Sainte SEBASTIENNE, morte par le glaive, martyre à Marcianopolis sous Domitien (entre 81 et 96).
Saints CRESCUS, OMNION, EMPTUS, CERBONUS et PAMPHILE, martyrs à Mugliano en Toscane sous Dèce (250).
Les saints martyrs MARC, SOTERIC et VALENTINE, morts en Asie mineure après avoir été traînés à terre. Leurs saintes reliques furent ensuite transférées dans l'île de Thasos.
Saint prêtre ACACE, mort par le glaive (303).
Saints FELIX, évêque de Thibiuca en Afrique, AUDACTE et JANVIER, prêtres, FORTUNAT et SEPTIME, lecteurs, martyrs pour avoir refusé de livrer les livres sacrés lors de la persécution de Dioclétien (304).
Saint martyr NERDON, mort par le feu.
Saint EVERGISTE (EVERGISLE, EVERGISLUS, EVERGETE, EBREGISTE), évêque de Cologne en Rhénanie, martyrisé par des brigands (434).
Saint PROCLOS, archevêque de Constantinople, disciple de saint Jean Chrysostome (447) (mémoire principale le 24 novembre).
Saint BIEUZY, disciple de saint Gildas, ermite et martyr dans la vallée du Blavet en Bretagne (VIème siècle).
Saint et grand martyr ARETHAS (HARITH), martyr par la main des Juifs dans l'oasis de Najran en Arabie (523). (Office à saint Aréthas et ses compagnons traduit en français par le père Denis Guillaume au tome X des Ménées.)
Troparion - Tone 1
Through the sufferings which Your holy martyrs Arethas and his companions
endured for Your sake, O Lord,
we beseech You, O Lover of mankind:
heal all of our infirmities.
Kontakion - Tone 4
Today the radiant feast of the passion-bearers Arethas and his companions comes to us as a herald of joy;
as we celebrate it we glorify the Lord on high
https://doxologia.ro/sfantul-mare-mucenic-areta
Through the sufferings which Your holy martyrs Arethas and his companions
endured for Your sake, O Lord,
we beseech You, O Lover of mankind:
heal all of our infirmities.
Kontakion - Tone 4
Today the radiant feast of the passion-bearers Arethas and his companions comes to us as a herald of joy;
as we celebrate it we glorify the Lord on high
https://doxologia.ro/sfantul-mare-mucenic-areta
Sous le règne du pieux empereur de Byzance Justin (vers 523), le Saint roi Elesbaan1 régnait à Axoum sur le royaume d'Ethiopie. Le royaume voisin d'Arabie (l'ancienne Saba et l'actuel Yemen)2était
lui aux mains d'un juif cruel et belliqueux, Dhû-Nowas, qui ne cessait
d'assaillir le royaume Chrétien d'Ethiopie. A la suite de brillantes
victoires, Elesbaan était parvenu à le soumettre, à pénétrer jusque dans
son royaume et à le contraindre à payer tribut. Après quelque temps
toutefois Dhù-Nowas réussit à lever une puissante armée et à s'attaquer
aux villes chrétiennes de son royaume, afin d'en exterminer tous ceux
qui refuseraient de renier le Christ et de piétiner la Sainte et
Vivifiante Croix.
