Apostle James, the Brother of the Lord
Saint
Jacques était fils du premier mariage de Joseph le divin fiancé. Cet
homme fut béni par Dieu dès le sein de sa mère et à cause de son
éminente justice, tous ceux de sa race l'appelaient «le Juste» et
«Oblias», ce qui signifie en hébreux «rempart du peuple» et
«justice». Dès son enfance, il vécut dans l'ascèse la plus stricte. Il
ne buvait ni vin, ni boisson fermentée. Comme Saint Jean le Précurseur,
il ne mangea jamais rien qui eût vécu. Le rasoir ne passa jamais sur sa
tête, comme le recommande la Loi à ceux qui se consacrent à Dieu. Il ne
prenait jamais de bain et ne s'oignait pas d'huile, préférant le soin de
l'âme à celui du corps. Après l'Ascension aux Cieux du Seigneur, les
Apôtres unanimes choisirent Jacques le Juste comme premier Evêque de
Jérusalem. Accompli dans toutes les vertus de la vie active et de la
contemplation, Jacques pénétrait seul dans le sanctuaire de la Nouvelle
Alliance - non pas une fois par an, comme le grand prêtre des Juifs,
mais chaque jour - afin d'y célébrer les Saints Mystères. Vêtu de lin,
il pénétrait seul dans le Temple, et se tenait de longues heures à
genoux, intercédant pour le peuple et le salut du monde, de telle sorte
que ses genoux
étaient endurcis comme la pierre. C'est lui qui présidait au conseil des
Anciens et qui, lors des discussions intervenues à Antioche sur la
nécessité de circoncire les païens qui embrassaient la foi, demanda
qu'on ne les tourmente pas avec les préceptes de l'ancienne Loi, mais
qu'on leur demande seulement de s'abstenir des viandes immolées aux
idoles et de la fornication (cf. Actes 15:20). C'est lui qui écrivit
également la Lettre qui porte son nom dans le canon des Ecritures. Dans
celle-ci, il corrige ceux qui considéraient Dieu comme la cause des
maux. «Dieu, en effet ne tente personne, dit-il, mais chacun est tenté
par sa propre convoitise qui le pousse et le séduit» (Jc 1:14). Il
exhorte aussi à ne pas se contenter de confesser sa foi dans le Christ,
mais à la faire resplendir dans les oeuvres de la vertu. Car «de même
que sans le souffle de vie le corps est mort, ainsi la foi sans les
oeuvres est morte» (Jc 2:26). Il ajoute de
nombreuses autres recommandations pour mener une vie agréable à Dieu et
obtenir la sagesse d'En-Haut, nous apprenant à reconnaître en tout le
don de Dieu: « Tout don excellent et tout cadeau parfait viennent
d'En-Haut et descendent du Père des lumières, qui ne connaît ni
variations, ni obscurcissement passager» (Jc 1:16).. C'est lui aussi qui
a rédigé la Divine Liturgie conservée sous son nom, source de toutes
les Liturgies de l'Eglise Orthodoxe2
Vers l'an 62, alors que la Judée était dans le désordre et l'anarchie après la mort du gouverneur Festus, les Juifs, qui avaient échoué dans leur tentative de mettre Paul à mort (Actes 25-26), s'en prirent à Jacques, dont la réputation de juste parmi le peuple donnait forte créance à sa prédication. Beaucoup, et même des chefs du peuple, avaient déjà embrassé la foi, et les scribes et les pharisiens s'émouvaient et craignaient que tous reconnaissent bientôt en Jésus le Christ Sauveur. Ils allèrent donc perfidement vers Jacques, louèrent sa vertu et sa justice, et lui dirent: «Nous t'en prions, toi qui es juste et ne fais pas acception des personnes, persuade le peuple, qui va bientôt se réunir pour la Pâque, de ne pas s'égarer sur la personne de Jésus. Tiens-toi donc sur le pinacle du temple, afin que de là-haut tu sois en vue et que tes paroles soient entendues de tout le peuple et des païens qui sont accourus en foule pour la fête». Lorsqu'il fut monté au sommet du temple, les scribes et les pharisiens lui crièrent d'en-bas: «Juste en qui nous devons avoir confiance, puisque le peuple se trompe en suivant Jésus le Crucifié, annonce nous, qui est ce Jésus». Jacques répondit alors à haute voix: «Pourquoi m'interrogez- vous sur le Fils de l'homme? Il est assis maintenant au ciel à la droite de la Grande Puissance et il reviendra sur les nuées du ciel pour juger l'univers avec justice.» Beaucoup furent alors convaincus par le témoignage de Jacques et