Mémoire du BON LARRON (30 ou 33).
I secolo
La
tradizione evangelica narra che Cristo venne crocifisso tra due
malfattori, condannati al medesimo supplizio per essersi macchiati del
gravissimo peccato dell'assassinio a scopo di rapina. San Luca (23,
39-43) narra che uno dei due ladroni si unì al coro di ingiurie e
scherni rivolti dalla folla a Gesù, mentre l'altro, quello a destra,
dopo aver ammesso le proprie colpe e pentendosi dei peccati commessi,
implorò il Figlio di Dio affinché si ricordasse di lui una volta giunto
nel suo regno. Cristo accolse la sua preghiera e lo confortò
promettendogli il Paradiso.
I testi apocrifi aggiungono allo scarno racconto evangelico molti particolari giungendo perfino a dare un nome ai due ladroni: Gestas, il primo, e Dismas o Dimas il secondo, divenuto ben presto molto popolare. Nel Medioevo fu venerato in molti luoghi, a volte con il nome di Buon Ladrone, talora con il nome di Dismas. |
Le 12 octobre, mémoire du BON LARRONLorsque, le Vendredi Saint, le Christ fut crucifié sur le Golgotha, on prit deux brigands pour les exécuter avec Lui, afin d'accomplir la Prophétie annonçant que le Messie devait «être compté parmi les malfaiteurs» (Isaïe 53:11). On les crucifia avec Lui: l'un à Sa droite, l'autre à Sa gauche. Or, pendant leur agonie, l'un des malfaiteurs, le coeur endurci par le péché, insultait le Seigneur en disant: «N'est-ce pas Toi qui es le Messie? Sauve-Toi Toi-même et nous aussi!». Mais l'autre, prit de repentir et de compassion à la vue du Juste condamné, le reprit sévèrement: - « Tu n'as même pas la crainte de Dieu toi qui subis la même peine! Pour nous c'est justice, car nous recevons ce que nous ont valu nos actes, mais Lui Il n'a rien fait de répréhensible». Et il ajouta: «Jésus, Souviens-Toi de moi, lorsque Tu viendras dans Ton Royaume!» Le Seigneur Se tourna alors vers lui et lui dit: - «En vérité, Je te le dis.- aujourd'hui tu seras avec Moi dans le Paradis». (Luc. 23:39-43). Le Larron fut ainsi le premier homme à obtenir le salut et la rédemption par la Passion du Christ. Il n'eut pas besoin de longues années d'ascèse, de larmes et de prière, mais son seul mouvement de repentir sincère ainsi que sa confession de la divinité du Christ au moment de son extrême abaissement, suffirent à lui obtenir la jouissance des biens de la vie éternelle.
L'icône de la Mère de Dieu de Jérusalem (48).
http://oca.org/saints/lives/2015/10/12/102948-icon-of-the-mother-of-god-ldquojerusalemrdquo
https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-din-kaluga
http://www.orthodoxworld.ru/it/miracleicon/16/index.htm
http://www.reginamundi.info/icone/gerusalemme.asp
Synaxe de tous les saints de la ville d'Athènes.
Saints EVAGRE et PRISCIEN, martyrs à Rome.
Saint MONAS, évêque de Milan en Lombardie (249).
Sainte ANASTASIE, native de Rome, martyre sous Dèce ou Valérien (entre 250 et 259).
Les saints SEPTANTE martyrs, morts par le glaive.
La sainte martyre MALPHETA, morte percée de flèches.
La sainte martyre ANTHIA, qui trouva la mort en étant jetée dans une statue de boeuf en airain incandescent.
Saints ANDROMAQUE et DIOMEDE (DIODORE), morts par le feu.
Saint MAXIMILIEN, évêque de Lauriacum (aujourd'hui Lorch), martyr à Cili en Styrie sous Dioclétien (vers 284).
Saint EDISTE (EDISTUS, HEDISTUS), martyr à Ravenne en Emilie-Romagne sous Dioclétien (303).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/93405
Saints
PROBUS, TARACHUS et ANDRONIQUE, martyrs à Anazarbe en Cilicie sous
Dioclétien (vers 304). (Office traduit en français par le père Denis
Guillaume au tome X des Ménées.)