Il se dirigea alors vers la ville de Nedjran (dans le Yémen du Nord), cité riche et fortement peuplée, qui était chrétienne depuis le règne de Constance, fils de Saint Constantin le Grand (337-360). A la tête de la cité et de sa région siégeait un sage et vénérable vieillard à la barbe blanche, Aréthas, dont la vertu était renommée et respectée par tous. Après avoir disposé ses douze mille hommes pour le siège, Dhû-Nowas se mit à provoquer les défenseurs de la ville du bas des remparts, leurs criant mille menaces et leur promettant de tous les passer au fil de l'épée, s'il ne se livraient pas et ne reniaient pas leur foi. A sa déception, il vit que ses menaces n'avaient pour effet que de renforcer encore l'ardeur des Chrétiens à répandre leur sang pour le Christ. Craignant alors un siège qui pourrait lui coûter des pertes importantes, il décida de changer de tactique et employa la ruse. A force de flatteries et de promesses mensongères, le fourbe parvint à décider les notables à le laisser pénétrer avec une petite escorte dans la ville, pour une visite protocolaire, en tant que souverain de la région. On lui ouvrit donc les portes, plein de confiance en ses promesses et en la protection de Dieu. Affable et souriant, Dhû-Nowas montra une amabilité qui lui était peu coutumière et loua fort la ville pour la richesse de ses monuments, sa prospérité et la concorde de ses habitants. En s'en allant, il invita les chefs du peuple et les notables à venir le lendemain visiter son camp. Lorsqu'au matin, on ouvrit les portes pour en laisser sortir les notables, à la tête desquels se trouvait Saint Aréthas, Dhû-Nowas donna l'ordre de tous les capturer. Profitant de l'émotion et de la confusion qui s'étaient emparées des habitants de la cité, ses soldats y pénétrèrent et s'en emparèrent en un clin d'oeil. Le tyran s'en prit d'abord au Saint Evêque Paul, mort deux années auparavant. Il se fit ouvrir son tombeau et donna l'ordre de jeter au feu ses Saintes Reliques, qui étaient vénérées avec ferveur par les habitants. Il fit ensuite brûler vifs tous les Prêtres, Clercs, moines et moniales de la ville, au nombre de 427. Puis ce furent 127 pieux laïcs qui offrirent leur vie au Christ en ayant la tête tranchée. Dhù-Nowas fit aussi comparaître devant lui une riche et noble veuve, qu'il essaya de convaincre par des promesses, puis par les menaces d'effrayants supplices. Voyant sa mère insultée par le tyran et maltraitée par ses soldats, la fille de la noble femme se précipita vers Dhû-Nowas et lui cracha au visage. Plein de rage celui-ci fit sur le champ couper la tête de la jeune fille de douze ans; et, comble de cruauté, il contraignit sa mère à boire une coupe du sang de la fillette, avant d'être à son tour décapitée.
Le lendemain, le tyran, siégeant sur un trône élevé, fit comparaître devant lui Saint Aréthas et ses 340 compagnons. Aréthas était si vieux et si affligé par les tourments qui s'abattaient sur ses concitoyens qu'on dut le porter jusqu'au lieu du jugement. Malgré sa vieillesse, il montra devant le roi une assurance et une bravoure dignes de la fougue d'un jeune guerrier. Avec douceur et sérénité, il encourageait ses compagnons à achever la voie de la perfection par le Martyre, à s'offrir avec allégresse à la participation de la Passion du Seigneur, pour avoir part à la jouissance éternelle de Sa gloire. En entendant ses exhortations, le peuple versait de chaudes larmes et d'une seule voix assurait le Saint que la charité qui les avait unis dans cette vie passagère resterait indissoluble jusque dans la mort et que tous étaient prêts à recevoir avec lui la couronne du Martyre. Devant leur inébranlable résolution, le roi abandonna toute autre tentative de les faire renier leur foi et ordonna de les décapiter près du fleuve. Après une dernière prière, les Martyrs échangèrent un saint baiser, comme les Prêtres qui se préparent à célébrer le Saint Sacrifice et, premier d'entre eux, Aréthas eut la tête tranchée. Les autres s'oignirent pieusement le front avec le sang du Saint, et s'offrirent avec joie à la mort.