criaient: «Hosanna au Fils de David!» Mais les scribes et les pharisiens grinçaient les dents de rage et s'écriaient: «ô, même le Juste a été égaré». Et ils accomplirent la Prophétie écrite par Isaïe: «Enlevons le Juste, parce qu'il nous est insupportable» (Is. 3:10). Ils se ruèrent donc vers le pinacle du temple et jetèrent en bas le Juste. Jacques ne mourut pas en tombant, malgré la hauteur; mais s'étant retourné et mis à genoux, il cria vers Dieu: «Je T'en prie, Seigneur Dieu Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'il font». Tandis qu'il priait ainsi pour ses bourreaux, à l'exemple du Christ et de Saint Etienne (cf. Luc 23:34; Act. 7:59-60), les juifs le lapidaient. L'un d'entre eux, devenu furieux en voyant la charité inébranlable du Juste, prit le bâton avec lequel il foulait les étoffes et lui en frappa la tête. C'est ainsi que Jacques le Juste rendit témoignage. On l'enterra sur les lieux mêmes, près du temple. Jacques était si admirable et si renommé pour sa vertu que les juifs les plus raisonnables virent dans son Martyre la cause immédiate du siège et de la ruine de Jérusalem en l'an 70.
1. Il faut distinguer Saint Jacques, fils d'Alphée (9 oct.) Apôtre et frère de l'Evangéliste Saint Matthieu; Saint Jacques le frère du Seigneur, commémoré aujourd'hui et le dimanche qui suit la Nativité; et Jacques, fils de Zébédée et frère de Saint Jean le Théologien (30 avril).
2. Dans certaines Eglises et Monastères, on célèbre aujourd'hui l'antique Liturgie de Saint-Jacques.
Vers l'an 62, alors que la Judée était dans le désordre et l'anarchie après la mort du gouverneur Festus, les Juifs, qui avaient échoué dans leur tentative de mettre Paul à mort (Actes 25-26), s'en prirent à Jacques, dont la réputation de juste parmi le peuple donnait forte créance à sa prédication. Beaucoup, et même des chefs du peuple, avaient déjà embrassé la foi, et les scribes et les pharisiens s'émouvaient et craignaient que tous reconnaissent bientôt en Jésus le Christ Sauveur. Ils allèrent donc perfidement vers Jacques, louèrent sa vertu et sa justice, et lui dirent: «Nous t'en prions, toi qui es juste et ne fais pas acception des personnes, persuade le peuple, qui va bientôt se réunir pour la Pâque, de ne pas s'égarer sur la personne de Jésus. Tiens-toi donc sur le pinacle du temple, afin que de là-haut tu sois en vue et que tes paroles soient entendues de tout le peuple et des païens qui sont accourus en foule pour la fête». Lorsqu'il fut monté au sommet du temple, les scribes et les pharisiens lui crièrent d'en-bas: «Juste en qui nous devons avoir confiance, puisque le peuple se trompe en suivant Jésus le Crucifié, annonce nous, qui est ce Jésus». Jacques répondit alors à haute voix: «Pourquoi m'interrogez- vous sur le Fils de l'homme? Il est assis maintenant au ciel à la droite de la Grande Puissance et il reviendra sur les nuées du ciel pour juger l'univers avec justice.» Beaucoup furent alors convaincus par le témoignage de Jacques et criaient: «Hosanna au Fils de David!» Mais les scribes et les pharisiens grinçaient les dents de rage et s'écriaient: «ô, même le Juste a été égaré». Et ils accomplirent la Prophétie écrite par Isaïe: «Enlevons le Juste, parce qu'il nous est insupportable» (Is. 3:10). Ils se ruèrent donc vers le pinacle du temple et jetèrent en bas le Juste. Jacques ne mourut pas en tombant, malgré la hauteur; mais s'étant retourné et mis à genoux, il cria vers Dieu: «Je T'en prie, Seigneur Dieu Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'il font». Tandis qu'il priait ainsi pour ses bourreaux, à l'exemple du Christ et de Saint Etienne (cf. Luc 23:34; Act. 7:59-60), les juifs le lapidaient. L'un d'entre eux, devenu furieux en voyant la charité inébranlable du Juste, prit le bâton avec lequel il foulait les étoffes et lui en frappa la tête. C'est ainsi que Jacques le Juste rendit témoignage. On l'enterra sur les lieux mêmes, près du temple. Jacques était si admirable et si renommé pour sa vertu que les juifs les plus raisonnables virent dans son Martyre la cause immédiate du siège et de la ruine de Jérusalem en l'an 70.