Le 12 octobre, mémoire des Saints Martyrs PROBUS, TARACHUS et ANDRONIQUE
Ces Saints Martyrs vécurent sous le règne de Dioclétien et le gouvernement de Flavien (vers 304). Citoyen romain et soldat, Tarachus était déjà avancé en âge. Sa patrie était Claudiopolis en Isaurie. Probus était citoyen de la ville de Side en Pamphylie, et Andronique était issu d'une noble famille d'Ephèse. Lorsqu'on eut découvert qu'ils étaient Chrétiens, on s'empara d'eux à Pompéiopolis, en Cilicie, puis on les déféra au tribunal du gouverneur Numérien Maxime, à Tarse, ensuite à Mopsueste, puis une troisième fois dans la ville d'Anazarbe. Les menaces du juge restant sans effet devant l'attitude résolue de Tarachus, il lui fit briser la machoire à coups de pierres, sans pitié pour son âge. Quand on amena Probus, il dit à Maxime de ne pas perdre de temps en un interrogatoire inutile et lui demanda de passer sans plus tarder à la torture. Cruellement fouetté à coups de nerfs de boeuf, il répondit au juge, qui lui demandait d'avoir pitié de lui-même: «Ce sang répandu est pour moi une huile et un parfum, dont je m'oins avec joie pour de nouveaux combats!» Andronique, le plus jeune, ayant lui aussi témoigné de son empressement à souffrir pour gagner la vie éternelle, fut suspendu à une potence; on lui incisa les jambes avec des lames effilées, puis on lui brûla les côtes en jetant ensuite du sel sur les plaies.
Quelques jours plus tard, on les fit de nouveau comparaître. Tarachus fut suspendu la tête en-bas au-dessus d'un brasier dégageant une épaisse fumée. Après quoi on lui versa un âcre mélange de vinaigre, de sel et de moutarde dans les narines, avant de le jeter en prison. Comme Probus se moquait des idoles et de leurs adorateurs, il fut placé sur des fers rougis au feu, puis, après lui avoir arraché le cuir chevelu, on lui plaça des charbons ardents sur le crâne et on lui coupa la langue. Andronique à son tour fut mis à l'épreuve, mais ne cessa pas toutefois de se moquer de ses tortionnaires. Comme on lui introduisait de force dans la bouche des viandes et du vin offerts aux idoles, il tourna en dérision la stupidité du magistrat qui croyait l'avoir vaincu, en déclarant que pour les Chrétiens seule l'apostasie volontaire est une souillure et une défaite.
Finalement, le lendemain du troisième interrogatoire, Maxime organisa des jeux de bêtes et de gladiateurs, en prévoyant l'exécution des trois Martyrs comme clou du spectacle. Incapables de marcher, à cause des supplices endurés auparavant, ils furent portés jusque dans l'arène et livrés aux bêtes féroces, qui avaient déjà fait plusieurs victimes ce jour là. Contrairement à toute attente, un ours redoutable vint lécher paisiblement les plaies d'Andronique, comme pour le consoler, et une lionne alla jouer avec Tarachus. Furieux devant ce spectacle qui déclenchait l'admiration de la foule, le gouverneur Maxime fit couper en morceaux les trois athlètes du Christ par ses gladiateurs, au milieu de l'amphithéâtre. La nuit venue, grâce à l'intervention de Dieu, de pieux chrétiens purent tromper les gardes et allèrent ensevelir les restes des trois Martyrs dans une caverne de la montagne.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/92519
Ces Saints Martyrs vécurent sous le règne de Dioclétien et le gouvernement de Flavien (vers 304). Citoyen romain et soldat, Tarachus était déjà avancé en âge. Sa patrie était Claudiopolis en Isaurie. Probus était citoyen de la ville de Side en Pamphylie, et Andronique était issu d'une noble famille d'Ephèse. Lorsqu'on eut découvert qu'ils étaient Chrétiens, on s'empara d'eux à Pompéiopolis, en Cilicie, puis on les déféra au tribunal du gouverneur Numérien Maxime, à Tarse, ensuite à Mopsueste, puis une troisième fois dans la ville d'Anazarbe. Les menaces du juge restant sans effet devant l'attitude résolue de Tarachus, il lui fit briser la machoire à coups de pierres, sans pitié pour son âge. Quand on amena Probus, il dit à Maxime de ne pas perdre de temps en un interrogatoire inutile et lui demanda de passer sans plus tarder à la torture. Cruellement fouetté à coups de nerfs de boeuf, il répondit au juge, qui lui demandait d'avoir pitié de lui-même: «Ce sang répandu est pour moi une huile et un parfum, dont je m'oins avec joie pour de nouveaux combats!» Andronique, le plus jeune, ayant lui aussi témoigné de son empressement à souffrir pour gagner la vie éternelle, fut suspendu à une potence; on lui incisa les jambes avec des lames effilées, puis on lui brûla les côtes en jetant ensuite du sel sur les plaies.