Une femme et son enfant de trois ans vint quelques instants après l'exécution sur les lieux,afin de s'oindre elle aussi de quelques gouttes du sang des Martyrs. Les soldats la capturèrent et la présentèrent au tyran. Aussitôt, celui-ci donna l'ordre de la brûler vive. Comme le jeune oiseau privé de sa mère, l'enfant criait de détresse. Touché par la beauté et la charme du petit, le roi le prit sur ses genoux et tenta de le consoler. Son étonnement fut grand cependant lorsqu'après avoir demandé à l'enfant ce qu'il désirait le plus, il entendit le petit lui bredouiller qu'il ne demandait qu'à partager avec sa mère le Martyre. -«Mais qu'est-ce que le Martyre?»
lui demanda-t-il. - «C'est mourir pour le Christ, pour revivre à nouveau», répondit le nourrisson. -«Mais sais-tu seulement qui est ce Christ?» - «Viens à l'église et je te montrerai», répliqua l'enfant plein d'assurance. Rien ne pouvait parvenir à ébranler la décision de cet enfant plus sage que beaucoup de vieillards de ce monde. Et lorsqu'il vit que l'on jetait sa mère au feu, il se dégagea d'un coup des bras du roi, courut vers le brasier et sans hésiter pénétra dans les flammes pour la rejoindre et être, avec elle, uni au Christ.
Le bruit de ces massacres parvint jusqu'aux oreilles du pieux Justin à Constantinople. Celui-ci écrivit au Patriarche d'Alexandrie, Astérios, de décider le roi d'Ethiopie Elesbaan à lancer une expédition de représailles contre le cruel Dhû-Nowas. Astérios réunit les moines de Nitrie et des autres déserts, qui célébrèrent des Vigiles de prières et jeûnèrent pour la réussite de l'expédition et la libération des Chrétiens. Elesbaan craignait de ne pouvoir vaincre et désirait un signe de Dieu. Aussi se rendit-il chez un ermite réputé de son royaume. Celui-ci lui assura que par les prières et les larmes de l'empereur Justin, du Patriarche d'Alexandrie et de ses moines, et des siennes propres, Dieu livrerait l'impie entre ses mains de manière si sûre qu'il lui commanda de ne prendre que vingt jours de vivres pour ses troupes. L'armée chrétienne combattit vaillamment et reconquit rapidement, avec l'aide de Dieu, la ville de Nedjran et la région de Momérite. Le roi Elesbaan fut l'instrument de la colère de Dieu à l'égard des juifs et des ennemis des Chrétiens. Il fit installer un nouvel Evêque dans la ville (St Grégentios, fêté le 19 déc.), fit édifier de nouvelles églises avec la fortune que Saint Aréthas avait laissée, puis retourna en paix sur ses terres.
Il se dirigea alors vers la ville de Nedjran (dans le Yémen du Nord), cité riche et fortement peuplée, qui était chrétienne depuis le règne de Constance, fils de Saint Constantin le Grand (337-360). A la tête de la cité et de sa région siégeait un sage et vénérable vieillard à la barbe blanche, Aréthas, dont la vertu était renommée et respectée par tous. Après avoir disposé ses douze mille hommes pour le siège, Dhû-Nowas se mit à provoquer les défenseurs de la ville du bas des remparts, leurs criant mille menaces et leur promettant de tous les passer au fil de l'épée, s'il ne se livraient pas et ne reniaient pas leur foi. A sa déception, il vit que ses menaces n'avaient pour effet que de renforcer encore l'ardeur des Chrétiens à répandre leur sang pour le Christ. Craignant alors un siège qui pourrait lui coûter des pertes importantes, il décida de changer de tactique et employa la ruse. A force de flatteries et de promesses mensongères, le fourbe parvint à décider les notables à le laisser pénétrer avec une petite escorte dans la ville, pour une visite protocolaire, en tant que souverain de la région. On lui ouvrit donc les portes, plein de confiance en ses promesses et en la protection de Dieu. Affable et souriant, Dhû-Nowas montra une amabilité qui lui était peu coutumière et loua fort la ville pour la richesse de ses monuments, sa prospérité et la concorde de ses habitants. En