1. Il faut distinguer Saint Jacques, fils d'Alphée (9 oct.) Apôtre et frère de l'Evangéliste Saint Matthieu; Saint Jacques le frère du Seigneur, commémoré aujourd'hui et le dimanche qui suit la Nativité; et Jacques, fils de Zébédée et frère de Saint Jean le Théologien (30 avril).
2. Dans certaines Eglises et Monastères, on célèbre aujourd'hui l'antique Liturgie de Saint-Jacques.
Apostle James, the Brother of the Lord | |
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http://oca.org/saints/lives/2015/10/23/103039-apostle-james-the-brother-of-the-lord
Saint
apôtre JACQUES, frère du Seigneur, premier évêque de Jérusalem, martyr
par la main des Juifs (vers 62). (Office traduit en français par le père
Denis Guillaume au tome X des Ménées.)
Dalla Divina Liturgia di San Giacomo
una delle preghiere presbiterali della Divina Liturgia
Tu che ci hai visitato, Signore Dio, in misericordia e compassione e hai concesso a noi indegni peccatori e umili tuoi servi l'ardire di stare davanti al tuo santo Altare e di offrire a Te questo tremendo e incruento sacrificio, per i nostri peccati e per la dìsconoscenza del popolo, volgi il tuo sguardo su di me, tuo servo inutile, e cancella le mie iniquità con la tua misericordia e purificami le labbra e il cuore da ogni infezione della carne e dello spirito e allontana da me ogni pensiero vergognoso e stolto e rendimi degno con la potenza del tuo Santissimo Spirito di questa Liturgia; accoglimi a causa della tua bontà, mentre mi avvicino al tuo santo Altare. E compiàciti, o Signore che questi doni, portati dalle nostre mani, siano accettabili, e mostra condiscendenza per le mie infermità, e non mi cacciare dal tuo Volto, e non aborrire la mia indegnità, ma, abbi misericordia dì me, o Dio, e secondo la moltitudine delle tue misericordie, cancella le mie iniquità, affinché, senza condanna appressandomi davanti alla tua Gloria, diventi degno della protezione del tuo Unigenito Figlio e della illuminazione del tuo Tuttosanto Spirito e non venga cacciato come schiavo del peccato, ma come tuo servo possa trovare grazia, misericordia e perdono dei peccati, nel presente e ne! futuro secolo. Sì, o Sovrano Onnipotente e Signore di tutto, ascolta la mia supplica; poiché Tu sei Colui che opera tutto in tutti e da Te tutti cerchiamo per tutto l'aiuto e il soccorso che provengono da Te e dal tuo Figlio Unigenito e dal Buono, e Vivificante e Coessenziale Spirito, ora e sempre. Amìn.