Quelques jours plus tard, on les fit de nouveau comparaître. Tarachus fut suspendu la tête en-bas au-dessus d'un brasier dégageant une épaisse fumée. Après quoi on lui versa un âcre mélange de vinaigre, de sel et de moutarde dans les narines, avant de le jeter en prison. Comme Probus se moquait des idoles et de leurs adorateurs, il fut placé sur des fers rougis au feu, puis, après lui avoir arraché le cuir chevelu, on lui plaça des charbons ardents sur le crâne et on lui coupa la langue. Andronique à son tour fut mis à l'épreuve, mais ne cessa pas toutefois de se moquer de ses tortionnaires. Comme on lui introduisait de force dans la bouche des viandes et du vin offerts aux idoles, il tourna en dérision la stupidité du magistrat qui croyait l'avoir vaincu, en déclarant que pour les Chrétiens seule l'apostasie volontaire est une souillure et une défaite.
Finalement, le lendemain du troisième interrogatoire, Maxime organisa des jeux de bêtes et de gladiateurs, en prévoyant l'exécution des trois Martyrs comme clou du spectacle. Incapables de marcher, à cause des supplices endurés auparavant, ils furent portés jusque dans l'arène et livrés aux bêtes féroces, qui avaient déjà fait plusieurs victimes ce jour là. Contrairement à toute attente, un ours redoutable vint lécher paisiblement les plaies d'Andronique, comme pour le consoler, et une lionne alla jouer avec Tarachus. Furieux devant ce spectacle qui déclenchait l'admiration de la foule, le gouverneur Maxime fit couper en morceaux les trois athlètes du Christ par ses gladiateurs, au milieu de l'amphithéâtre. La nuit venue, grâce à l'intervention de Dieu, de pieux chrétiens purent tromper les gardes et allèrent ensevelir les restes des trois Martyrs dans une caverne de la montagne.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/92519
Troparion — Tone 5
The heavenly powers were amazed at the triumph of the holy martyrs Probus, Tarachus, and Andronicus. / For having fought the good fight with their mortal bodies, / they conquered bodiless enemies by the power of the Cross. / Now they intercede with the Lord / that He may save our souls.Kontakion — Tone 2
The brave warriors of Christ, the martyrs Probus, Tarachus, and Andronicus, / revealed to us the glory of the Trinity. / They refuted the godlessness of their torturers / by bravely contending for the Faith.Sainte DOMNINE, martyre à Anazarbe sous Dioclétien.
Saint JULIEN, évêque de Lodi Vecchio (Laus Pompeia) en Lombardie (vers 324).
http://www.santiebe ati.it/Detailed/ 39185.html
Saints JUVENTIN et MAXIME, porte-boucliers dans l'infanterie, martyrs sous Julien l'Apostat (entre 360 et 363).
Saint THEODOTE, évêque d'Ephèse, mort en paix.
Saint JASON, évêque de Damas, mort en paix.
Saint THEOSEBIOS, évêque d'Arsinoé en Chypre.
Saint OPILE (OPILUS), diacre, thaumaturge à Plaisance en Emilie-Romagne (Vème siècle).
Saint FIACE (FIECH, FIEQUE, FIEC, FIAC, FIAG), évêque de Slane en Lagénie (aujourd'hui le comté de Leinster en Irlande), disciple de saint Patrick (après 430).
Saints JUVENTIN et MAXIME, porte-boucliers dans l'infanterie, martyrs sous Julien l'Apostat (entre 360 et 363).
Saint THEODOTE, évêque d'Ephèse, mort en paix.
Saint JASON, évêque de Damas, mort en paix.
Saint THEOSEBIOS, évêque d'Arsinoé en Chypre.
Saint OPILE (OPILUS), diacre, thaumaturge à Plaisance en Emilie-Romagne (Vème siècle).