s'en allant, il invita les chefs du peuple et les notables à venir le lendemain visiter son camp. Lorsqu'au matin, on ouvrit les portes pour en laisser sortir les notables, à la tête desquels se trouvait Saint Aréthas, Dhû-Nowas donna l'ordre de tous les capturer. Profitant de l'émotion et de la confusion qui s'étaient emparées des habitants de la cité, ses soldats y pénétrèrent et s'en emparèrent en un clin d'oeil. Le tyran s'en prit d'abord au Saint Evêque Paul, mort deux années auparavant. Il se fit ouvrir son tombeau et donna l'ordre de jeter au feu ses Saintes Reliques, qui étaient vénérées avec ferveur par les habitants. Il fit ensuite brûler vifs tous les Prêtres, Clercs, moines et moniales de la ville, au nombre de 427. Puis ce furent 127 pieux laïcs qui offrirent leur vie au Christ en ayant la tête tranchée. Dhù-Nowas fit aussi comparaître devant lui une riche et noble veuve, qu'il essaya de convaincre par des promesses, puis par les menaces d'effrayants supplices. Voyant sa mère insultée par le tyran et maltraitée par ses soldats, la fille de la noble femme se précipita vers Dhû-Nowas et lui cracha au visage. Plein de rage celui-ci fit sur le champ couper la tête de la jeune fille de douze ans; et, comble de cruauté, il contraignit sa mère à boire une coupe du sang de la fillette, avant d'être à son tour décapitée.
Le lendemain, le tyran, siégeant sur un trône élevé, fit comparaître devant lui Saint Aréthas et ses 340 compagnons. Aréthas était si vieux et si affligé par les tourments qui s'abattaient sur ses concitoyens qu'on dut le porter jusqu'au lieu du jugement. Malgré sa vieillesse, il montra devant le roi une assurance et une bravoure dignes de la fougue d'un jeune guerrier. Avec douceur et sérénité, il encourageait ses compagnons à achever la voie de la perfection par le Martyre, à s'offrir avec allégresse à la participation de la Passion du Seigneur, pour avoir part à la jouissance éternelle de Sa gloire. En entendant ses exhortations, le peuple versait de chaudes larmes et d'une seule voix assurait le Saint que la charité qui les avait unis dans cette vie passagère resterait indissoluble jusque dans la mort et que tous étaient prêts à recevoir avec lui la couronne du Martyre. Devant leur inébranlable résolution, le roi abandonna toute autre tentative de les faire renier leur foi et ordonna de les décapiter près du fleuve. Après une dernière prière, les Martyrs échangèrent un saint baiser, comme les Prêtres qui se préparent à célébrer le Saint Sacrifice et, premier d'entre eux, Aréthas eut la tête tranchée. Les autres s'oignirent pieusement le front avec le sang du Saint, et s'offrirent avec joie à la mort.
Une femme et son enfant de trois ans vint quelques instants après l'exécution sur les lieux,afin de s'oindre elle aussi de quelques gouttes du sang des Martyrs. Les soldats la capturèrent et la présentèrent au tyran. Aussitôt, celui-ci donna l'ordre de la brûler vive. Comme le jeune oiseau privé de sa mère, l'enfant criait de détresse. Touché par la beauté et la charme du petit, le roi le prit sur ses genoux et tenta de le consoler. Son étonnement fut grand cependant lorsqu'après avoir demandé à l'enfant ce qu'il désirait le plus, il entendit le petit lui bredouiller qu'il ne demandait qu'à partager avec sa mère le Martyre. -«Mais qu'est-ce que le Martyre?»
lui demanda-t-il. - «C'est mourir pour le Christ, pour revivre à nouveau», répondit le nourrisson. -«Mais sais-tu seulement qui est ce Christ?» - «Viens à l'église et je te montrerai», répliqua l'enfant plein d'assurance. Rien ne pouvait parvenir à ébranler la décision de cet enfant plus sage que beaucoup de vieillards de ce monde. Et lorsqu'il vit que l'on jetait sa mère au feu, il se dégagea d'un coup des bras du roi, courut vers le brasier et sans hésiter pénétra dans les flammes pour la rejoindre et être, avec elle, uni au Christ.