Il Kerubikòn di questa Divina Liturgia è radicale nella sua chiarezza
Taccia ogni carne mortale e stìa con timore e tremore, senza pensare ad alcunché di terreno: perché il Re dei re e il Signore dei signori si avanza per essere sacrificato e dato per cibo ai fedeli; e le schiere degli Angeli vanno davanti a Lui con i Principati e le Potenz
l Cherubini dei molti occhi e i Serafini dalle sei ali, che coprono il loro volto e cantano forte l'inno. Alleluia, alleluia, alleluia.
una delle preghiere presbiterali della Divina Liturgia
Tu che ci hai visitato, Signore Dio, in misericordia e compassione e hai concesso a noi indegni peccatori e umili tuoi servi l'ardire di stare davanti al tuo santo Altare e di offrire a Te questo tremendo e incruento sacrificio, per i nostri peccati e per la dìsconoscenza del popolo, volgi il tuo sguardo su di me, tuo servo inutile, e cancella le mie iniquità con la tua misericordia e purificami le labbra e il cuore da ogni infezione della carne e dello spirito e allontana da me ogni pensiero vergognoso e stolto e rendimi degno con la potenza del tuo Santissimo Spirito di questa Liturgia; accoglimi a causa della tua bontà, mentre mi avvicino al tuo santo Altare. E compiàciti, o Signore che questi doni, portati dalle nostre mani, siano accettabili, e mostra condiscendenza per le mie infermità, e non mi cacciare dal tuo Volto, e non aborrire la mia indegnità, ma, abbi misericordia dì me, o Dio, e secondo la moltitudine delle tue misericordie, cancella le mie iniquità, affinché, senza condanna appressandomi davanti alla tua Gloria, diventi degno della protezione del tuo Unigenito Figlio e della illuminazione del tuo Tuttosanto Spirito e non venga cacciato come schiavo del peccato, ma come tuo servo possa trovare grazia, misericordia e perdono dei peccati, nel presente e ne! futuro secolo. Sì, o Sovrano Onnipotente e Signore di tutto, ascolta la mia supplica; poiché Tu sei Colui che opera tutto in tutti e da Te tutti cerchiamo per tutto l'aiuto e il soccorso che provengono da Te e dal tuo Figlio Unigenito e dal Buono, e Vivificante e Coessenziale Spirito, ora e sempre. Amìn.
Il Kerubikòn di questa Divina Liturgia è radicale nella sua chiarezza
Taccia ogni carne mortale e stìa con timore e tremore, senza pensare ad alcunché di terreno: perché il Re dei re e il Signore dei signori si avanza per essere sacrificato e dato per cibo ai fedeli; e le schiere degli Angeli vanno davanti a Lui con i Principati e le Potenz
l Cherubini dei molti occhi e i Serafini dalle sei ali, che coprono il loro volto e cantano forte l'inno. Alleluia, alleluia, alleluia.
http://padridellachiesa.blogspot.it/2013/10/lanafora-eucaristica-nella-divina.html
una riflessione atipica e da prendere con le pinze ma riporta documenti certi
http://www.edicolaweb.net/sacro01a.htm
23 octobre /5 novembre: Saint Apôtre Jacques, frère du Seigneur et premier Evêque de Jérusalem
Jacques, ayant eu l'honneur d'être appelé le frère
du Seigneur élevé sur le bois de la croix,
au bois dont on le frappe n'a pu se soustraire.
Le bienheureux apôtre mourut le vingt-trois.
Par ses saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.
Tropaire, t. 4
En disciple du Seigneur, * tu as reçu l'Evangile du Christ; * tu as acquis le prestige des martyrs * et, comme frère de Dieu, tu lui parles librement; * comme pontife, tu es capable d'intercéder: * prie donc le Christ notre Dieu * d'accorder à nos âmes le salut.
Kondakion, t. 4
Le Fils unique du Père, le Verbe notre Dieu, * en ces derniers jours descendu jusqu'à nous, * saint Jacques, a fait de toi le premier * pasteur et docteur de Jérusalem, * le fidèle dispensateur des mystères spirituels, * saint Apôtre, c'est pourquoi * tous ensemble nous voulons te vénérer.
Ikos
Le fils de Joseph, le premier évêque de Jérusalem, * Jacques, le frère du Seigneur qu'il a vu de ses yeux, * par des hymnes de louange nous le chantons, * nous écriant avec foi: * accorde-nous ce don parfait * qui vient du Père des lumières; * délivre-nous de l'affliction nous menaçant * pour la multitude de nos péchés; * car nos ennemis ont levé contre nous le talon, * voici que nous encerclent les fils d'Ismaël; * vite, brise leur arc, * bienheureux Apôtre et Pontife sacré, * afin que tous ensemble nous puissions te vénérer.