Saint FIACE (FIECH, FIEQUE, FIEC, FIAC, FIAG), évêque de Slane en Lagénie (aujourd'hui le comté de Leinster en Irlande), disciple de saint Patrick (après 430).
Tropaire de saint Fiacc Ton 1:
Tu vouas ta vie et ton ministère aux oeuvres missionaires, O hiérarque Fiacc,
Et tu es commémoré comme l'hymnographe qui honora le grand Patrick.
Tu chassa avec lui hors d'Irlande
L'ignorance et l'erreur du paganisme.
Prie afin que le Christ notre Dieu fasse se lever de nobles âmes en nos jours
Qui restaureront la Foi Orthodoxe
En l'Ile des Saints et fassent venir le Royaume de Dieu
Pour le Salut des âmes.
http://www.santiebeati.it/Detailed/68200.html
Tu vouas ta vie et ton ministère aux oeuvres missionaires, O hiérarque Fiacc,
Et tu es commémoré comme l'hymnographe qui honora le grand Patrick.
Tu chassa avec lui hors d'Irlande
L'ignorance et l'erreur du paganisme.
Prie afin que le Christ notre Dieu fasse se lever de nobles âmes en nos jours
Qui restaureront la Foi Orthodoxe
En l'Ile des Saints et fassent venir le Royaume de Dieu
Pour le Salut des âmes.
http://www.santiebeati.it/Detailed/68200.html
Saint PANTALE, premier évêque de Bâle (Basileia, Basel) en Alémanie, martyr par la main des Huns (vers 443 ou 451).
Saint GERIN d'Aureillan, martyr en Bigorre par la main des Wisigoths ariens (entre 466 et 507).
Les QUATRE MILLE NEUF CENT SEPTANTE confesseurs de la foi orthodoxe déportés dans le désert du Maghreb par les Vandales ariens du roi Hunéric (vers 485).
Saint PION (OPION, OPIO), prêtre en Berry.
Saint MIBRIT, ermite à Lomibrit en Bretagne (VIème siècle).
Saint EFFLAM, prince irlandais, ermite à Saint-Efflam / Plestin-les- Grèves en Bretagne (512).
Sainte ENORA, soeur selon la chair et soeur spirituelle de saint Efflam, solitaire à Lezargon en Bretagne.
Saint SALVIN, évêque de Vérone en Vénétie (vers 562).
Saint GUINIEN, évêque-abbé d'Illy en Bretagne (VIIème siècle).
Saint EPICTETE le Thaumaturge, un des trois cents saints "allemands" de l'île de Chypre (vers le VIIème siècle).
Saints VALANTIOS, BARLAAM, BARNABE, moine, BASILE, évêque, GEORGES, GEORGES, GEORGES, GEORGES, DIMTRIANOS, évêque, IRENIQUE, ELPIDIOS et EPAHPRODITE, des trois cents saints "allemands" de l'île de Chypre.
Saint EDWIN, roi de Northumbrie, mort pour le Christ à la bataille de Hatfield Chase en affrontant les païens de Mercie (633).
Tropaire de saint Edwin ton
4
Ayant accepté la vraie Foi, O juste Edwin,/
Tu fus trouvé digne d'échanger ta couronne mondaine/
Contre la couronne du martyre/
Par les mains des athées Merciens./
Inspirés par ton exemple,/
Nous te supplions de prier afin que nous ayons le courage de combattre tout mal/
Afin de recevoir nous aussi la récompense de la béatitude éternelle.
http://www.santiebeati.it/dettaglio/92671
Sainte HERLINDE, abbesse de Fich au pays de Liège en Wallonie (VIIIème siècle).
Sainte HERLINDE, abbesse de Fich au pays de Liège en Wallonie (VIIIème siècle).
Saint WILFRID, archevêque d'York en Northumbrie (709).
http://reflexionchretienne.e-monsite.com/pages/vie-des-saints/octobre/saint-wilfrid-eveque-d-york-634-709-fete-le-12-octobre.html
Sainte SPERIE (SPERIA, EXUPERIA), vierge et maryre, patronne de Saint-Céré dans le Quercy (vers 760).
Saint CÔME, évêque de Mamouïa, hymnographe (vers 787). (Usage slave.) (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome XVI du Supplément aux Ménées.)