Le bruit de ces massacres parvint jusqu'aux oreilles du pieux Justin à Constantinople. Celui-ci écrivit au Patriarche d'Alexandrie, Astérios, de décider le roi d'Ethiopie Elesbaan à lancer une expédition de représailles contre le cruel Dhû-Nowas. Astérios réunit les moines de Nitrie et des autres déserts, qui célébrèrent des Vigiles de prières et jeûnèrent pour la réussite de l'expédition et la libération des Chrétiens. Elesbaan craignait de ne pouvoir vaincre et désirait un signe de Dieu. Aussi se rendit-il chez un ermite réputé de son royaume. Celui-ci lui assura que par les prières et les larmes de l'empereur Justin, du Patriarche d'Alexandrie et de ses moines, et des siennes propres, Dieu livrerait l'impie entre ses mains de manière si sûre qu'il lui commanda de ne prendre que vingt jours de vivres pour ses troupes. L'armée chrétienne combattit vaillamment et reconquit rapidement, avec l'aide de Dieu, la ville de Nedjran et la région de Momérite. Le roi Elesbaan fut l'instrument de la colère de Dieu à l'égard des juifs et des ennemis des Chrétiens. Il fit installer un nouvel Evêque dans la ville (St Grégentios, fêté le 19 déc.), fit édifier de nouvelles églises avec la fortune que Saint Aréthas avait laissée, puis retourna en paix sur ses terres.
Santi Areta e Ruma, sposi, e 340 compagni Martiri di Nagran
http://www.santiebeati.it/dettaglio/92761
La SAINTE FEMME, compagne de martyre de saint Aréthas, morte dans les flammes avec son enfant qui courut dans le brasier pour la rejoindre (523).
Sainte SYNCLETIQUE et ses deux filles, martyres par la main des Juifs à Najran (523).
NEUF CENT QUARANTE-ET- UN autres chrétiens de l'oasis de Najran en Arabie, martyrs par la main des Juifs (523).
Saint CADFARD (CADMARCH), fondateur des paroisses de Penegoes et d'Abererch dans le pays de Galles (vers le milieu du VIème siècle).
Saint ELESBAAN, ELEUZOE ou KALEB ELLA ATSBEHA le Thaumaturge, empereur d'Ethiopie, qui fut l'instrument de la colère de Dieu à l'égard des ennemis des chrétiens de Najran et se fit moine en 540 (entre 553 et 555).
Saint MAGLOIRE de Grawed, Gallois de nation, disciple de saint Samson, évêque de Dol-de-Bretagne (575).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/92873
Saint SENOCH de Tiffauges, higoumène à Loches en Touraine (576).
Saint MARC, ermite dans les Abruzzes et en Campanie (vers 579).
Saint MARTIN de Nantes, higoumène de Vertou au diocèse de Nantes et de Saint-Jouin- de-Marnes au diocèse de Poitiers (601).
Saint FROMONT ou FRODOMONT de Carentan, évêque de Coutances en Normandie (VIIème siècle).
Saint EBERGISE, évêque de Maëstricht en Limbourg hollandais (vers 625).
http://www.johnsanidopoulos.com/2016/10/synaxarion-of-venerable-martyr-saint.html
Saint FLORENTIN, fils d'un roi scot devenu confesseur et thaumaturge à Bonnet près de Commercy en Lorraine (Xème siècle).
Saint ARETHAS de la Laure des Grottes de Kiev (XIIème siècle).
Saint SISOES le reclus de la Laure des Grottes de Kiev (XIIIème siècle).
Saint THEOPHILE le reclus de la Laure des Grottes de Kiev (XIIIème siècle).
Saint ATHANASE, patriarche oecuménique de Constantinople (1311).
Saint JEAN, reclus à Pskov (Russie 1616).
Fête de l'Icône de la Mère de Dieu "JOIE DES AFFLIGES" (1688). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome X du Supplément aux Ménées.)