Exapostilaire, t. 2
Premier de tous les Hiérarques du nouveau Testament, * sublime Apôtre, sage Pontife et Témoin de la vérité, * plus que tous ayant joui de l'insigne dignité * d'être le frère du Seigneur, * broyé par les roches, tu es passé de ce monde vers lui: * demande-lui pour nous, saint Jacques, le pardon de nos péchés.
Voici qu'est sur le seuil à présent * le grand, le terrible jour du jugement; * regarde, mon âme, sois vigilante, applique-toi, * de tout cœur prosterne-toi devant l'unique Mère de Dieu, * dans les larmes lui criant: Délivre-moi, * je t'en prie, Vierge pure, de tout châtiment, * place-moi parmi les brebis, à la droite de ton Fils.
https://doxologia.ro/sfantul-mucenic-iacob-ruda-domnului-primul-episcop-al-ierusalimului
Jacques, ayant eu l'honneur d'être appelé le frère
du Seigneur élevé sur le bois de la croix,
au bois dont on le frappe n'a pu se soustraire.
Le bienheureux apôtre mourut le vingt-trois.
Par ses saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.
Tropaire, t. 4
En disciple du Seigneur, * tu as reçu l'Evangile du Christ; * tu as acquis le prestige des martyrs * et, comme frère de Dieu, tu lui parles librement; * comme pontife, tu es capable d'intercéder: * prie donc le Christ notre Dieu * d'accorder à nos âmes le salut.
Kondakion, t. 4
Le Fils unique du Père, le Verbe notre Dieu, * en ces derniers jours descendu jusqu'à nous, * saint Jacques, a fait de toi le premier * pasteur et docteur de Jérusalem, * le fidèle dispensateur des mystères spirituels, * saint Apôtre, c'est pourquoi * tous ensemble nous voulons te vénérer.
Ikos
Le fils de Joseph, le premier évêque de Jérusalem, * Jacques, le frère du Seigneur qu'il a vu de ses yeux, * par des hymnes de louange nous le chantons, * nous écriant avec foi: * accorde-nous ce don parfait * qui vient du Père des lumières; * délivre-nous de l'affliction nous menaçant * pour la multitude de nos péchés; * car nos ennemis ont levé contre nous le talon, * voici que nous encerclent les fils d'Ismaël; * vite, brise leur arc, * bienheureux Apôtre et Pontife sacré, * afin que tous ensemble nous puissions te vénérer.
Exapostilaire, t. 2
Premier de tous les Hiérarques du nouveau Testament, * sublime Apôtre, sage Pontife et Témoin de la vérité, * plus que tous ayant joui de l'insigne dignité * d'être le frère du Seigneur, * broyé par les roches, tu es passé de ce monde vers lui: * demande-lui pour nous, saint Jacques, le pardon de nos péchés.
Voici qu'est sur le seuil à présent * le grand, le terrible jour du jugement; * regarde, mon âme, sois vigilante, applique-toi, * de tout cœur prosterne-toi devant l'unique Mère de Dieu, * dans les larmes lui criant: Délivre-moi, * je t'en prie, Vierge pure, de tout châtiment, * place-moi parmi les brebis, à la droite de ton Fils.
http:// calendrier.egliseorthodoxe. com/sts/stsoctobre/ oct23.html
http://orthodoxievco.net/ ecrits/vies/martyrs/ octobre/jacques.htm
http://orthodoxievco.net/
https://doxologia.ro/sfantul-mucenic-iacob-ruda-domnului-primul-episcop-al-ierusalimului
Les DEUX SAINTS ENFANTS, morts en étant contraints de courir sur un brasier allumé sur le sol.
Saint GRATIEN, martyr en Picardie sous Dioclétien (303).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/94411
Saints SERVANDIN (SERVANDUS) et GERMAIN, martyrs à Cadix en Andalousie sous Dioclétien (vers 305).
Saint PETRONIOS, disciple de saint Pachôme, ascète en Egypte (IVème siècle).
