per Cristo e la sua Madre santissima.
Morì intorno all'anno 1010.
http://www.santiebeati.it/Detailed/43030.html
uno dei canti alla Deipara scritti dal Santo
O Tu, Madre dell' Altissimo Signore Gesù,
creatore del cielo e di tutta la terra,
che in modo ineffabile tu hai partorito
con tutta la sua umanità
e con tutta la sua divinità,
Lui che è glorificato
con il Padre e con lo Spirito
Santo
nella sua essenza e nella nostra natura
che ha unito a sé in maniera inscrutabile,
Lui che è tutto e in tutte le cose,
Uno della Trinità.
A Lui gloria nei secoli dei secoli! Amen.
Inno a Dio Tre volte santo
Fin dall' arrivo della luce
fa spuntare la tua misericordia;
al sorgere del sole
nell' intimo del mio cuore
penetri
il tuo sole di giustizia,
che il raggio della tua gloria
risplenda nella mia intelligenza!
Che il segno della tua croce
si estenda e si dilati
attraverso la mia anima e il mio corpo!
Ti affido in questo giorno
il mio corpo da te preparato
e la mia anima che lo abita.
Perché tu,
tu sei un Dio inscrutabile,
tu basti a tutti,
e tu sei tutto in tutto,
benedetto nei secoli! Amen.
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