The wonderworking "Joy of All Who
Sorrow" Icon of the
Mother of God was glorified in the year 1688. Euphymia, the sister of
Patriarch Joachim (1674-1690), lived at Moscow and suffered from an
incurable illness for a long time. One morning during a time of prayer
she heard a voice say, "Euphymia! Go to the temple of the
Transfiguration of My Son; there you will find an icon called the "Joy
of All Who Sorrow." Have the priest celebrate a Molieben with the
blessing of water, and you will receive healing from sickness." Euphymia
did as she was directed by the Most Holy Theotokos, and she was healed.
This occurred on October 24, 1688.
The icon of the Mother of God "Joy of All Who Sorrow" (with coins fused to it by a bolt of lightning), was manifested at St Petersburg in 1888. See July 23.
L'icône miraculeuse de la Mère de Dieu "Joie de tous les Affligés" fut glorifiée en 1688. Euphymia, soeur du patriarche Joachim (1674-1690), vivait à Moscou et souffrait d'une maladie incurable depuis fort longtemps. Un matin, durant la prière, elle entendit une voix dire, "Euphymia! Va à l'église de la Transfiguration de Mon Fils; là tu trouveras une icône appelée "Joie de tous les Affligés". Fait célébrer un Moleben [ office d'intercession et d'action de grâce ] par le prêtre, avec de l'eau bénite [ agiasmos ], et tu recevras la guérison de ta maladie".
Euphymia ce que la Très Sainte Mère de Dieu lui avait dit de faire, et elle fut guérie. Ceci eut lieu le 24 octobre 1688.
The icon of the Mother of God "Joy of All Who Sorrow" (with coins fused to it by a bolt of lightning), was manifested at St Petersburg in 1888. See July 23.
L'icône miraculeuse de la Mère de Dieu "Joie de tous les Affligés" fut glorifiée en 1688. Euphymia, soeur du patriarche Joachim (1674-1690), vivait à Moscou et souffrait d'une maladie incurable depuis fort longtemps. Un matin, durant la prière, elle entendit une voix dire, "Euphymia! Va à l'église de la Transfiguration de Mon Fils; là tu trouveras une icône appelée "Joie de tous les Affligés". Fait célébrer un Moleben [ office d'intercession et d'action de grâce ] par le prêtre, avec de l'eau bénite [ agiasmos ], et tu recevras la guérison de ta maladie".
Euphymia ce que la Très Sainte Mère de Dieu lui avait dit de faire, et elle fut guérie. Ceci eut lieu le 24 octobre 1688.
http://www.ortodossia-russa.net/nostre_chiese/Brescia/icona_radost.htm
Kontakion
dell'icona, tono VI
Nessun
aiuto e nessuna speranza
abbiamo
al di fuori di te, o Signora.
Vieni
in nostro aiuto.
In
te speriamo e te glorifichiamo.
Che
nessuno di noi sia sviato
perchè
siamo i tuoi servitori.
"Santissima
Signora, Madre di Dio, superiore agli Angeli e agli Arcangeli, più onorabile di
tutte le creature, tu sei l'aiuto di chi è ferito, la speranza di chi è debole,
l'intercessione di chi è povero, la consolazione di chi è triste, la nutrice di
chi ha fame, colei che veste chi è nudo, la guaritrice di chi è ammalato, la
salvezza dei peccatori, l'aiuto e la difesa di tutti i cristiani!"
https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-bucuria-tuturor-celor-necajiti
Saint ZOSIME (Verkhovski) , ancien en Sibérie (1833).
Saints LAURENT, évêque de Balakhine, ALEXIS PORVIRIEV, archiprêtre, et ALEXIS, laïque, martyrs par la main des Communistes (Russie 1918).
Saints JEAN et NICOLAS, prêtres, martyrs par la main des Communistes (Russie 1937).
Saint PIERRE, prêtre, martyr par la main des Communistes (Russie 1918).
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