Saint BENOÎT, évêque de Samarie en Palestine, réfugié en Gaule pour fuir la persécution de Julien l'Apostat, ermite à Herbauges en Poitou (après 360).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/74875
Saint AMMON (AMO), deuxième évêque de Toul en Lorraine (IVème-Vème siècles).
Saint VERE (VERUS), évêque de Salerne en Campanie (IVème-Vème siècles).
Saint SEVERIN, natif d'Aquitaine, évêque de Cologne en Rhénanie, qui parcourut la région de Tongres en Toxandrie (actuel Limbourg) pour prêcher la foi orthodoxe contre l'hérésie arienne (vers 403).
Saint SEVERIN, évêque de Bordeaux en Aquitaine (vers 420).
Messe de saint Séverin in antico rito romano pretridentino
COLLECTE
Dieu qui en ce jour avez accueilli et récompensé le bienheureux Séverin, votre évêque et confesseur, donnez-nous, dans votre bonté, avec la joie de ses mérites, l'attrait de ses exemples, et, par son intercession, la grâce du pardon et de la vie éternelle. Par notre Seigneur Jésus-Christ, votre Fils. Amen
COLLECTE
Dieu qui en ce jour avez accueilli et récompensé le bienheureux Séverin, votre évêque et confesseur, donnez-nous, dans votre bonté, avec la joie de ses mérites, l'attrait de ses exemples, et, par son intercession, la grâce du pardon et de la vie éternelle. Par notre Seigneur Jésus-Christ, votre Fils. Amen
Saint MACAIRE le Romain, ascète en Mésopotamie.
http://www.johnsanidopoulos.com/2014/10/saint-makarios-roman-of-mesopotamia.html
Saint MELOIR (MELAR), prince royal d'Armorique, martyr à Lanmeur en Bretagne (VIème siècle).
Saint CLETHER (CLEER, CLYDOG, SCLEDOG, CLITANUS ou CLEODIUS), Gallois de nation, saint des Cornouailles (vers 520).
Saint ROMAIN, moine de Saint-Oyend (aujourd'hui Saint-Claude) en Franche-Comté , puis abbé de Mantenay en Champagne et enfin archevêque de Reims (vers 535).
Saint JEAN, évêque de Syracuse en Sicile (609).
Saint ROMAIN, évêque de Rouen en Normandie (639).
Saint EDICE (EDICTE, EODICE, EDISTE, HEDICE), métropolitain de Vienne en Dauphiné (vers 640).
Sainte SYRE (SYRA), moniale de Faremoutiers en Brie, puis abbesse à Châlons-en-Champagne (vers 660).
Saint OCTAVIEN (OCTARIEN), évêque de Côme en Lombardie (vers 680).
Saints LUGLE, évêque itinérant, et LUGLIEN, moine, Irlandais de nation, martyrs assassinés par des brigands à Lillers en Artois (vers 700).
Sainte AUDE (ODE, ODA, CHRODOARA), fille du roi Childebert III, veuve du duc Boghon d'Aquitaine auquel elle avait été unie par un mariage exceptionnellement heureux, bienfaitrice des pauvres et des malades et ascète à Amay-sur-Meuse en Wallonie (711 ou 713). On l'invoque contre la cécité corporelle et contre l'aveuglement spirituel causé par les passions mauvaises, pour la guérison des saints et lorsqu'on est dans la misère.
Saint LEOTHADE (LIEUTAUD, LEOTADIUS), higoumène de Moissac, puis évêque d'Auch en Gascogne (718).
Saint DOMICE (DOMITIUS), diacre et chanoine à Amiens en Picardie (vers 740).
Saint IGNACE, fils de l'empereur Michel Ier Rhangabé (811-813), patriarche oecuménique de Constantinople (846-857 et 867-878), disciple de saint Théodore Stoudite (878).
http://www.santiebeati.it/dettaglio/74880
Saint BERTHAIRE, apparenté à la Maison de France, higoumène du Mont-Cassin (Monte Cassino) dans les Abruzzes, martyr par la main des Musulmans qui le massacrèrent devant l'autel (884).
Saint HERIFRED (HERFROY, HERIFRID), évêque d'Auxerre en Bourgogne (909).