Troparion (Tone 4)
Though in the flesh thou wast zealous to emulate the choirs of heaven, and whilst on earth didst compose hymns to God in the highest; like a harp of holy wisdom thou didst hymn in enlightenment God the Word. O divinely inspired Cosmas, we praise thee with hymns.
Troparion — Tone 8
O Champion of Orthodoxy, teacher of purity and of true worship, / The enlightener of the universe and the adornment of the Hierarchs: / O all-wise Father Cosmas, Your teachings have gleamed with light upon all things. / Intercede before Christ our God to save our souls!Troparion — Tone 4
Though in the flesh, you were zealous to emulate the choirs of heaven, / And while on earth you composed hymns to God in the highest, / Like a harp of holy wisdom, / With enlightened understanding you hymned God the Word. / O divinely inspired Cosmas, we praise you with hymns!Kontakion — Tone 2
O God-inspired Cosmas, you adorned yourself with virtues, / Adorning the Church of Christ with the rich splendor of your hymns. / Intercede with the Lord that He may deliver us from the snares of our enemies! / We cry out to you: Rejoice, O holy and blessed FatheSaint SYMEON le Nouveau Théologien (1022). (Mémoire transférée du 12 mars au 12 octobre, car, autrement, elle tomberait toujours pendant le Grand Carême.) (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome X du Supplément aux Ménées.)
http://www.johnsanidopoulos.com/2013/10/saint-symeon-new-theologian-as-model.html
Saint AMPHILOQUE, higoumène de Glouchitsa (Russie 1452).
Saint TARAISE, higoumène et prédicateur à Perm, puis adjoint de saint Amphiloque à Glouchitsa.
Saint MACAIRE, higoumène de Glouchitsa (Russie 1480).
L'icône de la Très Sainte Mère de Dieu de Iaroslavl et Smolensk (Russie 1642).
L'icône de la Mère de Dieu de Roudna (Belarus 1687).
L'icône de la Mère de Dieu de Kalouga (Russie 1748). (Autre commémoration le 2 septembre.)
http://www.histoire-russie.fr/icone/saints_fetes/textes/v_kalouga.html
https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-din-kaluga
https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-din-kaluga
Translation de Malte à Gatchina près de Saint-Pétersbourg de l'icône de la Mère de Dieu de Filerme, d'un morceau de la Vivifiante Croix du Seigneur et des reliques de la main droite de saint Jean Baptiste (1799).
The
Translation from Malta to Gatchina of a Portion of the Life-Creating
Cross of the Lord, together with the Philermos Icon of the Mother of
God, and the right hand of St John the Baptist took place in the year
1799. These holy things were preserved on the island of Malta by the
Knights of the Catholic Order of St John of Jerusalem. In 1798, when the
French seized the island, the Maltese knights turned to Russia for
defense and protection. On October 12, 1799 they offered these ancient
holy things to the emperor Paul I, who at this time was at Gatchina. In
the autumn of 1799 the holy items were transferred to St Petersburg and
placed in the Winter Palace within the church dedicated to the Icon of
the Savior Not-Made-by- Hands. The Feast for this event was established
in 1800.
By ancient tradition, the Philermos Icon of the Mother of God was painted by the holy Evangelist Luke. From Jerusalem it was transferred to Constantinople, where it was situated in the Blachernae church. In the thirteenth century it was taken from there by crusaders, and from that time was kept by the Knights of the Order of St John.
Sainte EUPHROSYNE (Mézénova), abbesse en Sibérie (Russie 1918).
Saint ALEXANDRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1940).
Saint NICOLAS, métropolite d'Alma-Ata (aujourd'hui Almaty), confesseur (Kazakhstan 1955).
By ancient tradition, the Philermos Icon of the Mother of God was painted by the holy Evangelist Luke. From Jerusalem it was transferred to Constantinople, where it was situated in the Blachernae church. In the thirteenth century it was taken from there by crusaders, and from that time was kept by the Knights of the Order of St John.
Sainte EUPHROSYNE (Mézénova), abbesse en Sibérie (Russie 1918).
Saint ALEXANDRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1940).
Saint NICOLAS, métropolite d'Alma-Ata (aujourd'hui Almaty), confesseur (Kazakhstan 1955).
New Martyr John, Archbishop of Riga and Latvia
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