Sainte ELFLEDE (ETHELFLEDE, ELFLEDA, AELFLEAD), princesse et veuve, solitaire à Glastonbury dans le Somerset (vers 936).
Sainte ETHELFLEDE (ETHELFLEDA, ELFLEDA), abbesse de Romsey (vers 970).
Saint NICEPHORE, fondateur du monastère de Charsianos, mort dans la paix.
Saint ELISEE de Lavrichévo (Belarus, vers 1250).
Translation of the relics of Blessed James of Borovichi the Wonderworker of Novgorod
Saint
Jacques prit sur lui la difficile oeuvre de la simulation de la folie
pour le Christ dès sa jeunesse. On ne possède plus la plupart des
détails de sa vie, mais le Seigneur le glorifia après sa mort.
En 1540, le 3ième jour de Pâques, un gros bloc de glace flotta en remontant le courant sur la rivière Msta vers le village de Borovichi (district de Novgorod), et sur ce bloc de glrace se trouvait un cercueil (fait d'un tronc de chêne), dans lequelle se trouvait le corps d'un jeune. Dédaignant les saintes reliques, les paysans repoussèrent avec des perches en bois le bloc de glace vers le cours de l'eau, mais il revint sur la rive. Cela se reproduisit 3 fois. Cette nuit, le jeune apparut en songe aux anciens du village, qui l'avait vu sur le bloc de glace, et dit, "Je suis aussi Chrétien, comme vous. Ne me repoussez pas. Mon nom est Jacques. Je suis l'homonyme de saint Jacques, le Frère de Dieu".
Les reliques du jeune saint furent d'abord placées dans une chapelle, puis en 1544, transférées à l'église de la Descente du Saint-Esprit. On établit ensuite une commémoration annuelle du saint au 23 octobre. Le Seigneur, ayant glorifié Son bien-aimé, accorda aux reliques de saint Jacques un pouvoir de guérison. Une Fête avec Matines fut établie en 1572. Le manuel de l'Iconographe décrit saint Jacques, "l'apparence d'un jeune, imberbe, revêtu d'un morceau de tissus". En 1657 le Patriarche Nikon envoya une partie des reliques au monastère Iveron, à Valdaï.
https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-bogolubskaia-0
En 1540, le 3ième jour de Pâques, un gros bloc de glace flotta en remontant le courant sur la rivière Msta vers le village de Borovichi (district de Novgorod), et sur ce bloc de glrace se trouvait un cercueil (fait d'un tronc de chêne), dans lequelle se trouvait le corps d'un jeune. Dédaignant les saintes reliques, les paysans repoussèrent avec des perches en bois le bloc de glace vers le cours de l'eau, mais il revint sur la rive. Cela se reproduisit 3 fois. Cette nuit, le jeune apparut en songe aux anciens du village, qui l'avait vu sur le bloc de glace, et dit, "Je suis aussi Chrétien, comme vous. Ne me repoussez pas. Mon nom est Jacques. Je suis l'homonyme de saint Jacques, le Frère de Dieu".
Les reliques du jeune saint furent d'abord placées dans une chapelle, puis en 1544, transférées à l'église de la Descente du Saint-Esprit. On établit ensuite une commémoration annuelle du saint au 23 octobre. Le Seigneur, ayant glorifié Son bien-aimé, accorda aux reliques de saint Jacques un pouvoir de guérison. Une Fête avec Matines fut établie en 1572. Le manuel de l'Iconographe décrit saint Jacques, "l'apparence d'un jeune, imberbe, revêtu d'un morceau de tissus". En 1657 le Patriarche Nikon envoya une partie des reliques au monastère Iveron, à Valdaï.
https://doxologia.ro/cinstirea-icoanei-maicii-domnului-bogolubskaia-0
Saint JACQUES de Borovitchi, batelier de profession, fol-en-Christ, thaumaturge de Novgorod (Russie vers 1540). (Office traduit en français par le père Denis Guillaume au tome X du Supplément aux Ménées.)
Saints NICOLAS, VLADIMIR, ALEXANDRE, NICOLAS, EMILIEN et SOZONTAS, prêtres, martyrs par la main des Communistes (Russie 1937
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